J'ai débarqué le : 11/07/2011 sur Amazing People. J'ai posté : 900 messages. J'ai choisi : Cam Gigandet comme célébrité et je dois mon avatar à : isanami Je suis un peu schizo, voici mes autres comptes : Faith H. Mills, E. Knox Claybourne, Ava H. Dawson
Actuellement, je suis : célibataire et j'ai une préférence : uniquement pour les femmes. J'ai trouvé un job, je suis : garagiste/mécanicien. Tu peux me retrouver, si tu le souhaites : Los Angeles City
I'M SEXY BAD BOY
Il existe deux choses qui empêchent une personne de réaliser ses rêves : croire qu'ils sont irréalisables, ou bien, quand la roue du destin tourne à l'improviste, les voir se changer en possible au moment où l'on s'y attend le moins.
Sujet: Celle-là, je ne l'ai pas vu venir. Mar 21 Mai 2013 - 18:25
Pour le coup ça me surprend o.O ... Ellen et Jeffrey
Cela faisait plusieurs mois que j'étais en centre de désintoxication et comme souvent maintenant, Ellen allait me rendre visite. Je me demandais pourquoi, elle venait aussi souvent. Qu'est ce qu'elle aimait dans cet endroit ? Elle venait de découvrir que je lui étais d'aucune utilité dans sa quête de sommeil en plus. Peut-être que finalement une amitié s'était tissée entre nous deux. Dans tous les cas, je n'allais pas me plaindre de sa venue. Ici, je passais mon temps à m'ennuyer et des visiteurs étaient toujours les bienvenues et encore plus lorsque c'était une jeune femme que j'appréciais. Avec Ellen, j'arrivais à passer de bons moments à rire, malgré l'atmosphère qui régnait dans ses lieux, une atmosphère totalement contraire au rire.
Ellen avait intrigué lorsqu'elle m'avait dit qu'elle viendrait et qu'elle aurait quelques choses à me dire. Que pouvait-elle vouloir me raconter. J'étais impatient, je n'aimais pas le suspense et les moments d'attente. Je suis un homme impatient, je déteste attendre, même si c'était important et qu'il fallait que j'apprenne à faire preuve de patience. A ce moment-même on frappait à ma porte, j'ouvris et je découvris sans surprise Ellen. Je l'invitai à rentrer d'un signe de main et lui disant de bonne humeur. "Salut, comment tu vas ?"
Ellen vs Jeffrey Quand le doute nous envahis, il est comme une mauvaise herbe dont on ne peux se débarrasser aussi facilement que l'on aimerai. Il est là, il nous nargue, nous incite a réfléchir davantage, nous oblige à nous poser une quantité astronomique de question pour la plupart inutile et la plupart du temps, il ne fait qu'empirer les situations déjà emmerdante. Autant dire que le doute n'a jamais été l'ami de l'homme et pourtant si l'on ne doutais pas , nous ne nous remetrions jamais en question.
C'est lorsqu'on passe une grande partie de notre temps avec une personne que l'on fini par découvrir qui elle est. Plus on passe du temps avec elle, plus on en apprend sur sa vision du monde, sur ce qu'elle est, ce qu'elle croit, ce qu'elle aime ou déteste. On peut alors apprécié ou détester ce que l'on découvre, on peut trouver sa passionnant ou ennuyant, le fait est que c'est en passant du temps avec cette fameuse personne qu'on la découvre réellement. Pourtant, à côté il y'a les autres et eux aussi on peut-être appris à la connaitre. Ils se sont fait leur opinion, ils l'on vu, on appris à la connaitre comme nous et pourtant, ce qu'il dise peut être à des années lumière de ce que l'on sais, de ce que l'on crois savoir... Alors comment être sur , comment savoir si ce que l'on voit est vrai ou s'il s'agit simplement d'une ruse, parce qu'au final le seul maître dans l'histoire c'est lui ...
J'avais eu ma propre opinion de Jeffrey, pour moi c'étais juste un drogué, qui avait tenté de vivre sa vie en refilant sa came, plutôt bon amant , qui n'avait pas froid au yeux, ni même peur de dire ce qu'il pense. Pas un mec bien méchant à l'époque, quoi qu'il fallait pas le faire chier à mon humble avis. Puis le temps avait passé et le son de cloche avait fini par changer. Une histoire avec ma meilleure amie qui avait remis en question mon opinion de lui, plus vraiment si sympathique ce Jeffrey, d'un gars sans réel intérêt, il avait fini par descendre au stade d'individu à éviter , si ce n'est même d'ennemi publique numéro un. Puis, il avait fallu que je me décide à jouer les bon samaritains, pour me refaire une toute nouvelle opinion de lui. A croire que j'aimais relevé les défis ou plonger tout droit dans les ennuis. Seulement voilà que maintenant, l'affreux Jeffrey avait réussit à remonter la pente. Le drogué n'étais plus si drogué que ça, l'abruti plus si abruti, le méchant plus vraiment très méchant et j'avais découvert une toute nouvelle facette de sa personne. J'avais appris qu'il était capable d'être un soutient important, une épaule sur qui s'appuyer et finalement un gentil garçon qui aime seulement se donner des allures de mauvais garçons ou du moins laisser les autres penser ce qu'ils veulent. Jour après jour, il avait réussi à se créer une petite place dans mon existence et une complicité, une amitié avait vu le jour, mais comme à chaque fois avec moi, y'a toujours un petit truc qui merde.
Ca faisait un certain temps maintenant que je m'évertuais à garder pour moi le fait que j'en pinçais légèrement pour Jeffrey. Découvrir son côté gentil, m'avais fait baisser la garde que je maintenais depuis le jour où j'avais accepter de l'aide. Seulement maintenant je me retrouvais un peu dans l'embarras, face à des sentiments complètement inattendu et qui ferait probablement jasé toute la côte Ouest. Ca faisait également un certain moment que je n'étais pas aller le voir au centre, j'étais tellement gêné que je n'osais plus vraiment y mettre les pieds et lui avait "menti" en pretextant un emploi du temps surchargé. Je ne voulais cependant pas mettre en péril notre amitié naissante et je savais que si je ne lui disais pas , de un la gêne ne disparaîtrais pas et de deux je n'arriverais pas à passer à autre chose, parce que je savais très bien que je n'avais aucune chance avec lui. Je lui avait donc dis que je passerais dans la journée.
J'avais longtemps hésitez avant de frapper à sa porte, imaginant toute les tournures de phrases possibles, mais on sait tous qu'une fois devant la personne, on fais jamais ce qu'on veux vraiment. J'avais donc fini par frapper. Lorsqu'il m'ouvrit, il semblait de si bonne humeur que sur mon visage se dessina un immense sourire. Ca va très bien et toi ? Tu as l'air d'avoir la forme, ça fais plaisir à voir. Je l'enlaça plus rapidement que d'habitude et sans attendre qu'il m'invite, j'entrais dans sa chambre. Alors qu'est ce qui te rend de si bonne humeur ?
[ dsl de la longueur, ce sera bcp plus cours apres , je sens qu'en plus je vais finir par radoter faudra me pardonner]
Jeffrey B. Anderson
J'ai débarqué le : 11/07/2011 sur Amazing People. J'ai posté : 900 messages. J'ai choisi : Cam Gigandet comme célébrité et je dois mon avatar à : isanami Je suis un peu schizo, voici mes autres comptes : Faith H. Mills, E. Knox Claybourne, Ava H. Dawson
Actuellement, je suis : célibataire et j'ai une préférence : uniquement pour les femmes. J'ai trouvé un job, je suis : garagiste/mécanicien. Tu peux me retrouver, si tu le souhaites : Los Angeles City
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Il existe deux choses qui empêchent une personne de réaliser ses rêves : croire qu'ils sont irréalisables, ou bien, quand la roue du destin tourne à l'improviste, les voir se changer en possible au moment où l'on s'y attend le moins.
Sujet: Re: Celle-là, je ne l'ai pas vu venir. Jeu 13 Juin 2013 - 17:14
Pour le coup ça me surprend o.O ...
ELLEN & JEFFREY
En ouvrant la porte c'est Ellen que j'avais découvert. J'attendais d'ailleurs sa venue. Elle était ma distraction de la semaine, mon évasion. En passant du temps avec elle, je réussissais à oublier que je me trouvais dans un centre de désintoxication. Les moments en sa compagnie coupaient mon envie de consommer de la drogue et ma sensation de manque. La Miss Braden avait un petit effet magique sur moi. Mais j'ignorais si elle était réellement porteuse de « magie » ou si c'était seulement la présence de quelqu'un qui me faisait oublier ce qui était aujourd'hui mon quotidien. Malheureusement, je ne pourrais sûrement jamais le savoir, parce qu'Ellen était la seule visite régulière que j'avais. Je comprenais à présent le sens que l'expression on reconnaît les vrais lorsque nous sommes dans la difficulté. Là il n'y a plus personne, par contre quand on est au top, ils sont tous tes amis.
C'était peut-être pour cette raison que j'aimais autant ses visites pour l'effet qu'elle me faisait ou bien parce que je la considérais comme une personne sur qui je pouvais compter dans les mauvais moments. J'avais toujours eu conscience que j'étais quelqu'un de solitaire avec peu d'amis, mais aussi peu je ne l'avais pas réalisé. La désintoxication m'avait finalement permis d'ouvrir les yeux sur pas mal de choses.
J'étais donc impatient de la voir, pour avoir ma petite dose de magie. Mais aussi parce qu'elle avait une révélation à me faire, ou bien elle me faisait une blague. Je n'en avais aucune idée. En rentrant, Ellen remarquait que j'étais de bonne humeur. En effet, j'avais eu un rendez-vous chez le médecin ce matin qui m'avait annoncé une excellente nouvelle. Je répondais en même temps à ses deux questions. « Eh bien, je vais très bien. On vient de m'annoncer que je pourrais sortir dans deux semaines, si tout se passe comme prévue. » C'était la nouvelle que j'attendais depuis le tout début de mon séjour. Le signe que j'étais guéri de mon addiction à la drogue et la liberté. Cela ne pouvait que me rendre heureux. J'avais l'impression de revivre enfin.
Ellen vs Jeffrey Quand le doute nous envahis, il est comme une mauvaise herbe dont on ne peux se débarrasser aussi facilement que l'on aimerai. Il est là, il nous nargue, nous incite a réfléchir davantage, nous oblige à nous poser une quantité astronomique de question pour la plupart inutile et la plupart du temps, il ne fait qu'empirer les situations déjà emmerdante. Autant dire que le doute n'a jamais été l'ami de l'homme et pourtant si l'on ne doutais pas , nous ne nous remetrions jamais en question.
C'est dernier temps, je ne cessais de douter. Ca faisait un certain moment maintenant que j'avais développer quelque sentiments pour Jeff. Des sentiments un peu plus qu'amicaux, bien que je savais que j'étais rassuré que ce ne soit en rien des sentiments amoureux. Néanmoins, il ne me laissais pas indifférente comme ça avait pu être le cas par le passé. J'adorais passé du temps avec lui, on avait se feeling qui m'inciter à venir le voir plus souvent, à passer beaucoup plus de temps ensemble et finalement derrière tout cette attirail de mauvais garçon, j'avais découvert un Jeffrey que je ne connaissais pas et c'étais ce Jeffrey qui me plaisait, même si le côté mauvais garçon avait également son charme. Seulement depuis quelque temps et surtout depuis que j'avais réalisé la tournure que prenait mes sentiments vis à vis de lui, j'avais décidé de m'éloigner un peu, prétextant avoir beaucoup de travail, des excuses bidon qui me faisait me sentir mal à l'aise vis à vis de Jeff. Je lui avait dis qu'il pouvait compter sur moi et aujourd'hui j'avais l'impression de l'abandonner. Seulement j'avais espérer que ça amoindrirais les sentiments que j'avais , ce ne fut pourtant pas le cas et j'avais rapidement réalisé que sa présence me manquait. On s'était tout les deux soutenu ses derniers moi, moi j'essayais de lui faire penser à autre chose que la drogue et lui m'avait permis de dormir, même si le fin mot de l'histoire était différent. Il n'empêche qu'on s'était rapprocher et que ce rapprochement ne m'avais pas laisser en total indifférence, si on en croyais ce que je ressentais vis à vis de lui actuellement. J'avais donc décidé d'être totalement honnête avec lui, je ne voulais pas qu'il se fasse de fausses idées sur la distance que j'avais commencer à mettre et surtout je tenais à notre amitié, il était l'une des rares personnes que j'avais vraiment envie de voir ses derniers temps et je préférais lui dire quitte à ce qu'il voit lui-même si il pouvait passer au dessus de ça ou s'il était préférable qu'on arrête là. Seulement entre le dire et le faire, il y'avais un pas et je me demandais finalement si c'était une bonne idée.
Lorsque j'avais passé la porte de sa chambre, après avoir pris mon courage à demain, je m'étais aperçu de la bonne humeur qui émanait de lui, celle qui à mon souvenir n'avait jamais été aussi prégnante. J'appris alors les raisons de cette joie soudaine et je ne pu m'empêcher de la ressentir aussi. Oh mais c'est génial ça ! Je m'approchais alors de lui , lui sautant dans les bras pour l'enlacer, un immense sourire accroché au visage . Je suis tellement contente pour toi Jeff... c'est juste immense. Je me détachais de lui, gardant tout de même mon magnifique sourire . Tu as réussis... Jeff tu te rend compte. Je suis fière de toi. J'étais tellement contente qu'il puisse sortir, parce que ça voulais dire qu'il avait reussi, qu'il avait tenu bon et qu'il avait gagner la première manche dans le combat de son addiction. Finalement, j'avais encore plus de doute à lui confier ce que j'étais venu lui dire parce que je n'avais plus vraiment envie de lui gâcher se moment.
Jeffrey B. Anderson
J'ai débarqué le : 11/07/2011 sur Amazing People. J'ai posté : 900 messages. J'ai choisi : Cam Gigandet comme célébrité et je dois mon avatar à : isanami Je suis un peu schizo, voici mes autres comptes : Faith H. Mills, E. Knox Claybourne, Ava H. Dawson
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Sujet: Re: Celle-là, je ne l'ai pas vu venir. Sam 6 Juil 2013 - 15:55
Pour le coup ça me surprend o.O ...
ELLEN & JEFFREY
Ma vie avait pas mal évolué ses derniers temps. En même pas quelques mois, j'avais réalisé que ma vie devait changer, que je devais gagner en maturité et m'éloigner de la drogue. C'est avec cette prise de conscience, déclenchée par Sanaa que je me suis retrouvée dans ce centre de désintoxication. Un centre qui était devenu mon chez moi depuis des mois. Un lieu que je commençais à haïr et dont les murs me rendaient presque malade. De temps à autre, j'avais l'impression que cet endroit avait, le pouvoir de rendre les gens fous. On tournait en rond comme des animaux sauvages en cage, soit disant pour notre sécurité et notre surveillance. Mais ce cauchemar allait très bientôt être du passé et un vaste souvenir. On m'avait annoncé que dans deux semaines, je retrouverais ma liberté. La liberté, la plus belle chose qu'on avait dans la vie. Je pourrais à nouveau la retrouver et pouvoir faire ce que je veux, où et quand je le désirais. Voir les personnes que je souhaitai sans attendre leurs visites. En brève, ma vie allait de nouveaux recommencer, mais sans la drogue et le deal. J'allais devenir quelqu'un de meilleur, déjà je ne contribuerais plus à la destruction de plusieurs milliers de personnes. Les problèmes ne devraient plus me suivre, ni même atteindre les personnes que j'aimais.
Je venais d'annoncer la nouvelle à Ellen qui avait la gentillesse de venir me rendre visite et de me soutenir dans cette épreuve. Je ne n'aurais jamais pensé qu'on se rapprocherait aussi vite et pourtant ça s'était fait et ce n'était pas pour me déplaire, bien au contraire. Ellen avait l'air aussi enjoué que moi et elle me sautait littéralement dans les bras, ce qui me surprenait. Mais je la rattrapais tout de même et lui répondit toujours aussi heureux. "Merci, oui j'ai finalement réussi." Je déposai finalement Ellen au sol.
Ellen vs Jeffrey Quand le doute nous envahis, il est comme une mauvaise herbe dont on ne peux se débarrasser aussi facilement qu'on l'aimerai. Il est là, il nous nargue, nous incite a réfléchir davantage, nous oblige à nous poser une quantité astronomique de question pour la plupart inutile et la plupart du temps, il ne fait qu'empirer les situations déjà bien compliqué. Autant dire que le doute n'a jamais été l'ami de l'homme et pourtant si l'on ne doutais pas , nous ne nous remettrions jamais en question.
Sous le coup de l'émotion, il nous est souvent possible d'agir différemment de ce que l'on ferait en temps normal. Je ne suis pas très câline. Je ne suis pas une personne qui va vers quelqu'un juste pour lui faire un câlin ou un bisous, à moins de connaitre la personne parfaitement. La plupart du temps, on me le demande ou on viens les chercher sans que j'ai à faire quoi ce soit et je ne m'en suis jamais plaint. Je ne suis pas non plus quelqu'un qui va raconter sa vie aux gens, qui vas se plaindre pour un rien ou aller enquiquiner le monde au premier petit problème rencontré. Je me débrouille seule sans personne, comme je l'ai toujours fait, j'assume mes actes, mes choix et si quelqu'un doit payer mes erreurs, c'est moi et personne d'autre. Pourtant sur cette terre seul cinq personnes, jusqu'à présent, ont le droit à une Ellen différente de celle que je viens de décrire. Ils sont les seuls qui pourront me voir débarquer à tout moment pour leur faire un simple bisous ou un énorme câlin, les seuls qui m'entendront leur dire que je les aime à tout heure de la journée ou de la nuit, juste parce que l'envie m'en prend.
Seulement depuis quelque temps maintenant, une nouvelle personne semblait se frayer un chemin, vers cette Ellen. Peut-être parce que le temps que je passais avec lui, m'avait permis de découvrir une image bien différente de celle que je m'étais toujours imaginé, comme lui même avait pu le découvrir de moi. Peut-être que le fait que je comprenne la situation qu'il vivait à l'heure actuel, me permettais de ne pas être futile ou inutile à ses yeux, mais au contraire une aide intéressante, à ma façon tout du moins et finalement pourquoi pas une amie. Cependant, je n'avais pas prévu cela, j'étais toujours à découvrir certain trait de sa personnalité, certaine de ses habitudes et certain de ces côtés, plus ou moins apprécié pour être honnête, mais il faut savoir s'en satisfaire et ce serait bien trop beau de tout aimer chez quelqu'un et bien trop utopique à vrai dire. Malgré ça, je trouvais ça normal de lui sauter dans les bras pour le félicité d'avoir passer un cap dans sa bataille contre son addiction. Je trouvais ça normal de l'enlacer et de ne pas avoir envie de m'en détacher, simplement parce que c'était Jeffrey, que j'étais contente et fière de lui et que petit à petit, j'avais appris à l'apprécié, peut-être plus que ce que j'aurais cru. Après tout c'était la première raison de ma présence ici aujourd'hui.
Il n'y avait donc rien de bien étonnant pour moi à ce que je lui saute dans les bras, mais je pouvais comprendre que ce soit un peu plus déroutant pour lui, puisqu'il n'y avait jamais vraiment eu le droit avant. Malgré notre rapprochement, j'avais toujours garder une distance, une distance que mon amitié pour Sanaa m'avait fait mettre en place, mais qui disparaissait au fur et à mesure que j'apprenais à le connaitre et que je me faisais ma propre opinion de lui, pas si négative que ça... Après m'avoir remercié, il me fit redescendre et je pris un peu de distance. Je réalisais, finalement, que j'avais peut-être dépasser les bornes. J'étais toujours à tenter de comprendre l'attirance que j'avais pour lui, sans même savoir ce que lui pouvait en pensé, j'étais venu pour lui dire pour lui faire comprendre pourquoi depuis quelque temps je m'étais éloigné, pourquoi j'étais venu beaucoup moins souvent le voir, prétextant d'être trop occupé, ce n'étais donc pas vraiment logique quand on me voyait agir de la sorte avec lui. Je fis donc quelque pas à travers la chambre pour tenter de reprendre une certaine contenance et de ne rien paraître et tout en souriant je m'arrêtais pour lui faire face alors que je me retrouvais a plusieurs mètre de lui. Vas falloir fêter ça Jeff ! Une première victoire et pas n'importe laquelle ... Ca se fête ! Je m'installais en tailleur sur son lit, continuant de lui faire face. Moi en tout cas, j'ai envie de fêter ca ! Avec ou sans toi je te préviens ! Je lui offris un immense sourire taquin et me laissait basculer en arrière pour m'allonger sur le lit. [/color]
Jeffrey B. Anderson
J'ai débarqué le : 11/07/2011 sur Amazing People. J'ai posté : 900 messages. J'ai choisi : Cam Gigandet comme célébrité et je dois mon avatar à : isanami Je suis un peu schizo, voici mes autres comptes : Faith H. Mills, E. Knox Claybourne, Ava H. Dawson
Actuellement, je suis : célibataire et j'ai une préférence : uniquement pour les femmes. J'ai trouvé un job, je suis : garagiste/mécanicien. Tu peux me retrouver, si tu le souhaites : Los Angeles City
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Il existe deux choses qui empêchent une personne de réaliser ses rêves : croire qu'ils sont irréalisables, ou bien, quand la roue du destin tourne à l'improviste, les voir se changer en possible au moment où l'on s'y attend le moins.
Sujet: Re: Celle-là, je ne l'ai pas vu venir. Sam 12 Oct 2013 - 19:10
Pour le coup ça me surprend o.O ...
ELLEN & JEFFREY
Au fur et à mesure des jours ou plutôt des visites, je me rapprochais de plus en plus d'Ellen. Au début si je m'étais intéressé, à elle et si j'avais accepté qu'on se connaisse plus c'était pour qu'elle m'aide à convaincre Sanaa que j'avais changé et que j'étais un homme meilleur. Mon premier objectif avait été de récupérer la jeune femme, mais en restant dans ce centre et à force de voir le peu d'intérêt qu'elle me portait et son rapprochement avec Jake, j'avais décidé de lâcher l'affaire du moins en partie et pour le moment. Pour l'heure j'avais décidé de m'intéressait à une autre jeune femme, à la demoiselle Braden, qui, elle prenait la peine de m'accorder du temps et surtout du soutien. Plus je la voyais et plus elle arrivait à fissurer la carapace que je m'étais forgé, la carapace de bad boy. Jusqu'à aujourd'hui, il n'y avait eu que Sanaa qui avait réussi à entre voir le vrai Jeffrey. Ellen n'était pas loin d'y réussir. J'appréciais ses visites, sa confiance en ma guérison et son soutien. C'est pour cette raison que j'avais été ravie de partager la bonne nouvelle que j'avais eu avec elle. J'avais enfin combattu mon addiction et j'avais ma date de sortir. Mon retour à la liberté, j'étais ravie de voir que Ellen était aussi heureuse que moi. Elle m'avait même sauté dans les bras. Une réaction qui m'avait surpris, mais pas déplus. "Oui, on fêtera ça à ma sortie ... Une méga fiesta." Je m'asseyais à côté d'elle. "Toi aussi il me semblait que tu avais un truc à me dire."
Jeff me confirma pour la petite fête en son honneur et mon visage s'illumina d'un enième sourire. C'est super alors, vivement le jour de ta sortie. . Sans m'y attendre, il me rappella alors qu'avant toute chose, ma venue ici avait une tout autre raison. En effet, faut que je te dise un truc. Il était donc temps maintenant. J'allais probablement devoir me prendre par la peau des fesses mais je devais lui dire et de toute façon je ne pouvais plus reculer. J'avais laisser passer trop de temps. J'aurais pu trouver un bobard à lui sortir , mais en réalité, je n'en pouvais plus de garder ça pour moi , de le lui cacher, de m'obliger à l'éviter pour ne pas ressentir tout ses choses et au final en arriver à cette impression de manque. Je n'étais pas amoureuse de lui , mais au fond ce que je ressentais c'étais tout de même plus fort que de la simple amitié. J'allais surement refroidir un peu l'ambiance et qui sait peut-être que j'allais lui plomber sa bonne humeur et sa soirée, mais au moins il serait au courant , enfin. Quant à moi, je serais libéré et puis avec un peu de chance soit il calmerait mes ardeurs soit il les amplifierait, mais au moins je ne serais pas là à rester assise sur une chaise à me poser tout un tas de question sur ce qu'il pouvait bien provoquer comme émotions en moi. J'allais être honnête comme je n'avais cesser de l'être avec lui depuis le début. Je soupirais alors un long moment, je me sentais nerveuse, inquiète, je me disais que j'avais encore le temps de revenir en arrière, mais finalement ça ne ferais qu'amplifier ma nervosité. Alors je me mordis la lèvre, relevant mon regard vers le siens. Ecoute, je me doute que ce que je vais te dire, va pas nécéssairement te rassurer, mais faut que je te dise un truc et c'est en quelque sorte la raison pour laquelle je suis pas venu souvent ses derniers temps. Je ne pu m'empêcher de grimacer tellement j'appréhendais de le lui dire. Voila... euh .... disons que,j'ai réalisé, que j'étais pas indifférente à ton charme.... En gros, je crois que je t'apprécie plus que ce que j'avais pensé. Je me pinçais les lèvres nerveusement d'autant plus inquiète maintenant. La bombe était lancé et je ne pouvais plus du tout revenir en arrière. Pourtant malgré cela, je me sentais soulager de le lui avoir dis, bien que j'attendais de voir sa réaction avant d'être totalement à l'aise.
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