LIBERTÉ ! LIBERTÉ ! LIBERTÉ ! Voilà le mot qui me venait à l'esprit depuis que j'avais quitté l'hôpital de San Antonio, j'avais bien une petite cicatrice mais elle n'était pas moche, gluante ou autre. Non non ça faisait surtout style blessure de guerre... sexy pour certaine femme, normal pour d'autres mais pas repoussant. Heureusement car je ne voudrais pas perdre de mon charme. La première chose que j'avais faite c'est appeler Mariann en sortant de l'hosto. « Hey Bonnie je sors de l'hosto va chez moi pour la fête que tu veux me préparer... j'ai pas de double de clé mais demande au concierge en lui glissant un billet vert il est facile à corrompre lol. » (... je passe par-dessus la suite de la discussion pour pas briser le rp mais normalement tu répond et c'est fini) je raccrochais après qu'elle l'eut fait puis j'appelais une compagnie de taxis pour me faire amener à l'aéroport où j'achetai un billet pour le premier vol en direction de L.A. Je textotais à Mariann pour lui dire que je serais là demain en soirée car le prochain vol n'était pas tout de suite, en fait il était dans 6h sauf que les billets étaient tous vendu donc je dû prendre des billets pour le second vol... par conséquent j'avais louer une chambre à l'hôtel se trouvant à deux pas de l'aéroport. La chambre était plutôt pas mal, la nourriture était succulente par contre pour la tranquillité et le sommeil profond la nuit c'était l'enfer ! Toujours et encore du bruit provenant de cette rue très achalandé même la nuit et certains individus des chambres voisines ronflaient à n'en plus finir c'était vraiment la pire nuit qu'il m'ait été donné de vivre.

Une fois le soleil bien levé et que le coq eut chanter je sorti du lit. J'étais fatigué comme pas deux et je n'avais qu'une envie c'est partir pour L.A et rejoindre ma Bonnie. Nous formions le parfait duo de Bonnie &Clyde moi et Mariann. Mariann représentait beaucoup pour moi, c'était bien plus qu'une fille comme les autres, c'était ma Bonnie, ma padawan, moi j'étais son Clyde, son maître jedi. Je la connaissais depuis des années, je l'avais rencontré dans son village natale en Italie lors d'un voyage "d'affaires". Si je me rappel bien c'était peu après mon arrivé à L.A alors que j'étais en train de bâtir mon empire... ou plutôt mon trafic de drogue. J'avais un de mes producteurs de drogues qui avait eu des problèmes avec la mafia qui contrôlait ce village d'Italie, la mafia ne l'avait pas jusque là repéré mais les choses avaient changé et maintenant il lui causait problème, brûlait mes productions ou alors les revendait pour eux. Il m'avait contacté secrètement car la mafia ne lui donnait presque rien pour ce qu'il produisait. J'avais donc prit le premier vol pour l'Italie et je m'étais rendu par d'autres moyens jusqu'à ce village. Une fois rendu à ce village j'avais commencé les négociations avec la mafia, bien sûr j'avais amener des hommes de confiances avec moi pour être sûr qu'on essayerait pas tout bonnement de m'éliminer. Un problème supplémentaire se mit à travers de mon chemin alors que je m'apprêtais à régler le cas de ces mafieux et repartir avec ce que je voulais... la paix pour mon producteur. Quel fut ce problème? Un p*tin de curé de mes deux et comme tout le monde vous devez bien savoir que tous les italiens ou presque son très religieux, même les mafieux comme on a pu le voir dans les films "le parrain". Le trafic de drogue est mal vu par Dieu et blablabla... les mafieux de ce village faisait jusque là purement et simplement dans le racket, il y avait bien aussi quelques bordels mais zéro drogue. Ce n'est pas qu'ils étaient contre c'était qu'il n'avait pas connaissance qu'il y avait le moindre producteur dans ce petit village et maintenant qu'il le savait, c'était un curé qui s'y opposait. J'en pris bien note et pour remédier à ce problème je ne savais pas trop quoi faire au début... je dis bien au début car la suite c'est merveilleusement bien déroulé. J'avais remarqué que sa fille Mariann qui avait à l'époque 16 ou 17 ans je ne sais plus trop, était en pleine période de rébellion et qu'elle déviait du droit chemin alors pour faire court je lui ai pavé la voie. Je l'ai prise sous mon aile lui apprenant toute sorte de chose comme comment passé de la drogue à la douane ou encore accentué les effets produits par la drogue, je la laissais aussi venir à mes petites fêtes complètement décadentes et où tous les vices étaient permis. En retour elle était ma collaboratrice pour comment dire... tasser son père du chemin. Nous avons réussi mais j'ai toute de même passé quelques mois mémorables en la compagnie de cette belle jeune femme... surement les mois où j'ai été le plus pervers, vicieux, méchant, salopard, etc. Je fus son maître jedi, elle fut ma padawan, mais même si c'était moi le maître c'est en sa compagnie que j'ai atteins mon apogée. J'ai bien sûr fini par quitter l'Italie une fois que mon producteur eut retrouver le calme, que son père ait arrêté de me casser les couilles et que la mafia et moi avons trouvé un terrain d'entente. Je ne croyais plus jamais la revoir.. jusqu'à un soir sur facebook lorsqu'elle m'a envoyé une demande d'ami et que j'ai vu à sa localisation "Los Angeles" j'ai posté sur son mur pour m'assurer que c'était pas des blagues. Nous étions bien d'accord. Elle voulait me revoir, moi aussi, je lui ai dis que j'étais en dehors de la ville à l'hosto mais qu'on pourrait fêter mon retour en bonne à L.A.

La journée passa vite jusqu'au moment où je devais prendre mon envol, et je le fis sans délais. J'ai rattrapé mon sommeil dans l'avion qui ironiquement était plus paisible que ma chambre d'hôtel où j'étais pourtant seul. Une fois réveillé par l'homme se trouvant à mes côtés alors que nous étions atterri je sorti de l'avion et je texta Bonnie pour lui dire que j'étais à L.A et chez moi dans 1h30 ou 2h. J'allais à l'extérieur de l'aéroport et je me trouva un taxi pour aller jusqu'à chez moi. Je montais avec ma valise en main jusqu'à mon appartement et je cognais à la porte en m'écriant « It's me honey open your legs... oops I ment the DOOR. »

J'attendais calmement à la porte. Ne voulant pas paraître fou je vérifiais avec mon cellulaire que j'avais une tête convenable et avec mon odorat que je ne sentais pas la merde. Bon l'odeur c'était pas terrible, une odeur d'homme quoi. Niveau vestimentaire j'aurais probablement l'air fou en comparaison de Mariann... une veste à capuche gris-bley, un t-shirt gris pâle voire blanc au fil des lavages, une paire de pantalon de la même couleur que ma veste à capuche et une paire de chaussures Adidas aux pieds. Banal n'est-ce pas? Mais bon trop tard pour me mettre sur mon 31. Elle ouvrit la porte en prenant position dans le cadre de porte qui était plutôt sexy. Elle me fit un sourire que je devinais coquin puis je la voyais tapoter sa cigarette. Je m'approcha un peu d'elle et je lui caressais le visage avec ma main « Hello Bonnie » avant de m'avancer à l'intérieur tout en la prenant dans mes bras tel un homme marié amenant sa femme à l'autel, sauf que moi je l'amenais à mon canapé à côté de la table basse du salon où je découvris alcool en quantité industrielle et deux lignes de drogue bien fraîche. Je n'avais pas remarqué jusque là mais elle avait mit de la musique, il se trouvait qu'elle avait mit un album de mon groupe de métal préféré alors je pris la manette de ma chaine hi-fi qui se trouvait elle aussi sur la table basse puis je sélectionna une chanson qui convenait à la diablesse que j'avais sous moi. Une chanson que le père de Mariann qualifierait de satanique en gros. Pourquoi ça nous convient? On est méchant, des vrais petits diables surtout quand on est réunit, puis il se trouvait qu'elle était vêtu tout de rouge ce qui me fit pensée à une vraie petite diablesse... c'est terriblement sexy. Malgré tout l'alcool, la drogue et le travail qu'elle avait fait pour me faire plaisir je n'avais qu'une envie et je crois que je la cachais mal... lui arraché son soutien gorge en dentelle rouge et lui faire l'amour comme jamais on ne le lui avait fait auparavant. Ça peut être dur à comprendre pour quelqu'un de normal mais autant Mariann était ce qui se rapprochait le plus d'une meilleure amie pour moi, autant c'était surement celle que je désirais le plus. Sans doute avait-elle encore souvenir de mes faiblesses... je lui avais appris comment séduire n'importe quelle homme jusqu'à les rendre fou et ce au sens littéral, vous n'avez pas idée jusqu'où un homme peut aller pour avoir la nuit de ses rêves. Dans mon cas je n'ai jamais été réellement résisté par les très rares non mais vraiment très très très rares femmes pour qui j'aurais viré fou. En fait, je crois qu'aucune femme ne m'a encore rendu fou. Mais si jamais ça arriverait je ne sais pas s'il y aurait une limite à ce que je pourrais faire pour obtenir l'objet de mes désires. Sauf que là, je n'avais comme seul et unique désire la belle Mariann. Sur le moment je me suis dis je vais être délicat et patienté après tout ce n'est pas une femme comme les autres, c'est Mariann. Puis en y repensant je me suis dis merde... justement c'est Mariann c'est bien la seule qui m'a déjà vu lors de mes moments les plus noirs et les plus fous ou presque, et elle même veut que je redevienne celui que j'étais en Italie alors faut que j'arrête de me prendre la tête et que je prenne ce que je veux avoir sans demander. Je la poussais donc contre le canapé et je plongeais ma tête dans son décolleté jusqu'à ce que j'aie son soutif entre mes dents puis je le tira de toute mes forces jusqu'à ce qu'il cède. « Je te veux ici et maintenant ma belle... la fête on peut le faire tous les jours c'est quelque chose de banal, mais avoir la femme que je désire le plus à mon retour d'une sale période ça, ça n'arrive pas tous les jours. » Sur ces mots j'avais enlevé ma veste et mon t-shirt, je fixais un bref moment ma cicatrice se trouvant à la place de mon nouveau foie puis je l'effleura même de mes doigts pour m'assurer que ce n'était pas devenu une vieille blessure toute dégueulasse depuis mon dernier coup d'oeil mais ce n'était effectivement pas le cas. Tant qu'à mon corps je n'avais aucune gêne, elle l'avait déjà vu plusieurs fois... je vous le dis mes soirées sont pour le moins délurées alors s'il y a encore une parcelle de mon corps qu'elle n'a pas vu c'est qu'elle était vraiment dans un état second à chaque fois. La seule différence c'était que je m'étais récemment remis aux arts martiaux car un film voulait de moi comme instructeur pour un film où le personnage est supposé maîtrisé divers arts martiaux, donc bien sûr ma musculature est plus développé que la dernière fois qu'elle m'a vu il y a 3 ou 4 ans alors que bien sûr je faisais un peu de gym mais aucun entraînement comparable à ceux que j'ai dû faire pour me remettre en forme, me dérouiller en arts martiaux et instruire cette star hollywoodienne. J'espérais être pour elle désirable, mais dans le pire des cas j'étais bien sûr d'une chose, je saurais la mené au septième et plus loin encore. Ça c'est mon truc à moi. Les femmes peuvent bien trouver d'autres hommes plus sexy, beaux, virils, mignons, orgasmique, etc. Ça c'est libre aux goûts de la nature. Mais toutes les femmes ayant couché avec moi ne peuvent pas nier que je suis l'homme le plus doué au lit qu'elles aient vu. Sauf bien sûr les femmes amoureuses car elles perdent toute objectivité. Bref, après m'¸être brièvement regarder je plongeais mon regard dans celui de Mariann jusqu'à ce que je le baisse au rythme ou mes mains baissais ses vêtements... comment ne pas détourner les yeux de son regard alors qu'elle a un corps de déesse qui n'attend que mes yeux pour se faire dévorer du regard?

Je la vis se rincer l'oeil sur mon corps, ça me plaisait bien. Nan mais c'est vrai j'ai travaillé sur ce corps là autant que les femmes l'apprécie non? Bien sûr je pèse pas 250 livres de muscle mais j'aime bien ma carrure puis chaque partie de mon corps est bien musclé. C'est ça les arts martiaux ça implique tout le corps, tandis que les bodybuilder et beaucoup d'autres n'ont que pectoraux, abdos et bras. Moi j'ai des fesses musclés, des jambes musclés, vraiment tout tout tout. Un corps est fait pour être admirer alors je vais profité de voir que le mien l'est et pas par n'importe qui non, par Mariann a.k.a Bonnie. Je vis son regard baisser vers mon entre jambe mais elle figea sur ma cicatrice, elle passa ensuite son doigt contre ma cicatrice ce qui me fit un certain effet. Cette cicatrice était surement l'une des parties de mon corps les plus sensibles en ce moment. Pour ses beaux yeux je fis ressortir mes muscles et mes abdos. Bah quoi autant faire un show? Je veux lui faire du bien ce soir, la faire grimer au rideau, ça faisait tellement longtemps depuis notre dernière fois... je n'étais plus le même physiquement et sans dire que j'étais moche par le passé car c'est faux, je dirais qu'avec l'âge je ne suis devenu que plus sexy. Quoi que je reprend sans soucis la forme de mes 23 ans quand je me faisais encore entraîner par mon père et que j'avais littéralement un corps que toute femme qualifierait "d'orgasmique"... c'était mon apogée physiquement parlant. Et là bah je me suis remis en forme comme je vous l'ai dis, je ne pouvais pas rester sur une pente descendante. Une fois que j'eus fini de faire mon show je m'attela à la tâche du déshabillage complet pour ma Bonnie, elle était vêtu parfaitement pour me faciliter la tâche ça glissait très bien. Je la dévorais du regard, vous savez le temps orgasmique dont je vous parlais tout à l'heure? Il s'applique sans aucun doute à Mariann, du moins à mes yeux. Par la suite, elle me souriait puis elle me poussa contre le canapé de sorte à ce que je me retrouve couché et elle embarqua sur moi tout en détachant mon jean pour le baisser en vitesse. Je n'avais qu'une envie... sentir mon membre dans son corps et cela me plut qu'elle ne s'attarde pas trop mais en même temps je m'y attendais elle me connaissait. Elle poursuivit en baissant mon caleçon puis je pu sentir sa main frôler mon membre qui lui s'était durcit au cours du processus... Mariann n'est pas le genre de femme qui doit se plier en 4 pour le faire durcir, elle a eut le meilleur professeur et savait parfaitement m'aguicher. Elle glissa sur moi jusqu'à se coucher sur moi, sa poitrine contre mon corps puis elle se mit à me caresser. De mon côté je la caressais également avec délicatesse, commençant par ses cuisses pour ensuite arriver aux côtes puis frôlé sa poitrine, juste assez pour qu'elle puisse sentir ma chaleur humaine à ce niveau. Ensuite j'ai vraiment pris d'assaut sa poitrine, caressant du bout des doigts en tracé circulaire ou alors en va et vient. Je posais ensuite mes lèvres sur sa poitrine et je remontais jusqu'à sa bouche pour l'embrassé langoureusement. Je la laissais tout de même prendre les commandes, comme je l'avais dis à Matt je ne sais où, les femmes dominatrices ne sont que plus sexy... ça démontre une seule chose, elles ont confiance en leur beauté et leurs capacités. Puis je savais déjà que Mariann au lit devait être implacable puisqu'elle avait encore une fois eut le meilleur professeur. Les principes de bases tout le monde connait, mais ce sont les petits détails qui font la différence entre une déesse au lit et une femme ordinaire au lit.