Hé oh ! Tu sais comment je m’appelle ? Mon nom est Brandt et mon prénom est Lisa Adelaide. Tu aimerais en savoir plus sur moi ? Alors continue à lire. Je suis née en 1989 le 24 mai à Berlin, j’ai 24 ans. Je suis de nationalité américaine, mais d’origine allemande. J’adoooore les hommes , je suis donc hétérosexuelle et je suis célibataire. Cela fait 10 ans que je suis dans cette ville. J'ai choisie Aimee Teegarden parce que je l’adooore comme actrice

Lisa est une personne plutôt compliquée à comprendre. Elle aime faire le contraire de ce qu'elle pense pour faire plaisir à ses proches. Elle montre aux gens qu'elle peut être heureuse, mais au fond d'elle, c'est de la tristesse. Elle n'aime pas montrer ses émotions et qu'on lit en elle comme un livre ouvert. Elle préfère tout garder pour elle. Déranger les gens, c'est ce qu'elle déteste le plus. C'est une personne qui est très débrouillarde. Elle n'a pas besoin de personne pour se sortir du pétrin. C'est surtout dû à la surprotection de son père qui l'a rendu ainsi. Elle a commencé par avancer sans demander des conseils à qui que se soit. De première vue, c'est une personne timide, renfermée, insociable. Une fois connue, on voit vraiment son vrai côté. En fait, c'est avec ses amis qu'elle agit différemment. Avec eux, elle peut faire pleins de folies, rire pour rien, raconter des blagues etc.. Même si on a l'impression qu'elle est très distante, c'est une des personnes qu'on aimerait parler lorsqu'on a besoin d'une solution pour résoudre un problème.

« Bye Lisa et reviens nous voir dès que possible! » Dans une journée, j’allais devoir m’adapter à un nouveau mode de vie qui allait être la mienne. Mon père et ma mère avaient déjà pensé à déménager à L.A. depuis longtemps. Ils aimaient l’ambiance de la ville et voulaient faire changement. De plus, ma mère avait une ligne de vêtements qui marchaient très bien là-bas. Quant à mon père, il voyageait souvent à L.A. pour le travail. Et moi, je n’avais aucunement envie de quitter mon petit chez moi. J’avais mes amies à moi à Berlin et je ne voulais pas les quitter. Vous savez bien que ça n’allait pas les faire changer d’avis. J’avais 13 ans quand nous étions partis. Ça me faisait beaucoup de peine d’être loin de mes autres amis. Arrivée sous peu, la rentrée allait débutée. On m’a assigné à un professeur spécialisé pour les personnes qui viennent d’immigrer aux États-Unis. Je connaissais un peu la base de la langue, mais pas tout à fait à 100%. Il m’a fallu beaucoup de temps avant que je m’adapte. Berlin me manquait beaucoup trop, mais mes parents m’ont promis qu’on allait rendre visite à la famille chaque été et que j’aurai la chance de voir mes amis. Ça me réjouissait un peu. Je suis enfant unique, ce qui veut dire que mes parents me chérissent de la tête jusqu’au pied. Mon père est très protecteur envers moi. Ils me traitent comme si j’étais un bébé… Revenons à nos moutons. Je me débrouillais quand même bien et m’intégrant bien aussi. De plus, j’ai rencontré Sarah, une fille très sympa qui m’a beaucoup aidé. Elle est allemande aussi, mais elle est née à L.A. Elle m’aidait dans tout et m’apprenant de nouveaux trucs. C’était rendu ma meilleure amie à L.A. depuis que je l’ai rencontré. Je l’adore! Nous sommes toujours ensemble. C’est grâce à elle si j’arrive à bien m’adapter. Je me débrouille parfaitement, même si j’ai un accent tout mignon. Les gens n’arrêtent pas de me le dire sans arrêt. Rendu à l’université, je me suis inscrite en soin infirmier avec Sarah. Elle voulait aussi devenir infirmière tout comme moi. C’est alors que je rencontrais Sam. Il était dans l’équipe de football. Je le trouvais incroyablement beau depuis que je l’ai vu et aussi je fus attiré par lui. Étonnamment, Sam m’avait remarqué aussi. J’étais très surprise, car je n’avais jamais pensé que j’allais sortir avec un footballeur. Tout se déroulait à merveille. On vivait le parfait amour. Durant un soir de match, je rencontrais son coéquipier, Jean-Sébastien Lessard. Je le trouvais beau, mais rien de plus. J’étais en couple et ce n’est pas mon genre d’être infidèle envers quelqu’un. Dès qu’on s’est mis à discuter, je sentais une très bonne chimie entre nous deux. On s’entendait à merveille. Il y avait une certaine attirance. C’était vraiment bizarre comme sensation. Ça me donne des frissons à chaque fois juste à y penser. Je ne me faisais pas trop d’idée avec ça. Je ne crois pas que ça sera possible entre lui et moi. On se voyait parfois en dehors des cours en tant qu’ami et ça ne plaisait pas du tout à Sam. Il remarquait que j’étais rendue beaucoup trop proche de lui et ça l’effrayait. Je le rassurais que je n’aimais pas que lui. Je ne savais pas trop si j’avais des sentiments pour lui ou simplement une sensation qui va passer après quelques temps… Enfin bref, j’essayais de ne pas trop me préoccuper de ça. Malheureusement, il était toujours dans mon esprit. Sam faisait souvent son jaloux peu de temps après. Je me préoccupais plus de J-S que Sam. Finalement, j’ai décidé de rompre avec lui. Je ne pouvais pas continuer à être en couple avec lui si un autre mec me perturbait. Celui-ci a refusé de m’écouter et voulant à tout prix rester avec moi. Il s’imposait de plus en plus et voulant qu’on fasse l’amour pour se rapprocher. Au moment où il déposait une main sur moi, J-S arrivait à temps. Il le repoussait. Je ne savais pas trop d’où il sortait, mais tout ce que je savais c’était que j’étais contente de le voir. Ce soir-là, nous couchons ensembles. On ne s’est jamais remis en question à ce sujet. Peut-être qu’on n’avait pas envie de se prendre la tête? Ou peut-être que c’était une partie de jambe en l’air? Peu importe! J’en ai rêvé jour et nuit et pouvant le sentir à mes côtés me suffisait amplement. Il m’avouait peu de temps après qu’il aimait quelqu’un d’autre. J’avais envie de pleurer toutes les larmes de mon corps et lui dire qu’il me plaisait. Non! Je me taisais et je lui souriais en lui disant que j’étais contente pour lui. Ensuite, il me disait qu’il devait partir de L.A. pour aller à la NFL. Je lui souriais encore une fois et l’encourageant dans ses projets. Comme prévu, il était parti sans même me donner des nouvelles… Je commençais à être déprimer. J’avais l’habitude de le voir à chaque jour. Il me manquait horriblement. Ce qui est clair, c’est que ça allait jamais être possible entre nous deux. Je crois que ma vision et la sienne n’étaient point similaire. Je me faisais de faux espoirs et à la fin je n’ai rien gagné. Ça m’a pris un temps à passer par-dessus. Je me suis concentrée sur mes études et oubliant les mecs. Ils allaient attendre et je n’étais pas pressé. Je croyais que j’en avais terminé avec les problèmes. C’était rendu à la famille. Mon père n’arrêtait sans cesse de me surveiller. Il voulait toujours être courant de tout. Je comprenais qu’il faisait ça pour mon bien et qu’il s’inquiétait pour moi. C’était rendu limite agaçant. Je me sentais étouffée et pas à l’aise. Il me laissait rarement sortir de peur que j’aille ci et ça. En ayant marre de cette protection, je commençais à lui mentir. Je lui disais que j’allais étudier et que j’allais coucher chez une amie. En fait, j’allais à des soirées bien arrosées et me bourrant. Il n’a jamais su ce que je faisais. Encore aujourd’hui, il ne se rend pas compte. Avec tout ce que je venais de vivre, j’ai eu ma leçon. Ma leçon de la vie est de ne pas s’attacher rapidement aux gens. Je veux toujours devenir infirmière et ma meilleure amie est toujours à mes côtés pour me supporter.