Après ma petite journée, je rentre chez moi, il est quatorze heures, je rentre chez moi, je prends une bonne douche, alors qu'il fait assez chaud, je décide de prendre un panta court, puis un marcel, je suis fin prêt, je mets mes tongs, puis je pars de chez moi, mon téléphone en poche et mon sac de plage que j'avais préparé la veille.
Une fois dans ma voiture je m'en vais en direction de la plage. J'avais vraiment besoin de me détendre, au bout d'une vingtaine de minutes, j'arrive, je me gare sur un parking qui n'était pas loin de la plage.
Je sors de ma voiture, je prends mon sac de plage, puis je verrouille ma voiture, je m'en vais en direction de la plage, il y avait pas trop de monde, sans doute que les gens étaient au boulot, tant mieux, je pourrais profité tranquillement de la plage.
J'arrive donc a un emplacement assez éloigner du peu de monde, je ne sais pas pourquoi, mais je n'aime pas trop être prêt des gens. J'allonge ma serviette, puis j'enlève mon marcel, je suis donc torse-nu sur la ma serviette, je mets mes lunettes de soleil, je m'allonge tranquillement, je peux bronzer comme ça, je ne suis pas du genre à être hyper bronzer, alors autant profité pour se faire dorer la pilule.

Il faisait extrêmement chaud et je devais absolument aller me rafraîchir. Donc je décidai d’aller à la plage. Je pris ma Audi et fila directement sur le bord de l’océan.  Je mettais mis en maillot de bain et en camisole. Pour une raison inconnue la plage n’était pas bondée. Quand je sortis de la voiture, je détachais la planche de surf que j’avais installé sur le toit la veille. Je me dirigeai vers le sable et puis je passai devant quelqu’un que je semblais connaître. Effectivement je le connaissais depuis peu. C’était Adam. Je m’avançai vers lui et déposa ma serviette près de la sienne.  «Monsieur vous permettez ?» Je voulais faire du surf et me faire bronzer, car je devais faire un photoshoot de maillot bientôt et je devais être bronzé.

Je sais que bronzer avec des lunettes de soleils ce n'est pas fun, mais que voulez-vous, je ne veux pas avoir mal aux yeux à cause du soleil. Enfin alors que je suis tranquillement allongé, une personne se met prêt de moi, au début, j'allais crier en disant « il n'y a pas assez de place ailleurs ? » mais très vite, mon humeur se transforme plutôt en joli sourire, oui, parce que ce n'était pas n'importe qui, c'était Lukas, je mets mes lunettes de soleil sur la tête et je continue de le regarder.

-Heum, si j'aurais dit non, je pense qu'il était trop tard, vu que tu as déjà déposer ta serviette. Tu vas bien Lukas?

Je continue de le regarder, je trouve que ce mec à un corps parfait sérieux, il me mettrait des complexes. Mais cela dis, j'aime mon corps et pour rien au monde je changerais. C'est alors que je continue de le regarder dans les yeux. Je m'assois tranquillement sur ma serviette et je vois qu'il a prit sa planche de surf, je dois bien avouer que beaucoup de gens viennent c'est pour soit nagés parce qu'ils adorent ça, ou alors faire du surf, j'adore nagé et vous aurez compris que le surf ce n'était pas pour moi, je n'ai jamais su tenir debout sur une planche, je me souviens quand je venais avec mes parents, mon père m'avait entraîner pour essayer … Ah ouais, un fiasco total, je me retrouver plus dans l'eau que sur la planche, au bout d'une heure, il s'est dit lui même « Mon fils est nul » en même temps, j'ai toujours dis que le sport ce n'était pas trop pour moi, personne ne m'a cru.

J’étais déjà installé quand je lui demandai si je pouvais me mettre à côté de lui. Il me fit même la remarque que même s’il disait non j’étais déjà presque entrain de me faire bronzer.  Il me regarda de la tête au pied. Je ne savais pas trop quoi dire ou faire. Je ne savais même pas s’il était gay ou hétéro. Je ne savais rien de lui. Juste qu’il s’appelait Adam. Je m’installa donc à côté de lui et enleva ma camisole. Maintenant il pouvait voir mes abs et mes pectoraux super musclé. Mon physique, je l’adorais et j’aimais qu’on me regarde.  Je m’assois et m’accota sur les coudes.

-Sinon quoi de neuf ? Dit t’es canon aujourd’hui…

J'adore le culot qu'il a, pourtant je dois bien avouer que je ne suis pas du genre à l'être, mais il s'installe comme ça et je dois bien avouer que cela ne me dérange pas, parce que s'il ne l'aurait pas fais, je lui aurait dit de s'installer. Enfin, c'est alors qu'il me demande ce qu'il y avait de neuf dans ma vie, hum vu qu'on ne se connaissait pas tellement, je pense pouvoir dire qu'il y avait beaucoup de choses de neufs, bon il faut dire que je ne suis pas compliqué, parce que bon nous sommes au début de notre relation amicale, je pourrais lui dire que j'aime mon métier de secouriste, et que j'avais secouru une personne âgée qui était tombé dans ses escaliers et que par chance une personne lui avait rendu visite que j'ai dû la prendre en charge, une personne d'ailleurs tout a fait agréable et très gentille. Après je pourrais lui dire que je suis célibataire et que même si je ne m'en plains pas, mais que mine de rien, les câlins, les bisous et les moments de complicités me manquent, enfin, je pourrais lui dire tellement de choses que je ne vais pas commencer à le faire fuir.

-Alors pour commencer, vu qu'on ne se connaît pas beaucoup, je pourrais te dire qu'il y a énormément de choses de neuf, mais sinon dans la réalité des choses, il n'y a pas grand chose de neuf et toi ? Je te remercie du compliment, disons que j'ai fais simple pour aller à la plage, en sachant qu'il fait beau et que la plage est pas trop bondé. Et toi, je dois bien avouer que tu es parfait, on ne dirait pas comme ça, mais tu es beau à regarder.

Je suis gay, cela je pense qu'il l'aura très vite compris et je n'ai pas de soucis avec ça, certes, je ne suis pas du genre à le crier sur tous les toits, mais je suis d'une nature très franche et très directe, donc je ne vois pas pourquoi je ne dirais pas ce que je pense et puis je dis toujours que quand on me veut en tant qu'ami, ce n'est pas toujours bon pour les gens, parce que quand les gens réagissent très mal à une situation et que moi j'aurais réagit différemment, bah je le dis, mais comme je suis quelqu'un qui manque totalement de tact, généralement les gens prennent mal. Mais bon après dans la vie, les vrais amis me pardonnent mes faux pas et mon caractère très compliquer. Bref, je m'allonge et je tourne la tête vers lui, je ne pouvais pas m'empêcher de le regarder, je ne sais pas pourquoi, mais étant donné qu'il était beau, qu'il était pour moi parfait, bah je n'ai pas honte de le regarder comme ça, attention, ce n'est pas un regard pervers et heureusement hein.

Je me couchis à côté d’Adam et attendais sa réponse. Je mis mes lunettes de soleil sur ma tête pour bien pouvoir bronzer égal. Je tournai un peu ma tête question de mater Adam. Finalement il commençait sa réponse à mon quoi de neuf. C’était vrai qu’on ne se connaissait pas beaucoup, alors il y avait beaucoup de choses que je devais apprendre sur lui. Adam ne savait même pas que j’étais bisexuel. Finalement, il me disait qu’il n’y avait pas grand chose de neuf et me retourna la question.

-Bah, je dois te dire que c’est vrai qu’on ne se connaît pas trop et je il n’y a pas grand chose de neuf. Merci de dire que je suis beau à regarder. Je fais extrêmement attention à mon physique. Je devais absolument venir me faire bronzer pour le travail demain. Sinon, ils vont utiliser beaucoup de spray tan et je n’aime pas ça.

Maintenant, je me doutais qu’il était gay, car il m’avait dit que j’étais beau à regarder. J’aimais bien recevoir des compliments, cela était mon côté narcissique un petit peu. Il continuait de me mater et je trouvais cela bien amusant. Donc je me fis un petit peu coquin.

-Si tu continus comme ça, j’en connais un qui va se réveillé.

Je ne sais pas pourquoi, mais mon regard reste figer sur lui, en plus, je dois bien avouer que cela ne me dérange pas de lui avouer que je le trouve beau et puis de toute façon, qu'est-ce qu'il y a de mal là-dedans ? Au pire c'est son égaux qui en prend un coup. C'est alors que je tourne vers la mer, je souris, je ne sais pas pourquoi, mais je dois bien avouer qu'on ne se connaît pas et je lui repose la question qu'il m'a posé. Je suis vraiment perturber quand même. C'est alors qu'il me remercie de lui dire qu'il était beau à regarder, c'est dans ma nature de dire ce que je pense, je ne pourrais pas me changer.

-Non, mais j'avoue que j'ai été bête de te demander « quoi de neuf » en sachant qu'on ne se connaît pas. Bah tu sais, je vais être franc avec toi, je dis toujours ce que je pense, il est impossible que je dise à quelqu'un qu'il est beau, si je trouve qu'il est moche … Je suis comme ça et c'est sans doute pour ça que les gens ne m'aiment pas trop, parce que je suis trop franc. Oh, en fait, tu es quelqu'un de superficiel hein ? Je plaisante bien-sûr. Ah, tu es mannequin?

La conversation prenait un sens tout a fait raisonnable, nous discutons de ce qu'il fait dans la vie, tout comme je sais très bien qu'un moment donné, je vais devoir lui dire ce que je fais dans la vie et il n'y a aucune honte, je suis secouriste, les gens sont quand même très content de m'avoir quand ils ont quelque chose et heureusement que j'aime ce que je fais. C'est alors que je continue de le regarder, il me dit que si je continue de le regarder, il y avait quelqu'un qui aller se réveiller, je me mets à sourire et rougir, il était plus direct que moi.

-Oh, là tu vas plus direct que moi. Si je dois bien comprendre, les hommes t'intéressent?

Adam parlait beaucoup et cela le rendait encore plus mignon. Il avait la parole facile. Ensuite, il me demanda si j’étais superficiel. La question était un peu difficile à répondre et je devais y réfléchir un petit peu. Je pensais un peu. Je pouvais dire que je tenais beaucoup à mon physique, mais je restais tout de même très masculin. Je n’étais pas superficielle comme les stéréotypes que la société à sur les homosexuels.

-On pourrait dire que je suis superficiel si tu veux, mais je ne suis aucunement efféminé. Ouais, je suis mannequin, tu as bien saisi. Demain, je dois revenir ici et faire des photos pour Armani, leur collection de maillots de bains. Et toi que fais-tu dans la vie ?

Je lui avais demandé ce qu’il faisait dans la vie, car j’étais un peu curieux. Je me couchai sur le côté pour pouvoir bien le regarder et l’écouter. Nous semblions maintenant bien ancrer dans une conversation. Adam disait que j’étais plus direct avec lui, quand je lui parlai du petit habitant dans ses pantalons et il osa même me demander si j’aimais les hommes …

-Bah, je sais pas, qu’est qui te fait dire cela ?

Je ne pensais pas que je pourrais rencontré quelqu'un avec qui le dialogue serait facile, non pas que je suis quelqu'un d'asociale, mais quand même, je ne suis pas du genre à vouloir parler beaucoup, mais cela dis quand je sens qu'une personne est honnête et sincère, alors je vais vers lui directement. Je ne voyais pas le côté négatif de « superficiel », mais honnêtement, cela arrive et on est tous à un moment donné, être un peu superficiel sur les bords, je ne dis pas qu'il y a que les filles qui le sont, parce que je sais que moi aussi parfois je peux l'être, mais c'est aussi bien les gars que les femmes qui peuvent l'être. C'est alors qu'il me répond qu'il n'était pas efféminé, je le regarde et je rétorque à la suite.

-Oh, tu sais, superficiel, ne veut pas dire nécessairement efféminé hein. Ah bah dis donc, tu vas faire des ravages comme d'habitude je suis sur. Hum, tu vas posé en maillot de bain, je crois que je vais tout faire pour voir les photos. Ce que je fais dans la vie ? Je suis branleur professionnel … Non, je plaisante, je suis secouriste, sauvé des vies c'est mon métier.

C'est alors que je le regarde, il s'était mis sur le côté, je continue de le regarder, je ne sais pas pourquoi, mais mon regard ne décrocher pas de lui. C'est alors que je me mets à l'écouter lorsqu'il me dit « qu'est-ce qui te fait dire ça ? » je continue de le regarder, je me mettais à réfléchir, il essaie de me retourner le cerveau ? Je sais que je suis facile à retourner le cerveau, mais quand même quoi, là je sais ce qu'il a dit.

-Hum, bah vu que tu as dis que « quelqu'un allait se réveiller », il est donc naturel de ce dire que c'est par rapport au fait que je te regarde et que le « quelqu'un » c'est en bas, enfin peut-être est-ce que j'ai le cerveau brancher sur ça, mais je ne pense pas et je suis sur que tu es aussi intéresser par les hommes, mais après peut-être par les femmes, je ne sais pas.

C’était vrai ce qu’Adam disait que superficiel n’égale pas efféminé. Adam voulait aussi voir les photos que j’allais faire demain. Il allait devoir attendre qu’ils soient publiées ou bien peut-être que mes clients allaient m’en donné une pour mon porte-folio. Je lui demandai par après qu’est-ce qu’il faisait dans la vie. Il était un secouriste. Intéressant ! Mais je me demandais bien qui employait des secouristes. J’avais beaucoup de questions.

-Alors je suis tombé sur la bonne personne, branleur tu parles. Pour vrai secouriste, donc si je me noie ici, tu pourrais me sauver et me faire le bouche à bouche… Je rigole. Pour vrai, qui t’embauche, tu travailles où ?

Je ne voulais pas le bombarder de questions, mais je me demander vraiment comment on pouvait gagner sa vie comme cela. Et nous recommencions à parler de ma sexualité. Il était chanceux que maintenant j’étais à l’aise d’en parler, car avant je n’étais pas très confortable.

-Ouais, bah ça pouvait être qu’un commentaire, car je trouvais que tu matais beaucoup. Sans blagues, je suis intéressé par les hommes, ça tombe bien petit branleur professionnel.

Je lui tira la langue et me recoucha sur le dos pour commencer mon bronzage.

Je ne sais pas pourquoi, mais je savais bien que si je disais secouriste, il allait me dire quelque chose dans ce genre-là, je ne sais pas pourquoi, mais sans doute je l'avais déjà bien cerné, heureusement il n'y a rien de mal là-dedans et heureusement je dois bien le dire. Bon bizarrement il n'avait pas cru que j'étais un branleur, c'est vrai que je ne supporte pas ne rien faire, je ne me voyais pas faire comme beaucoup de monde, profité du système, ce n'était pas sympa et puis on ne peut pas être totalement épanouis à rester chez soi et ne rien faire, il me faut toujours faire quelque chose, je sais que je ne resterais pas aux USA toute ma vie, je me vois bien évoluer, carrément faire des missions dans le monde entier, mais pour le moment, je me contente bien d'ici. C'est alors que je le regarde et je me mords la lève inférieur.

*Si tu savais qu'il n'y avait pas que le bouche-à-bouche que je vais te faire.*

-Alors bien-sûr, je peux te faire les premiers secours, ce qui dis, normalement il y a des maître nageurs qui quadrilles la mer, mais si je te vois te noyer, c'est normal que je vienne te secourir et bien-sûr te faire du bouche-à-bouche, si tu en as vraiment besoin. Alors on va commencé par le début, qui m'embauche ? La mairie, c'est en fait, les impôts des gens qui travaillent et qui en paie qui paie mon salaire, en fait, c'est un peu comme la police ou autre fonction publique. Ensuite nous avons un bâtiment de « Poste Secouriste » qui n'est pas très loin.

Faire un résumé de chez résumé et en même temps, il peut bien comprendre, c'est vrai que c'est eux qui me paient, mais en même temps, en récompense si les gens ont besoins de moi je suis généralement le premier sur les lieux, ensuite c'est les pompiers, ambulanciers et policiers, donc les gens sont quand même bien content que je sois le premier sur les lieux, en plus généralement, j'ai fais les premiers secours et si par exemple, quelqu'un à une fracture ouverte, je ne suis pas habilité à faire une opération, mais je peux faire un point de compression le temps que les ambulanciers arrivent. Enfin c'est alors qu'il m'annonce qu'en fait c'était peut-être qu'une phrase comme ça parce que je matais beaucoup … Hum, même si ce n'était qu'une phrase, je ne vois pas un hétéro sortir ça a un autre gars..

-Je vais être honnête, j'ai mon frère de cœur, c'est un hétéro, je peux te dire que jamais il m'a sorti ça, même si je le matais. Donc, je ne pourrais pas y croire. Chouette, tu vas attiré toute l'attention sur toi, surtout tu me préviens où tu sors, que je ne sors pas dans la même boite que toi, tu vois, parce que je voudrais avoir aussi des petites proies. Ah oui à ce qui paraît, je suis réellement doué pour faire ça.

Je mets à rigoler, puis je le copie un peu, je m'allonge tranquillement et je me mets à sourire à me connerie, je dois bien avouer que je n'ai aucun soucis de parler sexualité, après tout, je pars du principe que nous sommes adultes et que même si c'est vrai que parfois la sexualité pour certaines personnes c'est tabou, moi je peux en parler ouvertement, je n'ai aucun soucis avec ça.

Adam m’expliqua un peu comment son travail fonctionnait. Je comprenais un peu mieux ce qu’il faisait et aussi j’apprenais à le connaître. Toujours sur le dos, je continuais à l’écouter parler. Je n’aurai jamais pu penser que je rencontrerai quelqu’un sur la plage et lui parlerais autant. Cela faisait du bien de socialiser. C’était aussi vrai qu’un hétéro n’aurait jamais sorti cette phrase. J’avais perdu. Je m’étais dévoilé. Il était maintenant le temps que je me tourne sur le ventre. J’avais par contre oublié de mettre de lui sur mon dos et c’était plutôt difficile de le faire seul. Je m’assieds et fouilla dans mon sac. Je sortis la bouteille d’huile et la passa à Adam.

-Tu peux m’aider ?

Je me tournai question qu’il sache que je voulais qu’il m’huile le dos. Adam me plaisait et je comptais bien l’inviter à prendre un verre par après ou bien d’aller chez moi regarder un ‘’film’’

Parlait de mon métier est pour moi quelque chose de tout a fait normal, parce que j'aime ce que je fais, c'est vrai que pour certains, nous servons à rien, mais je peux vous jurez que lorsqu'on arrive en premier sur les lieux, les gens sont finalement bien content de nous trouver. Enfin je continue de le regarder, c'est alors qu'il me tend l'huile et lorsqu'il me demande si je peux l'aider, je me mords la lèvre inférieur, c'est alors que je me dis que cela va être marrant.

*Oh oui, je peux t'en mettre partout.*

-Bien-sûr, en plus, ce n'est pas évident de ce le mettre tout seul.

C'est alors que je me lève, puis je me mets sur lui, je m'assois sur ses fesses, je lui verse un peu d'huile sur son dos, puis je m'en mets sur les mains, puis je dépose à côté de lui, puis je commence à le masser tout d'abord délicatement des épaules, puis je descend petit a petit au bas de son dos, puis je remonte délicatement, je profite aussi pour le toucher tout doucement.

-Je dois bien avouer que je ne me suis pas mis d'huile.

Je dis ça en souriant, mais comme il était allongé sur le ventre, il ne me voyait pas et heureusement, je continue tout de même de lui étaler l'huile sur tout le dos profitant même parfois de descend un peu plus bas, mais remontant toujours en délicatesse, je ne supporte pas la violence … En même temps en connaissant mon histoire c'est tout a fait normal.

Sans hésiter Adam accepta de m’aider. D’après tout les secouristes sont là pour aider ceux en détresse. Je me couchai sur le ventre et tout d’un coup Adam se mis sur moi. Il s’assied sur mes fesses. C’était intense. Je n’avais pas prévu cela. Devais-je le laisser faire ou pas. Quand il commença à me masser, j’avais finalement décidé de le laisser faire. Il était très bon. J’étais jeune et je n’avais qu’une vie à vivre. Cela faisait du bien et ressemblait bien plus à un massage sensuel qu’à un massage de ‘’plage’’. Je commença un peu à baver et ferma mes yeux. Adam me dit qu’il n’avait pas mis d’huile sur lui. Il voulait que je lui en mettre. J’étais un peu mal à l’aise en public de toucher à un mec. De plus Adam faisait exprès en plus de descendre un peu plus bas. Je le bouscula tranquillement et lui dit avec un clin d’œil

-On va prendre un verre ou bien on passe chez moi regarder un film, j’en ai marre du soleil.

J’avais bien une idée en tête. Je voulais me le faire et je pensais que lui aussi allait être du même avis.

Je ne vois rien de mal de me mettre sur lui, bon je dois bien avouer qu'en temps normal, je n'aurais certainement pas fais cela, mais après tout de toute façon, c'est la vie et puis ce n'était pas comme-ci il était hétéro à cent pour cent, donc je ne fais rien de mal, et puis si ça le dérange, je pense qu'il me le dirait aussi vite non ? Alors que je commence à étaler l'huile sur son corps, je profitais en même temps de lui faire un massage, pour ensuite même profiter de le toucher, là aussi, je suis désolé, mais il n'y a rien de mal. Enfin alors qu'il me bouscule, je me retrouve à côté de lui, au début, direct dans la seconde qui suit, je me suis dis « merde, j'étais trop loin », mais c'est alors que je vois son clin d'oeil, je suis quand même rassuré de savoir que ce n'était pas ce que je lui avais fait qu'il l'avait mis mal à l'aise. C'est alors qu'il me propose soit de boire un verre ou alors d'aller chez lui pour regarder un film, je me mords la lèvre inférieur, le choix est assez difficile, si nous allons boire un verre, nous serons dans un lieu publique et je dois bien avouer que ça forcerait d'être calme, mais si nous allons chez lui, il y a de forte chance qu'on ne soit pas sage … Hum, je suis jeune, je dois bien profiter de ma vie non ? Alors je continue de le regarder.

-Hum, le choix semble m'appartenir, mais tu ne dois pas être bronzer pour demain ? Cela dis, je dois bien avouer que la plage c'est bien, mais je préfère être ailleurs, alors je pense qu'on peut aller chez toi, enfin si ça ne te dérange pas bien-sûr, mais vu que tu me l'as proposé, ça ne te dérange pas.

Je le regarde, cela faisait longtemps que je n'avais pas eu de rapport sexuel et de toute façon, nous sommes tous les deux adultes, en plus adulte et consentant, donc il n'y avait rien de mal … Enfin c'est ce que je pensais, j'espère que lui aussi sera du même avis que moi. Je continue tout de même à le regarder dans les yeux en attendant un signe, un geste, une parole qui va me faire bien comprendre qu'il désire le faire avec moi.

J’avais proposé à Adam d’aller prendre un verre ou de venir chez moi. Tout le monde savait ce qu’il se produirait si on allait chez moi. Mais j’en ai vais bien l’intension de me le taper, même si nous allions prendre un verre. Je le vis mordre sa lèvre et cela me fit craquer. Adam me demanda si je ne devais pas bronzer pour le travail de demain. C’était vrai que je devais, mais le pire était qui allait me faire le spray tan.

-Ouais, bah je m’en fous. Je passerai au Spray-tan avant.

Adam voulait bien qu’on aille chez moi et cela fit bien mon affaire et je savais très bien ce qu’il allait se produire. J’osa mon soucis et me leva en lui faisait signe assez coquin pour qu’il me suivent vers ma magnifique Audi. Il allait voir le monde dans lequel je vivais et j’espère que cela ne le dérangeait pas. Je vivais dans une grosse maison et cela était très luxueux. Certaines personnes n’aiment pas trop cela. Une fois dans la voiture, j’attendis qu’Adam rentre et passer ma main dans mes cheveux et démarra mon bolide. Peut-être que l’action allait commencer ici. Qui sais ? Je n’avais que mon maillot de bain et torse nu.

Je suis du genre à aimer l'aventure, même si je dois bien avouer que je me doute bien ce qui va se passer lorsque nous irons chez lui, je ne suis pas non plus naïf à ce point, je risque de vite me retrouver sur son canapé, entrain de l'embrasser et je finirais sans doute avec plus aucun vêtement sur moi, mais je dois bien avouer que cela ne me dérange pas, je suis un homme et j'aime le sexe et puis je suis célibataire, quoi qu'il arrive dans la vie, je profite de celle-ci, tant pis si je dois mourir demain. Je souris à ce qu'il est entrain de me dire, il s'en fou ? Hum, c'est tant mieux pour moi je dois bien avouer.

-Ah oui à ce point ? Bon bah alors oui, j'accepte réellement de venir chez toi.

Je ne connais pas assez Lukas, je ne sais pas comment il vit, je dois bien avouer que je ne suis pas du genre à être quelqu'un de fortuné, mais le peu d'argent que j'ai me satisfait pleinement. Enfin, c'est alors que le jeune homme me fait un signe de le suivre, étant donné qu'il est aussi venu en voiture et que moi aussi et que je ne veux pas que ma voiture soit seul sur le parking de la plage, je continue de le regarder. Oh et puis tant pis, nous allons pas faire le voyage en deux voiture, je le regarde alors qu'il était dans entrain de passer sa main dans ses cheveux. Je souris puis je monte, je le regarde, n'étant pas sur de ce qu'il allait se passé dans la voiture, je passe ma main sur sa cuisse et la remonte vers son sexe.