Hé oh ! Tu sais comment je m’appelle ? Mon nom est Fischer et mon prénom est Maximilian. Tu aimerais en savoir plus sur moi ? Alors continue à lire. Je suis né en 1981 le 30 mars à Pretoria en Afrique du Sud, j’ai 32 ans ans. Je suis de nationalité américaine et sud-africaine, j’ai la double nationalité.. J’adoooore les femmes, je suis donc hétérosexuel et je suis célibataire. Cela fait plus de 19 ans, même si j’ai aussi vécu à Norfolk en Virginie durant cette période, que je suis dans cette ville. J'ai choisie Ryan Reynolds parce que je l'aime bien et il correspondait a l'image que je me faisais du personnage.

Maximilian c’est l’imprévisible, c’est des fous rires et des mimiques qui sortent de nulle part et surtout un enfant enfermé dans un corps d’adulte. Il a des plans d’avenirs et des responsabilités, mais jamais rien de bien sérieux parce qu’il n’aime pas avoir des gens qui dépendent de lui. Il n’aime pas avoir d’engagement, c’est probablement pour ça que jamais ses relations n’ont duré bien longtemps à l’exception d’une. Quand quelqu’un lui en demande trop ou qu’il doit réparer les bêtises d’une autre personne ça l’énerve, ça l’ennuie et ça le fait surtout bien chier. Il a déjà bien assez de ses problèmes comme il dit toujours. Néanmoins c’est un travailleur acharné et un policier somme toute exemplaire, il s’écarte parfois du droit chemin… mais les libertés qu’il prend sont plus souvent qu’autrement dans le but d’envoyer quelqu’un entre quatre murs ou de faire payer à sa façon des ordures qu’il sait pertinemment qu’ils resteront impunis. Oui, s’il est vrai que beaucoup de chose l’agace il n’en demeure pas moins qu’il mène toujours les choses à bien peu importe s’il aime ça ou non. Il est à la fois patient et impatient, il s’énerve avec une facilité parfois déconcertante mais il n’abandonne jamais. Il est tout de même colérique, d’ailleurs ses amis l’appellent pour la plupart Mad Max en l’honneur du personnage du film du même nom. Quand on l’emmerde, il peut devenir impitoyable et rien ne l’arrête vraiment. Il n’aime pas la routine, il faut toujours qu’il y est du nouveau dans sa vie où il se lasse… la seule constante c’est son métier. Même avec les femmes il se lasse vite, jamais deux blondes en deux soirs… s’il se tape une blonde le mardi ce sera une brune, une rousse ou une femme à la chevelure noire le mercredi. Sinon c’est un homme qui tendance à être orgueilleux, ce qu’il pense est à ses yeux presqu’assurément la vérité vrai, ses opinions presqu’assurément celles que tout le monde devrait avoir et ainsi de suite. Il ne se gêne pas non plus pour dire quand les choses ne lui conviennent pas que ce soit directement ou  avec un sarcasme évident. Mais parfois, s'il ne veut pas blesser la personne il fait preuve de diplomatie ou même ne dit rien et ment parce qu'il sait qu'il n'est pas toujours délicat. Pour l’apprécier à sa pleine valeur, il ne faut pas être trop délicat ou du moins réaliser qu’il ne pense pas méchamment tout ce qui sort de sa bouche. De toute façon, une fois qu’il est apprivoisé il sait faire la part des choses c’est comme n’importe qui d’autre, il essaie de donner le meilleur de lui-même il n’est pas désagréable pour le plaisir. Il a également une peur bleue, celle de perdre quelqu’un et/ou de décevoir, c’est ce qui le rend si réticent à s’engager ou être en charge de quoi que ce soit. Cette peur est apparue chez lui quand il était encore jeune et immature, ça l’empêche d’aller de l’avant d’une certaine façon.

Séducteur, drôle, colérique, travaillant, amusant, imprévisible, compréhensif, généreux, intense, indiscipliné, têtu, indépendant, sans-gêne, sarcastique, persévérant, orgueilleux, vivant, enfantin, rancunier, impulsif, un brin irresponsable et autant immature que mature et patient qu’impatient selon son humeur et ce dont il question.

Né à Pretoria il y a de cela 32 ans, Maximilian a grandi avec deux parents homosexuels dans la demeure familiale du père A, oui il les appellent père A /B,qui appartenait à la famille depuis 150 ans. Son père A était professeur d’anglais dans une école anglophone et l’autre était un militaire de carrière qui travaillait à la surveillance de l’ambassade américaine. Il a eu une éducation très stricte, surtout de son père militaire. Il s’en rappelle encore clairement d’ailleurs, il a encore des séquelles de cette éducation, si l’on peut appeler ça comme ça, puis qu’il se réveille tous les matins à 5h00. Son horloge biologique est fixée, c’est que durant toute sa jeunesse il avait été forcé de se lever à 5h00 et après il s’était joint à l’armée alors les lever à l’aurore c’était son quotidien depuis toujours. Il avait 5 ans quand son père B avait commencé à le lever à cette heure, les premières semaines il devait l’asperger d’eau au visage pour qu’il se réveille mais c’était tellement incommodant que Maximilian s’était adapté à ce nouvel environnement hostile et dès que le son de la voix de son père B se faisait entendre il se réveillait et le faisait savoir. Tous les soirs après avoir fini ses devoirs et ses tâches à la maison, son père B lui faisait faire des pompes et des redressements assis. À 10 ans, il avait déjà l’habitude de faire entre 450 et 500 pompes et redressements assis chaque jour. Bien évidemment en vieillissant le nombre augmentait et ses tâches à la maison également, son père B les faisait filer droit avec son frère cadet né deux ans après lui. Ils étaient au summum de la forme physique et avait des résultats scolaires digne de mention. Mais l’approche autoritaire, presque dictatoriale, de leur père B ne lui donnait pas l’impression d’être aimé par son père. Heureusement sa mère, la meilleure amie de ses pères qu’il avait adoptée comme figure maternelle, était là pour palier quelque peu à ce manque de démonstration d’affection. Néanmoins, il n’a pas revu sa mère depuis ses 12 ans parce que lui et ses pères étaient partis vivre aux États-Unis.

Le jour de ses 18 ans il s’est enrôlé chez les Navy qu’il a rejoints aussitôt le lycée terminé. Il avait été affecté à la base de Norfolk en Virginie. L’armée avait toujours figuré dans ses plans, c’était ça, flic ou pompier. L’armée avait l’avantage de l’éloigné de son père B sans nuire indéfiniment à leur relation puisque son père avait toujours voulu voir son fils dans l’armée et comme il s’était engagé dans les Navy il ne serait assurément pas affecté à la même base que son père. Sa formation s’était bien déroulée et il avait été envoyé à l’étranger presque aussitôt. Mais il n’était pas prêt, on n’est jamais vraiment près aux atrocités de la guerre comme il le dit toujours aujourd’hui et on ne l’avait pas envoyé dans une mission banale malheureusement. Rien ne peut préparer à voir la mort. Mais malgré tout il a fait son travail et il aimait ça jusqu’à un certain point, servir son pays c’était son rêve… vrai patriote. Lorsqu’il est enfin rentré chez lui pour y rester sur une longue période, il en profiter pour faire le plein de sérénité. Son chez lui était tellement paisible et magnifique avec une belle vue sur la plage qu’il en oubliait presque certaines atrocités qu’il avait vues. Il a fini par se montrer volontaire pour rejoindre les SEAL. Le camp d’entraînement a probablement été le moment le plus éprouvant physiquement qu’il a vécu dans sa vie, même avant les missions sur le terrain, c’était tellement difficile que plus de 90% des gens qu’il avait rencontré ont fini par abandonné. Mais pas lui, il ne savait pas abandonner ce n’était pas dans sa nature et il avait été bien préparé par son père en quelque sorte. Il fut retenu et accepté parmi les SEAL ont l’affecta à une base de Norfolk, mais pas celle où il était affecté par le passé c’était une autre et il faisait partie de la SEAL Team 4. Il était l’un de leurs tireurs d’élites attirés, il avait été initié au tir de précision quand son père B l’avait amené à la chasse et il avait retenu toutes les leçons de son père et de l’armée. La plupart des missions qu’on lui a confié furent en Afghanistan, mais il a dû passer plusieurs années à être sur l’équipe de secours et plus souvent qu’autrement loin de l’action avant qu’on ne lui donne sa chance. Mais la mission la plus mémorable à laquelle il ait participé et la plus important fut sa dernière. Ils étaient 4 à être envoyé pour une mission de reconnaissance et l’assassinat d’une personnalité importante chez les talibans. Les choses avaient malheureusement dérapé par que les talibans avaient été informé de cette mission. Ils furent attendus de pieds fermes tout près du point de départ de leur mission et ça a canardé pas mal. Tout le combat c’était dérouler dans les montagnes,  Maximilian était le plus jeune parmi les personnes en présences avec ses 25 ans mais il était un rouage important puisque c’était à lui que revenait la tâche de tuer la cible. Il y avait un autre tireur d’élite dans l’équipe, mais tous le savait plus précis alors ils avaient convenu que s’ils trouvaient un bon angle de tir ce serait lui qui s’en chargerait. Il se sentait donc responsable du bon déroulement ou de l’échec de la mission et lorsque son supérieur et son ami de longue date James Stratford périt ça l’a détruit. Les trois autres ont réussi à s’en sortir, mais pas lui et Maximilian avait l’impression que c’était sa faute, qu’il aurait pu le sauver mais qu’il avait échouer… pour ne pas tuer d’autres personnes en plein territoire ennemis il avait décidé de quitter les SEAL, de se ranger. Il est retourné vivre à Los Angeles, la ville où il était venu en partant de Pretoria avec ses pères et est devenu flic comme il s’était dit que c’était sa 2e option sur sa courte liste de 3 emplois. Il pensait être encore plus dangereux pour ses partenaires dans une fournaise que dans les rues de Los Angeles.  Il fut exempter de la partie physique de la formation en raison de sa surqualification à ce niveau et il put rapidement rejoindre le terrain sous la gouvernance d’un  vétéran. Il a attendu deux ans avant de pouvoir être jumeler a un autre partenaire qu’il a lui-même choisi, quelqu’un avec qui il était durant sa formation. Il travaillait plus dur que jamais pour être le meilleur flic et partenaire possible parce qu’il voulait absolument éviter une catastrophe comme en Afghanistan. Quelques années après être devenu flic il fit la connaissance d’une femme dénommé Jalynn James ou JJ dont il tomba lentement amoureux. C’était nouveau pour lui, depuis toujours il n’avait eu que des relations sans lendemain ou très courtes et depuis la perte de James il ne voulait riens avoir d’une relation sérieuse… mais avec elle c’était différent et ce fut plutôt sérieux. Il la trouvait drôle, amusante, intelligente, belle, passionnante et pouvait s’imaginer un futur avec elle. Oui, il arrivait à l’imaginer dans ses plans pour l’avenir. Néanmoins, il eut un énorme choc lorsqu’elle l’introduisit à ses parents lors d’un diner et que le père de celle-ci se trouvait être nul autre que le vétéran avec qui il avait fait ses armes come flic… ca paraissait logique quand il y repensait puisqu’il l’avait rencontré au poste de police tout près du bureau du père de celle-ci. Il aurait dû s’en douter, mais bon c’est qu’elle avait vite fait de lui faire perdre ses moyens alors il n’avait rien vu ou peut-être ne voulait-il pas le voir qui sait? En attendant, cette situation avait vite fait de nuire aux relations de travail de Maximilian et du père de sa copine. Ce dernier avait mis beaucoup de temps à  accepter que Maximilian sorte avec sa fille qui était considérablement plus jeune que lui, il n’avait jamais pensé de mal de Maximilian a part qu’il le trouvait stupide et impulsif mais là il l’aimait beaucoup moins et le percevait comme un pervers et un manipulateur qui se servait de sa fille et ne l’aimait pas vraiment. Ça l’a dévasté. Mais heureusement pour lui, d’un certain angle, leur relation a fini par tourner au vinaigre et ils ont rompu. C’est que Maximilian avait des projets pour le futur et il ne tenait pas assez compte de ce que voulait sa copine aux yeux de celle-ci. Jalynn avait essayé de lui faire comprendre, mais il ne l’écoutait jamais vraiment alors elle s’est fait entendre de la seule façon qu’elle imaginait pouvoir attirer son attention et le trompa avec le premier mec avec qui elle eut la chance de le faire. Jalynn lui mit les faits au plein visage, photo a l’appui parce qu’il n’y croyait pas au début et elle l’avait prévu. La relation prit fin, les deux ne voulaient plus rien savoir l’un de l’autre. Maximilian reprit ses bonnes vieilles habitudes en draguant et couchant avec toutes les femmes qui lui plaisaient, mais il était malgré tout affecter par toute cette histoire et mena une enquête pour savoir avec qui elle l’avait trompé. Tout cela le mena à un certain Matthew Rider et Maximilian le détesta aussitôt qu’il découvrit que c’était le mec qui avait couché avec sa copine même s’il ne le connaissait pas. Surtout que la police avait pas mal de soupçons sur lui… son dossier n’était pas exactement vierge. La vie l’avait mis K.O. avec cette histoire mais il s’était lentement relever.

Deux ans passèrent et il avait vu son ex plusieurs fois durant cette période, ils se parlaient un peu lorsqu’ils se croisaient mais c’était des banalités d’usage simplement pour être polis… rien de bien sérieux et profond. Néanmoins, il avait réalisé durant les deux années qui s’étaient écouler depuis sa rupture avec Jalynn qu’elle n’était pas qu’une simple fille… il l’aimait vraiment. Il est donc passé chez elle un soir avec l’intention de renouer avec elle et la reconquérir, mais il l’avait vu revenir avec un mec de ce qui semblait clairement être un rendez-vous alors il fit demi-tour après les avoir vu échanger un baiser. C’est à ce moment-là qu’une de ses anciennes recrues avec qui il avait développé une certaine amitié est venu lui demander un service… un service du genre mettre en arrestation un certain Matthew Rider. Maximilian confirma pour le plaisir si c’était le même Matthew que le connard qu’il ne connaissait aucunement et qui avait couché avec son ex quand ils étaient encore ensemble et c’était bien le cas alors son ami Apollon n’eut aucun problème à le convaincre de lui rendre ce petit service. Ainsi donc, à plusieurs reprises Maximilian arrêta Matthew et le garda le plus longtemps qu’on puisse le faire sans preuve d’un délit puis il le relâchait ensuite satisfait de voir cet enfoiré énervé par la situation. Personne ne disait rien, Maximilian était ami avec tout le monde au LAPD et ce sans exagération... la seule personne avec qui il avait une relation tendu c’est le père de son ex et tout était presque redevenu normal depuis que leur relation s’était terminé alors personne mais absolument personne ne disait rien sur les arrestations. Surtout que Matthew avait un dossier là-bas c’était possible de dire qu’un appel anonyme les avait prévenus d’un délit l’impliquant. Il a quand même fini par arrêter lorsque l’histoire d’Apollon qui faisait arrêter Matthew fut publiée sur un site par une personne utilisant un pseudonyme. Mais il n’en avait pas terminé avec ce Matthew, ce n’était que le début en ce qui le concernait… cette enflure n’aurait pas dû foutre en l’air son histoire avec son ex parce que maintenant qu’il ne l’avait plus il avait réalisé qu’il l’aimait vraiment et même s’il en était grandement responsable il se voilait la face en blâmant Matthew et la tromperie pour la fin de leur histoire. Mais pour le moment il n’avait pas trop le choix de le laisser tranquille… il commençait à penser que faire un appel à ses amis de la DEA ou du FBI pourrait être utile. Matthew n’était pas net et il le savait, un mec comme lui devait forcément avoir un fournisseur ou connaître un trafiquant d’envergure alors s’il pouvait convaincre un ami que c’était le cas il aurait une autre carte en main pour le faire chier. Mais il ne savait pas encore s’il voulait aller jusque-là parce que s’il le faisait il ne pourrait rien arrêter et si Matthew ne coopérerait pas il aurait des ennuis… des ennuis qu’il ne souhaiterait à personne. Il n’en demeure pas moi qu’il était rancunier et revanchard, peu importe comment il trouverait un moyen de faire de la vie de ce Matthew un enfer.