Back in Black | Valentina&Julian

Back in Black

Ce matin, Valentina c’était faite réveillée pas les cris de la concierge réclamant le règlement en liquide des trois dernière nuits. Bien sur, la jeune femme n’avait passé qu’un seul entretien d’embauche ou elle avait était devancer de peu par une pimbèche blonde avec le cerveau aussi gros que son œil… Elle fouilla donc à la recherche d’un ou deux billets égarés dans son sac et remarque qu’un billet de 50 dollars et un autre de 100 étaient coincés dans la fausse poche de son sac à dos. Surement sa sœur qui lui avait joué un tour mais grâce à elle, elle avait un minimum d’argent. Elle donna celui de 100 à la madame impatiente qui l’a mise en garde sur le loyer impayé. Val’ prit le billet et le mit dans son sac à main avant de partir en trombe de l’appart. Elle ne pouvait plus rester là ; elle aller finir pas commettre un homicide si elle ne trouvait pas un endroit plus grand avec de l’air respirable et des murs pas aussi fin que de la toile de jute… En ville, elle regarda plusieurs plans et marcha longuement en utilisant toujours les mêmes petits stratagèmes lui permettant d’avoir une boisson et une place de cinéma. Dans l’après-midi, elle fit le tour des galeries du centre avant de s’arrêter devant une boutique de musique. La musique lui manquait, ça devait être la seule chose qui la calmait vraiment quand il le fallait. Une fois dans le magasin, elle ne prit pas la peine de demander où aller mais elle aurait dut, assez vite, elle se retrouva perdue au milieu des albums de Selena Gomez et de Brigit Mendler. Ça faisait longtemps qu'elle c'était pas perdue, ça devait lui manquer...

By Neb Inc. 2012

Vie de riche, vie de pacha… Ne pas savoir quoi mettre le matin, ne pas avoir envie de choisir la douche dans laquelle on l’avait notre corps royal, ne pas savoir quoi manger. J’aimerais pouvoir vous dire que tout ça est difficile mais non, tout ça est trop facile pour qu’une personne autre que Julian P. Campbell puisse en profiter. La raison de mon portefeuille très large? La mafia russe et les meurtres voyons, qu’elle métier autre que celui-là pourrait être à la fois payant et amusant? Je me levai de mon lit en soupirant, ma vie était parfois dur à vivre, la solitude dans une villa qui était plus grande que le manoir playboy devenait rude sans ma copine adoré partit pour son père adoré… Personnellement jamais je n’avais été aussi lèche botte, mon père était mort et jamais je n’avais été même visité sa tombe pour lui dire qu’il me manquait, alors imaginez faire un voyage d’affaire avec lui pour le simple plaisir d’être en famille? Juste d’entendre le mot famille me donnait mal au cœur. J’enfilai un chandail gris et un jean noir très simple, puis je me rendis dans mon garde-robe pour choisir la paire de chaussure que je porterai, choix facile puisque je portais toujours mes fameuse grosse botte. Je sortis de mon appartement en enfilant mes lunettes de soleil, je pris mon iPod pour mettre de la musique qui selon moi était vraiment de circonstance… La musique et moi n’avions pas une bonne relation, autant dire que moi et elle nous somme vraiment nul ensemble. Certes j’aimais danser sur la musique, j’aimais en écouter, j’aimais en fredonner dans ma douche mais tout sa finissait là. Je chantais comme une casserole, je ne s’avais pas joué de la guitare même si j’avais eu de nombreux court et professeur persistant. La rue dans laquelle je m’étais dirigé m’étais complètement inconnue, autant dire qu’elle ressemblait au rue dans les films ou il y avait des dealers de drogue et des pédophiles partout. Heureusement pour moi, je suis beaucoup trop vieux et sexy pour qu’un pédophile puisse avoir envie de moi et je suis bien loin d’avoir une face de mec qui fume de l’herbe alors tout est sous contrôle. Mon plan alors? Étrangement cette rue me disait quelque chose, comme si j'y avait déjà mis les pieds, je passais devant une fenêtre et je compris, l'écriteau parfaitement reconnaissable du centre commerciale, j'entra dans le centre commercial, je voulais demander mon chemin pour quitter cette endroit ou pour être franc, je voulais surtout assouvir ma curiosité. N'étant pas un homme énervé par la perspective du magasinage, je n'y allais pas souvent. J’entrai dans un magasin de musique très beau, peut-être trop beau pour être un magasin de musique cool. J’allai directement vers la vendeuse qui me faisait de l’œil, encore une groupie que je devrais repousser. Je lui fit mon plus beau sourire puis je lui posai ma question ‘’ Je suis désolé madame mais est-ce que vous pouvez me dire ou je suis? ‘’ Dis-je en observant autour de moi voyant les autres clients errer comme des cons.

Ça m'fais pitié...

Valentina regarda dubitativement les CDs. Elle passait du rayon bébé au rayon classique sans trouver ce qu’elle cherchait… Elle retourna à la caisse pour chercher de l’aide, savoir si quelqu’un pourrait éventuellement l’aider… Ils ouvrent un magasin et y sont pas foutus de ranger les choses normalement… Une fois à la caisse, elle vit que toutes les caissières était absente sauf une qui dévorait un mec du regard, Val’ se demandait même si elle écoutait ce que le monsieur lui disait. Elle se dirigea vers les magazines et les carte de vœux en attendant que quelqu’un fasse son boulot. Elle se tournait de temps en temps pour regarder les deux autres et riait de plus en plus en voyant la fille presque allonger sur le comptoir en train de baver. Elle prit un magazine et commença à le feuilleter. Elle le reposa presque immédiatement, que-ce qu’elle en a à foutre que Madame Bling ce soit faite trompé par monsieur Bidule rien que pour qu’on acheter ses disques. Elle se rapprocha une fois de plus de la caisse en soupirant. « J’te conseille de laisser tomber, elle dort debout depuis 10 minutes. »

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La fille qui se trouvait devant moi était trop laide pour que je puisse oser lui adresser la parole, heureusement pour moi je n'allais pas passer ma vie ici, elle allait finir par sortir de sa trans : J'admire le magnifique appollon devant moi, et elle allait me répondre. J'attendais encore attentivement, pourquoi étais-ce aussi long... Étais-je aussi beau que ça? Qu'elle question s'était sur que j'étais aussi beau que ça mais elle allait finir par comprendre que je n'allais pas lui appartenir, elle rêvais trop.. S'était comme vouloir un backstreet boys, sa n'existait pas. Je me tourna enfin lorsque j'entendis une fille parler. '' Elle rêve depuis 10 minutes tu veux dire. '' Dis-je en souriant.

C'est pas possible...

Val’ eu un sourire discret. « Mouais c’est kiff kiff monsieur la star… ». Elle rejeta un coup d’œil vers la vendeuse qui de toute évidence, était à la masse. Elle claqua des doigts devant elle se qui la sortit de son état dubitatif. La caissière secoua la tête et demanda au mec de reformuler sa question. Valentina soupira et repartit vers les rayons des CDs. C’est pas possible qu’il n’y est pas ce disque, il est populaire pourtant… Elle refit le tour du magasin et au moment où elle pensait partir parce qu’il n’y était pas, elle revit la caissière en train de parler à l’homme et derrière elle, l’album qu’elle cherchait. Elle reprit le chemin de la caisse et s’accouda au comptoir en faisant l'inventaire des barres chocolatés et des chewing gum. Au bout d'un moment à attendre pour rien elle se redressa et croisa les bras « Bon euh, je peux passer pour acheter un disque ou vous préférés faire connaissances ? »

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Je lui fis un sourire content de ce qu'elle venait de dire... Moi une star? Je ne veux pas être une star c'est de la merde, j'étais mignon et s'était tout, rien de plus, pas une star! J'observa la fille a coté de moi, elle claqua des doigts pour faire sortir la vendeuse de sa trans puis elle retourna faire ses courses... J'en avais marre de me faire faire des avances par elle, j'en avais marre qu'elle parle comme une conne en manque de sexe et je voulais qu'elle soit dans la lune, j'avais envie de la secouer et de lui dire RÉVEILLE TOI! Je passa une mains dans mes cheveux en attendant qu'elle me revienne et qu'elle arrête de me demander des questions sur ma vie personnelle. La fille vint nous retrouver de nouveau, elle demanda si on allait finir par passer a l'acte parce qu'elle voulait passer... Je me tourna vers elle en souriant '' Mon amour enfin tu est la!! '' Je me jeta dans ses bras en embrassant sa joue lui murmurant du même coup à l'oreille '' Joue le jeux '' Je me recula d'elle en prenant sa mains '' Je t'ai cherché partout. '' Dis-je en lui offrant mon plus beau sourire.

Mais oui bien sur...

Une fois de retour à la caisse, Val’ dut patienter quelques minutes avant que le monsieur ne lui saute dessus, apparemment usé d’écouter la caissière. Ah son amour, mais bien sur… Elle ouvrit la bouche en fronçant légèrement les sourcils. Elle s’apprêtait à lui faire remarquer qu’il se trompait de personne quand il lui chuchota de faire comme si c’était normal. Elle n’enleva pas sa main de celle du jeune homme et se rapprocha même de lui, un sourire aussi grand que faux sur le visage. « Bah maintenant je suis là, tu m’as trouvé, alors tu me paye le CD que tu m’avais promis ? »Elle imita la tête de l’amoureuse qui veut amadouer son petit ami. Son visage gardait quand même un visage mesquin et elle s’approcha de la caisse. Elle désigna un double album noir derrière la vendeuse et laissa monsieur passer devant elle pour payer, lui reprenant la main au passage.

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J'avais trouvé la femme la plus crapuleuse, la plus intelligente que je connaisse non seulement elle voulait que je lui paie un cd mais je n'avais pas vraiment le choix si je voulais fuir la situation et quitter ce putain de magasin. Je lui fis un sourire que je voulais adorable même si je bouillais intérieurement, je n'avais pas vraiment le choix... Par chance que j'avais de l'argent et que je pouvais payer amplement la somme demandé, sinon elle me l'aurait payé. Je lui paya son cd puis je pointa ma joue pour qu'elle me donne un bisous en signe de remerciement... Elle n'allait pas s'en tirer aussi facilement, je passa ma mains derrière son dos puis je la descendit jusqu'a sa fesse que je caressa amplement, je lui donna une tape puis je repris sa mains pour me diriger dehors en remerciant la vendeuse avec un sourire.

Mais oui bien sur...

Valentina se mit en retrait le temps que son "amoureux" paye la somme de ses disques de musique. Elle feignit de regarder les cartes de vœux avec les animaux portant des lunettes où il y avait marqué en gros "Bevely Hills !!! ♥" La vendeuse lui tendit un sac en papier vert, jeune et rose pétard. Elle se rapprocha de la caisse pour attraper le sac et pour faire un petit bisou sur la joue de monsieur pendant que celui-ci mettait sa main en bas de ses reins en descendant de plus en plus. Elle arbora un sourire serein en faisant comme si de rien puis il lui mit une petite tape. Elle tourna son visage vers lui avec un sourire plein de malice. Quand il lui reprit la main, elle la serra en s’appuyant plus sur les endroits sensibles. Elle sortit de la boutique un faisant un sourire faux à la vendeuse comme pour lui dire « je t’ai vu fleureter avec mon mec » Même si elle ne connaissait son pseudo petit copain que depuis 10 minutes.

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Je n'étais pas le genre de personne qui se laissait faire... Julian P. Campbell n'était pas le genre de personne qui se laissait faire. Cette petite brunette allait me le payer en grand, d'habitude j'aimais les femmes avec du caractère mais maintenant que j'avais une copine qui en avait, les femmes qui en avait autant m'énervais. Je descendais ma mains jusqu'a sa fesse pour lui donner une petite tape, je lui fit un sourire que je voulais magnifiquement beau mais aussi très baveur puis je repris sa mains dans la mienne, je caressa son pouce comme le faisait un homme amoureux en feignant de ne pas sentir la pression qu'elle faisait subir a mes doigts. Je lui fit un sourire puis une fois dehors je lâcha sa mains immédiatement puis je tourna les talonts pour la quitter.

Ah ah la blague.

Aussitôt qu’il lâcha sa main, elle en fit autant. Elle regarda le monsieur se tourner comme pour partir. Genre elle aller se laisser faire comme ça ? On se sert d’elle et elle a pas droit à une contrepartie ? Aller quel rabat-joie, faut de l’humour quand même. Elle voudrait bien faire connaissance avec le premier mec qui devait déjà ne plus la saquer. C’était presque drôle de voir comment les gens se comportaient dans la cité des Anges. Elle hésita quelques minutes, elle voulait savoir si c’était vraiment de l’énervement ou quelque chose d’autre mais si elle l’invitait à aller prendre un café (pour pas dire un verre) elle passerait pour une groupie.Nan, c'est très moyen comme idée, néanmoins elle voulait savoir si il la détestait. Elle trottina vers lui en marcha comme si de rien à ses côtés. « Pas très gentlemen de partir comme ça, tu me quitte déjà ? » Dit-elle sur un ton qu’elle voulait le plus convaincant et le moins groupiesque (si ça se dit) possible.

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Je n’étais pas snob, encore moins une personne qui s’offusquait facilement. Je n’aimais pas qu’on me cherche mais qui aimait ça? La jeune fille dont je ne connaissais même pas le nom encore avait voulu jouer à la plus maline et ça m’avait énervé, je n’aimais pas qu’on me prenne pour une tarte au pomme, ou encore moins pour un paquet de nouille, je voulais être pris au sérieux parce que j’étais une personne sérieuse! Je voyais bien qu’elle voulait qu’on fasse connaissance, elle ne voulait pas que je parte comme ça, elle n’était pas le genre de nana qui aimait ce faire laisser en planque. Ce que je trouvais le plus drôle dans le comportement féminin était le moment où elle se demandait ce qu’elle allait faire, on voyait parfaitement la décision dur et pitoyable qu’elle devait prendre, quand elle finissait par la prendre et leur technique de charme pour la mettre en œuvre. Cette femme s’avait parfaitement comment charmer un homme mais vous voulez savoir? On ne charme pas un charmeur. Je sentis une présence venir juste à côté de moi, je compris tout de suite qu’elle avait pris sa décision et qu’elle était justement en train de la mettre en œuvre. ‘’ Je ne suis pas gentleman avec les femmes qui jouent les profiteuses… Encore moins avec celle qui embrasse les joues des pauvres jeunes hommes comme moi! ‘’ Dis-je avec mon air baveur, elle voulait jouer avec le jolie garçons, elle allait être servit.

Autant que ça ?

Valentina attendit sagement la réponse de monsieur. Certes elle avait proffitée de la situation mais qui n’en aurait pas fait autant ? Elle avait vus à son allure et ses fringues, même si elles étaient simples, qu’ils n’étaient pas du tout dans le même bateau. Elle devait se batailler chaque jour avec la gardienne de son immeuble à cause du loyer en retard, lui avait tous ce qu’il voulait quand il le voulait. Même si ça l’aurait étonnée, si c’était juste une question d’argent, elle l’aurait remboursé puis voilà mais l’avait-elle blessée ? Il s’était servis d’elle, elle a marché en profitant de ce qu’on lui offrait, ça s’arrêtait là pour elle. Elle leva le menton, l’air songeur. « Pauvre petit chou, si j’avais pas profiter d’une offre comme ça, j’aurais était soit gaga de toi, soit complètement naïve, et je ne suis ni l’une ni l’autre. » Elle se redressa tout en gardant le rythme du riche pauvre jeune homme « Puis tu te plain que je t’ai fait un bisou sur la joue ? Si je l’avais pas fait tu m’aurait fusillé du regard parce que je marchais pas dans ton plan, puis pour moi c’était rien de plus qu’une bise. »

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Le problème avec ce genre de fille était qu'elle pensait que tout leur était destiné, que le ciel avait été crée pour elle. Je s'avais que je possédais de l'argent, je s'avais que je n'étais pas totalement au dollars prêt mais cette argent je l'avais gagné avec mon père, elle avait une certaine valeur sentimental pour moi parce qu'il était mort tué de la façon dont on l'a gagné. J'ai gagné mon argent dans la mafia russe, je tuais des gens pour des sommes, mon père faisait pareil et je trouvais sa cool jusqu'a ce qu'il ainsi que ma mère se fasse tuer devant moi par un client mécontent. Mon héritage avait un quelque chose de sentimental, mais j'étais beaucoup trop orgueilleux pour le prouver ou l'avouer. '' C'est drôle a voir la façon dont tu te comporte là j'aurais pourtant gagé que tu était naïve. '' Dis-je sans malice ni méchanceté. Je ne voulais pas qu'elle pense que j'étais un méchant garçons, je voulais juste qu'elle comprenne qu'elle devait me respecter. '' Tu veux que je te donne un conseil? Si tu veux paraitre sympathique, si tu veux faire la paix avec une personne avec qui sa a mal commencé.... Ne lui fait pas sentir qu'il est laid ou pas séduisant, c'est pas dans ton camp! '' Dis-je sec, je ne voulais pas sortir de mes gond mais elle disait clairement qu'elle n'était pas attiré par moi.

Ainsi va la vie...

Valentina continuait de marcher en évitant de percuter des gens, tout en écoutant le jeune homme. Quand il lui dit qu’il la trouvait naïve en cet instant, elle eut un sourire en baissant légèrement la tête. Quelques mots sortirent de sa bouche alors qu’elle croyait juste les prononcés dans sa tête « être ou paraitre… » Son père lui avait dit ça quand elle était petite, elle s’en rappelait comme si c’était hier mais elle préféra ne pas soulever le passer, au risque de se remémorer des souvenirs douloureux… Ensuite, il enchaina sur un ton plus sec qu’elle ne mit pas longtemps à comprendre, il aller imploser voir exploser. Seulement, elle n’avait pas pensé dire quoi que ce soit critiquant le physique du jeune homme. Quand elle avait dit "faire la bise" c'était pas méchant, juste qu'il se connaissaient depuis 5 minutes à tout casser à ce moment, et généralement, tu fais pas la bise à quelqu'un que tu haïs, c'est pas très logique. Elle releva la tête avec un beau et franc sourire, mettant ses cheveux derrière ses oreilles. « Qui t’as dit que tu étais laid ? Pas moi, je n’aime pas mentir… » Quitte à blesser pour dire la vérité, et ça c’est un de ses principal défaut, même si certains le considère comme une qualité…

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Je n'étais pas exactement le genre de mec sympathique qu'on pouvait aborder comme ça dans la rue sans avoir de répercussion... Je n'aimais pas montrer au gens que j'étais une personne adorable avant de les avoir fait baver avec mon caractère de merde. J'avais pour mon dire que lorsqu'on rencontrait une personne on voyait toujours son plus beau coté et après son mauvais coté, moi, je voulais montrer mon mauvais coté comme ça les amis que j'aie son au courant que j'ai un sale caractère parfois. Je continuais de marcher sans me préocuper de la fille qui me suivais, étrangement elle ne m'attirait pas, sa personnalité au contraire m'agacait... Elle avait cette façon de me faire sortir de mes gong, elle avait toujours la phrase qui me faisait frustrer, du genre celle qu'elle vient tout juste de sortir... être ou paraitre... Elle se prenait pour un poète connu? Elle ne l'était pas, je me foutais qu'elle aime ce donner un rôle, personnellement je trouve que la naïveté est loin d'être un compliment ou une bonne caractéristique donc elle ne s'est pas donné la plus belle fausse qualité du monde. '' Et bien reviens me voir quand tu aura décidé de me montrer la vrai.... Et puis je sais même pas ton nom! '' Dis-je en éloignant ma pensée d'un geste de mains distrait. Je rigola à sa réplique... Elle pensait vraiment qu'elle venait de me blesser avec son défaut, au contraire, je s'avais que j'étais très beau je n'avais pas besoin d'un inconnu de plus pour me le dire. '' Vrai ou fausse qualité? '' Dis-je en me tournant vers elle, je ne s'avais plus a quoi me fier.

Et mince...

La jeune fille continuait de marcher derrière lui. Elle commençait à se dire qu’elle n’aurait pas dut dire ou faire quelques choses. Elle avait bondit sur une occasion sans se soucier des autres, un poil égoïste… Elle haïssait ce côté de sa personnalité et même si elle essayer tant bien que mal de le "repousser", il revenait à la charge et elle pliait. Elle mettait un moment à se rendre compte de ses actes et elle s’énervait généralement contre elle-même dans ces moments-là. Elle soupira en balançant sa tête de gauche à droite. Elle fixa un moment les CDs, dans l’idée d’aller peut-être ce les faire rembourser et les repayer avec son propre argent… ? Oui elle pourrait faire ça. Après comment lui il aller réagir, c’était autre chose… Il penserait surement qu’elle se paye sa tête. Elle fut sortie de ses pensées par les paroles du jeune homme. Lui montrer ? Et pourquoi ? Ils ne se connaissent pas, ils ne connaissent même pas leurs nom l’un l’autre. Elle continua de marcher la tête légèrement inclinée vers le bas. « Valentina, Valentina Leann Fuller. » Ils continuèrent à marcher quelques minutes puis il s’arrêta et se tourna vers elle en lui demandant si elle ne bluffait pas encore. « J’ai rien à gagner à mentir sur ça. »

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J’étais du genre assez sec dans mes réponses quand je voyais que la personne qui se trouvait en face de moi n’était pas coopérative avec les miennes. La jeune femme qui se trouvait juste en face de moi avait une légère tendance agaçante, j’étais un homme très franc, trop franc parfois et j’avais tendance à ne pas aimer les personnes qui ne l’était pas, celle qui jouait la comédie en particulier. Pour être entièrement franc, je me foutais de l’argent que j’avais dû dépenser pour acheter ses putains de cd, le problème était plus la manière dont elle m’avait forcé, je n’étais pas le genre de mec qui aimait se faire imposer des choses, alors se faire imposer de payer des CDs alors que ce n’était pas complètement dans mon idée, ça me mettait en rogne. Et voilà qu’elle m’apprenait son nom, ça lui allait plutôt bien, Valentina me faisait pensée au jour de la st-valentin et je trouvais que ça lui allait bien parce que justement elle était une tombeuse, ça se voyait à la façon qu’elle avait de changer de rôle selon la personne qu’elle rencontrait. Heureusement pour moi elle ne me demanda pas mon nom, je ne me sentis pas obligé de lui dire, je tins mon nom sous silence. Je me retournai vers elle pour lui demander si cette fois elle me disait la vérité. ‘’ Parfais enfin une chose qui est vrai… Dit moi Valentina c’est ton vrai nom? ‘’ Dis-je en souriant.

Valentina L. Fuller a écrit:: Ah la la..

Valentina avait une petite carapace. Elle ne parlait pas souvent la première fois qu’elle rencontre quelqu’un, et selon, soit elle l’envoi boulé, soit elle l’ignore et elle continue sa route. C’était les deux seule techniques sure qu’elle avait développé, toute les autres tentatives finissait en cascade de nom d’oiseau tous plus… raffinés les uns que les autres. Elle avait pris une habitude telle qu’elle ne répondait plus aux gens qui l’appelait si elle ne les connaissait pas bien, et ça ne la gênée pas qu’on parle dans son dos. C’est bien pour ça qu’elle avait développé son côté franc et parfois cassant, généralement les gens la laissait quand elle leurs avait dit leurs quatre vérités. La rencontre avec Julian avait était spéciale parce qu’elle n’était pas d’un naturel manipulateur et elle se surprenait de faire certaines chose parfois, mais la seule chose qui l’a poussait à faire ça, c’était son côté égoïste. Oui parce qu’elle était plus qu’égoïste de temps en temps, et au fil du temps, elle s’en était rendue compte et elle avait essayé de corriger ce défaut mais c’était peine perdue et de temps en temps, elle craquait et pouf, toi t’es plus quelqu’un, t’es juste un truc qui va servir à mes fins. Génial… Le pire, c’est que bien sur elle sait pas se rattraper mais en même temps, cette partie l’aidait un peu. Elle avait juste à s’excuser (ou pas) puis à ce barrer. Elle continuait à marcher en s’écartant pour ne pas être bousculée. Le brun finit par se tourner vers elle. Après un petit commentaire sur le fait qu’elle n‘avait pas mentit sur sa franchise -paradoxal- et il lui demanda si son prénom n’était pas un mensonge. Elle fit non de la tête en souriant. « Pourquoi ? Valentina c’est si moche que ça sur moi ? »

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Je ne faisais pas confiance, je n'avais jamais été capable de faire confiance parce que pour moi le monde est constitué d'hypocrite narcissique qui ne veulent que votre perte. Je faisais confiance à une personne dans toute ma vie et s'était Annalynn en qui j'avais une confiance étrangement aveugle. Je suppose que c'est dû à l'amour que je lui porte ou peut-être juste parce qu'elle est spéciale et qu'elle mérite de ne pas être comme les autres. Je n'aimais pas les manipulateurs, peut-être dû au fait que je faisait partit d'eux, ou parce qu'il me tapait juste sur les nerfs. Valentina faisait partit des personnes qui me tapait sur les nerfs, surement parce que d'une certaine façon elle était comme moi... Allons Julian, la première personne qui est un peu comme toi ici et tu la rembarre, fais un effort patate! Je baissa les yeux, je ne voulais pas qu'elle croit que je faisais partit des gens incroyablement narcissique et enmerdant de LA, je voulais qu'elle voit que je faisait partis des sympa moi. Je passa une mains dans mes cheveux en affichant un sourire. '' Non Valentina c'est bien, ça me fait pensée a st-Valentin, tu crois que tes parents te prenaient pour cupidon? '' Dis-je en rigolant.

[Désolé du gros retard :$ ]

Sujet: Re: Back in Black | Valentina&Julian

» back to black [ Justinos
» (TERMINÉE) « I'm glad you're back. » || JULIAN&ANNALYNN
» ▬ Valentina L. Fuller
» Il fait chaud ici, nan? [Valentina & Luke]
» Belle rencontre || VALENTINA&MATTHEW

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