Hé oh ! Tu sais comment je m’appelle ? Mon nom est Middleton et mon prénom est Mary-Beth. Tu aimerais en savoir plus sur moi ? Alors continue à lire. Je suis née en 1991 le 21 septembre à Beverlys Hills ; USA, j’ai 19 ans. Je suis de nationalité américaine. J’adoooore les hommes, je suis donc héterosexuelle. Je fais partie de la confrérie Beta Psi et cela fait 1 ans que je suis dans cette école. J'ai choisie Victoria Justice parce qu'elle correspond bien à mon personnage et que je veux changée un peu.

Pour les jeunes femmes, le faite d’être parfaite, d’être en accord avec soit même est la meilleure des choses.

Mary-Beth a les yeux bruns ainsi que ses cheveux assortis. Elle les laisse souvent tomber sur ses épaules, bien lisser ; se qui ne l’empêche pas de se les boucler de temps en tant ou de se les attacher. Mais bien sûr, lorsqu’elle se les attache, ils doivent être parfaits. Sinon, on enlève tout et on recommence ! Elle lui arrive aussi très souvent d’utiliser un serre-tête pour que ses cheveux ne lui reviennent pas ans les yeux ou de mettre des chapeaux de toutes sortes, elle trouve çà classe. La jeune fille ne sort jamais sans s’être maquillée. Même si se n’est qu’une touche de fond de teint, elle ne supporte pas se voir sans maquillage. Même si elle se trouve tout de même très jolie sans, elle a l’habitude du maquillage, se qui rend son visage parfait. La jeune fille est aussi très à cheval sur sa tenu vestimentaire. Par exemple, elle ne porte jamais les mêmes vêtements. Elle part du faite que lorsqu’elle l’a mit une fois, il est bon pour le fond du placard ou à donner ! Elle est comme ça et on ne l’a changera pas. Elle est plutôt du genre, tenu à la mode, lunette Gucci ou autre marque qui coute très chère. Vous ne l’a verrez jamais avec des tenus du style vieux jogging que l’on met quand on a plus rien dans notre placard. Avec Mary-Beth, ça n’arrivera jamais.

Je ne veux pas plaire à tout le monde, car plaire à tout le monde serait plaire à n'importe qui !

Je pense être quelqu'un de peu commun, du moins je l'espère. On me dit mystérieuse. Je suis comme la brise, ou l'eau qui coule, on ne m'attrape pas, on ne me comprend pas. Je cherche à rester hors d'atteinte, constamment. Je ne veux pas entrer dans le moule de cette société hiérarchisée par des lois et des êtres que je ne comprends pas. J'aime me dire anticonformiste, mais finalement qu'est-ce que l'anticonformisme ? Personne ne le sait réellement, après tout ne serait-ce pas simplement un état d'esprit. D'ailleurs je trouve que ce trait de caractère devient bien trop à la mode. Je n'ai pas la prétention de me dire rebelle, je ne le suis presque pas. Je suis discrète, légèrement timide et énormément maladroite. Ma maladresse ne me rend évidemment pas aussi discrète que je le voudrais mais je me soigne, petit à petit. Je possède aussi un côté plus ou moins sombre. Certains appellent ça 'double personnalité', moi je pense seulement que c'est les traits de caractère que j'apprécie le moins chez moi, que je refoule et qui ressortent à certains moments d'égarement. Dans ces périodes-là, je deviens une fille assez cruelle. Je n'aime pas qu'on me tienne en cage, ou du moins qu'on m'en donne l'impression. J'ai besoin de ma liberté et les gens trop avenants font rapidement connaissance avec ma franchise incroyable. Je me fiche qu'on m'aime ou pas, je veux simplement être moi. Je maîtrise aussi le sarcasme comme un maître, c'est une sorte de passe-temps chez moi. J'aime manier les mots, les faire rouler sous ma langue, les entendre claquer bruyamment dans l'air et voir les visages de mes interlocuteurs se décomposer petit à petit. C'est un plaisir que je savoure avec le même engouement à chaque fois que j'en ai l'occasion. On me dit méchante. Je ne pense pas l'être, je me protège un point c'est tout. Les attaques ricochent la surface, ne pénètrent pas, sauf à de rares occasions. Malgré tout, je reste quelqu'un de vulnérable, surtout en amour. Je tombe amoureuse facilement, je suis rapidement fascinée par les hommes qui m'entourent. Et j'aime cette sensation que procure le fait d'aimer, même si ce n'est pas réciproque. Me faire mal ne me fait pas peur. Je ne crains pas, ou plutôt, je ne crains plus les déceptions, au contraire, elles me forcent à aller plus loin. Je suis ambitieuse et ai du courage.

Toutes les belles histoire commence par "Il était une fois..." et se finissent par "Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfant !"


Tout à commencer le vingt et un septembre mille neuf cent quatre-vingt-onze, au bout du couloir de la maternité du Beverly Hills Hospital ; d’abord des cris et puis des pleurs. Après des heures, Mary-Helen mis au monde d’une magnifique petite fille Mary-Beth ; mais tout ne se passa pas comme prévu ! Alors qu’un être venait de voir le jour, un autre fermait les yeux à tout jamais… Mary-Helen juste après avoir accouchée eut quelques complications, et notamment une hémorragie, les médecins n’ont malheureusement rien pu faire pour la maman… Alors que ce jour devait être l’un des plus beaux, il prit une tout autre tournure ; un cauchemar pour Edward qui venait de perdre sa femme, son unique amour… Il avait pourtant Mary-Beth, mais rien n’y faisait… La mère d’Edward prit en charge la garde de la petite, le temps que son fils Edward se remette de son chagrin. Mais plus les années passées, plus Edward renia sa fille, et sombra très rapidement dans l’alcool devenant violent envers sa fille, la grand-mère prit donc la décision de partir pour San Francisco emmenant avec elle Mary-Beth, âgé de trois ans.

Les années passèrent, et Mary-Beth grandit dans une petite maison de campagne à San Francisco dans le bonheur que sa grand-mère lui prospérait. Elle intégra une école où elle se fit pas mal d’amie, elle se trouva ensuite une passion pour la danse classique… La jeune fille avait tout pour être heureuse, il lui manquait tout simplement des parents… Sa grand-mère ne lui a jamais caché ce qu’il c’était passé à Beverly Hills, sur la mort de sa mère et la folie de son père ; et Mary-Beth de ce fait n’a jamais voulu revoir son père malgré ce manque près d’elle… Mais ça ne l’a pas empêché de vivre des jours heureux avec sa grand-mère ; bien au contraire… D’ailleurs ce fut un déchirant lorsqu’elle s’éteint suite d’une crise cardiaque, Mary-Beth est tout juste âgée de douze ans…

De retours à Beverly Hills, Mary-Beth n’a pas d’autre choix que de retourner chez son père qui depuis quelques années a refait sa vie avec une autre femme et avec qui il a eu un fils… Où ils vivent dans une grande villa près de la plage. Pour Mary-Beth, le cauchemar commence : un père qui lui reproche la mort de sa mère, une belle-mère qui lui rend la vie impossible et un petit frère qui ne veut même pas lui adresser la parole. Pourtant, deux ans après l'arrivée de Beth ils divorce... Soit disant à cause de Beth, une raison de plus pour son père de lui faire des reproches... Mais elle ne laissera pas abattre Beth ira au lycée comme toutes les jeunes filles de son âge, où elle devient une brillante élève et c’est avec d’excellentes notes qu’elle obtient son diplôme tout çà en travaillant à côté en tant que serveuse afin de se mettre de l’argent de côté. Car la seule chose que son père lui a donné c’est une chambre pour dormir car il n’a pas d’autre choix… Sinon côté argent, pas un centimes il donnerait à sa propre fille ! Mais Mary-Beth ne s’en ai jamais plaint, de tout façon pour rien au monde elle demanderait quelques chose à son père ; elle préfère être indépendante et ne rien demander à personne car le moment venue, elle partira loin de tout çà… Au lycée, Mary-Beth était une jeune fille ne se prenant pas la tête, elle avait son petit cercle d'amis avec elle passait pas mal de soirée. Mary-Beth a eu des petits copains mais rien de vraiment sérieux, çà n'allait jamais bien loin qu'un bisous. Mary-Beth a des principes et désire attendre le bon garçon avec qui elle perdra sa virginité. La même année où elle rentre au lycée, elle a quinze ans ; le père rencontre une femme qui elle a déjà un fils, Justin. Une belle-mère très gentil et un demi-frère adorable, une bonne raison de vouloir plus partir. Mais toujours un père indifférent !

Et c’est donc après avoir réussie avec succès son diplôme de fin d’études au lycée, que Mary-Beth intégra l’université d'UCLA, ayant obtenue une très généreuse bourse. C’est en études de médecine que Mary-Beth se dirigea, le métier qu’elle désire faire ? Médecin légiste, rien que ça ! C’est avec joie que la jeune demoiselle fait ses études, tout en continuant de travailler à droit à gauche… Mais elle sait que ses deux bonnes étoiles la protègent de l’a haut : sa mère et sa grand-mère…