Cela faisait maintenant plusieurs jours qu’Apollon et moi nous nous adressions plus la parole. Pour cause, Apollon eu un ras le bol de ce qui m’entourait et d’autre chose surement vu ce qui trainait sur les réseaux sociaux, mais je ne savais que ce qui me concerner. Les raisons sont, Matthew, mon frère et que je le prends pour une roue de secours, voilà ce que j’avais retenu. Bon je l’avoue je fais très rapidement mes conclusions, mais j’avais été énervé qu’au bout de deux jours, après notre retour, nos nous prenions la tête. Ça avait commencer avec Mary, il devait partir avec elle à New-York, chose qui ne me plaisait pas, mais je ne voulais pas commencer à l’interdire quoi que ce soit, ce qui ne m’avait pas plus, c’est qu’il ne m’avait pas prévenu, je l’avais appris seul sur Facebook, de quoi clairement m’énerver, puis il y a eu son pétage de plomb, il ne voulait plus me voir, pour un soir, me faisant comprendre qu’il se posait des questions sur nous, qu’il en avait marre que ont passé soit trop présent, que mon frère le critiques, sans arrêt, je pouvais bien comprendre, mais de là à nous remettre en cause et de me dire que je l’utilise comme roue de secours ne me plaisait guère.

Aujourd’hui, il voulait parler, à vrai dire j’en avais pas vraiment envie, j’étais têtu et je boudais assez facilement. Mais je cédais, à vrai dire le voir me fera du bien, puis nous avions besoin de mettre les choses aux claires. Avant que j’accepte qu’il vienne, je faisais un devoir, un peu énerver, déconcentrer, une goute du produit tomba sur mon bras. « Put*n … » Je me lève rapidement allant à la cuisine passant mon bras sous l’eau chaude, puis je pris des essuies mains, le mouillant pour ensuite le poser sur mon bras retournant à mon devoir, acceptant, à ce moment qu’Apollon vienne. C’est une dizaine de minutes après qu’il frappa à la porte de mon appartement, Paco se mit à aboyer, allant devant la porte. « C’est ouvert. » Dis-je fortement. « Paco, viens là. » Il recule de la porte, ne venant pas pour autant vers moi, aboyant, mais dès qu’il vu Apollon, il venu lui faire la fête, convainquant comme chien de garde non ? Apollon rentre alors, mais ce n’est pas pour autant que je venais le saluer, je fis mine de rien, continuant mon devoir, mais je venais de terminé, alors je mis mon échantillon dans un tube, le fermant, pour ensuite le mettre dans une pochette exprès. Je n’avais plus mon plâtre, je savais que pour ça aussi j’allais me faire disputer, mais qu’importe. Je range ensuite mon matérielle, disant à celui-ci. « Je t’écoute.. »

Apollon venait d’arriver chez moi, il s’était bien accueillir par mon chien, mais pas par moi. J’étais froide et distante, j’écoute son monologue, rangeant mon matérielle, mais je n’allais pas vous mentir que j’avais mal à mon bras, mais aussi à ma petite brulure, bref, en ce moment j’avais la total avec mon bras gauche. Je pose mon regard vers Apollon lui disant avec un petit sourire de garce. « Sortait moi les violons. » J’enlève mon sourire, énerver contre lui. « C’est bien facile de revenir deux trois jours après et essayer de tout faire pour me récupérer. Tu t’es trompais à mon sujet, je ne suis pas sortis avec toi en voulant t’utiliser comme roue de secours Vancove, je suis peut-être blonde, mais loin d’être conne. Oui je suis proche de Matthew, même si lu s’en fou de moi, mais c’est comme ça, que ça te plaise ou non, je ne me détacherais pas de lui. Il fait partie de ma vie d’une autre manière et non celle que tu penses. » JE soupire. « Bref, tu vas dire oui je suis d’accord, nanana, mais en fait au fond tu penses le contraire, tu vas vouloir éviter les soucis, blabla.. » Dis-je terminant de ranger. « Je n’ai pas envie de me prendre la tête, ça fais même pas un mois que c’est bon tu commences à péter un câble, mais qu’es que ça va donner ensuite ? Je me suis mise avec toi car je tiens énormément à toi, j’aime me sentir aimé, tu as une manière bien à toi de le prouver et j’ai jamais eu ça, j’adorais ça. Mais à peine de retour de notre voyage que tu fais tes crises de jalousie et dit que des conneries. » Je roule des yeux fermant le sac, soupirant, m’asseyant ensuite baissant mon regard. « J’ai pas besoin de ça… »

Je l’envoyais en quelques sortes boulet, disant que j’en avais un ras le bol de cette situation, qu’il se mette à croire n’importe quoi, pour x raison. Je lui tendis mon bras, ayant tout de même mal. Je le regarde alors faire, grimaçant, de plus c’était mon bras avec mon entorse, donc une douleur assez récente. « Doucement… » Dis-je posant ensuite mon regard sur lui. « CE ne sont que des photos, je savais même pas qu’il avait ça, je le croyais pas, après c’est rien, elle date de roi zezette, qu’s que j’en ai à faire de nos anciennes coucherie, comme si je me mettrais à lui tourner autour alors que je suis avec toi, appel moi con Vancove. » Je repose mon regard sur mon bras, le retirant ensuite, pour poser mon regard sur lui, lui demandant sérieusement. « Tu penses vraiment que je t’utilise comme roue de secours ? » Il y avait un peu le regard triste dans mes yeux, à vrai dire, ce sont les paroles qui m’avait le plus toucher, au point de prendre beaucoup de recule avec lui. Je baisse mon regard. « Je pensais pas que tu aurais pensé ça de moi… Je suis peut-être attachée…Peut-être beaucoup même, à Matthew, mais il faut t’y faire, il fait partie de ma vie Apollon, il a changé ma vie, il m’a fait devenir bien, je le remercierais jamais assez pour ça, alors je serais toujours là pour lui, comme toi tu peux l’être avec d’autre. Je ne le désire plus, je ne veux plus l’embrasser quand je le vois, j’ai juste envie de le tarter avec les conneries qui peut faire. Alors me demander de prendre des distances avec lui, c’est impossible, même si c’est dur à entendre, ça restera comme ça. » Je voulais le rassurer, mais à la foi lui faire comprendre, que Matthew fessait partie de ma vie, même si Matthew, lui, se fichait de moi. « En ce qui concerne mon frère, il est dans sa période rebelle, il finira par l’accepte et qu’il l’accepte ou non ça changera rien entre nous, enfin ça ne changer rien pour moi avant… »

Apollon s’approche de moi, me faisant comprendre que je devais lui tendre mon bras afin qu’il me soigne, ce que je fis, j’avais mal, puis je savais que même si on avait du mal à s’entendre ses derniers temps il serait là pour moi. Je lui dis de faire doucement, il me fit alors la morale ce qui avait le don de m’agacer. « Je sais, mais bon faut bien je reprenne le sport aussi, puis c’est plus la brulure qui me gêne qu’autre chose. » Dis-je enlevant mon bras ensuite lui posant des questions, me justifiant ensuite. Je l’écoute attentivement, le fixant dans ses magnifiques yeux, je baisse mon regard à la fin de son monologue, disant en haussant les épaules. « Et maintenant quoi ? » Je redresse mon regard ajoutant. « On va reprendre notre vie comme si de rien.. Pour qu’ensuite tu te remettes à peter un câble pour x raison ? » Je soupire regardant mon bras, il n’avait même pas terminé, alors je lui tendis le bras de nouveau disant. « Je n’ai pas envie qu’on se prenne la tête pour des conneries… Je n’ai surtout pas envie de me prendre la tête, j’ai juste envie d’être bien, sans chercher à me prendre la tête. »

Je lui tendis mon bras afin qu’il puisse me soigner, mais rapidement il me fit la morale concernant mon bras, j’hausse les épaules. « Je m’en prendrais qu’à moi-même ! » Dis-je comme simple réponse, enlevant mon bras, afin de me concentrer dans ce que je dis, mais rapidement je lui tendis à nous pour qu’il termine de me soigner, n’allons pas nier, j’adore qu’on s’occupe de moi. Je regarde ce qu’il faisait à mon bras, l’écoutant avec intention. « Je suis loin d’être la femme idéale Vancove, j’en suis parfaitement consciente, je sais que ça peut vite te saouler de me voir autour de certaine personne, pour pas dire Matthew, mais sache que quoi qu’il arrive, j’ai pas l’intention de lui sauter dessus, ni même l’embrasser quand je le vois, je veux juste être présent, essayer de le titiller son cerveau pour qu’il se souvienne. »  Je soupire de douleur quand il toucha d’avantage mon bras, puis je lui dis à nouveau. « Maintenant au lieu de tout garder pour toi et exploser au dernier moment, dit le moi toute suite, ce n’est pas bon de garder tout pour sois, tu vois les conséquences, c’est une prise de tête interminable et affreusement épuisante. »

Je lui tendis mon bras, regardant ce qu’il faisait, ne voulant pas le regarder dans les yeux, car à vrai dire, j’avais beaucoup de mal à bouder quand il se trouvait face à moi, il était affreusement craquant et irrésistible, mais j’étais quelqu’un de très têtu. Je ne répondu rien en ce qui concerner ‘être une femme parfaite, je l’écoute ensuite continuer à parler le regardant terminer mon bandage. « Eh bien arrête de pensé que ça je vais le faire aussi. » Je soupire regardant mon bras. « Merci… » Je relève mon regard sur lui, le fixant, voyant son visage triste, mais à la fois fatiguer. « Arrête de faire cette bouille… » Dis-je posant ma main sur sa joue, pour ensuite l’enlever. « Je veux que tu me promette de me dire quand il y a une chose qui ne va pas, d’accord ? » Dis-je cherchant son regard pour qu’il me promesse.

J’écoute Apollon enlevant ma main de sur sa joue lui disant. « Sauf que moi je trouve rien à te dire. » Je fis un petit sourire ajoutant. « Je suis bien avec toi, à vrai dire c’est bien la première fois qu’un homme m’aime de la manière que tu m’aimes, et j’adore ça. » Je m’approche de lui, venant lui voler un baiser sur le bout de ses lèvres, pour ensuite me mettre dans ses bras, mettant mes bras autour de sa nuque faisant attention à mon bras ajoutant. « Maintenant, on arrête le boudin ! » Je me recule ensuite, regardant mon bras, puis je lève, soupirant. Puis je lui dis. « Je suis fatigué, on va se mettre sur le canapé ? » Dis-je lui tendant ma main, attendant qu’il se lève à son tour.

Voilà le problème résolu, je savais que sa présence aller tout changer, il avait un don de m’apaiser assez rapidement, puis je ne voulais pas réellement jouer la boudeuse éternellement, je ne voulais plus être la fille d’avant, qui fait vivre un enfer à ce qu’elle aime. Malgré cela, c’était tout de même le cas, sans vraiment le vouloir, quoi que je fasse, j’arrivais à faire souffrir ce que j’aime, c’était mon don, malheureusement. Je m’approche de lui, lui volant un baiser, pour ensuite me blottir contre lui, réclamant ensuite d’aller s’installer sur le sofa afin qu’on se repose, puis aussi avoir un petit moment de tendresse, contre lui. J’en avais besoin. Je pris alors sa main, rapidement je me retrouvais contre lui, il me proposa de poser ma tête sur son épaule, je souris le regardant. « J’ai mieux comme idée.. » Je le force à s’allonger, puis je me mis sur lui, posant ma tête contre son torse essayant de bien me placer pour ne pas avoir mon bras « abîmer » bloqué n’importe où. Je redresse doucement ma tête ajoutant. « On est mieux non ? »

Nous voilà sur le canapé, il voulait que je pose ma tête contre son épaule afin de me repose, mais je ne voulais pas, je voulais être contre lui, dans ses bras. Je le force à s’allonger, venant contre lui, lui demandant ensuite si cette position lui plaisait, je souris à sa réponse ajoutant. « Eh bien dors.. » Dis me redressant doucement lui volant un baiser, posant ensuite ma tête dans son cou, posant un baiser rapide sur celui-ci. Puis je ferme les yeux, je m’endormis assez rapidement, pour ensuite me réveiller en sentant Paco me lécher le bout des doigts, j’ouvre les yeux, Apollon aussi dormait, je me redresse doucement évitant de le faire bouger, pour ensuite le couvrir pour ne pas qu’il n’attrape froid. Puis je regarde mon poignet qui me faisait un mal de chien, alors je partis dans ma cuisine allant chercher un médicament contre la douleur. Puis je retourne voir Apollon, me mettant à croupie face à son visage, posant ma main sur sa joue. « Mon Apollon, il faut se réveiller, sinon tu vas pas dormir de la nuit ! » Dis-je amusé, venant embrasser sa joue tendrement.

Nous voilà coucher sur le canapé, à dormir l’un contre l’autre, mais je me réveille assez tôt, causé par la douleur, mais je venu rapidement le rejoindre, me mettant accroupit face à son visage, le réveillant doucement, il ouvrit rapidement les yeux, je souris le regardant tendrement. « Non simplement depuis cinq minutes. » Il pose sa main sur ma joue, je pose ma main sur la sienne répondant à son baiser, je me mordille ensuite la lèvre, souriant. « Sachant qu’on va dormir ensemble en plus. » Je lui fis un clin d’œil, me redressant ensuite. Je passe ma main dans mes cheveux, sauf que s’était la main où j’avais mal, alors je grimace à la douleur, allant ouvrir la porte à Paco qui réclamer à sortir dehors. Puis je regarde celui-ci jouer dehors, avec un sourire aux coins des lèvres frissonnant, peut-être avec la fatigue qui arrivé, je croise les bras, surveillant mon chien, pour ensuite tourner ma tête en direction d’Apollon qui venait de se lever, je lui souris.

Nous venions de dormir sur le canapé, l’un contre l’autre, mais je me réveille avant lui, la douleur de mon bras m’avait réveillé. J’avais donc pris de quoi enlever la douleur, allant ensuite rejoindre Apollon, pour le réveiller, je le réveillai tendrement, pour ensuite me redresser et partir regarder Paco courir à l’extérieur, j’entendis celui-ci se redresser et venir à moi, derrière moi, ses bras autour de moi, bref, un moment délicieux. J’eu un frisson lorsqu’il approcha ses lèvres de mon oreille afin de me parler, mais avec douceur. « Ce n’est pas faux. » On restait ensuite silencieux à contempler mon chien, mais aussi l’air qui l’entoure, un moment calme et agréable, ce qui nous permettait d’émerger avec douceur. Puis je l’écoute me demander si il devait aller cuisiner ou si nous allions manger au restaurant. « Autant se faire servir et sortir au restaurant. » Dis-je me tournant pour me mettre face à lui. « Tu as assez fait pour aujourd’hui. » Je lui vole un baiser ajoutant ensuite. « Je vais me changer, hors de question qu’on part au restaurant avec cette tenue. » Je me détache de lui, laissant ma main glisser sur son torse, partant dans ma chambre afin de chercher une tenue, je ne savais pas si il allait me suivre ou attendre que je revienne toute belle vêtue. Je pris alors une jupe et un chandail qui allait à merveille avec la jupe, pour ensuite partir direction salle de bain afin de me recoiffer avec difficulté, ayant une main douloureuse. Puis je revenu dans le salon, en sa compagnie, cherchant des chaussures à me mettre, je pris des escarpins, les mettant allant prendre ensuite une veste, légère, mais de quoi couvrir mon épaule nue. Puis je me dirige vers la porte vitré afin de faire rentrer Paco. « Paco, rentre mon loulou. » Celui-ci couru vers moi, je souris caressant le haut de sa tête me tournant ensuite vers Apollon une fois la porte fermer. « On y va ? »