| Sujet: Tel un papillon de nuit #Eden A. Ruthven Sam 22 Mar 2014 - 21:16 | |
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Tu veux me connaître ?! citation
Hé oh ! Tu sais comment je m’appelle ? Mon nom est Ruthven et mon prénom est Eden Ash... bon d'accord, en fait c'est Ashley.... Tu aimerais en savoir plus sur moi ? Alors continue à lire. Je suis né en 1992 le 13 Août à Boston, j’ai 21 ans. Je suis de nationalité américaine. J’adoooore les hommes, je suis donc homosexuel et je suis célibataire. Cela fait trois ans que je suis dans cette ville. J'ai choisi Tomo Yanagishita parce que il est vraiment trop chou et qu'il correspond bien au personnage ♥ Mon caractère ? Le voici, le voilà
Eden est un jeune homme plutôt simple. Il a le sourire facile, est bon public, n’est pas susceptible, pas contrariant, pas méprisant, et on peut lui faire confiance sans crainte d’être déçu. C’est quelqu’un de très facile à vivre, enfin… il le serait s’il n’était pas si isolé. Car Eden a plutôt du mal à interagir avec ses semblables, sa timidité et sa mauvaise estime de lui-même ont longtemps dressé un mur derrière lequel il se cachait en permanence. Si cela a pas mal changé peu après son arrivée à L.A, il n’en reste pas moins timide et en est parfois encore à se rendre malade rien qu’à l’idée de sortir de chez lui. Pourtant il n’ira jamais dire qu’il n’est pas heureux, il l’est toujours, il met un point d’honneur à l’être parce que c’est ce que ses parents auraient voulu. Il ne fait rien de ce qu’il ne veut pas, heureusement il aime aider les gens et est extrêmement serviable. C’est un rêveur et le monde à travers ses yeux se révèle souvent bien plus beau qu’il ne l’est en réalité. Il vit dans son univers, son monde de beauté, d’imaginaire et de technologie. Il avoue sans honte être un geek, même si c’est souvent dévalorisant aux yeux des autres. Pourtant c’est ce qu’il aime. Passer des heures à jouer sur son ordinateur ou une de ses nombreuses consoles de jeux vidéo, écouter de la musique. Ou bien, caché derrière son appareil photo, figer des paysages et la beauté du temps qui passe.
Et il y a néanmoins cette autre facette de lui qui pourrait le faire passer pour un malheureux malade mental atteint d’un Trouble Dissociatif de l’Identité. Cet autre « lui » est en réalité « elle », Ashley. Et elle lui a ouvert les yeux sur bien des choses. Ils sont pourtant autant Eden l’un que l’autre, mais Ashley est beaucoup plus sociable, charmeuse et fêtarde. En réalité, elle l’est parce qu’Eden a trouvé la plus belle des armures derrière cette demoiselle, et il peut se dévoiler sans plus rien craindre. Ashley est assez forte pour essuyer des rejets et des outrages, s’en amuser même ou se défendre. C’est un roc, parce qu’à travers elle, personne ne peut atteindre le faible Eden. Je vais vous raconter ...
Par une chaude journée d’été, un adorable petit garçon pointa le bout de son nez dans un hôpital de Boston. Ses parents vivaient le plus beau jour de leur vie, ils avaient essayé longtemps de procréer avant qu’enfin on leur accorde le bonheur d’avoir leur propre bébé. Et peu leur importait si le peu de famille qu’ils avaient n’acceptait ni leur union, ni leur enfant. Ils seraient là pour lui, toujours là, et de toute façon il n’avait pas besoin de grandir avec les frasques d’un grand-père aussi accroché à ses racines qu’à son racisme. Parce que la mère de l’enfant était japonaise, une expatriée qui avait fui un mariage arrangé, et que le père de l’homme qu’elle avait rencontré quelques mois après son arrivée en Amérique détestait tous les étrangers et avait longtemps essayé de faire rentrer cette haine dans l’esprit de son fils, plus intelligent et ouvert que lui. Ce bébé était leur petit miracle à eux, leur oasis dans ce monde de fou, leur Eden.
La vie à trois commença alors. Une jolie vie, une vie tranquille. Avec une maman au foyer et un papa avocat, Eden était plus que choyé, il était baigné d’amour dans les bras de ses gentils parents. Il était heureux d’un rien, passait son temps à jouer dehors avec son chien sous l’œil vigilant de sa mère qui ne pouvait s’empêcher de le garder rien que pour elle, enfin elle et son époux. Eden ne fréquenta donc pas d’autres enfants avant d’entrer à l’école, et l’intégration fut plutôt ardue dans une école où peu d’élèves venaient de familles aussi aisées que celle d’Eden, alors, avec ses beaux habits, on le regardait souvent de travers.
Leur petit bonheur dura encore plusieurs années avant d’être brutalement achevé. Eden avait un peu plus de neuf ans, ses parents et lui revenaient d’une soirée organisée par un collègue de son père quand l’accident se produisit. Il était tard et, sous la pluie battante, la route était devenue une patinoire. Son père, prudent, roulait doucement et la route semblait déserte, mais à un embranchement un camion ne parvint pas à s’arrêter à temps. Il percuta de plein fouet la malheureuse berline blanche qui alla s’écraser contre un mur. Le chauffeur descendit promptement, horrifié, alors qu’il entendait les cris de peur et de douleur d’un enfant. Il se précipita pour porter secours aux blessés. Avec précaution, il sortit d’abord Eden, mais les parents étaient déjà morts, ils l’étaient depuis qu’ils avaient heurté le mur. Le petit garçon eut juste le temps d’entendre le terrible constat de la bouche du routier avant de sombrer dans l’inconscience. Il lui fallut une semaine pour se réveiller et il découvrit à son chevet une vieille dame qu’il n’avait encore jamais vu, elle ressemblait pourtant étrangement à son père. Elle pleura d’un soulagement sincère en voyant ses yeux chocolat se poser sur elle et elle tenta de consoler son chagrin. Il partit ensuite vivre avec elle et son grand-père que n’aimait déjà pas sa mère mais semblait encore plus détester le pauvre enfant. Pourquoi, alors, avoir accepté de le prendre en charge, se demandait Eden quand, après une énième bouteille vidée, la main du vieil homme rencontrait violemment sa joue. La raison était simple et Eden ne le découvrit que bien des années plus tard : l’argent. L’héritage de ses parents. C’est sans remord que l’homme l’utilisa pour s’imbiber un peu plus, à croire qu’il essayait de rendre chacune de ses cellules inflammable. Et quand il ne resta plus rien, à peine quelques mois plus tard, Eden fut renvoyé. Sa grand-mère pleurait à chaudes larmes quand les services sociaux vinrent chercher le jeune garçon pour le conduire à New York.
Un foyer d’accueil, voilà où on l’emmena vivre, au milieu de dizaines d’autres adolescents, dans une grande baraque mal retapée tenue par un couple qui ne cherchait pas vraiment à rendre agréable leur misérable existence. Eden avait à présent onze ans, il était trop vieux pour être adopté. Il entendait souvent les autres enfants le dire : les couples qui venaient ici chercher des enfants, voulaient des jeunes qu’ils pouvaient encore éduquer, mais eux, aux portes de la crise d’adolescence et de la rébellion, ils n’étaient pas désirables. Alors Eden fit comme les autres, il se fit à l’idée d’être orphelin, à l’idée que personne ne viendrait le tirer de là.
Mais son caractère ne changea pas, ou plutôt oui, mais pas comme celui des autres dans cette maison. Ils semblaient tous être animés par la rage de foutre en l’air ce qui leur passait sous la main, mais Eden était beaucoup plus effacé, c’était à peine si on remarquait sa présence. Que ce soit à l’école où les profs ne l’interrogeaient même plus, dans la rue où on le bousculait sans s’excuser, ou au foyer où même les discussions concernant des fugues se passaient devant lui. Et son éternel sourire ne disparaissait pourtant jamais, il ne réussissait pas à se laisser sombrer, même si parfois ça aurait été plus simple. Ses parents étaient morts et il n’avait plus de famille, certes, mais s’ils le voyaient de là-haut, son père et sa mère seraient effondrés de voir leur fils en détresse. Alors il devait continuer à se tenir debout, même si sa timidité le forçait à fixer le sol.
Sa vie était une routine simple et calme. Il ne faisait jamais de vague, se renfermait sur lui-même avec le sourire, travaillait dur à l’école pour maintenir un niveau acceptable, voyait les parents défiler au foyer et emmener des enfants plus jeunes. Il n’arrivait même pas à se plaindre de ne pas être choisi, il préférait encore voir des marmots entrer dans une nouvelle famille.
À son quinzième anniversaire, il reçut un paquet de sa grand-mère. Il était surpris, elle ne lui avait jamais rien envoyé depuis leur séparation, et il n’avait pas osé la contacter non plus même s’ils avaient passé assez de temps ensemble pour qu’elle lui manque, elle aussi. Il s’agissait d’un appareil photo. Pas un simple appareil photo numérique, plutôt le genre de ceux qu’utilisent les professionnels, il n’était pas neuf mais encore en bon état et devait valoir une fortune, comment avait-elle pu se le procurer si son grand-père avait toujours la même descente ? Une relation épistolaire commença entre eux, suite à ça, dans l’ignorance de son grand-père bien entendu qui aurait vu cela d’un sale œil. Et Eden se découvrit une passion pour la photo, ainsi qu’un certain talent. Il n’avait bien sûr par d’ordinateur personnel mais il eut la permission d’utiliser celui du foyer pour stocker ses documents, chose que les autres résidents n’avaient pas le droit de faire. Il s’attira ainsi quelques foudres, mais ça ne noircissait pas ses journées passées à arpenter les rues, son appareil à la main.
L’été suivant l’obtention de son diplôme, il fêta ses 18 ans et put quitter le foyer. Sans sa grand-mère, il aurait probablement dû trouver un boulot minable et un appartement minable dans New York afin de ne pas mourir de faim dans une ruelle mais elle lui avait fait ouvrir un compte bancaire et, le jour de sa majorité, il eut accès à un petit pécule. C’était loin d’être aussi important que la somme que lui avaient légué ses parents mais ça lui permettait de prendre sa vie en main. Il s’acheta aussitôt un billet d’avion pour Los Angeles.
Il se trouva un petit studio et un boulot de serveur dans un café. Ça lui rapportait de quoi vivre, mais ce n’était pas de ça qu’il voulait vivre. Il voulait aller à l’université, apprendre à perfectionner sa passion pour pouvoir passer sa vie à la pratiquer. Il avait beau économiser, se restreindre, il se rendit compte qu’à ce train-là il n’aurait jamais assez pour payer les frais de scolarité. Il cherchait un second emploi quand il tomba sur une annonce d’un club gay. Il avait déjà admis, depuis longtemps, sa préférence pour les hommes, alors travailler dans un club gay ça ne lui posait pas de problème. Quand il s’y rendit, cependant, il s’aperçut que c’était loin d’être un club banal, les employés étaient travestis et portaient tous des pseudonymes féminins. Ce n’était néanmoins rien de grossier ou de stéréotypé, ces « femmes » étaient en fait plutôt magnifiques, mais Eden n’avait jamais fait ça. Il n’y avait même jamais pensé. Mais le salaire était élevé, c’était un endroit de luxe après tout, classe et mystérieux. Il se lança, sans imaginer à quel point il prendrait goût à ce style de vie. Comme les autres employés, il dut se forger une seconde identité, aussi son deuxième prénom trouva toute son utilité et, la nuit tombée, Eden devint « Ashley ». Il s’habitua rapidement à porter des robes, des perruques et des talons, pour le maquillage ce fut plus délicat et ses collèges se moquèrent gentiment de lui jusqu’à ce qu’il parvienne à mettre du rouge à lèvre tout seul. Il s’étonnait de réussir à paraitre aussi féminin, avant ça il n’aurait jamais cru avoir un visage aussi androgyne… il ne réfléchissait pas à ce genre de chose habituellement.
À la rentrée suivante, il eut assez d’argent pour s’inscrire à l’université. Il avait changé d’appartement, l’une de ses collègues se portant caution pour lui car refusant de le voir vivre dans un appartement où il n’avait même pas de dressing, et avait donc un immense placard rempli de robe. Au début, il avait été mal à l’aise, si quelqu’un voyait tout ça on saurait qu’il se travestissait, et même si cette vie lui convenait et l’aidait à s’épanouir au-delà de ce qu’il aurait imaginé, il ne voulait pas que l’on sache.
Il est à présent dans sa seconde année et il travaille toujours au club, deux jours par semaine plus le week-end, car il lui est impossible de quitter cette vie nocturne qui, peu à peu, le rattrape. Mais au moins il vit comme il en a envie et personne n’a son mot à dire là-dessus.
Derrière votre écrans ?
♦ Est ce un personnage prédéfinis ? Non ♦ Surnom et ton âge : Baby Tox - 23 ans ♦ Que penses-tu de Amazing ? J'adore le design et le contexte est sympa ♦ Niveau de RPG :
- Spoiler:
Étrangement, cela fait plutôt longtemps que je n’ai pas eu l’occasion de réellement me divertir. Oh bien sûr, mes « camarades » de chambrée bénéficient régulièrement de mes doux traitements. Elles sont des victimes plutôt bruyantes – à croire qu’elles ne peuvent pas tomber sur des nids d’insectes cachés dans leurs lits sans se mettre à hurler à la mort comme des échappées d’asile – cela dit elles sont aussi des cobayes très volontaires, et les protestations sont de plus en plus rares. Encore que je ne me sois même pas donné la peine de les menacer de représailles si jamais elles me balançaient aux professeurs, je n’ai même pas eu besoin de ça… apparemment mes origines incertaines jouent d’elles-mêmes et plusieurs de mes camarades semblent avoir peur que je vienne me venger en les mordant, en buvant leur sang dans leur sommeil ou en les hypnotisant. Je ne me suis pas non plus donné la peine de les détromper en leur disant que j’aurais trop peur que leur sang de dinde fasse baisser mon QI, que les hypnotiser ne me servirait à rien puisqu’un bon Imperium aurait le même résultat et serait moins contraignant... ou que je ne fais ni l’un ni l’autre. C’est fou ce que les vampires peuvent impressionner les ignorants.
Bref, à la longue je dois avouer que tout cela finit par ne plus être amusant, ça fait d’ailleurs plusieurs semaines que je les laisse en paix, un peu pour endormir leur méfiance et surtout parce que leurs réactions sont prévisibles à chaque fois et que ça m’ennuie. Aujourd’hui c’est différent, aujourd’hui j’ai Néron pour me divertir. Mon cher Néron, mon adorable et tout aussi prévisible Poufsouffle, ce garçon si gentil qui me déteste d’une façon si délicieuse. Me faire aimer n’est pas un de mes objectifs, je préfère de loin inspirer la haine, le mépris ou la crainte, ce sont des domaines où, au moins, je suis passée maître. Lorsqu’il m’a avoué ses sentiments après une relation de plusieurs mois, la surprise a pris le pas sur tout le reste et je n’ai pu m’empêcher de lui dire ce qui pouvait lui faire mal. Si je n’ai jamais réfléchi à la véracité de mes propos, je dois tout de même bien admettre que j’aurais aimé que notre relation dure un peu plus longtemps, je n’avais pas besoin de me prendre la tête avec lui ou de paraitre moins méchante que je le suis, tant que je ne l’étais pas avec lui ou que je n’agressais pas de sang de bourbe devant lui – ce qui était relativement simple à faire – il acceptait mon sale caractère. Mais je crois que j’ai réussi mon œuvre, car aujourd’hui encore le coup porte et il repense à ce que je lui ai dit, s’il n’y pensait pas, il ne m’en voudrait pas autant.
À peine me suis-je assise que je sens son regard se poser sur moi, ou plutôt sur ces parties de moi que je lui dévoile par fausse inadvertance, mais je ne relève pas les yeux, feignant d’avoir l’esprit trop préoccupé pour remarquer ça. Sa réponse ne se laisse cependant pas attendre. « Tu veux pas une sucette à l'ail non plus tant que t'y es ? Je m'en fous que ça soit has been, de toute façon tu n'as que ce que tu mérite. Ca sert à rien de faire ta pauvre petite chose prostrée, là, je sais très bien ce que tu penses au fond. Tu ne m'auras pas à nouveau, Sorcière ! »
Je tourne aussitôt la tête vers lui, lui lançant le regard mi-offensé mi-méprisant d’un chat blessé. Je le connais bien, et son apparente méfiance à mon égard ne me donne que plus envie de continuer mon petit jeu, lorsqu’on se jette trop facilement dans mes pattes, le jeu perd toute sa saveur. Mais je le vois se figer et me rends compte qu’il n’avait pas cessé de me reluquer malgré son petit numéro. Puis ses vêtements arrivent et il se rhabille, je détourne la tête pour cacher mon sourire amusé. Tellement prévisible ce petit singe.
Je souffle finalement, lasse et passe une main dans mes cheveux, le regard fixé sur le rebord de la fenêtre.
« Je ne cherche pas à… Tu penses que si je cherchais le moindre réconfort je serais venue m’isoler ici ? Je suis pas idiote à ce point, et je sais que c’est ce que je mérite. C’est juste que… »
Je me mords la lèvre pour m’interrompre, ce n’est pas mon genre de me livrer à quelqu’un, même à Néron à l’époque où nous étions ensemble… ceci dit, je n’ai jamais rien besoin de confier, je ne suis pas assez faible pour me laisser toucher par ce que peuvent baver les autres sur mon compte. Et puis, après tout, c’est vrai que je mérite tout ce qu’ils me disent, mais étrangement, venant d’eux je prends ça pour des compliments et je ne donnerais pas tout l’or du monde pour être quelqu’un d’autre que moi. Or, montrer à Néron une « nouvelle facette » de moi, si mystérieuse et intrigante, est le meilleur moyen de le déstabiliser et de m’amuser à ses dépends. Je le regarde de nouveau, mon air furibond tentant de cacher à quel point je suis peinée par ses paroles dures.
« Tu vois, on sait tous les deux que je suis une fille ignoble, alors laisse-moi tranquille !! crie-je. »
Des larmes se mettent à rouler sur mes joues et, comme si je ne m’y attendais pas, je cesse de bouger durant quelques secondes, le souffle saccadé à cause de mon accès de colère et de mes sanglots qui se préparent. Enfin je me détourne à nouveau et essuie mes joues à mesure que mes larmes les recouvrent. Je crois qu’il pourra se targuer d’être le premier à m’avoir vu pleurer, même si ce sont des fausses larmes. Soudain, pour réitérer mon ordre, j’enlève ma botte qui ne contient pas ma baguette et la lui balance – pas assez fort pour l’atteindre et sûrement même pas dans la bonne direction – en lançant un « va-t-en ! » un chouilla étranglé. Puis j’enfouis mon visage dans mes mains sans plus retenir mes sanglots. ♦ Fréquence de connexion : 5/7 et avez-vous un multicomptes ? Non ♦ As-tu signé le règlement ? CODE BON Fofie.
Dernière édition par Eden A. Ruthven le Lun 24 Mar 2014 - 23:08, édité 1 fois |
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