« Je te prépare une surprise et c'est comme ça que tu me remercie? Un boudin? » Dis-je en soupirant et la regardant désormais dos à moi. Je restais sur le dos et fermant les yeux. J'étais tellement épuisé dû à la préparation de ma surprise et tout ce qu'elle trouve à me dire, c'est que je l'énervais. Je ne lui ai pas répondu et contentant de simplement dormir.

« Ouais ben t'sé je peux laisser tomber. » Dis-je en me tournant dos à elle et gardant les yeux fermés. Ça me frustrait qu'elle me dit ça, car ça me dit qu'elle allait pas aimer ce que j'allais faire. Je me demande vraiment si ça valait la peine ce que j'avais prévu.

Je ne répondais pas à ce qu'elle disait et sentant le sommeil l'emporter. Je tombais vite dans un profond sommeil et bougeant durant la nuit. Je me retrouvais sur le dos et sentant les pieds glacés de Mariann. Je remontais alors les draps sur nous et recommençant à dormir.

Le lendemain venu et je me réveillais le premier. Je sortais du lit sans la réveiller et allant passer un appel.

Je demandais à la personne d'amener le déjeuner et retournant dans le lit pour attendre

Je la laissais faire en souriant en coin. J'entendis quelq'un frappé et allant ouvrir.

J'allais prendre le plateau de déjeuner et le déposant près de notre lit. Je me couchais à ses côtés et lui donnant pleins de bisous pour la réveiller afin qu'on puisse manger.

Je continuais mes bisous et voyant qu'elle se réveillait suite à mes bisous. Je souriais en coin et me redresse afin de pouvoir la regarder. Je m'assois à ses côtés. « Oh, mais ce n'est pas moi qui a cuisiné, sinon ça ne sera pas mangeable! » Dis-je en lui souriant et lui volant un bisous.

Je passais la plupart du temps le matin à la regarder dormir pendant de longues minutes. Je la trouvais tellement belle que je pouvais la regarder pendant des heures sans en avoir marre. « Des macaronis calcinés hein? Oublie ma soupe! On dirait du vomi de chat. » Dis-je en rigolant et prenant une tartine au beurre et la mangeant.

J'étais habitué de me réveiller tôt le matin à cause du travail. Je passais la plupart du temps le matin à la regarder sans même qu'elle le sâche. « Tu sais que je t'aime? » Dis-je en l'embrassant à sa tempe et prenant mon verre de chocolat chaud et le buvant. Je tendais mon verre vers elle. « Tu en veux? »

Quand je l'observais pendant des heures, je fus tellement hypnotisé par elle que je me demandais que j'avais de la chance de l'avoir. « Pourquoi? » Dis-je en riant et lui donnant la tasse. Je pris des fraises moi aussi et le mangeant.

Je voulais simplement l'embêter pour rire un peu. Je la regardais et lui souriant. « Je t'aime fort fort mon amour! » Dis-je en riant. Je continuais de manger. J'avais une faim de loup. Je vidais le plateau du déjeuner en passant mon bras autour de ses épaules.

J'avais tellement faim que je ne remarquais pas que je mangeais autant. Je tournais alors la tête vers elle en lui souriant. « Prépare-toi mon amour! Ça te dit qu'on aille à la plage? »