Hé oh ! Tu sais comment je m’appelle ? Mon nom est McBricker et mon prénom est Christina-Jean Dawn. Tu aimerais en savoir plus sur moi ? Alors continue à lire. Je suis née en 1981 le 5 juin à Detroit, j’ai 33 ans. Je suis de nationalité américaine. J’adoooore les hommes, je suis donc hétérosexuelle et je suis célibataire. Cela fait 25 ans que je suis dans cette ville. J'ai choisie Jennifer Hudson parce que elle a de la classe et très sexy

Comme je suis une fille, on me reproche d'être très orgueilleuse envers mon corps de déesse. Puisque je travaille dans le domaine des télécommunications, je suis très communicative et je possède un sens de l'écoute très bien structurée! Mon air angélique fait tourner bien des têtes et rendit les amateurs des Kings sur leur appétit. Cependant, je suis très économe et j'achète le strict nécessaire pour que je sois bien dans ma peau. Pour la plupart des habitants de Los Angeles, je suis loyale envers mes équipes préférées et je leur rend bien en les informant des nouvelles fraîches survenus durant la journée. Ainsi, pour terminer, je suis ouverte à tout commentaire et je peux répondre à toute question concernant l'histoire ou les sports.  

Je suis née à Détroit à l'époque où la ville se relève d'une dure récession causé par la série d'émeutes du 23 juillet 1967. Mon père, Jenkins McBricker, travaille pour la compagnie automobile Chrysler à titre de poseur de sièges. Il installe les sièges et il a le record d'installer un siège d'auto en 16 secondes. Ma mère, Diana Doby, est la fille de l'ancien joueur de baseball Larry Doby, engagé comme gérant des White Sox de Chicago, en 1978. Mon oncle, Eddie McBricker, a eu un poste très bien rémunéré en travaillant avec les Red Wings de Détroit dans le département du marketing et il fut promu directeur par Mike Illich en 1983.

Vivant dans un quartier assez délabré avec les années, mes parents n'ont manqué de rien et les patrons de Jenkins m'ont bien traité jusqu'à ce que nous quittons Détroit dans la tourmente pour Los Angeles. Connaisseur de sports et ayant un talent inné pour l'écriture, papa avait attendu 30 ans avant d'avoir sa chance comme chroniqueur au Los Angeles Times. Fouillant un peu partout dans tous les domaines, il eut un intérêt soudain pour l'histoire et il attire l'attention de son patron pour son projet d'écrire une colonne sur l'histoire de Los Angeles.

Avec le succès instantané de mon père, nous installons dans un grand appartement dans le centre-ville et j'eus une vie personnelle qui devient très appréciée. Parmi les articles écrit par mon paternel, il y a les premiers maires franco-américains comme Damien Marchessault et Prudent Beaudry. L'histoire de Los Angeles m'a passionnée et je consulte beaucoup d'articles favorables à l'histoire municipale, sportive ou artistique. Terminant mes études primaires en 1993, mon père m'a fait un cadeau en m'amenant à un match de la finale opposant les Kings aux Canadiens de Montréal. Intégrant l'école secondaire, j'ai décidée d'apprendre divers langues pour mon journalisme. Ayant l'anglais comme langue maternelle, je communique en utilisant le slang par moments mais quand je rencontre des francophones ou des hispanophones, j'ai à peine compris ce qu'ils racontent à cause de leur dialecte ou leur langue. À 17 ans, j'ai passé deux semaines de stage à Montréal afin de comprendre la langue francophone québécoise. Je suis revenue avec un élément de plus dans mon bagage. À la fin de mon secondaire, en juin 1999, j'ai pris la décision de faire un double baccalauréat en histoire et en journalisme à l'UCLA avec l'intention de faire un stage à la télévision de Los Angeles. Mon rêve va se réaliser lorsque le réseau NBC m'accorde un stage d'un mois dans leurs studios de Los
Angeles. Durant le mois de juillet 2003, j'ai été à la couverture des Dodgers au baseball et j'ai suivi les exploits d'Éric Gagné, surnommé par les partisans "Game Over". Obtenant les notes les plus performantes, je deviens une spécialiste en histoire et une communicatrice hors pair. Pour gagner ma croûte, l'UCLA m'a offert un poste de chargé de cours dans leur département d'histoire mais comme c'est à temps partiel, il me faudrait quelque chose avec plus d'heures pour combler le vide.
C'est alors que le réseau des Kings m'ont contactée pour offrir un contrat pour ouvrir les diffusions des matchs que ce soit au Staples Center qu'à l'étranger.