Cela ne fait maintenant que quelque semaine, jours... que j'ai était kidnapper et cela me hante toujours.. j'ai peur des que je mes le pieds hors de mon lit quoi que, même dans le lit j'ai toujours peur il faut qu'il y est quelqu'un avec moi. Depuis que j'ai était ramener par Matthew Rider de l'endroit ou j'étais enfermer je n'est passer que une nuit seul dans mon lit ou dans ma chambre.. aucune présence c'était le premier soir cela ne fessais même pas 24 heures que j'étais libre..  et après ce soir la a ne pas avoir dormir tout comme les autres nuit de la semaine presque a être enfermer je fessais tout pour me retrouvais avec quelqu’un, il me fallait une présence avec moi.. en ce moment je ne vivais pas beaucoup chez moi, j'étais souvent chez ma soeur ou son Ex Matthew mais ce soir je voulais être chez moi et je voulais passer aussi une soirée avec une amie.

Eva était maintenant mon amie, ce qui pouvais être drôle car vue comment en n'arrêter pas de ce chercher au début.. j'avoue que des que je les vue elle ma de suite plus et pouvoir la faire chier est assez plaisent surtout que maintenant elle prend gout et s'amuse a me faire chier alors qu'elle arrêter pas de prendre tout au sérieux au début. Puis il n'y avais pas que sa, pleins de chose coller super bien avec elle! en rigoler assez souvent, elle aimer la musique même si elle n'ont parle pas souvent mais au moins je sais qu'elle m'écoute quand je parle de ma musique et de mes cours et surtout je me laisser allais avec elle a être moi sans trop montrer de chieur. Puis aussi malgré le fait qu'elle ne m'aimer pas trop fin de compte au début elle a un grand coeur et depuis maintenant a mes coter pour m'aider a allais mieux, on passe des soirée ensemble enfin pas beaucoup car son copain a fait une crise... donc sais dur a l'avoir pour dormir je doit la convaincre énormément dans la journée pour qu'elle dort aussi chez moi.

J'avais préparer quelque boisson dans le frigo pour être au frais avant qu'elle arrive et le frigo était pleins, l'employer que ma mère avait pour faire les course et le ménages l'avait remplie. je regarde mon téléphone pour voir l'heure et commence a m’inquiéter du fait qu'elle a une minute de retard...

La vie était parfois bien surprenante. On pouvait passer du coq à l'âne en quelques seconde, être en totale paradoxe avec ce que l'on pense, se mentir à soi même , ou être trop franc, cacher des choses ou les révéler au grand jour où encore devenir ami avec le gros chieur de notre rentré universitaire. Autant de chose, autant d'agissement qui rendent la vie palpitante et malheureusement parfois ennuyante ou triste. Ce que nous sommes, ce que nous faisons, ce que nous choisissons , tout ceci construisait notre existence et la personne que nous serions dans quarante autre année. Pour le coup j'étais plutôt dans l'idée de trouver ça passionnant mais probablement parce que je ne me faisais toujours pas à l'idée que Robin et moi pouvions être ami.

Il avait été le pire gros chieur que j'ai jamais vu et j'en avais vu pas mal de ce genre la, j'avais eu plusieurs fois envie de l'étrangler avec sa casquette et de lui faire avaler sa langue , soyons honnête, je ne rêvais que d'une seule chose ne plus jamais avoir à faire à lui, mais finalement à force de persuation et probablement d'un peu d'agacement j'avais céder à la curiosité. J'avais tenter de cherche ce qui se cachais sous la carapaces de ce petit chieur d'université et j'en étais pas vraiment mécontente. Au contraire, le chieur comme je continue parfois de l'appeler n'étais pas seulement qu'un chieur et j'appréciais de plus en plus sa présence. C'étais bien ça la surprise de ce début d'année scolaire et je ne m'en remettais toujours pas de la rapidité avec laquel on était passer d'un conflit à une relation amicale.

Malheureusement il traversait pas la plus belle des périodes et je ne sais pas pourquoi j'avais instinctivement eu envie d'être présente pour lui. Peut-être parce que j'aimais bien l'idée d'avoir un ami, d'être complice avec quelqu'un d'autre que l'homme que j'aimais et à ça place je sais que j'apprécierai de voir qu'une personne dont on ne connait presque rien soit prête à venir vous redonner un petit peu le moral. Ce soir c'est à nouveaux ce que je faisais, mais pas seulement. A présent je pouvais compter  Robin dans mes amis et comme avec n'importe qu'elle autre de mes amis aussi rare soit-il je ne rechignais jamais à passer une soirée avec eux. J'avais donc accepter son invitation et je me rendais chez lui. J'avais pris un peu de retard en me préparant et je me pointait une dizaine de minute après l'heure qu'il m'avais donné en rien rien de bien grave puisque la limite du pardonnable était 15 minutes. Je frappais donc à sa porte attendant qu'il vienne m'ouvrir.