You haunt me now, not only in my dreams, but in my world. | Nicolas & Ellen |
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Sujet: You haunt me now, not only in my dreams, but in my world. | Nicolas & Ellen | Mer 10 Avr 2013 - 1:41
Assis devant mon ordinateur, je parlais seul dans cette salle commune où moi et mes amis qui me servent de coéquipier dans League of Legends nous pratiquons. Six ordinateurs diviser en deux rangers se retrouvaient dos à dos. J’étais devant l’un deux, je jouais à ce jeu qui était désormais plus qu’un divertissement, puis je parlais à mes fans de partout à travers le monde avec mon micro et la webcam. Je faisais du streaming, c’était une de mes sources de revenus. J’avais été engagé par un site web permettant aux gens de regarder d’autres gens jouer à deux partout à travers le monde, je recevais un chèque variant selon le nombre de personnes qui me regardaient, le nombre d’heure que je faisais du streaming et les pubs qui se diffusaient à ma discrétion. Un inconnu qui serait rentré m’aurait sans doute prit pour un fou qui se parle à lui-même, mais la réalité c’est que j’étais en train d’expliquer les choix d’équipement pour mon personnage à mes fans qui me regardaient en grand nombre. 11 256 personnes me regardaient à l’heure qu’il est. C’était plutôt surprenant puisqu’on était en début de matinée. En tous cas, la partie arrivait à sa fin. Je venais de tuer quatre des cinq joueurs ennemis et il ne restait plus qu’à détruire la base ennemie. Une fois que ce fut fait, j’arrêtais le streaming et l’ordinateur et je partais au lit. Oui il devait être 7 ou 8h du matin quand je suis allé me coucher, ce n’était pas si rare pour moi, je jouais souvent en soirée et parfois sans m’en rendre réellement compte je passais la nuit debout. D’autre fois quand on était dans une période de tournoi je passais mes nuits debout pour me pratiquer le plus possible et je dormais quelques heures le matin avant d’aller au tournoi. Bref, je suis parti au lit avec l’intention de dormir jusqu’à 12 ou 13h.
Quelques heures plus tard je me suis réveillé. Ce n’était pas un réveil naturel j’avais rêvé de cette femme, de cette femme que j’avais retrouvé dans une ruelle un soir en sortant d’un bar et que j’avais reconduit chez elle. Depuis ce soir-là, elle me hantait. Chaque fois que je sortais d’un bar je faisais un détour par chez elle avant de rentrer chez moi. J’espérais la croiser et voir qu’elle allait bien. Ça n’est évidemment jamais arrivé. Quelles étaient les chances qu’en pleine nuit elle sorte dehors, soit debout ou même soit chez elle? Bref, il m’aurait fallu pas mal de chance pour lui tomber dessus. Donc comme je disais, j’avais rêvé d’elle et je me réveillais très troublé. Pourquoi m’obsédait-elle autant au point de se rendre jusqu’à mes rêves malgré tout le temps qui s’était écoulée depuis cette soirée? Je n’en avais aucune idée et ça me donnait sérieusement l’impression d’être un pervers ou quelque chose du genre. Mais surtout, ça me rendait extrêmement mal à l’aise je venais tout récemment de perdre ma femme et plutôt que de la pleurer et d’en faire des cauchemars je faisais des rêves d’une autre femme? Je devais vraiment être le pire des maris sur terre… un vrai salaud… un vrai pervers ouais. Pourquoi rêvais-je à elle? Je ne me rappelais même pas réellement de mon rêve si ce n’est de sa présence, mais un homme ne rêve pas d’une femme innocemment en générale j’avais donc la désagréable impression d’avoir fait un rêve assez « hot » ou héroïque si vous préféré. Elle n’était pas laide ni rien, quoi que son état second ne la mettait pas en valeur, mais c’était tout de même désagréable, car je me sentais comme si je trompais ma femme. Je sais elle était morte, mais quand même. Je ne me sentais pas bien alors je me suis très vite lever et habillé pour aller prendre l’air à l’extérieur. J’avais besoin de me changer les idées et de me mettre une autre face que celle de cette fille ou de ma femme dans la tête. Ma femme me donne envie de pleurer et l’autre me met mal à l’aise. Je suis donc sorti à l’extérieur et j’ai commencé à marcher vers le centre-ville. Je songeais à aller me prendre un petit quelque chose au Starbuck lorsque je la vit, cette fille de mon rêve, elle était là en chair et en os devant moi. On marchait dans des directions opposées et il ne me fallut pas plus d’une fraction de seconde pour la reconnaître lorsque mon regard passa sur son visage. Je voulais regarder n’importe où sauf là, j’avais l’air d’un fou et d’un pervers comme je m’étais senti suite à mon rêve, mais malgré cette volonté je n’arrivais pas à mettre mon intention à l’exécution… je continuais de la fixer.
Ellen C. Braden
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Sujet: Re: You haunt me now, not only in my dreams, but in my world. | Nicolas & Ellen | Mer 10 Avr 2013 - 14:51
C'est drôle , je ne sais pas qui tu es , je ne sais pas ce que tu me veux, je ne sais pas pourquoi tu me dévisage à ce point là et n'importe qui d'autre aurait probablement déjà pris la poudre d'escampette, mais j'ai comme une impression bizarre que tu ne me veux aucun mal, que tu es juste un peu perdu.
On se connait ?
J’étais tranquillement installé sur mon lit. Enfin mon lit, disons plutôt le lit du Wilshire Hospital où j’avais séjournée ces quatre derniers jours. J’attendais patiemment qu’une infirmière vienne me donner les papiers qui m’étaient destinés pour pouvoir enfin quitté cet endroit. Le médecin était passé un peu plus tôt dans la matinée et au vu de mon état qui s’était s’en aucun doute amélioré, il m’avait enfin autorisé à sortir avec pour recommandation d’éviter tout surmenage. Il m’avait aussi prescrit quelques médicaments à base de plante pour m’aider à dormir à la maison, rien d’addictif au vu de mon passé de toxico, mais il pensait que ça pourrait être un petit plus pour facilité mon entrée dans le sommeil. J’avais donc beau être impatiente d’avoir ses papiers et de partir, il n’en était pas moins que j’étais tout de même inquiète de ne pas parvenir à dormir ailleurs que dans cet hopital. Je n’étais pas sûr que le simple faite de réalisé qu’elle était la cause de mes insomnie ou plutôt de ma crainte à dormir, réglerait totalement le problème, mais bon je n’étais pas spécialiste, si les médecin le pensait c’est qu’après tout c’était peut etre vrai et je devais y croire, si je voulais mettre toute les chances de mon côté et éviter un retour dans ce lieu que peu de gens aime.
L’infirmière finit par se présenter en fin de matinée. Alors que je commençais sincèrement à désespéré sur sa venue. J’étais donc libre aux alentours de midi et c’est avec mon petit sac, en main, que je sortis de l’hôpital pour me rendre jusqu’à mon domicile. Je n’avais demandé à personne de venir me chercher, je ne voulais pas qu’il rate des cours ou qu’il modifie tout leur planning pour moi, alors j’étais rentré toute seule, mon état me le permettant. Oui, j’avais du sommeil à rattraper, mais je n’étais pas non plus sur le point de m’écrouler et ce n’est pas une petite marche à pied ou une balade qui allait m’achevé. J’avais donc mis une bonne demi-heure à faire le chemin et une fois arrivé chez moi, je parti immédiatement sous la douche. Je sentais l’hôpital, une odeur que je haïssais au plus haut point. J’étais seule à la maison et en allant fouillé dans les placards, après m’être changé, je constatais que mon frère y avait fait une rasia. Je n’avais donc pas le choix, si je voulais manger, il fallait que je sorte en ville. Au final, ça m’arrangeait plutôt bien parce que loin de moi était l’envi de rester enfermé une journée de plus, je voulais me dégourdir les pattes, sentir la chaleur du soleil sur ma peau, le vent tiède carresser mes cheveux. J’avais envie de bouger de sortir et de profiter de ma liberté.
La première chose que je fis lorsque j’arrivais sur le boulevard de Santa Monica, fut de me rendre à la pharmacie. C’était chose faite et je pouvais alors profiter de mon après-midi. Mon estomac criant à présent famine je m’arrêtais à un petit marchand ambulant de Hot dog et continuais à marcher dans le centre-ville, regardant les vitrines des magasins. Je marchais en direction d’une petite boutique que je connaissais bien quand je sentis le regard d’un homme se poser sur moi, instinctivement, je lui souris timidement, sans pour autant m’arrêter et j’entrais dans la boutique, constatant au passage qu’il n’avait pas cesser de me fixer. Je n’y prêta pas plus attention, mais lorsque je m’approcha du portant prêt de la vitrine, je constatais que le jeune homme était toujours là et qu’il me regardait toujours. Il ne détourna même pas la tête quand je lui fis prendre conscience que je l’avais remarqué, ce que ferait beaucoup de personne en temps normal. Je trouvais ça très bizarre. Puis étonnamment, après avoir pris un instant pour le dévisager moi aussi, j’avais comme l’impression que son visage me disais quelque chose, mais j’étais certaine de ne l’avoir jamais rencontré, j’avais une bonne mémoire à ce niveau-là. C’est donc un peu hésitante, que je finis par sortir de la boutique pour aller le voir. Vous avez un problème monsieur ?
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Sujet: Re: You haunt me now, not only in my dreams, but in my world. | Nicolas & Ellen | Mer 10 Avr 2013 - 18:22
Après une soirée et une nuit derrière mon écran d’ordinateur à « bosser » j’avais fait un petit somme et je m’étais réveillé troublé par un rêve centré par une fille que je n’avais vu qu’une fois. Une nuit qui m’avait marqué va savoir pourquoi, bon c’est vrai je ne ramenais pas toutes les femmes chez elles pour les mettre dans leur lit comme ce fut avec le cas avec cette fille, mais il ne s’était rien passé de si particulier et elle était dans un état second alors on n’avait pas parlé ni rien. Je me sentais vraiment bizarre de rêver à ça alors je m’étais dépêcher de sortir prendre l’air. Je voulais oublier toute cette histoire et cette fille, à quoi bon me laisser hanter par une fille que je ne reverrai jamais malgré toutes les tentatives que j’avais faites ces dernières années pour essayer de voir si elle allait mieux? Je ne faisais que me torturer moi-même par le malaise de penser et rêver à une autre femme que la mienne morte tout récemment. Bref, je suis sorti et j’ai marché longuement pour me rendre au centre-ville avant de finalement décidé d’aller au Starbuck me prendre quelque chose là-bas. C’est là que ma journée a pris une tournure intéressante, mais inattendue, j’étais littéralement scié en deux tout cela semblait être un rêve. De quoi je parle? Bah cette fille que je n’avais pas vue malgré toutes mes tentatives se retrouvait soudainement devant moi. Évidemment aujourd’hui j’étais super troublé par ça, je ne voulais plus voir personne et surtout une fille depuis la mort de ma femme alors il fallait absolument que je tombe sur LA seule fille qui pourrait me troubler encore plus que je ne l’étais déjà. VIVE MA VIE. Ce n’était pas assez de la voir, il fallait que je reste là à la dévisager comme un idiot. Je le savais en plus, je me sentais super idiot et je voulais regarder ailleurs mais niet. Je restais les yeux fixé sur elle comme un triple idiot. Pas un simple, pas un double, non un triple. Le pire c’est qu’elle l’a bien remarqué, elle m’a même sourit, pourtant rien à faire même si elle m’avait vu la dévisager je continuais. Je m’auto décerne le prix Nobel de l’idiotie. Je finis par fermer les yeux quelques secondes, au moins je cesserais de la regarder. Après je les rouvris et regarder le ciel en priant à voix basse qu’elle ne vienne pas me voir. Je l’avais entrevue en mouvement. La dernière chose que je voulais qui se rajoute à toutes mes emmerdes c’est de paraître encore plus débile en parlant avec elle. Je le voyais déjà venir, j’allais faire un fou de moi pour de bon. La vie me fit un beau doigt d’honneur, car elle vint s’adresser à moi. Enfin, une voix féminine s’adressa à moi et je supposais que c’était elle. Je baissais les yeux et bingo c’était elle. Les choses ne pouvaient qu’aller plus mal n’est-ce pas? Pourquoi la vie me ménagerait-elle après tout elle vient seulement de m’enlever ma femme c’est trois rien !!? Elle me demandait si j’avais un problème. Ô misère qu’est-ce que je devais lui répondre moi? Non du tout, seulement je t’ai retrouvé paumé dans une ruelle sous l’influence de produit illicites alors je t’ai ramené chez toi dans ton lit et je suis sorti? Mais voyons… ça aurait l’air fou et je n’avais pas du tout envie de me faire honte. De plus, allait-elle me croire? Puis même si elle me croyait elle pourrait me soupçonner d’avoir abusé d’elle ou un truc du genre? Elle avait pas toute sa tête alors elle n’en a aucun souvenir toutes les options seront ouvertes pour elle. Elle pourra librement décidé de ce qu’elle veut croire. Je ne savais pas du tout quoi dire alors je me lançais, mais je savais pertinemment que je disais des bêtises qui ne faisaient aucun sens. « Uuuuh non du tout… en fait uhhh j’ai un tableau, un portrait d’une femme et euuh vous lui ressemblez pas mal. Ça m’avait désolé, je veux dire troublé. Désoler. » J’avais envie de me faire un coup direct au visage, mais j’avais assez fait un fou de moi pour aujourd’hui je n’allais certainement pas en rajouter une couche supplémentaire. Quoi que… ça pourrait le faire partir? Le cauchemar prendrait fin plus rapidement elle me prendrait pour un fou et je ne devrais plus jamais la revoir donc tout ira bien n’est-ce pas?
Ellen C. Braden
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Sujet: Re: You haunt me now, not only in my dreams, but in my world. | Nicolas & Ellen | Jeu 11 Avr 2013 - 0:05
C'est drôle , je ne sais pas qui tu es , je ne sais pas ce que tu me veux, je ne sais pas pourquoi tu me dévisage à ce point là et n'importe qui d'autre aurait probablement déjà pris la poudre d'escampette, mais j'ai comme une impression bizarre que tu ne me veux aucun mal, que tu es juste un peu perdu.
On se connait ?
C'est toujours une sensation bizarre que de se sentir observé, je dirais même plus de savoir qu'on nous observe, qu'un inconnu ne nous lâche pas des yeux et nous fixe longuement, sans qu'on puisse connaitre la raison de cet acte. On se demande ce qu'il nous veut, s'il à l'intention de nous emmener dans un coin sombre pour nous trancher la gorge, ou si on le connait mais qu'au final on ne la simplement pas reconnu, ou tant bien même si on a un truc sur nous qui fasse qu'on a attiré son attention. Malheureusement quoi qu'on imagine, on aura jamais la réponse tant qu'on ne le lui aura pas demandé et puis même si on lui demandait, quelles sont les chances que cette personne soit honnête en répondant ? Un psychopathe ne nous diras pas qu'il a l'intention de nous tuer par exemple, quoi que ça a du déjà se produire un jour. Mais, tout ça pour dire que le regard des autres sur nous pouvait être l'une des choses les plus déstabilisante au monde. Heureusement, je n'en étais pas encore à paniquer et à me dire que c'était un psychopathe ou un violeur -même si j'espérais que ça n'en soit pas un- tout simplement parce que quelque chose en lui me disait qu'il n'était pas méchant. Je ne savais pas vraiment comment l'expliquer, je le ressentait comme ça, tout simplement et puis même physiquement il n'avait vraiment pas l'air d'être dangereux. Au contraire durant le bref moment où j'avais pris le temps de l'examiner à mon tour, il ne se gênait pas alors moi non plus, j'avais cru voir un homme brisé, un homme marqué par la souffrance , même si au premier abord il semblait juste un peu troublé. Alors selon moi, c'est pas vraiment ce genre d'homme qui semble être les plus à craindre et c'est pour ça que j'avais finit par prendre la décision d'aller le voir, d'aller lui demander s'il y'avait un problème. Je voulais comprendre pourquoi en l'espace de 5 min j'étais devenu son seul centre d'intérêt, je voulais aussi comprendre pourquoi j'avais aussi cette impression de l'avoir déjà vu, alors que même en cherchant bien je n'avais aucun souvenir de l'avoir rencontrer ou croiser un jour.
Lorsque j'eu passé la porte pour aller l'aborder, il avait finalement détourné le regard, j'aurais cru qu'il serait parti comme un voleur ou qu'au contraire,il continue à me fixer mais ce n'étais pas le cas,il avait projeter son regard vers le ciel. Je fronçais les sourcils un peu étonné avant de lui demander s'il avait un problème. Il avait une attitude assez bizarre jusque là, j'étais vraiment surprise par son comportement, elle était loin d'être normal ou logique, alors je préférais essayer de démêlé le fin mot de l'histoire, je voulais comprendre pourquoi il agissait ainsi. Il pris un certain temps pour me répondre et je cru comprendre qu'il cherchait tant bien mal à se trouver une excuse et une raison. Je resta donc face à lui sans rien dire le laissant parler. Il avait l'air totalement paniqué et troublé. Je me sentais un peu vache, mais je ne pouvais m’empêcher de sourire, un peu moqueuse, rien d'irrespectueux, mais je trouvais ça amusant et mignon les hommes qui semblait troublé. Je finis par lâcher un petit rire discret avant d'acquiescer et de dévoiler mon sourire. Y'a pas de mal et faut pas vous mettre dans des états pareil. Je ne savais pas vraiment quoi pensé de son histoire de tableau et surtout qu'un tableau me ressemblant puisse autant perturbé un personne, ni même qu'il puisse en réalité existé un tableau avec une femme ayant une grande ressemblance avec moi, mais bon au moins, j'étais certain que ce n'étais pas un fou furieux, il avait encore moins l'air dangeureux maintenant qu'avant. J'allais m'apprêter à la saluer et à repartir mais je ne le fis pas, plongeant mon regard dans le siens un peu gêné parce que j'avais l'intention de lui dire. Euh...puis-je vous donner un conseil ? Je me mis grimacer , un peu hésitante tout de même. Je ne voulais pas le mettre plus mal à l'aise qu'il ne l'était déjà, mais ma taquinerie prenait légèrement le dessus. Vous devriez faire attention a ne pas trop fixer les femmes qui ressemble à celle peinte sur des tableaux. Parce que ca nous inquiète un peu et aussi marrante soit la chute, tout le monde n'en rira pas. Je ris un instant, j'étais fière de ma connerie, comme à chaque fois que j'en sortais une finalement. Enfin je vous dis ça, je vous dis rien. Je voudrais pas que ça vous cause des problèmes, vous avez pas l'air d'être une mauvaise personne.
made by pandora.
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Sujet: Re: You haunt me now, not only in my dreams, but in my world. | Nicolas & Ellen | Jeu 11 Avr 2013 - 1:40
Je venais de dire la connerie la plus dénuée de sens de toute ma vie, sans blague je venais de dire un beau ramassis de bêtises et dire que pendant un instant j’avais vraiment cru que ça marcherait… je crois bien qu’il faudra que je revois les heures que j’accorde au sommeil mon cerveau a besoin de repos il est surchargé et ne trouve rien de potable à dire. Si seulement elle était laide ou autre, ce serait tellement plus facile de me dire que c’est rien et simplement lui dire la vérité. Mais là j’avais l’impression, la quasi-certitude même, que si je lui disais elle me prendrait pour un pervers ou autre. Quel mec va prendre une fille droguée pour la ramener dans son lit et rien faire? Ça paraît irréaliste. Je n’étais pas bête moi, bon peut-être en ce moment je l’admets, mais en général mon cerveau ne tombe pas en panne. Bref. La fille me souriait, mais pas un sourire sourire, un sourire d’une fille qui se moque, mais ce n’était pas assez pour devenir irrespectueux. À vrai dire, je me mis systématiquement à rire, rire de ma connerie et je riais de ma propre gueule aussi, car il me paraissait évident qu’elle savait la vérité. Rectification, qu’elle savait que je lui avais menti sur les raisons pour lesquelles je l’avais fixé. Elle avait aussi ri discrètement d’ailleurs, mais elle finit par me répondre en faisant comme si elle ne savait pas que je lui avais menti. Elle me répondit tout bonnement que ce n’était rien là et blablabla. En un sens, je lui en étais reconnaissante, ça allait m’éviter d’avoir l’air encore plus stupide en racontant un autre mensonge complètement incohérent. Peut-être aussi que j’étais trop dur avec moi-même et qu’elle y croyait tout simplement ou alors qu’elle n’était pas sûr que je mentais? Dans tous les cas, elle n’en demanda pas plus alors j’étais satisfais et je me disais que c’était mission accompli pour l’agent double zéro que je suis. Je n’avais encore jamais pensé aux chiffres derrière le double zéro, peu importe le chiffre rien ne semblait aussi bien sonné que 007 et donc toutes les réponses que je pouvais bien donner serait immédiatement nulles alors je n’avais pas essayé de m’attaquer à cette mission impossible. Je la laisserais pour Tom Cruise et sa bande dans leur prochaine aventure. « Merci. Je me sens malgré tout con, je me disais d’arrêter de vous regarder, mais mon corps ne m’obéissait pas. Peut-être que je vous trouve belle? Je suis trop perdu pour répondre de mes faits et gestes en ce moment. Faites attention. » Je me sentais ridicule, mais je crois que j’avais assez dosé mes paroles pour ne rien laisser paraître de mon malaise. En tous cas, c’était bien moins atroce que la première fois que je m’étais adressé à elle. « Quoi que... peut-être pas... je viens vraiment de lui dire qu'elle est belle? Comment je peux dire ça alors que ma femme est encore fraîchement enterrée ! Dans le genre andouille je fais fort aujourd'hui... » Ces derniers mots résonnèrent fortement à mes oreilles et me firent remarquer que je parlais à voix haut. Je devais véritablement avoir atteins des sommets dans le domaine de l'idiotie là... biggest idiot ever. Ce serait mon titre. Bref... alors que je croyais qu’elle partirait elle se remise à me parler, elle voulait me demander si elle pouvait me donner un conseil. Je répondis instinctivement oui et je craignais d’avance une réponse cinglante du genre « ne mens jamais à une belle fille t’es vraiment nul. » Mais non, quoi que jusqu’à un certain point on pouvait croire qu’elle savait. Elle me disait simplement d’éviter de recommencer à dévisager une fille qui ressemblerait à une femme peinte sur un tableau, car certaines pourraient mal le prendre. Elle rajouta qu’elle me disait ça, car je ne semblais pas être une mauvaise personne. Je souriais en coin avant de laisser sortir une autre bêtise « ça dépend… si c’est un tableau de Picasso et qu’il les déforme complètement je peux comprendre qu’elles soient blessées, mais si c’est une œuvre réaliste je crois qu’elles devraient être fières. Un tableau c’est fait pour être beau en général alors il faut quelque chose de beau à peindre. Pour ce qui est moi, j’essaie d’être le meilleur moi possible en général, mais pas mal tout le monde paraît bien aux inconnus… on veut faire bonne impression. J’ai raté à ce niveau, j’ai fait un fou de moi-même, mais ce n’est qu’un détail » finissais-je en riant.
Ellen C. Braden
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Sujet: Re: You haunt me now, not only in my dreams, but in my world. | Nicolas & Ellen | Jeu 11 Avr 2013 - 18:16
C'est drôle , je ne sais pas qui tu es , je ne sais pas ce que tu me veux, je ne sais pas pourquoi tu me dévisage à ce point là et n'importe qui d'autre aurait probablement déjà pris la poudre d'escampette, mais j'ai comme une impression bizarre que tu ne me veux aucun mal, que tu es juste un peu perdu.
On se connait ?
Je ne croyais pas vraiment à son histoire de tableau. C'était un peu tirer par les cheveux et même si c'était vrai , de la à me fixer une bonne dizaine de minute et être troublé à ce point c'était un peu exagéré. Néanmoins, je le félicitais pour cette magnifique excuse qu'il avait probablement dû aller chercher loin, très loin dans son esprit et il pouvait être fière de lui, elle était plutôt original et eu le don de me rassuré quand à son possible penchant de psychopate. Et même si finalement, je ne savais toujours pas pourquoi il était aussi perturbé et abasourdi à ce point de me voir, je ne chercha pas à l'enfoncer davantage et à le rendre plus mal à l'aise encore, qu'il ne l'était déjà, même si j'avais toujours trouvé ça mignon, un homme qui rougissait ou qui était mal à l'aise devant une femme ou vis à vis d'une situation cocasse. Puis, j'étais loin d'être le genre de personne cruelle et mesquine, son excuse était plutôt marrante et je préférais imaginé qu'elle puisse être vrai, plutôt que d'apprendre un autre truc bien désagréable. Oui ! Parfois j'étais pas très logique avec moi-même ou normal peut-être, mais tout savoir n'étais pas forcément une bonne solution, les mystères, les secrets pouvait nous épargniez bien des surprises. Je savais déjà que je ne l'avais pas oublié à tord, il ne semblait pas me connaitre plus que ça alors je n'avais pas à culpabilisé de ne pas le reconnaître ou autre chose. Ainsi, même si je me moquais gentiment de lui et de son malaise, je préférais le rassuré en lui disant que ce n'étais pas si grave. Il est vrai que c'est très bizarre et que ça peut foutre un peu les jetons, mais c'est quelques petites seconde à parler avec lui m'avait convaincu de ne pas en faire tout un plat et d'en rire. D'autant plus qu'il venait de m'avouer que c'était hors de son contrôle bien qu'il avait essayé d'arrêter. Il me fit rire de nouveau, même un peu rougir, heureusement mon teint de peau cachait bien les choses, bien que mon sourire était assez grand pour me trahir, parce que même si j'avais conscience d'être plutôt une jolie fille ça faisait toujours plaisir et c'était toujours aussi gênant d'entendre un inconnu vous dire que l'on est belle. Ok je vais faire attention promis. Dis-je tout de même amusé.
Durant un instant aucun de nous deux n'osa parler, nous étions probablement tout les deux trop mal à l'aise pour dire quelque chose. Mais alors que je commençais à me dire que je ferais mieux de partir,il marmonna quelques paroles. Je pensais qu'il s'adressait à moi, alors je l'écoutais attentivement, mais rapidement, je compris que je n'aurais jamais du les entendre. Au début j'avais envie d'en rire, l'entendre être surpris d'avoir pu me complimenter, c'était plutôt marrant, mais la révélation qu'il fit ensuite, me laissai un peu mal à l'aise. Je gardais tout de même la face, parce que je n'étais pas sensé l'avoir entendu. Puis, malgré moi un léger rire s'échappa d'entre mes lèvres, même si au fond je ne savais plus vraiment où me mettre. Je me sentais un peu mal pour lui, je ne sais pas si c'est moi qui le rendait d'autant plus bizarre qu'il ne l'était ou si c'était le fait qu'il était un peu perdu, mais pour rien au monde j'aimerais être à sa place. C'est pour ça que je ne relevais pas. Même si lui et moi avions conscience qu'il avait parlé tout haut, je préférais ne rien dire à ce sujet, je n'avais toujours pas dans l'idée de le faire sentir plus bas que niveau ou de le gêné d'avantage. Je préférais changer de sujet et lui donner un petit conseil tournée sous un air de connerie, comme j'aimais si souvent le faire quand il s'agissait de me moquer gentiment de quelqu'un. Il ne compris pas vraiment le sens de mon conseil et m'a connerie au final, il pensait que je parlais simplement que les femmes pourrait mal prendre le compliments, alors que j'étais plus sur le fait que les femmes qui se sentait épié contrairement à moi pourrait être effrayé et que ça pourrait lui causer des problèmes, mais c'était rien, ou peut-être qu'en faite dans son flot de paroles, c'était moi qui avais juste pas compris le sens de sa réponse, c'était fort possible. Mais au moins il avait réussi à nouveau à me faire arraché un sourire. Dois-je comprendre que je devrais être fière, de savoir que ma ressemblance avec votre tableau vous trouble à ce point ? Parce que c'est moi je le prend comme un très bon compliment. Et si je peux vous rendre la pareille, je ne vous prend pas pour un fou, du moins plus maintenant.
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Sujet: Re: You haunt me now, not only in my dreams, but in my world. | Nicolas & Ellen | Jeu 11 Avr 2013 - 19:30
Il n’y avait vraiment rien à faire, j’étais un cas désespéré chaque mot qui sortait de ma bouche rendait la situation encore pire qu’elle ne l’était déjà. J’avais vraiment l’impression que peu importe les mots qui sortaient de ma bouche ça finissait inévitablement pas formé une énorme connerie qui me faisait paraître encore plus bête à chaque fois. Je me sentais déjà assez bête avec cette histoire de tableau, il m’avait fallu en rajouter à plusieurs reprises. Je me voyais déjà écrire « Comment paraître con devant une belle fille pour les nuls. » Ça ferait un tabac et je suis certainement le plus grand expert dans le domaine au vu de ma performance du jour. On pourrait revoir le titre pour « Comment paraître con devant une fille dont on a rêvé la veille », mais c’était trop précis ça se vendrait moins bien. Ouep je rédigerais le tout en rentrant à la maison et j’irais soumettre mon manuscrit à un éditeur. C’est clair que tous en voudrait. Bref, j’avais battu mes propres records d’idiotie. Mon dernier fait d’arme était une sorte de compliment ou d’argumentation bizarre pour les femmes qui sont sur les tableaux. C’était d’un ridicule sans nom. Je me demandais vraiment comment cette fille faisait pour endurer autant d’idioties? Elle était même restée de glace quand j’ai échappé une pensée plutôt gênante à voix haute. Enfin, elle avait ri, mais c’était trois fois rien. Je me serais attendu à pire, la dernière chose que j’aurais voulu c’est qu’une inconnue me prenne en pitié. Ça m’agace à tous les coups. Mais c’est bien moins pire que quand ce sont mes proches qui me demandent comment je vais ou si je veux parler de ça, si je vis bien mon deuil, etc. JE NE VEUX PAS ENTENDRE PARLER DE MA FEMME. Je l’ai aimé plus que je n’aimerai jamais qui que ce soit d’autres je crois bien, mais ça me fait tellement souffrir en ce moment que je préfère ne pas entendre parler d’elle. C’est bien trop tôt. Ça fait encore trop mal. La plaie n’a pas cicatrisée quoi ! Bref, les choses n’avaient pas exactement tourné comme prévu, mais elle avait plutôt bien réagit. Enfin, bien réagit de mon point de vue à moi. Une autre personne pourrait très bien se dire qu’elle réagit très bizarrement, mais moi ça faisait mon affaire ses réactions. Je mettais toutes ses pensées de côté et je répondis finalement, à sa réponse sur la question des femmes peintes sur des tableaux. « Tout à fait, à moins que vous pensiez que je manque de goût en matière de femmes. Mais je crois avoir plutôt bon goût autant en arts que pour les femmes alors je crois que vous devriez être très fier qu’un sosie de vous se retrouve sur un tableau dans ma cuisine. C’est tout un honneur » dis-je semi sérieux. Je rajoutais ensuite « c’est tant mieux si vous le prenez comme un compliment et merci de votre indulgence, j’ai vraiment fait un fou de moi aujourd’hui. » Je ne savais plus quoi faire dans le moment, devais-je partir? Rester? Je n’en avais aucune idée. Mais pour mettre fin au silence je fis quelque chose que je n’aurais jamais cru faire de sitôt, surtout avec une inconnue, et je sorti une photo de moi et ma femme de mon portefeuille. Je m’approchais d’elle et je la lui montrais. « Je suis à gauche et ma défunte femme est à droite, à vous de juger si mes goûts ont de la valeur ou pas » dis-je sans la moindre gêne. C’était bizarre, c’était sûrement le sujet qui me rendait le plus inconfortable au monde en ce moment, mais je lui en parlais ouvertement et sans la moindre trace de gêne dans ma voix, mes gestes et mon comportement de manière général. Ça faisait plutôt bizarre, mais je devrais bien m’y faire, car un jour il faudra bien que je me fasse à l’idée qu’elle n’est plus là et je n’ai pas l’intention de me mettre à ignorer qu’elle a existé… je veux juste m’éviter de la souffrance inutile pour le moment. C’est bien la dernière chose dont j’aie besoin à l’heure actuelle. « Alors quel est le verdict? Bon goût, mauvais goût, ça va, pas mal? »
Hrp: La photo de lui et sa femme est dans le spoiler.
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Sujet: Re: You haunt me now, not only in my dreams, but in my world. | Nicolas & Ellen |
You haunt me now, not only in my dreams, but in my world. | Nicolas & Ellen |