Et merde! Je regardait dans mon rétroviseur et tapa de la paume de la main sur mon volant. Les flics venais de m'arrêter et ce n'était vraiment pas le moment! Je me regardais une dernière fois dans le rétro et m'arrêtait sur le côté. Mes yeux étaient rouges, mes pupilles dilatés et un sourire de merde s’affichait sur mon visage. Un homme d'une trentaine d'année tapais à ma vitre. «
Mademoiselle bonjour, papiers du véhicule s'il vous plaît. » Bon, je n'avais aucune raison de paniquée, c'était juste un contrôle de routine. Pourvus qu'ils ouvrent pas le coffre et qu'ils me demandent pas de sortir de la voiture! J'ouvrai mon sac à main pour trouver les papiers que l'homme me demandait. Une petite boite de gélule tomba du siège pour finir sa course sous le siège passager. Bon, ce n'est pas pour ça qu'ils allaient m'arrêter, hein? Je tendait alors les papiers arborant un sourire que je pensais naturel.
L'homme regardais les papiers et fit le tour de la voiture, alors qu'il regardais mes pneus, l'homme penchais la tête pour me regarder alors que je m'allumais une cigarette. «
Vous avez un pneu de dégonfler mademoiselle. Regardez. » Je me penchais par la vitre et bien entendu je ne voyais rien. Alors, afin de paraître crédible je sortait de la voiture. Mais quel connerie j'était partie faire moi. Sortant de la voiture, j'avançais vers le policier et regardais le pneu en question. Ah effectivement. «
J'ai ce qu'il faut dans le coffre, je l’emmènerai au garage ce soir. » L'homme m'adressa un sourire franc et se posta vers mon coffre. «
Attendez je vais vous aidez. Inutile de payer un mécanicien pour rien. » Ca partait d'une bonne intention, c'est vrai. Mais pour le coup, j'hésitai quinze secondes à le tuer.
Dans mon coffre, trois petits plans de cannabis que je ramenais chez moi. Plus quelques boîtes de pilules diverses. Et un sac rempli de bouteille d'une soirée passés. Bon, j'était dans la merde. Avant même que je puisse réagir, j'était déjà dans la voiture de police direction le commissariat.
Une fois là bas, on m'installa sur une chaise dans un bureau vide. J'attendais quelques secondes personne. Une femme arriva alors me faisant sursauter. Âgé d'une quarantaine d'année, celle-ci n'avais rien de très féminin. Ses cheveux étaient attachés en queue-de-cheval approximative et elle n'était pas maquiller. Des longues cernes se dessinais sous ses yeux. «
Alors, mademoiselle... Larkin c'est ça? Oui. Donc, vous voulez appelez quelqu'un pour payer la caution? Sinon, c'est les barreaux. » Je devais rêver. Pour quelques plantes et quelques gellulles elle voulais m'envoyer à l'ombre? Mais elle avais craquée! Bon, je devais trouver quelqu'un rapidement. Je sortait mon portable et fouillais mon répertoire, qui pourrais m'aider? Mes yeux s'arrêtait sur Sanaa. Là, je n'avais pas le choix. Pendant qu'elle tapais sur son ordinateur, la femme poussais le téléphone vers moi sans même me jeter un coup d’œil. Je tapait le numéro de mon amie, croisant les doigts pour qu'elle réponde. «
Sanaa? C'est Paxton. Euh... Tu peux venir me filer un coup de main...? Je suis au commissariat et euh... dans la merde. » La femme souriait à ma dernière remarque. Je n'avais rien fais de mal, je n'avais tuée personne bon sang!
@destiny.