Alessia&Simon.

Ma petite dose d'énergie.

Cela allait faire bientôt plus de deux semaines que Matthew m’avait laissé en plan. Enfin, il avait retrouvé sa mémoire et avait donc décidé d’être à nouveau distant avec moi, chose que j’avais beaucoup de mal à supporter. Avant qu’il ne retrouve la mémoire tout allait à merveille, certes nous nous amusions beaucoup sous la couette, mais il n’y avait pas que cela, une complicité qu’on avait perdu c’était installer, on était là l’un pour l’autre à tout moment, puis du jour au lendemain silence radio, croyez moi, ça fais beaucoup de mal. Pourtant j’essayais de sortir le plus possible, promenant mon chien constamment, passer mes soirées à travailler ou rester à l’université toute la journée. J’évitais d’être seule chez moi, je savais que si je restais seul, enfermer, j’allais déprimer, pleurer sur mon sors, je ne voulais plus de cette Alessia là, mais parfois, je me laisser aller, enfin je ne faisais plus de connerie, terminé mes envies suicidaire, je le jure.

Nous étions le soir, j’étais à mon appartement, Paco lui à l’extérieur dans le petit jardin, il aimait surveiller les alentours, un vrai chie de garde. Moi j’étais dans la cuisine en train de me faire des cookies, le plat était en train de chauffé, je m’étais fait des pâtes à la carbonara, un de mes plats favoris. Mais pour le moment je terminé de faire mes boules pour mes cookies pour ensuite les enfournées dans le four. « TOC TOC TOC » Je grimace à ce bruit, je n’attendais personne, puis personne ne m’avait fait comprendre qu’il passerait me voir. Paco lui courue à la porte, aboyant, je me lave les mains allant direction la porte d’entrée, ouvrant doucement pour ne pas que Paco saute sur la personne. J’aperçu Simon, je fis un sourire aux coins des lèvres, ça faisais un moment que je ne l’avais pas vu. « Attention je lâche le fauve ! » Paco connaissais Simon, je savais qu’il n’allait lui faire aucun mal. De toute façon, Paco aimait assez les hommes qui m’entouraient, temps qu’ils ne me font pas de mal. Mon Husky fit donc la fête à mon ami pour ensuite se décaler pour le laisser entrer, je me décale de la porte pour lui laisser place. « Que me vaut l’honneur de ta visite ? » Dis-je avec un petit sourire. J’espérer juste que ce n’étais pas Matthew qui l’avait envoyé.

Codes par Wild Hunger.