Skye-Ivy - contrairement aux apparences - est une femme qui adore le sport. Le sport favori de la jeune femme était l'équitation, mais certaine personne diront que ce n'est pas un exercice physique puisque c'était le cheval qui faisait tout l'effort. La jeune Bloomsbury n'était pas d'accord avec cette vision, mais elle n'allait pas lancer une polémique ou un débat dessus.
Elle aimait d'autre sport comme la randonnée, la course, la marche ou même des sports de combats. Nohlan était son professeur d'auto-défense et elle adorait. Skye-Ivy prenait des cours depuis quelques semaines seulement, elle adorait cela. Elle adorait également son professeur. A ce niveau, la jeune rousse n'était pas prête à se défendre seule, mais elle était en bonne voie. Dans quelques heures, elle pourrait mettre Nohlan à terre, elle en était certaine et elle était surtout déterminée à y parvenir.

Pendant quelques années, Skye-Ivy avait également pratiquer la natation. Elle trouvait important le fait de savoir nager et elle avait pris goût à être dans l'eau. La jeune femme était une excellente nageuse et se sentait, comme un poisson dans l'eau. La jeune femme avait fait plusieurs longueurs et elle était bien quand un jeune homme l'interpellait lui disant que quelqu'un voulait lui parler près des vestiaires. En sortant de l'eau la jeune femme ne trouvait pas sa serviette pour se sécher et se recouvrir, elle l'avait pourtant déposé sur l'un des bancs. Skye-Ivy se dirigeait vers les vestiaires, elle trouverait bien une serviette et la personne qui voulait la voir. La jeune femme était très pudique, même trop peut-être et elle se sentait près mal à l'aise. Sans, qu'elle s'en rend compte et qu'elle ne comprenne bien la situation. On l'avait posé dans une petite pièce sombre malgré la petite lumière, qui était allumée. On aurait dit un placard à balai, mais sans les balais. Skye-Ivy se sentait très mal à l'aise. Elle réalisait, que Théodore était présent. En entendant, la question de ce dernier, Skye-Ivy comprenait qu'elle avait été victime d'un mauvais coup d'un groupe de la confrérie Delta Oméga, des premières et deuxièmes années qui souhaitaient montrer leur supériorité avec des conneries pareilles. La rouquine en avait entendu parler étant la fille du doyen, elle savait tout ce qui se passait dans l'université. Elle était également l'une des victimes préféraient de ce groupe. "Oui ce sont des Delta Oméga. Mais personne ne peut rien contre eux, ce sont les enfants des personnes assez influentes. Leur parent donne énormément d'argent à l'université." Sans parler que leur exclusion, ferait du bruit et la réputation de l'université, pourrait être entachée par des mensonges ... La jeune femme se laissait glisser contre le mur et s'asseye sur le sol froid. Elle savait qu'ils en avaient, pour des heures. Elle prenant ses genoux qu'elle ramena contre sa poitrine et qu'elle entourait de ses bras. D'une certaine façon, Skye-Ivy tentait de se cacher sans grand succès et elle était plus rouge qu'une tomate. Elle se sentait très honteuse.

Skye-Ivy ne comprendrait jamais l'intérêt avait les gens à prendre au piège d'autres personnes . Quelle satisfaction en tirait il ? Ils avaient réussi à mettre deux personnes dans un pièce minuscule où on se sentait à l'étroit et après qu'est-ce que ça faisait ? C'est une farce ou une activité complément stupide. Ils riaient bien c'était génial pour eux, mais c'était d'une stupidité alarmante. La jeune Bloomsbury se demandait comment des personnes avaient si peu de maturité pouvait avoir le niveau intellectuel pour accéder à l'université de Los Angeles.

Ce n'était pas la première fois que la jeune femme était prise dans l'un des pièces du groupe. Mais c'était la première fois, qu'elle se sentait vraiment humilié. Elle se retrouvait dans une pièce trop petite pour deux personnes et en maillot de bain sans aucun moyen pour se cachait. Skye-Ivy ne se sentait pas du tout bien, elle était gêné et n'aimait pas du tout cet endroit. La jeune femme se laissait glissé le long du mur et s’asseyait sur le sol au carrelage froid. Elle s'était recroqueviller sur elle-même. Elle se sentait oppresser dans cette salle comme si elle était claustrophobe. La rouquine n'avait jamais aimé les espaces restreints, elle n'avait jamais fait la moindre crise de claustrophobie, mais d'un autre côté, elle n'avait jamais été contrainte d'être dans un endroit aussi étroit. Elle espérait simplement que ce serait qu'une mauvaise impression et non pas la découverte d'une peur intérieur. Skye-Ivy se concentrait sur ce que disait Théodore, ce qui n'avait n'y eut le don de la rassurer, ni même de la faire sentir plus à l'aise. C'était presque l'effet inverse. Elle était encore plus gêné et ses joues étaient loin de reprendre leur couleur initiale. Skye-Ivy lui répondit. "Je ne sais pas du tout. Ça fait longtemps que tu es là." elle lui avait tout de même fait un petit sourire. Elle commençait à grelotter, elle était mouillée, en maillot de bain et assise sur un sol totalement congeler. "Tu as regarder dans les cartons ... si, il avait quelques choses ... qui pourraient nous aidé ... à ouvrir la porte ?" Dit elle presque en claquant de dents.

La fille du Doyen la cible idéale pour les mauvais coups et affirmer la pseudo puissance de sa confrérie. C'était souvent les élèves de premières ou de seconde années, qui s'adonnaient à ses enfantillages. Et pour eux c'était encore mieux de s'en prendre à une personne appartenant à une fraternité dissoute. Histoire des rabaissaient davantage. Skye-Ivy en avait marre d'être la tête de turc de certain. Un jour elle allait à coup sur se venger. Cette fois-ci le mauvais coup était allée beaucoup trop loin. Il l'avait enfermé dans une sorte de placard à balai, alors qu'elle était vêtue d'un simple maillot de bain. Elle y était prise au piège avec Théodore. La jeune femme ne se sentait pas du tout à l'aise, elle était très gênée par cette situation et par la façon dont elle était vêtue. Skye-Ivy s'était assise en boule sur le sol congelé. Elle était frigorifiée et elle se disait qu'il fallait absolument qu'elle fasse quelques choses. Mais elle n'osait pas bougé, elle s'adressait donc à Théodore.
Théodore lui répondit froidement en lui mettant sa serviette sur ses épaules. "Merci" Elle l'observait quelques secondes avant de demander. "Pourquoi, tu es, aussi froid ?" Elle se releva en mettant la serviette autour d'elle. La demoiselle Bloomsbury se rapprochait de lui en se demandant si elle avait fait quelques choses de mal. Pourtant, leur dernière rencontre s'était bien passé et elle en gardait un excellent souvenir. "Est-ce que j'ai fait quelques choses de mal, ou qui t'aurait déplu ?" La meilleure solution de savoir était de poser la question.

"Sortir de cette pièce" était la phrase qui raisonnait sans cesse dans la tête de Skye-Ivy. La jeune femme ne se sentait vraiment pas bien. Elle trouvait déjà la pièce beaucoup trop petite à son goût et ça commençait sincèrement à l'angoisser. Elle espérait ne pas faire une crise de claustrophobie, mais à force d'y penser ça n'arrangerait rien. La jeune Bloomsbury était également assez complexé par son corps. Elle se retrouvait à moitié nu devant Théodore dans une pièce étroite, sombre et froide en plein milieu de l'université. N'importe qui, qui les verraient sortir de cette pièce s'imaginerait certainement des histoires. Des histoires auxquelles, Skye-Ivy ne voulait même pas y penser.
La jeune femme remerciait Théodore de lui avoir donné sa serviette afin qu'elle puisse se recouvrir. Il avait surement dû ressentir la gêne qu'éprouvait Skye-Ivy. Le moins que plus dire c'est que la jeune femme avait été très mal à l'aise et elle l'était encore un peu un ce moment précis. Elle ne comprenait pas aussi pourquoi Théodore se montrait aussi froid avec elle. Pour avoir des réponses, il faut poser les questions et c'est ce que fit Skye-Ivy, mais la réponse que lui donnait Théodore avait énormément surpris la jeune Bloomsbury. La jeune rousse ne comprenait rien, elle avait plutôt l'impression de se montrait chaleureuse envers lui. Elle essayait d'engager les discussions, elle s'intéressait à lui, elle faisait d'énormes efforts pour combattre sa timidité et plus aller vers les autres. Pourtant, ça ne convenait pas. Skye-Ivy se disait alors qu'elle devrait, alors peut-être redevenir cette fille discrète dans son choix, invisible, qui n'intéressait personne. Elle devrait plutôt arrêter de parler aux autres comme elle le faisait et continuer à se refermait sur elle-même. "Désolé que ma façon d'être ne te convienne pas." Skye-Ivy se leva rapidement toujours la serviette autour de son corps et elle décidait de chercher par elle-même un moyen de sortir de cette pièce.