Quelques jours auparavant, j'avais du faire un énorme baisers sur les lèvres de Théo. Malheureusement pour moi et heureusement pour lui, il avait rendez-vous en Italie pour un photo shoot et je m'étais retrouvé séparé de lui pendant plusieurs jours. Je m'étais donc retrouver à des milliers de kilomètre de l'homme que j 'aime et très pris par son travail, je n'avais pas eu beaucoup de nouvelle, d'autant plus que je n'avais pas pus le harceler de mes messages salasses puisque le prix me revenait vraiment trop chers vers l’Italie. Heureusement son séjours était aujourd'hui à quelques heures de se terminé et j'allais enfin pouvoir le retrouver et passer du temps avec cet homme qui m'avait terriblement manqué pendant ces quelques jours, l'homme dont je suis tomber amoureuse,Théodore Longway.

J'étais chez moi , dans le salon à jouer avec Leanne dans son parc, quand je reçus le message de Théo qui m'informait qu'il serait chez lui d'ici une heure. Une nouvelle qui égaya encore plus ma journée, le moment de nos retrouvailles étant à présent défini. Seulement, un petit problème m'empêchais d'y aller dès à présent et lui faire la petite surprise et ce petit problème, n'était autre que miss Leanne, 1ère du nom qui était sous ma garde et ma responsabilité en l'absence de ma chère soeur ou de mon beau frère bien aimé. Il avait tout deux été à un rendez vous chez le gynéco pour le suivit de grossesse et j'avais été gentiment réquisitionner pour garder le petit bout de choux qui me sert de nièce, par ma demande évidemment. J'avais donc répondu au message de Théo, tout en lui expliquant que j'aurais peut-être un peu de retard, sans en dire plus, mais que je le rejoindrais juste après.

Lorsque je fus débarrasser de ma tâche de nounou, je fila me changer et je partis en direction de chez Théo. Il ne me répondis pas lorsque je frappais à sa porte, ayant la clé j'ouvris et je rentrais avec naturel chez lui. Je le cherchais du regard et l’appelais en espérant avoir une réponse rapide afin de le retrouver dans son appartement mais aucun réponse ne me vint et je finis par le retrouver allongé dans son lit. Un sourire s'afficha sur mon visage, lorsque je le vis, il dormait comme un petit bébé et ce n'était pas très étonnant que je le trouve si mignon lorsqu'il se trouvait au pays des songes. Je décida de ne pas le réveiller, il devait être fatigué et je ne voulais pas le privé de sommeil, je décidais donc d'aller dans sa cuisine et pour faire passer le temps, je préparais un petit plat avec les aliments que j'avais ramené. Je savais qu'il n'aurait rien dans son frigo alors j'avais décidé de prendre l'initiative de faire quelques courses afin de nous préparer un bon petit plat pour ce soir. C'est donc sur des lasagnes que je m'activais en cuisine. Après quelques bonne longues minutes à préparer je les mis au four et je nettoyais mon dépotoir avant d'aller retrouver Théo dans sa chambre. Je m'installais à côté de lui et je lui fis quelques bisous bien placé et quelques caresses dans le dos pour tenter de le réveiller doucement et tendrement. Hey mon coeur, tu te réveille. Ai-je dis en murmurant.

J'avais du arrivé une demi heure ou peut etre un peu plus , après que Théo soit rentré, du moins si je me fier à l'horaire qu'il m'avait donné. Puisqu'il dormait profondément, j'avais décidé de m'occuper en attendant qu'il se réveille, j'avais donc pris le temps de préparer à manger, des lasagnes pour être plus précis. C'était à vrai dire le seule plat un peu spéciale que je savais faire à la perfection. Seulement une fois que j'eu préparer tout cela, l'idée d'attendre et d'attendre et d'attendre, ne m'enchantais pas vraiment. J'avais donc pris l'initiative d'aller le réveillé. En arrivant dans sa chambre j'avais donc été très câline avec lui, comme je l'étais la plupart du temps avec lui. Ca me faisait tellement plaisir de le retrouver, c'est trois jours avait été assez long pour moi, je n'avais pas vraiment l'habitude d'être séparer de lui et c'était encore plus dur dans la situation où il était mon petit ami. Le savoir loin de moi m'avait un peu déprimé, mais maintenant je l'avais retrouvé et mon moral était revenu au beau fixe, il était même éclatant de bonheur.

Mais il n'y avait pas que mon moral qui semblait être au beau fixe, je me sentais gêné, je ne savais pas ce qui lui avait procuré tant de plaisir, mais en tout cas c'était bien visible. Je me racla timidement la gorge alors qu'il commençait à avoir les premiers signes du reveil. Je me concentrais sur son visage, en caressant tendrement sa joue pendant qu'il tentait d'ouvrir les yeux et quand il se mit à me sourire, je le fis également, le laissant peu après m'attirer vers lui et m'embrasser. C'est baisers m'avait manquer, ses bras m'avait manqué, son corps m'avait manqué et surtout son sourire et son regard m'avait terriblement manqué, je me rendais compte que Théo avait complètement pris d'assaut mon coeur pour mon plus grand bonheur. Après quelques baisers rude ou tendre, passionné et amoureux auquel j'avais pris un plaisir certain à y répondre, je stoppais notre échange. C'est bon, j'ai récupéré le bon petit ami. Je me à rire doucement. Tu m'as manqué mon amour et je vois que moi aussi je t'ai manqué ... tu as bien dormis ?

Les petits baisers par-çi par-là que m'offrait Théo, me faisait un bien fou. D'autant plus que j'en avais été privé presque quatre longs jours, autrement dire , trop longtemps.Il me rendait heureuse, comme à chaque fois que j'étais avec lui. Je n'avais que de merveilleux souvenir et il me rendait heureuse à chaque fois. Je ne me souvenais pas d'un seul petit jours où j'aurais pu être triste avec lui. Je commençais même à croire que Théo était le bon. A 16 ans, imaginez ! Bon tout le monde me dis, mais à 16 ans on sais pas ce que c'est l'amour, etc .... et pourtant la preuve était là, j'étais amoureuse de Théo, il me rendait heureuse et pour une fois, je ne voulais pas les croire. Je me mis à plaisanté à rire sur ça, je retrouvais mon petit ami par son hardeur et ses envies de m'avoir contre lui, ce serait prétentieux de dire tout le temps mais on en était pas très loin. Je me joignais à lui pour rire et je déposais un bisous long et puissant juste après qu'il l'ai lui même fait et qu'il m'avoua qu'il devenait fou tellement il aurait voulu être avec moi. J'étais tellement fière d'entendre ça et puis mince, j'étais fière de lui, de moi et de nous et j'étais toute excité d'être avec lui. Tant mieux mon ange, j'espère ça t'a fait du bien, parce que je me suis dis que tu devais être fatigué. J'en ai même profiter pour nous faire à manger. Je lui souris et je me redressais pour m'asseoir à califourchon sur lui. Devine ce que j'ai fait ? L'odeur de mon plat avait envahis l'appartement alors ce ne serait probablement pas trop dur pour lui de deviner, mais je voulais jouer, rire, m'amuser, normal quoi. On était pas des vieux crouton, on était fun et on profitais un maximum. Si tu trouve, j'enleve mon haut pour le restant de la soirée. Je me mis à rire. Alors verdict ?

Je fais une petit sourire enfantin à Théo. Oui je pouvais être tellement adorable parfois. Un vrai petit amour comme il me le disais à cet instant. C'était comme ça que j'avais décidé d'être ! Un amour, un petit ange mais qui pouvait bien cacher des choses, un côté maléfique que Théo adorais également. Je sais, je sais et en plus je te gâte. Je suis un véritable amour de petite amie et tu devrais être encore plus fou de moi. Je souris et je me penchais rapidement soulevant le chandail de Théo légèrement pour lui faire un petit bisous au nombril en riant comme une enfant. Puis je lui proposa un petit jeu, lui demandant de deviner ce que j'avais fais, l'alléchant avec ma jolie petite poitrine. Je retrouvais bien mon Théo, lorsqu'il m'en demanda un peu plus si il y ajoutais autre chose et je me cambrais vers l'arrière en riant en sa compagnie. Je me redressais et tout en me penchant légèrement vers l'avant pour aller l'embrasser je murmurais à quelques centimètre de ses lèvres. Pourquoi pas, ça dépendra de ce que tu diras, mais à chaque bouché de mon plat tu devras enlever un vêtement. J'étais fière de ma réclamation. Bah quoi ! Il était pas le seul à pouvoir jouer, moi aussi j'avais le droit. C'était mon idée après tout. Lorsqu'il trouva, je fis style d'être vraiment surprise alors que c'était très facile, mais la petite chose qu'il y ajouta, méritais bien un pantalon en moins. Bravooo ! Je lançais un petit crie de victoire en levant les points en l'air. Tu es trop fort... Comment tu sais que c'est mon plat préféré ? J'attrapais ses mains main et je m'amusais à entrelacé mes doigts aux siens. Mais dis moi , il me semble que tu aime les lasagnes toi aussi, presque autant que les frites et c'est ce que tu aime le plus au monde ! Après moi évidemment ! Je me mis à rire et dans un geste rapide et plein d'énergie , je me mis à rebondir sur le lit et à finir par me mettre carrément debout. Bien alors à moi de jouer. On a dis le haut et le bas... c'est ça hein ? Je lui souriais j'attendais son OUI affirmatif. Puis j'enlevais mon tee-shirt et mon jean. TADAM !!! Je me mis à sauter un peu sur le lit avant de finir mon saut sur le sol afin de me rendre dans la cuisine pour sortir les lasagnes du four.

Je souriais, il m'aimait déjà comme un fou, j'arrivais pas à le croire. Il me le disait souvent, mais j'arrivais jamais à me dire que ça pouvait être vrai. C'est vrai comment on peu aimer une personne à ce point et qu'est ce qui me rendait si différentes de n'importe quelle autre fille. J'étais loin d'être exceptionnel et pourtant même quand il me regardais j'avais l'impression qu'il n'avait d'yeux que pour moi. Evidemment j'allais pas m'en plaindre, c'était le rêve de toute les filles d'avoir un homme fou amoureux d'elle sans pour autant qu'il soit trop collant. Ma relation avec Théo était donc vraiment magique et unique et j'espèrais la voir continuer encore longtemps comme cela. Oh tu es trop mignon toi aussi mon amour. Dis-je en lui rendant son sourire et je lui fis mon petit bisous sur son nombril pour le remercier.

Arriva ensuite le petit jeu que je mis en place. Il voulais que j'enlève mon pantalon en plus de mon tee-shirt, c'était tout lui ça, il ne se contentais pas du haut, il voulait aussi le bas, seulement moi aussi j'aimais son corps et moi aussi je voulais en profiter. J'eu alors l'idée farfelu d'un petit strip nourriture. Pour une boucher de mon plat, un vêtement en moins. Au moins je saurais si mon plat est bon ou dégueulasse. Théo avait raison de se dire qu'il n'aurai plus de vêtant avant la fin de son assiette, de un parce que je savais que je cuisinais les lasagnes à la perfection et de deux parce qu'a moin d'avaler mes lasagnes en deux bouché je le voyais mal réussir à garder tout ces vêtements à par s'il osait se privé. Ahah Je vais pas m'en plaindre , j'y suis gagnante. Plus tu mangeras, plus je verrais ton magnifique corps. Je fis mon petit regard coquin et après il devina enfin mon plat, enfin deviner était un bien grand mot, l'odeur de mes lasagnes commençais à envahir tout l'appartement. Ah j'ai plus souvenir de te l'avoir dit, mais tant mieux preuve que tu m'écoute quand je parle ! Dis-je avec un grand sourire. Et je sais que c'est ton plat préféré mon coeur, c'est pour ça que je l'ai fait, même si je l'aurais fait si ça avait pas été le tiens. Après tout, je débutais en cuisine, je savais faire que ça pour l'instant à part les truc rapide que je maitrisais pour m'en être nourrit toute ma jeunesse, on peut pas dire que mes parents me faisait à manger.

Je me levais sur le lit en sautillant dessus et je me déshabillais comme promis pour Théo, seulement il ne pus pas en profiter beaucoup puisque je fonçais jusqu'à la cuisine. Allez Hop ! Au fourneau femme. Arrivé la bas, je vérifiais la cuisson de mon plat, elle était parfaite, je le mis alors à gratiner un peu. Pendant ce temps la je sortis deux assiettes, deux verres et des couverts que je posais la table. Je me mis à chantonner doucement ma chanson préféré, l'effet qu'avais le bonheur sur moi. Je sortis alors le plat du four et préparais nos deux assiettes avant de retourner gaiement jusqu'au lit de Théo les assiettes et couvert en mains. Je jouais les petite pin-up pour faire rire Théo. Je lui tendis son assiettes et posais la miennes sur le lit. Voilà mon amour ! C'est prêt. Je reviens je vais chercher le reste. Je retournais à la cuisine, attrapais les deux verres, le soda et le jus de fruit et je revins m'installer sur le lit. J'ai trop faim. Dis-je avec un grand sourire.

La folie m'avait envahis depuis que j'avais reçu le message de Théo m'indiquant qu'il serait là bientôt et cette folie ne m'avais plus quitter depuis. J'étais comme une petite fille, le soir de noel devant ses cadeaux avec une seule idée en tête déballer tout pour pouvoir jouer avec ses nouveaux jeux. J'avais donc été comme cette petite fille lorsque j'avais eu son message, j'avais sauter partout et j'étais devenu euphorique à l'idée de pouvoir avoir mon cadeaux et jouer avec. Mon magnifique cadeau étant bien évidemment Théo. Théo était vraiment le mec le plus adorable que je connaisse, on avait pas vraiment besoin de parler pour comprendre ce que l'autre voulait, on le faisait simplement et j'aimais ça. Ne pas avoir peur de mes envies c'était très appréciable et ce qui l'était encore plus c'était de pouvoir les assouvir quand j'en ai envie sans plus vraiment de crainte, ça faisait du bien de se sentir normal pour une fois. La requête de Théo, me paru vraiment étrange. C'était à la fois mignon et pourtant c'est comme si il pensait qu'un truc allait ce produire, une chose qui pourrait remettre en doute nos sentiments. Pourtant j'étais toujours amoureuse de lui et je ne comptais pas m'arrêté là et j'espérais qu'il n'y mettrais pas fin non plus. Un sourire aux lèvres malgré mon étonnement, j'acquiesçait d'un signe de tête. Parce que je t'aime je te le promet et j'ai pas l'intention de l'oublier ne t'en fait pas ! Tu es l'homme de mes rêves monsieur Longway. Je me mis à sourire et j'embrassais son petit ventre plein d'abdos.

Le strip nourriture était une idée toute nouvelle que je n'avais jamais faites avant, je voulais m'amuser et profiter et il était déjà certain que je finirais nu dans le lit de Théo à un moment de la soirée, c'était comme ça entre nous, on avait presque tout le temps envie de faire l'amour et on le faisait on se privais pas vraiment. Après tout l'amour c'est aussi pouvoir combler et satisfaire les désirs de l'autre et nous éprouvions vraiment beaucoup de désir l'un pour l'autre. Alors comme j'avais faim et que lui n'avait probablement pas manger , ça m'étais venu à l'idée comme ça. Peut etre que ça existait déjà quelque part sur terre, mais on s'en ficher de l'autre part ce qui comptais c'était ici et ici dans cette appartement on allait fait monter la température pour nos petite retrouvailles. La première remarque de Théo me fit énormément sourrire, il était tellement adorable avec son petit air innocent et naif. Evidemment ! Je vais pas te privé de miam miam parce que tu as plus de vêtement mon coeur. Je lui souriais et je lui lançais un petit regard coquin et riait à sa deuxième remarque. Oui, je risque de te mordre les fesses si tu m'écoute pas. Et oui c'étais comme ça et pas autrement, j'allais lui mordre les fesses s'il m'écoutais pas au moins ça me permettrais de le ferais réagir. Non je plaisantais, je m'en fichais un peu, même si savoir qu'il retenait quelque information sur ce que j'aimais c'était le principal après qu'il m'écoute quand je dirais que je me suis acheter une paire de chaussure, ça m'importait peu, après tout j'écoutais pas non plus tout ce qu'il disait surtout quand il s'habillais ou se déshabillais devant moi. Mon esprit avait autre chose à faire que l'écouter, il préférais observer precausieusement. Je rigole, je te mordrais ou taperais pas mon coeur mais n'empêche, je suis sur que tu serais même pas contre en plus. Dis -je avec un grand sourire fier. Il me demanda alors s'il devait me dire merci et je fis mine de réfléchir. Tu devrais pas me remercier parce que j'ai fais ton plat préféré, puisque comme c'est le mien, je l'ai fais surtout pour moi , même si un peu pour toi quand même parce que je savais que tu serais content de manger des lasagnes ! Mais tu devrais me remercier parce que mon attention à été de te faire à manger. Je voulais faire ça pour toi. Je me suis dit que tu aurais pas manger alors je voulais pour une fois faire un vrai repas et qui nous plairait à tout les deux.Et je te rassure, j'aurais pas fais des lasagnes si tu avais detester ça, je t'aime quand même ! Je veux que ça te plaise Mon visage se fit enfantin, j'avais plein de petite étoiles dans les yeux et un sourire aux lèvres. C'étais juste pour mon Théo et j'étais fière et satisfaite de lui faire plaisir.

Je pris alors le chemin de la cuisine et je l'entendis ce plaindre de ne pas pouvoir profiter de ma presque nudité, je n'ouvris pas la bouche directement, je préférais sourire et le rendre impatient, ça me permettais de l'aider un peu à gérer son impatience maladive et j'avais appris aussi que plus il attendait plus l'envie s'intensifier et j'y était plus que gagnante parce que les moments qui suivait était intense à chaque fois, pour lui comme pour moi. Alors j'aimais le proverbe " faire durée le plaisir", parce que ça marchait tout le temps avec nous, surtout quand on faisait "monter la sauce" juste avant. Je passa à nouveau la porte et j'étais aux anges de voir Théo se précipiter pour me regarder avec attention. Je lui fis un petit numéro de pin-up très sexy, c'était une sorte de réponse à sa remarque précédente. Merci mon amour, mais ça s'est un aperçut du dessert, il faudra attendre un petit peu avant d'y goûter. Il voulait profiter de son prix, alors il pu profiter de mes fesses quand je retourna dans la cuisine, je fis même exprès de me dandiner pour qu'il puisse fondre devant chaque parti de mon corps. L'avantage du string, c'est qu'il voyait tout et ça ne pouvais que lui faire de l'effet. C'était peut être de la torture, mais à aucun moment j'avais prévu de me balader dans cette tenu devant lui, du moins pas avant qu'on ai décidé de faire l'amour , si on faisait l'amour, donc rien n'avait été calculé à l'avance et je n'essayais donc pas de la torturer.

Je revint dans la chambre et je m'installais en tailleur sur le lit juste en face de mon homme. A voir mon assiette, je mourrais de faim en plus ça avait l'air tellement délicieux que je ne voulais pas perdre une seule seconde, enfin à par quelques secondes pour le baiser de Théo que j'avais soigneusement prolongé. Je m'apprêtais à avaler ma première bouché quand Théo m'incita à jouer à notre jeu. Je levais les yeux aux ciels et une petite idée m'arriva à l'esprit. Ok, tu sais quoi ... Tu mange et tu enlèves tout tes vêtements après avoir fini le plat principal ou maintenant comme tu préfère pour qu'on soit à égalité, mais tu garde ton boxer.Je marquais une petite pause pour lui laisser un peu le temps de réfléchir et je repris. Et quand j'amènerais le dessert, je m'occuperais moi-même de te l'enlever et toi tu t'occupera de me débarrasser de ces morceaux de tissus qui t'empêche de tout voir. Dis-je avec une sourire vraiment très coquin et très sexy. Je me mordis là lèvres et je me redressais un peu pour me pencher légèrement vers Théo. J'approchais ainsi mes lèvres tout près des siennes, frottant tendrement mon nez contre le siens ainsi que mes lèvres contres les siennes et je m'amusais à lui donner envie de mes petites lèvres sensuelle. On est d'accord ? Je deposais enfin un petit baiser sur ses lèvres et je me réinstallais tout en croquant dans mes délicieuse lasagne.

J'étais vraiment très surprise par ses paroles, c'était très étonnant de sa part de me faire promettre de ne jamais oublié qu'il m'aimait. Je le savais, il me le disait assez souvent pour que je le sache et puis si ça n'avait pas été de l'amour, à l'instant où il avait eu ce que soit disant tout les hommes voulaient, il serait parti, or il était toujours là après un mois et demi, presque deux, à me dire qu'il m'aime et à me le prouver à sa manière, alors j'avais vraiment pas de doute sur ses sentiments. Je ne comprenais donc pas pourquoi il semblait si angoissé à l'idée que je puisse penser l'inverse, en douter ou même l'oublier. Cependant, il semblait vouloir que je lui en face la promesse alors je le fis, ce n'étais pas vraiment la plus dure des promesses et j'étais capable de la tenir. Je lui offrit un sourire, légèrement amusé, mais conquise par toutes cette déclaration. Moi aussi mon petit dinosaure. Un sourire aux lèvres, j'appréciais alors le contact de sa mains sur ma joue, la chaleur que celle-ci dégageait alors qu'elle caressait mon visage et je plongeais mon regard amoureux dans le siens avant d'aller embrasser une zone assez sensible de son ventre.

Je n'étais probablement pas la seul à avoir jouer un jours au strip nourriture. Si j'en avais eu l'idée alors des millions d'autre personne l'avait probablement eu. En tout cas, moi ça m'étais venu en voyant mon petit ami, beau comme toujours et me désirant comme à chaque fois, mais également en sachant que j'avais fais un délicieux repas et que je mourrais de faim. Joueuse comme je l'étais je voulais associé les deux plus grand plaisir de se monde, faire l'amour avec Théo et manger, les deux plus grand plaisir à mes yeux, réunis dans un petit jeu débile ou aucune règles n'avait été écrite et où j'étais celle qui décidait de celle-ci, mais chut faut pas le dire. Théo avait le don de me faire rire, rien qu'avec ses petites mimique que je trouvais plus sexy les unes que les autres. Il ne savait pas qu'elle était les règles du jeu et j'aimais ça parce que je pouvais faire ce que je voulais de lui alors si je voulais qu'il m'embrasse à un moment précis j'avais juste à dire "c'est dans la règle du jeu" et il serait obligé de le faire, ça c'était vraiment le pied. J'étais la maîtresse de la soirée, comme pour la soirée de nos un moi. Un petit rire s'échappa donc de ma bouche pour les câlins avec le ventre qui gronde. Je suis pas si sadique que ça, tu peux manger autant que tu veux et tu peux même me manger si tu veux, il semblerait que je sois délicieuse moi aussi. Mais je préfère que tu sois rassasié pour me faire des câlins comme ça rien ne pourra te déconcentré de l'occupation que je préfère. Je lui lançais un sourire satisfait.

Puis, mon petit rire moqueur réapparu pour l'histoire de me mordre un seins si je lui mordais les fesses. Je m'empressais de croiser mes bras sur ma poitrine ! Ah non, pas de morsure à la poitrine, c'est trop douloureux, je préfère encore m'abstenir de te mordre les fesses. La poitrine était une zone très sensible de mon anatomie à la fois pour la douleur mais aussi pour le plaisir, c'était donc douceur et bonheur, mais aussi dureté et douleur, alors je préféré qu'il soit mignon avec mes seins, plutôt que sauvage. Tout le reste du corps il en faisait ce qu'il voulait après, mais les seins fallait y faire attention. J'avais donc tout de même plaisanté parce que je savais qu'il adorerais que je lui morde les fesses ou même une autre parti du corps, j'étais peut etre novice en relation sexuel, j'avais toute de même pu remarquer ce qui lui faisait un certain effet et ce qu'il n'aimais pas du tout et les petit mordillement par-çi par-là avait un bon effet excitateur sur lui, alors j'en profitais beaucoup, surtout durant les préliminaires qui pouvait durée très longtemps comme ce soir puisque je m'amusais déjà à le séduire et à faire monter l'excitation en l'embrassant ou en le taquinant. Je lui lança un regard fière et malicieux. Ahahah j'ai un don pour deviner les choses, je suis juste très doué, faudras t'y faire mon coeur ! J'aimais bien le surprendre, ça me faisait plaisir parce que ça voulait dire qu'il découvrait toujours de nouvelle chose sur moi et comme j'en découvrais également sur lui jour après jour, on continuait à se découvrir jours après jours et s'était selon moi dans un couple vraiment très important.

Théo m'avait également demander s'il devait me remercié et je lui avait fait tout un monologue que j'aurais pu résumer en seulement trois, seulement j'aimais la littérature et j'aimais parler alors, quand il m'avoua ne pas avoir tout écouter, je levais les yeux au ciel. Tu veux vraiment que je te croque les fesses toi !! Et pour résumer oui je veux un merci. Dis-je en souriant. J'en profitais pour me lever, me déshabiller et pour filer dans la cuisine. J'étais contente d'entendre Théo réagir et un "mouahahah" se fit entendre dans mon esprit. Je savais qu'il me trouvait cruelle et méchante de lui faire subir ça, mais c'était tellement meilleure après que je ne pouvais pas résister à la tentation et le voir ronchonner et bouder m'incitais encore plus à le faire. Surtout que s'il n'aimait vraiment pas ça ou s'il ne voulait vraiment pas attendre, il me l'aurait dit où il se serait lever et m'aurais fait l'amour à même le sol, sans se poser de question. En réalité, j'essayais de pimenter un peu notre couple, parce que j'avais l'impression qu'il avait toujours peur que je me sente mal s'il prenait des initiatives ou s'il faisait quelques choses dont il avait envie, mais qui pouvait ne pas être très délicat, alors j'essayais petit à petit de lui montrer que je n'étais pas en sucre et qu'il pouvait me faire l'amour avec passion sans craindre que je me mette à pleurer, à angoisser ou à avoir mal, parce que si sa arrivait, je savais qu'il s'arrêterait sans hésiter, alors je n'avais plus vraiment peur. J'avais confiance en lui, confiance en ses gestes et je voulais qu'il soit heureux avec moi, comme je l'étais avec lui.

Mon numéro de pin-up était le parfait exemple de ce que je faisais pour l'aguicher, je savais qu'il allait fondre en le voyant, surtout avec la tenu dans laquelle je me trouvais. Tout homme un peu "normal" aurait surement fini par craquer : c'était naturel après tout. Il me fit alors sa tête de petit garçon capricieux et son regard méchant. Il était bien trop impatient pour attendre, mais je n'allais pas lui laisser cette chance et j'en rajoutais même une couche. Parfois, je me demandais si je n'en faisait pas exprès pour l'incité à foncer au lieu d'attendre que je vienne à lui. J'avais réussi lors de nos un an à l'attirer jusque dans l'eau pour qu'il me face l'amour et enfin de compte, j'espérait peut-être qu'il vienne m'empêcher de faire ce que j'avais prévu, qu'il me saute sauvagement dessus au lieu d'attendre que je lui dise qu'il pouvait. Cependant, je savais que Théo aimait qu'on le chouchoute, il aimait que ce soit moi qui vienne à lui et que ce soit moi qui l'incite à le faire. Il adorait que la petit novice réclame au maitre, mais il détestait attendre. C'était donc ma petite manière à moi de l'embêter, le faire longuement attendre et de le pousser à bout jusqu'à ce qu'il craque et ça marchait assez souvent.

Après avoir tout ramener dans la chambre, je m'installa enfin, plus question de me lever à présent. Théo vint capturé mes lèvres et je répondis franchement à son baiser. Il était d'accord avec mon arrangement, mais décida de garder ses chaussette. Ca me vas . Qu'à cela ne tienne, j'avais la meilleur vu qui soit sur son corps, une paire de chaussette, n'allait pas m'empêcher de fantasmer et de profiter pendant que je mangeais. Je lui proposait alors un plan pour l'après et pour être sur d'avoir son approbation, j'allais le provoquer sur son terrain. Un baiser tendre et rapidement prolongé par ses soins et j'avais son accord pour mon plus grand plaisir. Parfais.

Je me réinstallais en tailleur sur le lit face à théo. J'étais contente de ma performance jusque là, c'était un très bon début de soirée et nos retrouvailles avaient très bien commencer. Théo se déshabilla et mon regard se posa sur son ventre et notamment les lignes de ses abdominaux et de l'aine. C'était tellement sexy que je me mordais la lèvres de plaisir. Il se réinstalla et j'attrapais l'assiette que mon chéri me tendis et je pris les couverts que j'avais poser à côté de nous et lui tendis les siens. Merci. Une fois que nous fumes servit tout les deux, j'attrapais ma fourchette et commençait à manger. Je me régalais de mon propre plat. Je savais pas si on avait le droit de s'auto féliciter, mais je trouvais mon plat parfaitement réussi, j'étais fière de moi. Je profitais de mâcher quelques bouché pour examiner son ventre de plus près et j'aperçus ses deux pansements sur ses bras. Je fronçais alors les sourcils étonner de voir ça sur lui. J'allais lui poser la question quand il me pris de cours avec la siennes. Je plongeais mon regard dans le siens en répondant avec un petit sourire oubliant ses pansements un instant. Bah, très bien. J'ai beaucoup lu et je suis sorti avec quelques copines, mais tu m'as manqué. Je dois t'avouer que je suis venu ici un soir et j'ai dormis dans ton lit. Je me pinçais les lèvres, un peu honteuse de lui dire ça, mais il m'avait manqué et j'allais pas dormir avec sa veste en cuir, alors je suis venu directement à la source pour avoir son odeur et l'impression d'être avec lui. Et toi ? Dis-je pour passer à autre chose avant qu'il se moque de moi.

Je levais les yeux aux ciels secuant la tête amusé par les paroles de Théo. Il était tellement mignon et touchant comme garçon, on lui donnerait le bon dieu sans confession, tellement il pouvait ressembler un ange innocent parfois. Par chance je le connaissais un peu mieux que quiconque dans la rue et j'avais appris à me méfier de ses petites arnaque même si parfois je tombais de dedans ou je faisais en sorte de lui faire croire. Et oui la manipulation, lui comme moi en étions de parfais utilisateur, mais rien de bien méchant. Ca m'arrange que tu préfère les lasagnes pour la même raison que toi et puis c'est bien plus meilleures que mes petits os. Dis-je avec un sourire jusqu'aux oreilles.

La conversation divergea sur ce petit geste qui pendant les préliminaires ou même pendant l'acte pouvait intensifier le plaisir : MORDRE. Mes seins étaient une zone tres sensible de mon anatomie, même si ce n'étais pas les plus sensible et en fonction de ce qu'on en faisait la sensibilité était différentes et le ressenti aussi. Malheureusement mordre cette partie provoquais une assez forte douleur en moi, comme pour une majorité de femme. Alors j'avertissais inconsciemment Théo des conséquences s'il s'y essayais. Cependant, oui, les petits mordillement quant à eux était plutôt agréable et Théo m'avait procurer beaucoup de plaisir les rares fois où il avait essayer , mais ce n'étais pas ce qui en provoquais le plus chez moi. La fin de sa phrase, alors que nous étions encore dans cette conversation me fit décrocher un énième merveilleux sourire. Oh tu es trop mignon mon chéri . Je me penchais au dessus de mon assiettes et j'allais lui donner un petit bisous sur la joue avant de chuchotter à son oreille. J'ai hâte de pouvoir profiter de mon dessert. Je lâchais un petit rire avant de me rasseoir. Cette petite remarque allais probablement faire son effet comme à chaque fois. Lorsqu'il me demanda comme je faisais pour savoir ce qu'il aimait, je lui expliquait avec humour que j'avais un don et il s'empressa de me fixer droit dans les yeux. Si tu veux. Je lui fis un grand sourire, avant de plonger mon nez dans mon assiette, soudainement mal à l'aise.

De rien mon amour. Lançais-je leur qu'il me remercia. Je vis ses petits joues devenir rouge et je me mis à sourire. Tu sais mon coeur, tu as le droit de pas m'écouter parfois, je t'avoue que je parle un peu beaucoup et je comprend que parfois tu pense a autre chose et que tu perde le fil je vais pas me vexer. Je lui souriais en guise de rassurance et tout en me penchant à nouveaux j'allais l'embrasser tendrement en posant ma mains sur sa joue pour me rasseoir a nouveaux.

Vint alors le moment que je préféré, Théo se déshabilla et après un certain nombre de jour je pouvais admirer à nouveaux la splendeur de cet homme que je considéré comme un apollon. Mon apollon. Je me mordis sensuellement la lèvres et mes yeux plongeaient dans sa contemplation au fur et à mesure qu'il se déshabiller. Je me senti presque obliger de souffler pour calmer mes ardeurs. Depuis que j'étais avec Théo, j'étais presque devenu accro au tactile, voire surtout au sexe, alors que quelques mois plutôt, vous ne pouviez même pas y faire allusion. C'était une très grande évolution, mais je mettais ça surtout sur un terrible confiance en lui et une soif de découvrir tout les secrets de ces relations hommes femmes, Théo était ma motivation à le découvrir.

Sans un mot, il me servit puis me posa une question sur mes 4 jours sans lui auquel je répondis un peu gêner. J'étais encore plus gêné maintenant qu'il me disais que c'était mignon. Je lui fis une petite grimace encore plus gêné. Arrête , ça me gêne , mais tu m'as tellement manqué, c'étais ça ou prendre le premier avions pour l’Italie, alors j'ai fais au plus simple, t'aurais peut être pas apprécier que je débarque l'improviste. Et ton lit est trop méga confortable. Dis-je en me laissant tomber en arrière et en étirant mon corps et me redresser lorsqu'il aborda ses quatre jours en Italie. Il obtint toute mon attention quand il parla de ses deux pansements qui m'avait interloqué à l'instant ou il avait dévoilé ses bras. Cependant sa me perturbait toujours. Tu t'es couper comment ? Pour te couper a ses endroits faut que tu sois tomber sur le ventre les bras allongé. Enfin, ça on s'en fiche, c'est pas ce qui importe. Tu as pas eu trop mal j'espère ? Sinon je vais te donner une double ration de dessert. Dis-je avec un petit sourire coquin.

Les petits compliments, les attentions par çi par là, les regards amoureux, les sourire enthousiastes ou encore les tendres caresses de Théodore, avaient toujours le même effets sur moi, elle me rendait heureuse, presque gaga à chaque fois. En plus de cela, Théodore était assez malin pour s'en rendre compte et c'était une bonne chose, parce que je n'avais aucune honte à être ainsi et ça l'incitais presque à continuer pour le plaisir d'en avoir davantage. Du moins, c'est ce que je me disais au fond de moi. Pourquoi ai-je dis cela ? Simplement parce que pour la énième fois, depuis que je le connaissait et surtout depuis qu'on était officiellement un couple, il me complimente sur quelque chose et à cet instant, il s'agissait de ma cuisine. Je sentis mes joue s'échauffer petit à petit , c'était idiot mais il m'avais piquer à vif.

Les conversations s’enchaînaient petit à petit, parlant de nous , apportant quelque petite allusion ambigue qui avait leur effet à l'un comme à l'autre. Comme celle du dessert que j'avais aborder ! Creme fouetté et fraise au chocolat, seulement ce qu'il ne savait pas c'est que son dessert ressemblait aux dessert des film romantique qui prône l'amour parfais. Tout le monde n'a pas le tripe de manger sur le corps d'une autre personne et si ça se trouvais, Théo n'appréciera pas, mais au moins je finirais par le savoir. Evidemment mon coeur qu'il y'a du dessert, qu'est ce que tu croyais ?

Théo perdu le fil dans une de mes conversations, mais je l'en excusais parce que ça m'étais déjà arrivé pas qu'avec lui, mais avec tout le monde. Grace à cela j'eu le droit à une très belle déclaration auquel je répondit par un magnifique sourire, des joues rougit, un baiser passionné et un je t'aime qui vint clôturer tout cela. Autrement dis, je ressentais exactement la même chose pour lui.

Un peu après, la conversation tourna vers ce que nous avions fait chacun de notre coté durant c'est quelques jours, je lui avait donc un peu honteuse que j'étais venu dormir dans son lit. Contrairement à ce que je pensais, il était plutôt content, si ce n'est fière que j'ai eu ce besoin d'être dans un lieu ou son odeur était impregnié. J'avais préféré faire ça plutôt que de prendre un billet pour aller le retrouver ce qui n'aurait peut être pas plus. Pourtant, il semblerait que ça lui aurait plus. Une prochaine fois ! Mais maintenant que j'ai l'autorisation de rester dans ton lit, je vais le faire plus souvent, je vais en profiter au maximum. Et ca commence dès maintenant. Je poussais mon assiette vide et j'allais me poser juste à côté de lui, posant ma tête sur son torse tout en regardant les pansements sur ses bras dont il m'expliquait l'origine. J'écoutais attentivement ses explications, un peu perplexe, c'était un peu tiré par les cheveux, mais Théo n'avais aucune raison de me mentir alors j'acquiesçai, un sourire désolé sur les lèvres. Oh , je peux faire quelque chose pour diminuer un peu la douleur mon coeur ?

[HJ : c'est naze dsl :S]