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 Parfois nos cap ou pas cap sont vraiment délirants (PV JS)

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MessageSujet: Parfois nos cap ou pas cap sont vraiment délirants (PV JS)    Parfois nos cap ou pas cap sont vraiment délirants (PV JS)  EmptySam 24 Mai 2014 - 20:59


JS&Noelia


« Lâches moi, lâches moi, suppliai-je tandis que de lourdes larmes roulaient sur mes joues». Les deux mains d'Henri étaient serrés autour de mon cou alors que mes pieds quittaient peu à peu le sol. Ses yeux étaient vides, signe qu'il était sujet à une crise hallucinatoire. Il parlait entre ses dents, prononçait des phrases incompréhensibles alors que je manquais d'air. « Henri...S'il te plaît » . Il me jeta à terre tandis que je toussais tentant de reprendre ma respiration. Rampante, je tentais de gagner la salle de bain pour m'enfermer à double tour mais il me saisit par les chevilles, se ruant sur moi pour déchirer mes vêtements et me... Je me réveillais en sursaut, trempée par la sueur, haletante alors que mon cœur se déchirait littéralement dans ma poitrine. Dans le noir, je dus prendre quelques instants avant de prendre conscience qu'il ne s'agissait que d'un cauchemar. Me levant, j'ouvrais la fenêtre pour respirer une grande bouffée d'air frais, tentant de calmer les battements mon cœur puis poussais un hurlement avant de tout faire valser sur mon passage. Dans un excès de colère, j'attrapais ma chaise de bureau et la jetais vers mon miroir mural qui explosa en mille morceaux. Essoufflée, je me laissais glisser sur le sol alors qu'un sanglot me secoua toute entière. Me recroquevillant sur moi-même, ma tête posée contre mes genoux, je laissais évacuer mon chagrin, tremblante. J'étais restée un long moment assise par terre me considérant comme une véritable folle. Je venais de péter les plombs dû à mon épuisement psychologique. J'en avais assez de lutter contre mon chagrin et à cet instant, il était en train de me submerger à petit feu. J'avais tellement mal.  J'en avais tellement marre de faire jour après jour les mêmes cauchemars. Pourquoi fallait-il que cela me poursuive ? J'étais persuadée qu'en arrivant à Los Angeles, en changeant radicalement de vie, tout cela allait rester derrière moi et que je pourrais enfin prendre un nouveau départ. A bout de nerfs, je m'étais dirigée dans la cuisine et m'étais enfilé deux verres de vin jusqu'à ce que je me détende complètement. « Allooooooooooo, Jean-Sébastien, c'est Nonooooo. Quoi ? Oui je sais qu'il est trois heures du matin, mais je t'appelle parce que j'ai une mission urgente pour toi. De ? Arrête de discuter, CAP de venir chez moi là maintenant, tout de suite !!! Ahaha...Tu n'as plus le choiiiix !!!. A tout de suite mon lapin ». Je m'étais assise dans le sofa en l'attendant impatiemment pendant que peu à peu les effets de l'alcool s'atténuaient. Lorsque je percevais la sonnette, je me ruais sur la porte d'entrée pour ouvrir à un Jean-Sébastien passablement endormi qui ne semblait pas ravi d'avoir été réveillé sans ménagement. Mais le jeu était le jeu. Aucun de nous deux ne pouvait refuser un cap ou pas cap de l'autre sauf si c'était vraiment déplacé. C'était la règle d'or. Ses yeux s'agrandirent en voyant de fines coupures striaient mes pieds nus dû au fait que j'avais marché sur les débris de mon miroir explosé. « Bonsoiiiir, déclarai-je en le faisant entrer après lui avoir déposé un bisou sur sa joue gauche. Entre, je t'en prie. ». Je le poussais à l'intérieur, me saisis de sa main puis le fis s’asseoir sur le canapé en me servant un autre verre de vin pour trouver le courage de lui avouer ce que j'attendais de lui ce soir. Je prenais une profonde inspiration puis dis d'une voix forte : « Cap ou pas cap de coucher avec moi ? ». Bien entendu, ce défi était déplacé et il pouvait refuser mais j'avais véritablement besoin de son approbation. Je connaissais JS depuis ma tendre enfance, je voulais qu'il me fasse oublier les horreurs que j'avais vécus. Je voulais prendre un nouveau départ dans ma sexualité, moi qui était totalement bloqué depuis mon mariage. Je n'en pouvais plus d'être mal dans mon corps, de ne repenser qu'à ça et même si l'alcool jouait un grand rôle dans mon comportement. Il fallait que je passes à autre chose...




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Dance Again

L. Thomas Larsson

L. Thomas Larsson

Je m'apelle : Dan et j'ai : 24 ans. J'ai débarqué le : 01/03/2012 sur Amazing People. J'ai posté : 702 messages. J'ai choisi : Jack Falahee comme célébrité et je dois mon avatar à : Carole71 Je suis un peu schizo, voici mes autres comptes : Drew Miller.
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Coucou, moi c'est : Thomas et j'ai : 24 ans. Actuellement, je suis : célibataire et j'ai une préférence : bisexuel. J'ai : aucun enfant. Je suis étudiant(e) et je me suis orienté(e) vers : les cours de pilotage d'hélicoptère. Tu peux me retrouver, si tu le souhaites : à Los Angeles.

Some days you feel so strong and then other days you're like ''what the fuck am I doing?''

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Do you wonder why you have to feel the things that hurt you ? If there's a god who loves you, where is he now ? Maybe, there are things you can't see. And all those things are happening to bring a better ending. Some day, some how, you'll see, you'll see.



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MessageSujet: Re: Parfois nos cap ou pas cap sont vraiment délirants (PV JS)    Parfois nos cap ou pas cap sont vraiment délirants (PV JS)  EmptyMer 28 Mai 2014 - 6:39




   
Parfois nos cap ou pas cap sont vraiment délirants

   
« Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l'air du crime. Et j'ai joué de bons tours à la folie. » ► RIMBAUD
Jean-Sébastien avait vécu bien des choses dans sa vie et peu importe les efforts qu’il mettait à les oublier, les mettre de côté, aller de l’avant, jamais ça ne partait vraiment. C’était une partie de lui. Une blessure et une douleur qui ne partirait jamais. Ça changeait tout. Il avait une vision tellement plus terre à terre de la vie que les jeunes de son âge, il pouvait paraître assez fataliste, pessimiste, ennuyeux, blasé et même je-m’en-foutiste quand il était sous le joug de ses démons qui le hante constamment pour s’assurer que jamais il ne soit vraiment heureux et comblé. Puis il y a eu la mort de Ruby qui lui avait laissé comme un goût amer dans la bouche. Il avait été tellement heureux quand Ruby et lui avaient décidés de se mettre ensemble. La personne qu’il aimait et désirait depuis près de 5 ans finalement lui rendait son intérêt. Jamais il ne l’aurait cru possible et c’est pour ça qu’il ne lui avait rien dit et était parti à l’autre bout des États-Unis pour sauver sa futur carrière de joueur de la NFL. Il ne pensait pas le mériter mais aussi une partie de lui avait peur... peur que le passé se répète. Ce n’est pas exactement arrivé, mais il a perdu Ruby. Un rappel que jamais il ne serait tranquille, que jamais il ne serait heureux ou plutôt jamais heureux avec quelqu’un. Néanmoins, Jean-Sébastien avait su se remettre sur pieds dernièrement. Il profitait nettement plus de la vie et tout le temps passé au Texas même avant que Ruby ne meurt l’avait vraiment permis de retrouver un semblant de paix. La mort de Ruby avait perturbé cette paix, mais Jean-Sébastien ne savait que trop bien que la vie ne s’arrêtait pas. Elle continuerait avec ou sans lui, il a raté le premier bateau mais il a prit le suivant. Il espérait que la mort de Ruby serait la boucle finale à ce qui lui semblait être une malédiction, un acharnement du sort. Le récent retour de son amie d’enfance lui avait un peu rendu le sourire et il essayait de simplement profiter des petits moments. Le passé resterait là, mais le futur n’attendait que lui et il ne voulait pas laisser le mauvais sort dicter le reste de ses jours. C’était donc avec un enthousiasme miné par la fatigue que Jean-Sébastien avait répondu à son téléphone au beau milieu de la nuit. Il avait un peu débattu avec Noe, l’envie de la voir était toujours présente mais un peu moins quand on troublait son sommeil. Sportif qu’il était, il avait une horloge biologique et des habitudes de vie assez précise. Il n’appréciait pas toujours qu’on les dérègle. Il avait quand même décider de se rendre chez Noe, surtout qu’elle avait réutiliser le jeu de cap ou pas cap qu’ils jouaient depuis aussi loin qu’il pouvait se souvenir. Il pouvait refuser dans le cas d’un défis indécent, bien qu’il était convaincu qu’il ne reculerait jamais à ce jeu, mais ce n’en était pas un alors son honneur était en jeu et il était hors de question qu’il abandonne. Jean-Sébastien n’avait pas pris trop de temps à arriver. Il avait sonné à la porte et Noe n’avait pas tarder à lui ouvrir. La voyant les pieds nus et coupés ses yeux s’étaient agrandis mais il ne voulait pas exagérer la situation alors il entra lorsqu’elle l’invita et lui rendit sa bise. Elle le guida jusqu’au canapé et c’est sur ce même canapé qu’il entendit des mots qu’il n’aurait jamais cru entendre de sa bouche. Pas cap ou pas cap bien évidemment, mais plutôt le défis... enfin si on peut appeler ça un défis. Certes, il pourrait le refuser comme c’était indécent mais ce n’était pas l’intention de Jean-Sébastien. Il ne connaissait que trop bien Noe pour ne pas se rendre compte de la situation actuelle. Et en toute honnêteté, pouvait-il vraiment refuser même seulement pour lui? Possible que consciemment il pourrait pensé à refuser mais au fond de lui il en avait besoin et... il en avait peur. Mais il allait affronté cette peur toujours présent dans sa tête. Il avait pu la surmonter pour Ruby et pour son propre bien il était temps qu’il la surpasse pour lui tout simplement. “Cap bien sûr.” Avait-il prononcé sans l’ombre d’une hésitait. Il avait pris certes du temps à répondre mais c’était plus la surprise que de l’hésitation. En même temps qu’il avait dit cela, Jean-Sébastien s’était avancé vers le côté du canapé où se trouvait Noe, réduisant drastiquement la distance entre eux deux.

   

   
Jean-Sébastien Lessard & Noelia Edman

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MessageSujet: Re: Parfois nos cap ou pas cap sont vraiment délirants (PV JS)    Parfois nos cap ou pas cap sont vraiment délirants (PV JS)  EmptyMer 28 Mai 2014 - 22:12


JS&Noelia


Maintenant qu'il avait accepté, ma belle assurance venait de s'écrouler. Quelque part, une petite voix dans ma tête aurait voulu qu'il refuse mais j'étais déterminée à retrouver la Noelia d'autrefois. Je ne pouvais plus vivre dans cette peur constante qui m'empêchait d'avancer. Un silence pesant régna entre nous alors que nous nous rapprochions l'un de l'autre sans nous quitter du regard. Dans toute ma vie, je ne m'étais donnée qu'à deux hommes : Timéo et mon mari. A présent, je confiais une partie de moi-même à JS, mon ami d'enfance. Posant une main sur son épaule, nos visages se rapprochèrent avec lenteur tandis que nos lèvres se caressèrent avec douceur. Face à Jean-Sébastien, je me sentais soudainement fragile et minuscule ses bras m'enlaçant tandis que nous poursuivions notre baiser. Celui-ci était empli de tristesse, d'amertume, de douleur mais également d'amour. Notre amour l'un pour l'autre provenant d'une solide amitié. Il me souleva de ses bras puissants alors que je posais ma tête contre son front tandis qu'il m'emmenait dans ma chambre. Me reposant sur le sol, je reculais de quelques pas, ne le quittant pas des yeux puis, d'une main tremblante, je laissais glisser les bretelles de ma robe, celle-ci tombant au sol, dévoilant mon corps nue. Gênée, je baissais les yeux, recroquevillant les bras autour de ma poitrine. Jean-Sébastien s'approcha de moi et releva mon menton afin de plonger son regard dans le mien puis passa sa main sur ma joue formant une douce caresse. Pendant quelques secondes, nous restions stoïques à nous regarder l’un l’autre comme si nous nous découvrions pour la première fois. De manière incertaine, j'attrapais son tee-chirt et  lui retirais d'un geste lent pour ensuite m'attaquer à son pantalon. Jean-Sébastien avait véritablement un corps de Dieu grec avec ses abdos d'acier, ses pectoraux en béton et ses fesses tout simplement parfaites. M'allongeant sur le lit, il poursuivit ses caresses, réveillant en moi des sensations nouvelles presque oubliées mais lorsque ses lèvres entrèrent en contact avec mon cou et que je sentis le poids de son corps au dessus du mien, mon corps tout entier se raidit alors que des flashs envahissaient mon esprit. Tétanisée,  une larme silencieuse roula sur ma joue...Surpris, JS releva la tête me scrutant pendant de longues minutes avant de poser son front contre le mien, m'obligeant à le regarder dans les yeux, tout en caressant mon bras de manière rassurante.  Dans son regard, je ne lisais ni brutalité, ni cruauté, juste une infinie douceur et peu à peu ma crise de panique cessa. « Ce n'est que moi, déclara-t-il ». Il avait raison, c'était JS, mon ami d'enfance, mon confident ...Saisissant son visage entre mes mains, je l'embrassais d'abord timidement puis me montrais plus entreprenante alors que notre baiser se transformait en baiser passionné. Nos visages s’étaient rapprochés avec lenteur avant que nos lèvres et nos corps ne fassent plus qu’un. Nous ne formions plus qu’un.   Ce n’était pas qu’une simple partie de jambes à l’air, j'avais l'impression que JS lisait véritablement dans mon âme. Il me comprenait sans vraiment me comprendre. Pendant l’espace d’un instant, alors que nous faisions l’amour, je m’abandonnais littéralement à cet homme.  Pendant l’espace d’un instant, je ne m’appelais plus Noelia Edman, il n’y avait aucune règle, aucune interdiction, nous étions libres et notre liberté nous conduisait à nous unir.  Mes coudes appuyés contre ses épaules, ma poitrine était pressée contre son torse partageant sa chaleur. A cet instant, je m'évadais dans un monde que seuls JS et moi comprenions, un monde sous le signe du plaisir, plus proches que jamais...




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