On fait tous au moins un vœu par an, en soufflant les bougies de notre gâteau d’anniversaire. Certains d’entre nous en font plus : pour un cil sur une joue, devant une fontaine, en voyant une étoile filante... et de temps en temps, un de ces vœux se réalise. Et après ? Est ce que c’est aussi bien qu’on l’espérait ? Est ce qu’on se laisse aller dans le rayonnement de notre bonheur ? Est-ce qu’on se rend compte qu’on a une longue liste de vœux qui attendent d’être exaucés ?  MATTHEW&ALESSIA

Tout aller à merveille, ma vie d’étudiante avait repris son cours, j’avais repris le sport et bien évidemment tout aller bien avec Matthew, j’étais sur un petit nuage, même si je me sentais assez coupable de me sentir heureuse alors que je venais de perdre une amie, j’y pensais souvent, mais je préférais éviter d’y pensé, nous devions avancer, même si c’était dure à certain moment, comme de retrouver des anciens magazines ou elle est dessus. Passons. Ce matin, Matthew et moi étions en retard, oui trainer au lit nous aider pas vraiment à être à l’heure, mais les cheveux mouiller, je le regarde partir, mais il revenu en prenant son portefeuille, mais un papier tomber de celui-ci, ayant un croisant dans la bouche, il ne m’entendit pas glousser, je pose alors le croissant, allant prendre le papier, mais celui-ci était dehors, mais je dis tout de même. « Attend… » Mais bien évidemment il ne m’entendit pas, alors je pose mon regard sans vraiment savoir pourquoi, sur le papier, remarquant un numéro et un prénom d’une femme, avec un cœur à côté du prénom, je m’arrête de marcher, regardant la feuille, mon cœur s’emballe, je me mordu la lèvre entendant le bruit de sa moto, il partait à son garage, je n’avais pas forcément le courage d’aller le voir pour lui ramener ceci. Je le pose alors sur le comptoir, là où se trouver son portefeuille avant qu’il vienne le chercher. Les chiens venu à moi, à vrai dire on courrait mais là je m’étais arrêter, ça m’avait foutu un froid. Puis je regard l’heure, j’étais en retard, je laisse tout en plan donnant au passage la moitié à chacun de mon croisant au chien, ça m’avait coupé l’appétit, puis je ferme attendant une amie qui devait venir me chercher.  

La journée fit affreusement longue, je ne faisais que de pensé, je n’avais pas arrêté de tomber à mon cours de pom-pom girl, bref, une vrai cata, ce petit papier m’avait complètement chamboulé, mais en même temps, qu’es que je pensais sérieusement ? Nous ne sommes pas ensemble, il est libre de faire ce que bon lui semble, pourquoi je me faisais des films qu’il m’appartenait, non rien de tout ça est le cas. Je décide de quitter le cours de sport plus tôt, voulant rentrer en avance et prendre Paco avec moi et me balader. Arrivant grâce à une amie, je rentre chez Matthew, je croise sa sœur en coup de vent, je fis mine que tout allait bien, mais elle semblait presser des personnes l’attendait dehors, je pris ensuite Paco demandant si elle voulait que je prenne aussi son chien, elle accepte alors je pris les deux, laissant Paco sans laisse, mais pas le chien de sa sœur, je ne voulais pas qu’il parte par ma faute. Puis on arrive à la forêt ou je laisse les deux chiens courir les surveillants, jouant un peu avec eux, de quoi m’occuper un peu l’esprit. Mais après deux heures, je décide de rentrer, Matthew semblait être là, une fenêtre était ouverte, c’est vrai qu’il commençait à faire chaud à nouveau. Je rentre alors, laissant Paco voir Matthew pour lui faire la fête, puis je détache l’autre chien, qui partit faire de même, je pose ensuite la laisse. « J’ai croisé ta sœur, elle ma permisse de le prendre, je n’espère pas t’avoir inquiété ? » Dis-je allant direction du réfrigérateur allant prendre de quoi boire un coup.  

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On fait tous au moins un vœu par an, en soufflant les bougies de notre gâteau d’anniversaire. Certains d’entre nous en font plus : pour un cil sur une joue, devant une fontaine, en voyant une étoile filante... et de temps en temps, un de ces vœux se réalise. Et après ? Est ce que c’est aussi bien qu’on l’espérait ? Est ce qu’on se laisse aller dans le rayonnement de notre bonheur ? Est-ce qu’on se rend compte qu’on a une longue liste de vœux qui attendent d’être exaucés ?  MATTHEW&ALESSIA

Cette petite balade en dehors de la maison, enfin de chez Matthew m’avait permisse de réfléchir, du moins en quelques sortes, je devais rentrer chez moi, je devais lui dire, mais je ne voulais pas non plus qu’il pense que je n’étais pas bien, mais après tout, j’avais ma vie et lui la sienne, puis nous ne devions pas précipiter les choses, du moins pour lui. Je rentre alors, m’excusant de ne pas avoir prévenu, mais apparemment ça ne l’avait pas tant inquiété que ça, tant mieux. « Je pense ça sera calme aussi se soir, ils sont naze. » Oui ils avaient bien joué ensemble dehors, au moins ce soir nous aurions la paix, même si Lou, elle aimait les embêter. Il s’approche de moi, embrassant ma joue, je ferme les yeux à son geste, j’avais pour habitude depuis ses derniers temps à ne pas le lâcher, venir vers lui l’embrasser, mais c’est vrai que là, j’en avais pas spécialement envie, enfin si, mais c’était un peu le bazar dans ma tête.  

« Non, j’ai été pile à l’heure, mais la journée était merdique, je n’ai pas arrêté de tomber en cours de sport, la douleur à ma jambe c’est réveiller, mais ça va mieux là. » Je regarde ma jambe pour ensuite relever mon regard vers le comptoir, le papier n’y était plus, mince je n’avais pas rêvé pourtant, le voyant sur le canapé, j’en profite pour avancer vers le comptoir regardant au sol, rien, il avait dû surement le reprendre. Je baisse les yeux à cette pensé, mais apparemment Matthew avait compris que je cherchais quelques choses, me demandant ce que je fichais. « Rien… Je crois je vais me faire un bon bain ce soir, ta sœur ne rentre pas, je l’ai croisé elle sort ce soir… Donc je te laisse nous préparer à manger. » Je lui fis un petit sourire buvant mon verre d’eau d’une traite. J’avais un peu mal à la jambe, un bon bain me ferais que du bien, de plus ça me détendrais. Je tourne les talons, prenant un livre de révisions par la même occasion, autant réviser. Puis je rentre dans la salle de bain, faisant couler l’eau, en attendant que l’eau coule je me regarde dans la glace silencieuse, mettant ma main sur ma nuque, j’étais assez tendu ce soir, je bascule ma tête en arrière.  

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On fait tous au moins un vœu par an, en soufflant les bougies de notre gâteau d’anniversaire. Certains d’entre nous en font plus : pour un cil sur une joue, devant une fontaine, en voyant une étoile filante... et de temps en temps, un de ces vœux se réalise. Et après ? Est ce que c’est aussi bien qu’on l’espérait ? Est ce qu’on se laisse aller dans le rayonnement de notre bonheur ? Est-ce qu’on se rend compte qu’on a une longue liste de vœux qui attendent d’être exaucés ? MATTHEW&ALESSIA

Les chiens après avoir bu une bonne gorgé partie tous les deux se coucher, il ne se quittait pas, enfin King ne quittait pas Paco, qui était surement son petit modèle, tant mieux, mon chien était bien élever, tant qu’ils ne font pas bêtise ça m’allait. J’informe alors Matthew de ma douleur à la jambe, j’hausse les épaules à ses paroles. « Non, j’avais rien à me mettre dessus, ça passera. » Puis je me mis à chercher le papier, mais il n’était plus là, Matthew remarqua ce que je faisais, je change alors de sujet, lui disant que je partais prendre un bain, je le laissais faire à manger. « Oui, commande. » Puis je partis sans rien ajouter allant dans la salle de bain. Je mis en route l’eau, me regardant quelques instants au miroir, pour ensuite me déshabiller, mettant un peu de mousse dans l’eau, rentrant dedans, m’essuyant les mains avec une serviette pour me mettre à réviser.

C’est quelques minutes plus tard que Matthew rentre dans la salle de bain, sans prendre la peine de frapper, après tout pourquoi prendre la peine de frapper, je faisais pareil. Je le regarde lui tendant mon livre. « Oui tiens, met toi dos à moi. » Je le tourne levant son haut pour mettre ensuite ma main dans la mousse et me mettre à écrire une opération sur son dos, j’essayais de comprendre une opération qui était dans mon bouquin, peut-être que « d’écrire » me permettrais d’y arrivé, mais non. « Je comprends rien à cette fichu opération… » Je soupire énerver, enlevant ma main de son dos lui laissant le livre, puis je me laisse couler dans l’eau, pour remonter ensuite quelques secondes, laissant mes oreilles dans l’eau, il y avait juste mon visage qui était en dehors de l’eau, j’écoutais le bruit de l’eau, fermant ensuite les yeux, les ouvrant quelques secondes après me redressant assise dans l’eau, mettant ma main dans mes cheveux pour les remettre correctement. Je regarde Matthew. « Tu nous a commandé quoi ? » Dis-je pour changer de sujet, je n’avais pas envie qu’il s’inquiète, je n’aimais pas avoir des moments « d’absence » en sa présence, mais j’étais très pensive ce soir. Je pris la mousse ensuite dans ma main lui disant. « Je pense rentrer demain chez moi, tu m’as suffisamment supporté je crois. » Dis-je avec un petit sourire.

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On fait tous au moins un vœu par an, en soufflant les bougies de notre gâteau d’anniversaire. Certains d’entre nous en font plus : pour un cil sur une joue, devant une fontaine, en voyant une étoile filante... et de temps en temps, un de ces vœux se réalise. Et après ? Est ce que c’est aussi bien qu’on l’espérait ? Est ce qu’on se laisse aller dans le rayonnement de notre bonheur ? Est-ce qu’on se rend compte qu’on a une longue liste de vœux qui attendent d’être exaucés ? MATTHEW&ALESSIA

Dès que Matthew arrive dans la salle de bain, il venu à mes côtés, il me demanda si j’avais besoin d’aide, j’accepte lui demandant qu’il se mette dos à moi, puis je fis une opération sur son dos, mais je n’y arrivais pas. « J’aimerais bien avoir ça comme feuille en cours. » Bah quoi je serais plus concentrer, quoi que.. « J’y arriverais demain, je suis juste fatiguer. » Puis je me laisse couler dans l’eau, remontant à la surface, lui demandant ensuite ce qu’il avait commandé, je le fixe, disant. « Chinois ? » Puis je me mis à jouer avec la mousse, lui disant que j’allais rentrer surement demain, je l’écoute le laissant faire avec ma jambe, qu’es que j’aime quand il me touche, j’ai toujours l’impression que c’est la première fois quand il me touche, j’adore cette sensation. « Me dit pas ça après je vais rester et je ne pourrais plus partir ensuite. » Et c’était bien vrai, plus j’allais rester moins je voudrais partir.

Puis celui continue de me laver mes jambes allant vers mon pied. « Tu vas où là ! » Puis se mit à me chatouiller, je me mis à rire, comment voulez-vous que je lui fasse la tête, il était tellement mignon.. Puis il me chatouillait en plus. « Arrête je t’en supplie ! » J’essaye de me concentrer pour ensuite l’arroser, ce qui le fit arrêter, j’ouvre la bouche en grand voyant sa réaction, bah c’est qu’il était bien mouiller. « Pour ma défense c’est toi qui a commencé ! » Je me mis à glousser doucement, frissonnant ensuite. « Je vais sortir je commence à avoir froid. » Au même moment sa sonna à la porte, je souris le regardant mouiller partir à la porte, mais dès qu’il quitte la pièce mon sourire partie, peut-être c’était le numéro d’une amie, il avait droit d’avoir des amies, mais le cœur, pourquoi un cœur ? Je soupire à cette pensé me levant prenant une serviette, vidant l’eau, m’essuyant quelques peu, pour ensuite sortir de la salle de bain, avec ma serviette autour de moi allant dans la chambre pour aller chercher un débardeur et un shorty, ce que je trouve rapidement et ce que j’enfile pour ensuite retourner à la salle de bain posant ma serviette et me coiffant allant dans le salon pour le rejoindre. « Alors c’est quoi ? » Dis-je à moitié nue, enfin non j’avais mon débardeur assez moulant et un shorty qui m’allait à ravir, bref à moitié nue. Je laisse mes cheveux détacher, ce qui me rendait un peu sauvage, sans vraiment le vouloir, puis je partis vers le sac de nourriture qu’il avait commandé. « Ça sent bon, j’ai faim. »

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Un petit sourire apparue lorsqu’il me disait que c’était un peu bizarre la feuille, j’hausse les épaules lui disant. « Oui mais pas désagréable. » Puis il me demande si j’ai une dure journée, j’hausse de nouveau les épaules. « Un peu. » Dis-je simplement, demandant par la suite qu’es qu’on manger, il ne me répondu pas laissant un peu tout ça vague. Il n’ajoute rien sur mon départ et tant mieux, je devais rentrer, sinon ça allait être dure, de plus, plus le temps passé plus je m’attachais encore plus à lui et lui.. Je ne savais pas réellement où ça en était, autant le laisser seul pour réfléchir, puis nous nous n’étions pas sans nous voir, heureusement.

Il se mit à me laver les jambes, mais je sentis ses mains descendre, j’ouvre les gros yeux lui disant de ne pas y aller. « Pas le pied… » Mais trop tard, il commence à me chatouiller, ce qui me fit rire aux éclats, par réflexe je l’arrose, il arrêta tremper ce qui était très amusant, je l’écoutant me parler le regardant amusé. « Non pas le droit ! Vous devez en prendre la responsabilité ! » Mais il s’approche de moi, je m’attendais au pire, par miracle, ou non, la commande arrive, sauver. Il se lève partant chercher la commande et moi je sors, venant ensuite le rejoindre habiller comme souvent d’un débardeur et d’un shorty. « Chinois ! » Dis-je tapant des mains ravie, puis il se mit à me regarder, me faisant une remarque sur ma tenue, je me regarde. « Je suis pas bien comme ça … ? » Dis-je faisant une petite moue, ajoutant ensuite prenant dans le sac du chinois. « Je serais en nuisette je la garderais pas longtemps, puis j’en ai pas pris, ta sœur était supposer être là toute la semaine, tout est chez moi. » Puis je le regarde outré ajoutant. « Puis mince, c’est plus sexy ça, tu vois mon cul et mon décolleté, qu’avec la nuisette tu vois que mon décolleté, là tu as tout, puis c’est moulant, que la nuisette, je n’aime pas trop, sa glisse et ça fais mémère sur moi… » Dis-je le regardant. « Plus tu vieillis plus tu as les gouts de vieux mon cher… Encore tu m’aurais dit tenue porte jarretelle, ça j’ai … En plus j’en ai ramener une, mais maintenant que tu me dis que tu aimes les nuisettes.. Ça me déçoit ! » Dis-je roulant des yeux amusé. Moi le narguer d’une tenue que j’avais, oui surement. Je souris amusé le regardant prenant alors à manger allant à ses côtés commençant à manger. Bien sur que j’avais des nuisette et il le savait, mais c’était histoire de l’embêter, même si c’est vrai j’en avais pas ici.

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Amusé par ses paroles, j’ajoute. « Oui c’est vrai, pour ça vaut mieux pas que j’ai une feuille dans ce genre là, ça me perturberais. » Il venu ensuite m’embrasser le front, je ferme les yeux à son geste, j’adorais cela. Puis on se mit à se chamailler, je souris amusé à sa réaction le regardant partir en profitant pour sortir et ensuite aller le rejoindre.

Un sourire malicieux apparu sur mon visage lorsqu’il me demande si cela ne me déranger pas, après tout il avait raison. « Non ça me dérange pas, mais tu n’as même pas le temps de me contempler ! » Je fis la moue amusé. Puis il me parle d’avant, j’hausse les sourcils, lui disant. « Avant on était ensemble Rider, on est ne les pas, je me trompe ? » Hop placer ça en douce fais, puis c’était vrai, nous n’étions pas ensemble, même si je mourais d’envie que ça se reproduise. Je regarde mon plat, lui disant amusé. « Oui, les porte jarretelles se glisse assez bien sous une robe, c’est discret ! » Puis je continue à manger l’écoutant parler de mon décolleté, que je regarde à mon tour. « Oui je sais. » Je souris amusé continuant de manger, pour ensuite lui piquer sa boîte. « Fait goûter ! » J’adorais ceci, moi qui avait perdu l’appétit, je l’avais vite retrouvé, le chinois et moi une grande histoire d’amour. Je pique un peu ce qu’il avait pour ensuite lui laisser le rester et me lever et débarrasser. « Je crois je vais pas faire long feu se soir .. » Oui j’avais mal à la jambe et de plus j’étais assez fatiguer, puis mince je n’avais pas envie de céder, j’étais censé me remettre en question.

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Posant mon regard sur lui, avec un sourire amusé je lui dis. « Heureusement tu me les arraches pas, non pas que je n’aime pas ça, mais ça coute cher mine de rien. » Puis je lui dis que nous n’étions pas en couple, donc je ne me déguiserais pas, je l’écoute me dire qu’on n’avait pas besoin d’être en couple pour faire ce genre de chose, sauf que je n’étais pas du même avis. « Oui, c’est fait pour pimenter le couple normalement ! » Puis c’était vrai si on faisait toute suite tout maintenant une fois en couple, il serait lasser non ? Enfin une fois en couple apparemment il s’en fichait. Puis je me mis à manger, lui piquant ce qu’il avait. « Du tout ! » Je souris amusé.

Je me lève ensuite, lui disant que je n’allais pas faire long feu, il me répondu un simple d’accord, rien de plus, bon ce n’était pas bon signe, mais je n’avais pas dit que je me coucherais toute suite, il était que vingt heure, mais apparemment il l’avait pris comme ça. J’écoute ses paroles tout en débarrassant pour ensuite le regarder, j’étais assez surprise, bah même si je venais à me mettre dans son lit, je pensais qu’il finirait par venir m’embêter, mais apparemment il avait d’autre projet. « Je vais pas me coucher maintenant…Enfin… » Je baisse mon regard ajoutant. « Fait ce que tu veux.. » Je me retourne pour tout ranger et mettre les boîte à la poubelle, puis je sortis de la cuisine allant prendre une crème dans la salle de bain pour mettre sur ma jambe, allant ensuite sur le canapé pour mettre la crème n’ajoutant plus rien à Matthew. Au moins ça prouver une chose, fatiguer je n’intéressais pas Matthew.

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Matthew aimait m’arracher les vêtements, c’était déjà arrivé, je savais que si l’occasion lui prenait, il le referait. « Oui, ça te donne l’impression d’être un super héros c’est ça ? » Dis-je amusé, puis je tourne le sujet vers le couple, chose qui semblait éviter, mais on continue tout de même à en discuter, mais à ce que je comprenais, l’idée d’être en couple avec moi ne lui traverser pas l’esprit. « Pas avec moi en tout cas. » S’il voulait plus, il savait quoi faire maintenant. Puis je pique sa boîte continuant de manger.

Fut le moment de débarrasser, ou je lui dis que je n’allais pas faire long feu, mais ce qu’il comprit, c’est que j’allais dormir maintenant, chose fausse. Il me dit alors qu’il allait sortir pour me laisser, super soirée en perspective, ça avait le don de m’agacer, il voyait que je n’étais pas bien et il me laisser, non il fallait que je me déguise pour qu’il reste, oui le sexe seulement l’intéresse. A cette pensé je devenu froide et lui répondu à sa phrase concernant la journée que je venais de passer. Je partis dans la salle de bain pour une crème, il me demande si j’avais à la jambe, je m’installe sur le canapé. « Un peu. » Dis-je simplement, pour ensuite mettre la crème, posant mon regard sur la télévision, lui disant ne le regardant pas. « Il est vingt heure… Je ne suis pas une poule ! J’ai seulement dit que j’étais fatiguer non pas que j’allais me coucher toute suite… » Je grimace en me massant la jambe, la regardant d’ailleurs, j’espérais que la douleur passerais demain. Je lève ensuite mon regard vers lui, ça ne le préoccupé pas, il mettait sa chemise près à partir, j’avais qu’une envie c’était de rentrer chez moi maintenant.

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« Je vais devoir faire attention à mes vêtements alors ! » Dis-je amusé, pour ensuite tourner le sujet sur le couple, chose qu’il semblait éviter, il n’était pas près et semblait vouloir encore profiter d’être seul, je ne pouvais pas le forcer après tout. Mais je refuse alors de faire quoi que ce soit sachant que nous ne sommes pas en couple, il acceptait, même si je savais au fond qu’il aurait aimé le contraire.

Puis je lui dis que je n’allais pas me coucher de suite, il se mit à dire le programme de ce soir, ce que j’allais faire, j’hausse les épaules me massant. « En même tu pars, qu’es que tu veux que je fasse d’autre ? » Oui une fois toute seule j’allais m’ennuyer, même pas il avait essayé de me forcer à sortir, en même temps j’avais mal à la jambe, mais il ne m’avait pas proposé pour autant. Puis il me laisser seul, autant que je rentre non ? Il enlève ma main et se mit à me masser, je le laisse faire, ça faisais un bien fou, je pose ma tête contre l’oreiller fermant les yeux l’écoutant lui disant. « Non, elle m’a juste dit qu’elle ne rentrait pas se soir. » J’ouvre de nouveau les yeux regardant ma jambe qu’il était en train de masser lui disant. « Merci, ça va mieux. » Je recule ma jambe, pour ensuite me lever et aller me laver les mains qui elle était rempli de crème.       

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Je souris amusé quand je parlais de mes vêtements, c’était bien vrai, j’allais devoir faire attention, même si je savais qu’il faisait lui aussi attention car si il venait déchirer une de mes tenue ou une de mes robes il allait m’avoir sur le dos. Puis je tourne le sujet vers les couples, mais rien ne l’alarma il tourna le sujet à sa sauce, bref du Matthew.

Je m’installe ensuite sur le canapé, un peu boudeuse, le laissant tout de même me masser, lui faisant comprendre comme il partait je n’avais pas grand-chose à faire, mais il me dit qu’il allait me laisser me reposer, super, ce repose alors que je pouvais être avec lui. « Comme si tu m’embêter, ça serais étonnant. » Il savait pertinemment qu’il ne m’embêter, au contraire, mais il était décidé à sortir et il s’était fait tout beau, de plus il sentait merveilleusement bon. Je me lève pour aller me laver les mains pour ensuite retourner vers le canapé, mais il m’attrape par ma hanche me ramenant à lui, me disant de bien me reposer pour ensuite m’embrasser langoureusement, bref l’extase. Mais je ne répondis pas à son baiser, le laissant faire pour ensuite le regarder se reculer et le regarder dans les yeux. « Amuse-toi bien… » Je pose ma main sur sa joue quelques secondes pour ensuite tourner les talons et le laisser en quelques sortes en plan au milieu du salon, sans sourire, ni autre geste d’affection.

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Je redresse un sourcil quand il me dit c’est un début à tout. « Bah ce n’est pas le cas… » Lui dis-je simplement, pour ensuite le laisser m’embrasser, le laissant ensuite en plan retournant sur le canapé l’écoutant se préparer et il prit sa moto. Je soupire énerver, j’aurais peut-être dû le retenir, puis mince je suis chez lui il a pas à me laisser en plan, ça commencer à m’énerver, je me lève prenant une cigarette, je fumais de moins en moins, mais ayant un peu les nerf, je préférais en fumer une, puis j’entendis vibrer, étant dehors je regard vers la maison, remarquant le téléphone de Matthew. « Super.. » Je soupire, regardant face à moi, Paco et King était de nouveau en forme et s’amusé dehors, Lou, elle était en hauteur à faire sa toilette.

La soirée fus horriblement longue, je m’étais regarder un film en entier, moi qui était fatiguer je n’arrivais pas à dormir, puis je décide tout de même d’essayer, allant dans la chambre mais rien, alors je me lève décidant de préparer mes affaires pour demain, ça servais à quoi que je reste une journée de plus il s’en fichait. Je range tout mettant ma valise au sol, par terre, prête à partir, puis je me rallonge, essayant de dormir, mais rien, je décide de prendre un livre de mes cours, mais sans succès. Je me lève alors pour aller boire un coup dans la cuisine entendant sa moto, je regarde l’heure. Oh la vache mais il est si tard que ça et je ne dors pas, bien fais pour lui. Il rentre alors pensant que je dormais, essayant d’être discret, mais j’allume la lumière, vaut mieux ça qu’il tombe. « Tu es déjà là ? » Alessia il est un peu deux heures du matin, enfin bref. Je me resservis à boire. « Tu as raté la soirée de ta vie en partant, je n’ai même pas réussi à dormir, c’était chouette et impossible de te contacter tu as oublié ton téléphone, je me suis trop amusé. » Je soupire posant mon verre, pour ensuite retourner dans ma chambre sans rien ajouter.

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Matthew m’avait laissé, il avait osé me faire ça, alors que j’étais chez lui, pour lui et non monsieur était partit me laissant et en plus de ça il avait oublié son téléphone. J’avais tourné en rond toute la soirée, n’arrivant à trouver sommeil, je détestais ça, pourtant je l’étais fatiguer.

Je partis boire un coup l’entendant rentrer, lui faisant comprendre en quelques sortes que j’avais détesté ma soirée, mais il s’en fichait, essayant d’être sur le ton de la plaisanterie. Il s’approche de moi m’embrassant le front, je ferme les yeux à son geste l’écoutant me dire qu’il était là maintenant que j’allais pouvoir dormir. Mon cœur s’emballer, je bouillais de l’intérieur, mais lui crier dessus n’arranger rien, je me recule de lui regardant autre part me mordant la lèvre, pour ensuite sourire nerveusement. « J’aurais dû rentrer chez moi… Tu m’as laissé comme une merde ici car je n’étais pas suffisamment de bonne humeur pour toi… » Je me mordu la lèvre de nouveau baissant mon regard un peu triste. « Tu t’en fou en fait, tu n’as même pas essayé de me proposer de venir ou même me demander si ça me déranger de rester seul non … C’était notre derrière soirée que tous les deux et en plus je n’ai même pas dormie… » J’avalai ma salive difficilement. Je relève mon regard vers lui. « De toute façon j’ai rien à te dire… Tu peux voir qui tu veux, avoir le numéro qui tu veux… J’ai rien à dire.. Même si .. » Je serre la mâchoire, baissant la tête passant ma main dans mes cheveux. « Je suis rien pour toi hormis pour t’amuser… Je l’ai bien compris ce soir. » Je fis un sourire de nouveau nerveux ajoutant, baissant de nouveau mon regard. « Ramène-moi chez moi… »

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On fait tous au moins un vœu par an, en soufflant les bougies de notre gâteau d’anniversaire. Certains d’entre nous en font plus : pour un cil sur une joue, devant une fontaine, en voyant une étoile filante... et de temps en temps, un de ces vœux se réalise. Et après ? Est ce que c’est aussi bien qu’on l’espérait ? Est ce qu’on se laisse aller dans le rayonnement de notre bonheur ? Est-ce qu’on se rend compte qu’on a une longue liste de vœux qui attendent d’être exaucés ? MATTHEW&ALESSIA

Me voilà péter un boulard, j’étais énerver contre lui, surement la fatigue et de petite accumulation. Je soupire l’écoutant lui disant. « Tu m’as laissé seul, chez toi … Met toi à ma place deux petite secondes, imagines tu es chez moi tu es fatiguer et moi je me barre, tu aurais pris sa voiture pour rentrer et ne me dit pas le contraire ! » Oui il fallait qu’il se mette deux petites secondes à ma place, j’essayais de lui faire comprendre. « Oui donc qui dit fatiguer dit reste seul Alessia on s’en fou ! » Dis-je roulant des yeux, baissant à nouveau mon regard. Quand il me demande si je le pensais réellement, j’hausse les épaules. « Je ne sais pas quoi pensé, j’aimerais que tu me le prouves… Mais tu me fais bien comprendre que tu ne veux pas de moi et moi je suis comme une c*nne à t’aimer comme une folle… »

Je baisse ma tête à ma dernière phrase, je détestais avouer mes sentiments sachant que je n’allais rien avoir en retour, je serre la mâchoire disant. « Puis il y a ce mot là sur le comptoir, de cette Anastasia je ne sais pas quoi qui trainait… Je me fiche si tu l’as voie ou non… Même si j’aimerais que se soit pas le cas… Mais ça me fais chier de voir ça … » Autant tout lui avouer non ?