La st-valentin pour moi ça ne veut pas dire grand-chose mis à part fête commerciale… Je ne pensais pas qu’il fallait une fête spécifique pour que je puisse dire je t’aime à ma fiancée, je pouvais lui dire comme bon me semblait chaque jour. Je savais que cette fête avait une importance capitale pour mon amoureuse, elle adorait les petits cœurs et les trucs moindrement quétaine, comme la plupart des femmes d’ailleurs, je ne pouvais pas lui en vouloir pour ça. Le problème avec cette fête s’était que je n’étais pas capable de dire je t’aime sur commande, il fallait qu’il y est un moment, que je me sente bien et complètement amoureux. Ce n’était pas que je ne me sentais pas amoureux tous les jours, je me sentais amoureux comme je ne l’avais jamais ressentis seulement je n’aimais pas quand je devais me forcer à faire un truc, ce n’était pas moi. Voilà ce qui me poussait à essayer de comprendre cette fête, je voulais rendre heureuse la personne que j’aimais, plonger dans un monde plein de cœur et de bisounours pour la rendre heureuse, lui faire comprendre qu’elle était la seule femme au monde qui risquerait de me faire subir cette fête sans honte.

Annalynn était partie chez Calliope avec Laïla pour la faire garder je pense, nous étions vendredi alors j’avais attendu suffisamment longtemps pour que Calliope puisse faire sa propre st-valentin avec son copain. Je devais faire vite et je n’avais pas beaucoup d’idée. Je pris mon portable pour regarder un peu les idées, je ne voulais pas faire une chose que tout le monde faisait seulement je n’avais jamais pris la peine de fêter ce genre de fête alors j’étais complètement perdu. Je ferma le portable sans idée encore une fois, je me leva puis j’alla dans notre chambre pour voir s’il y avait un potentiel de décoration. Rien n’allait… J’entra dans le bureau ou se trouvait tous nos trucs et j’eu enfin une bonne idée.

Je déplaça tous les meubles de la pièce pour les mettre dans une pièce adjacente, puis je commença à placer mes trucs. Je sortis dehors pour prendre ce que je venais tout juste de commander, en fait, s’était mon plan de secours qui après quelque heures de réflexion me paraissait beaucoup plus romantique. J’avais préparé une auto, enfin les sièges arrière d’une auto. Je voulais reconstituer notre premier rendez-vous, la première fois quand je l’avais vu, qu’elle ne m’avait pas aimé et que nous étions allé plus loin. Je ne voulais pas lui rappeler le côté sexuel de la chose mais plus notre première rencontre, bien qu’elle ne l’est pas aimer. J’avais pris le siège arrière de mon auto et je l’avais placé en plein milieu de la pièce, j’avais mis des draps autour pour en faire une tente, un tat de chandelle électrique parce que je n’aimais pas le feu. Je plaça des roses que j’avais fait imprimer sur une feuille partout puis je ferma les lumières. Tout était tellement parfais, tellement beau, j’espérais qu’elle allait aimer l’effort au moins.

Je me rendis dans la chambre pour enfiler un pantalon noir et une chemise noir puis je quitta ma chambre en fermant la porte, je déposa des bonbons sur tout le chemin en espérant qu’elles les suivent ou les manges, ne vous inquiétez pas j’avais pris la peine de mettre un long tapis rouge qui durait la durée du trajet. Voilà maintenant que tout était fait j’alla dans la chambre puis je pris place sur le siège arrière de la voiture, juste à côté des fruits et du chocolat, je pris une coupe de whisky, en fait j’avais adapter mon gout pour l’alcool à l’occasion en mettant du vin dans la sienne et du whisky dans la mienne. Le temps me dirait si elle aimerait la surprise, je l’espérais.

J’étais inquiet de laisser notre petite fille à Calliope, pas parce que je ne lui faisais pas confiance mais parce que je l’avais depuis tellement peu de temps, qu’elle était encore toute nouvelle, tellement fragile… Je ne sais pas, peut-être que je faisais partit de ses parents complètement parano maintenant que j’étais papa. J’avais pris sur moi, je devais faire une soirée convaincante, convaincre ma douce que la st-valentin sa craignait pas quand on était avec un homme qu’on aimait et qui ne nous laisserait jamais tomber. J’avais pris 1h à tout mettre en place, j’avais travaillé comme un force né, j’avais fait de moi un être semi romantique qui n’étais pas limitable.

J’étais assis avec ma coupe de vin, sans le vin, je l’attendais comme son prince qui mourrait d’envie de voir la belle… Annalynn était et serait toujours ma belle, celle qui me forcerait à faire des choses complètement ridicule, humiliante sans que je m’en rende compte. La voilà, elle était dans le cadre de mes chandelles artificielles, elle était tellement belle dans sa petite robe noir, tout faisait ressortir ses formes, d’une telle façon que j’étais persuadé qu’elle était peinte sur elle. Mon sourire ne put s’empêcher de s’élargir, j’avais devant moi la femme de ma vie, la plus belle, une vision angélique qui ne s’effacerait jamais. Je l’observa venir vers moi, je lui tendis sa coupe de vin puis je lui donna un baiser à mon tour, j’étais tellement heureux de la voir. ‘’ Joyeuse st-valentin ‘’ Dis-je en tirant sur sa main pour qu’elle vienne jusqu’à moi sur mes genoux. Je pris la boite de chocolat un sourire aux lèvres en la déposant juste à côté de moi, j’étais content qu’elle est pensée faire ce geste, je savais qu’elle n’avait pas l’habitude des grands gestes romantiques, elle n’avait pas fêté la st-valentin souvent alors ça me surprenait qu’elle est pensée à ça. ‘’ Je ne vais pas révéler mes secrets… ‘’ Dis-je en souriant venant embrasser sa joue en caressant son bras… ‘’ Alors tu as le choix… J’ai trois enveloppes pour toi… tu en choisis une et on fait l’activité que j’ai prévu ‘’ Dis-je en la prenant dans mes bras pour la redéposer doucement sur le siège de voiture, j’alla dans un tiroir pour prendre les trois enveloppes puis je l’observa dans les yeux en lui tendant les trois pour qu’elle en choisisse une… J’étais nerveux, personne ne m’avait appris comme être romantique, on m’avait appris à être cruel, à ne jamais aimer… J’allais devoir faire confiance à mon instinct, à mon amour pour elle parce que pour l’instant s’était la seul chose réelle que je ressentais.

J’étais nerveux, je ne voulais pas mal faire et je n’avais pas envie de la décevoir pour notre première st-valentin… Je sais que c’est ridicule mais c’est ma seul chance de lui faire comprendre que je suis l’homme rêver, qu’elle aime la st-valentin et qu’elle va m’aimer toute la vie… S’était énormément de pression. Voilà pourquoi j’avais mis des heures avant de trouver ce que je devais faire, des heures avant de trouver ce que j’allais porter pour être sûr de ne pas faire de faux pas vestimentaires, j’avais pris deux douches, je m’étais entrainer entre et j’avais coupé les fruits sans me couper les doigts. Voilà maintenant que je l’attendais sans réellement comprendre pourquoi j’étais aussi nerveux, mais je l’étais, je l’étais tellement. C’est quand je la vis entrer que tout tomba, la nervosité venais de disparaitre parce que je la voyais, elle était heureuse et contente. Une fois les cadeaux et les bisous donnés, je me leva pour me rendre à la commode et prendre les trois enveloppes. Je revins pour le lui tendre et lui demander d’en choisir une.

Elle venait tout juste de choisir l’enveloppe qui me rendait le plus nerveux… Elle était un peu comme le mouton noir de toutes mes enveloppes, elle me rendait nerveuse. Heureusement pour moi, je savais que la technique de crouse allait marcher à la perfection, Annalynn allait tomber comme de la roche. J’attendis qu’elle l’ouvre et qu’elle lise le mot marquer de : Une chanson vous est offerte. Puis je recula pour lui laisser le temps de comprendre que j’allais chanter. Laissez-moi vous faire comprendre la situation, j’étais nerveux parce que je ne savais pas chanter, j’étais horriblement faux, et je l’avais pratiqué. M’enfin j’avais choisi Let me love you, une version que j’avais choisis acoustique… J’alla dans la pièce d’à côté pour prendre ma guitare puis je revins vers elle, je me plaça directement devant elle en respirant profondément puis je commença à chanter la chansons, j’étais horriblement nulle mais je faisais tellement d’effort pour lui faire plaisir et être romantique.

Chanter une chanson pour moi ça voulait dire mettre son âme à nu, montrer réellement qui j’étais et le côté beaucoup moins parfait que j’avais parce que soyons réaliste, j’étais clairement l’homme parfais. Le problème maintenant était que je me sentais nulle, carrément enmerdant et inutile, j’avais l’impression de faire souffrir tous les parfais romantique qui prenait la peine de chanter une chanson… J’étais complètement terrifié, elle avait beau sourire et essayer de me faire comprendre que j’étais talentueux le seul message qui finissait par passer réellement était le fait que j’étais carrément ultra nul. Une fois la chanson terminé, j’alla porter ma guitare puis je revins en souriant timide, je n’étais pas très fier de ma performance… Je passa une main dans ses cheveux en me couchant sur elle en lui donnant un long baiser, j’avais envie de faire taire mes envies meurtrière, d’oublier l’humiliation accablante que je venais de vivre et tout simplement recommencer à vivre… Heureusement pour moi, je n’avais pas laissé Laïla entendre cette pareille connerie. Je passa une main dans mes cheveux en me couchant sur sa poitrine… Je n’étais pas sûr d’avoir envie de commentaire.

J’étais mal à l’aise qu’elle est choisie l’enveloppe la plus humiliante du lot, j’ignorais si s’était ma malchance ou au contraire une chance, mais je n’avais pas aimé l’expérience. Je passa une main dans ses cheveux tendrement en me laissant embrasser, je l’aimais comme un fou, elle faisait disparaitre ma gêne, même quand j’étais rendu très loin. Je passa une main dans mes cheveux en rigolant puis je lui tandis une nouvelle enveloppe pour qu’elle l’ouvre… le message disait qu’elle avait droit de prendre la faveur qu’elle voulait, le soin qu’elle désirait ou la chose qu’elle voulait le plus de moi… S’était une chose que j’aimais bien parce que je pouvais perdre le contrôle un peu, je n’aimais pas le contrôle, j’avais peur du contrôle. Je pris une position indien en l’observant dans les yeux attendant d’avoir une réponse d’elle.

Bon d’accord je devais l’avouer, j’étais du genre blond quand il s’agissait de message passé verbalement, je ne comprenais jamais assez vite et je n’étais pas dans le mouvement. Alors lorsqu’Annalynn commença à m’embrasser je ne compris pas tout de suite ce qu’elle voulait vraiment… en fait, je prolongeais son baiser comme si s’était un baiser parmi tant d’autre, comme si je n’allais pas aller plus loin. Vous savez quand vous passez 1mois à ne rien faire ou presque, je veux dire, on perd un peu de nos instinct, on perd l’envie de sauter sur tout ce qui bouge quand l’occasion se présente… Je passa une main dans ses cheveux en continuant de prolonger son baiser en souriant.

Je me sentais mal de ne pas comprendre, j’avais peur de l’offusquer, j’étais pris de cours et je n’avais pas tendance à comprendre rapidement… Je compris ce qu’elle désirait vraiment quand elle passa sa main dans mon chandail, à ce moment tout me tomba dessus comme une grosse pyramide. Je la coucha sur le siège en souriant puis je continua de l’embrasser en embarquant sur elle, j’avais envie d’elle maintenant que je savais qu’elle le voulait aussi, maintenant que je savais que ça faisait exactement un mois. Je passa mes mains sous son chandail en souriant puis je passa une main sur son seins en souriant mordillant son cou du même moment descendant mes lèvres pour l’embrasser longuement.

Je passa une main dans ses cheveux avec amour en continuant mes caresses, je descendis ma main contre sa cuisse en la tenant contre moi je caressa cette même cuisse en remontant ma main vers son seins. Je l’embrassa longuement et langoureusement en utilisant tous mes charmes et tous mes capacités pour la charmer de nouveau et lui faire plaisir. Pour être franc, j’étais un peu nerveux, j’avais peur de ne pas être à la hauteur, je veux dire, nous n’avions rien fait depuis tellement longtemps, qui sait, peut-être que je vais être nul? Je passa de nouveau une main sous son chandail coupant le baiser pour le lui enlever, je revint à la charge tout de suite vers ses lèvres en caressant son ventre.

Je voulais prendre mon temps, je ne voulais pas faire les choses facilement et rapidement, je voulais profiter du moment… S’était un peu comme une nuit de noce, je voulais profiter de ma mariée, je voulais que ce moment unique reste unique pendant un bon moment. Je détacha sa brassière en passant une main dans ses cheveux puis je descendis mes lèvres dans son cou, sur sa poitrine puis sur son ventre… Je remonta mes lèvres contre les siennes en passant une main contre son seins de nouveau la descendant vers sa jupe toute serré… Elle allait me donner de la misère cette putain de jupe… Je leva les fesses d’Annalynn pour pouvoir défaire la fermeture éclair puis une fois fait je la redéposa, je passa une main sur sa jupe pour tirer et le lui enlever.

J’avais l’habitude d’attendre maintenant, j’avais l’habitude d’être patient et de ne pas vouloir toucher… Annalynn était comme un dessert depuis tellement longtemps, moi j’étais un obèse à qui ses parents refusaient une part de dessert… voilà pourquoi maintenant j’étais rendu bon. Je lui enleva tous ses vêtements en souriant content de pouvoir enfin laisser allez mes doigts, pouvoir enfin acheminer mes pulsions jusqu’au bout… Je poussa un petit gémissement quand je sentis sa main, je plongea mes dents dans son cou en l’embrassant et en la mordillant au lieu de gémir.

J’ignore si vous avez déjà entendu parler d’un enfant qui va voir le père noël il lui demande des cadeaux et il se rend compte le soir de noël qu’il n’a rien eu… Malheureusement pour moi je n’étais pas comme ça, j’étais plus le genre de personne à demander dans la vitrine, ma mère me l’achetais et je lui donnais un bisou. Voilà pourquoi je suis enfant gâté, ma mère m’a toujours donné ce que je voulais, toujours… Alors pensée que je n’allais pas avoir de sexe avec Annalynn pendant 1 mois ça m’étais complètement inconcevable. Heureusement que mon matir ce termine ce soir, je ne pensais pas avoir mon propre cadeau de st-valentin, je voulais lui en faire un, pas qu’elle m’en fasse un… tant pis! J’embrassa son cou en descendant jusqu’à sa poitrine, si je voulais couchez avec elle j’allais devoir attendre qu’elle arrête de m’excité sinon ça n’allait pas marcher, je mordilla son oreille en redescendant à sa poitrine en passant ma main sur celle-ci du même coup.

Je sais que je ne devrais pas pensée comme un homme faible mais comme un homme fort qui voulait faire l’amour à sa fiancée, seulement j’avais un enfant, Annalynn l’avait mise au monde et elle avait besoin de s’en remettre… Je n’allais pas la forcer à coucher avec moi alors qu’elle m’avait donné un petit trésor, sans parler que Laïla pleurait en moyenne 3 fois par nuit, alors si je voulais tenir mes nuits j’allais devoir arrêter de me coucher tard et encore moins coucher avec elle 3 fois par nuits. Je passa une main sur sa joue puis je l’embrassa de nouveau en allant prendre sa main pour la remonter à moi contre mon torse puis je fis mon premier mouvement de bassins en entrant en elle, je n’eus même pas besoin d’attendre avant d’être au comble de mon plaisir, la première poussé fut la meilleur, je poussa un gémissement glorieux en continuant mes mouvements.

Parfois j’avais l’impression d’être l’enfant, j’ignorais si s’était parce que je n’avais pas beaucoup eu d’attention mais j’aimais en avoir… Autant dire que je recherchais ça autant que l’amour de ma fiancée. Le problème avec l’arrivé de mon petit trésor, c’est qu’elle prend non seulement toute mon attention mais aussi celle de ma petite-amie, elle la fatigue et me fatigue jusqu’à ce que je n’ai plus de temps pour Annalynn ou jusqu’à ce qu’elle n’ait plus de temps pour moi. Je continua mes mouvements doucement sans faire trop de rudesse comme j’avais l’habitude de le faire… J’ignorais si s’était parce que je n’avais pas ressenti ce sentiment depuis longtemps, mais tout me paraissait tellement plus fort, tellement meilleur.