Timéo & Calliope

"J'aurais du t'en parler"

Les choses avaient prises une tournure bien différente de celles auxquelles je me serais attendu. Un instant je jouais sur scène avec cette impression que le monde m'appartenait et l'instant d'après je me sentais comme dépourvu de souffle et impuissante face au monde qui m'entourait. J'avais alors fini par fermer les yeux en espérant que ce sentiment finirait par passer. Néanmoins, lorsque je rouvris les yeux, j'étais loin de me douter de ce qui avait bien pu se passer pour que je me retrouve dans une pièce pleine de machine qui faisait bip bip et de fil et de tuyaux placés un peu partout sur mon corps. Je me sentais toute flagada, j'avais l'impression d'être un légume, j'étais exténué alors que j'avais surement dormi depuis un bon moment maintenant. En tournant légèrement la tête, je pu remarquer le corps de cette Apollon qui me supportait depuis plus de 3 mois maintenant et qui semblait songeur. "Mon ange ? Qu'est ce qu'on fait là ? "

Codes par Wild Hunger.

Timéo & Calliope

"J'aurais du t'en parler"

Ça avait été une soirée plus que mouvementé, j’avais décidé de venir rejoindre ma petite amie après sa représentation, mais à peine arrivé que tout le monde semblait perturber, j’étais arrivé avant qu’elle termine, afin de la regarder faire son final, mais elle n’était pas la et le rideau était fermer, je m’étais surement tromper d’heure. Mais je partis directement voir ses collègues qui m’explique rapidement la situation et je la vue-là au sol, les pompiers la prenait en charge. Mon cœur s’emballe, je lâche le bouquet de fleur et je partis prendre ma voiture pour suivre le camion de pompier qui l’amena rapidement à l’hôpital. Une fois arrivé, je partis demander où était sa chambre, j’étais paniquer, je ne comprenais pas ce qu’il se passait et je détestais ça. Après quelques examens, il me dit qu’elle avait fait trop d’effort vu sa maladie ça n’arranger rien, je ne comprenais absolument rien, qu’elle maladie, elle ne m’a jamais parlé de cela. J’essaye d’en savoir plus mais je médecin fut appeler pour une autre urgence. Je me dépêche d’aller dans la chambre, attendant qu’elle se réveille, j’avais pris sa main et je passais mon temps à la fixer attendant qu’elle se réveille. Après un long moment, elle se réveille, me demandant ce qu’on faisait ici, je souris quelques peu en la voyant réveiller, je passe ma main sur sa joue. « C’est plutôt à toi de me le dire… » Dis-je doucement, me redressant embrassant son front pendant quelques secondes fermant les yeux, j’avais failli la perdre, j’avais beaucoup de mal à m’en remettre.

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Timéo & Calliope

"J'aurais du t'en parler"

Sur le coup, je ne comprenais pas trop où je me trouvais ou du moins pourquoi je me trouvais ici, dans ce qui semblait être une chambre d'hôpital. J'avais comme un trou noir sur ce qui avait pu se passer, mais voir Timéo juste auprès de moi me rassurait. Je lui demanda alors ce qu'on faisait ici pour essayer d'éclaircir toute cet histoire. Il semblait croire que je le savais puisqu'il me retourna la question. Et alors qu'il embrassait mon front, je fermais les yeux souriant et appréciant son baiser, puis tout doucement, je me reculais un peu plus loin dans mon lit, l'invitant à m'y rejoindre. J'avais envie d'être dans ses bras. Je tentais alors de réfléchir afin de lui répondre et cela malgré la fatigue que je ressentais au plus profond de moi et qui m'empêchais presque de le faire. Puis je le regardais dans les yeux. "Je me souviens m'être senti mal sur scène. J'ai fais un malaise c'est ça ?"Je  fermais les yeux , attrapant

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"J'aurais du t'en parler"

Me voilà dans la chambre d’hôpital, près de la femme que j’aime, j’avais failli la perdre et rien que d’y pensé, je me sentais mal, je ne comprenais pas ce qu’il se passait, je me demandais comment une chose pareil pouvait arriver. Elle me fit de la place, je compris qu’elle voulait que je vienne à ses côtés, chose que je fis assez rapidement, je me mis dans le lit à ses côtés la laissant venir contre moi. Je l’écoute la regardant. « Un arrêt… » Dis-je simplement, ça me foutais une sacrée boule dans le ventre, je détestais cela, de plus elle m’avait pas parlé de cette maladie. « Les médecins m’ont dit que tu as une maladie … » Je la regarde cherchant son regard. « Tu attendais quoi pour m’en parler Calliope ? » Dis-je sérieusement, je détestais qu’on me cache cela, ce n’était pas une chose à cacher, pas un problème de santé.

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Timéo & Calliope

"J'aurais du t'en parler"

Timéo compris que j'avais envie de me blottir dans ses bras et très vite, il s'allongea auprès de moi. Je me dépêchais d'aller coller ma tête contre son torse. J'entendais son cœur battre, un son qui d'habitude m'apaisait, mais il battait étonnement vite par rapport à d'habitude, je devinais alors qu'il avait du vraiment s'inquiéter à cause de mon malaise et ça ne me plaisait pas. Mais très rapidement, ce n'était plus ce qui bloquait mes pensés. La révélation sonna comme une douche gelé. La possibilité de faire un arrêt était toujours resté très loin dans mon esprit, car je m'était senti bien, je n'avais jamais eu l'impression d'en faire trop ou de me forcer que ce soit durant les répétitions ou pendant les représentations et je réalisais alors que cette maladie était bien plus dangereuse que je ne le pensais. Sans pouvoir le contrôler, je sentis alors ma gorge se noué et quelques larmes se faufilèrent au travers les lignes de mon visage. Timéo quant à lui me fit part de ses découvertes et alors qu'il attendait une réponse de ma part, j’attendis un certain temps avant de le regarder dans les yeux, car la culpabilité s'était emparé de moi, mais je détournais rapidement le regard, c'était bien trop difficile. "Je suis désolé." Prononçais-je alors que ma voix se mis à tressaillir. Je me répétais une nouvelle fois avant de fondre en sanglot.

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"J'aurais du t'en parler"

Rapidement je venu dans le lit de Calliope, pour qu’elle puisse venir contre moi, je savais que cela la rassuré et qu’elle avait besoin de cela. De plus j’avais moi aussi envie de la prendre dans mes bras, j’avais l’impression de l’avoir perdu pendant quelques minutes, un sentiment que je détestais ressentir, de plus je venais d’apprendre qu’elle avait une maladie, une maladie qu’elle ne m’avait jamais parlé. Drew m’avait fait le reproche que tout cela était de ma faute, pensait-il sérieusement que si j’étais au courant j’aurais laissé la femme que j’aime faire cela ? Je suis loin d’être un idiot. Elle s’excuse se mettant à éclater en sanglot, je la serre doucement contre moi, pour qu’elle arrête de pleurer, je détestais la voir comme cela. « J’aurais simplement aimé que tu m’en parles, je ne pense pas que tu aimerais que je te cache ce genre de chose importante Calliope. » Je lui en voulais, mais je m’arrêterais là pour aujourd’hui, je lui avais assez remonté les bretelles, enfin il y avait pire comme remontage de bretelle, mais elle n’avait pas réellement besoin de sa à cet instant. « Calme-toi Calliope… Le principal maintenant c’est que tu vas bien. » J’embrasse le dessus de sa tête, pour ensuite décaler ma tête pour lui essuyer les larmes. « Même en pleurant tu arrives à être la plus jolie. » Je fis un petit sourire aux coins des lèvres, embrassant son front. « Repose-toi. »

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"J'aurais du t'en parler"

Je venais de me prendre une énorme claque à la figure, ce genre de claque qui ne vous laisse pas indemne et qui vous marque encore, longtemps après que vous l'ayez reçu. J'avais failli mourir cette nuit, mon coeur s'était arrêté de battre et je n'arrivais pas à me sortir cela de l'esprit. A coté de ça Timéo soulevait un point essentiel, je ne lui avait jamais parler de ma maladie, pourtant loin de moi avait été l'idée de la lui caché, mais je savais qu'il avait raison et que j'aurais du le faire il y'a de ça bien longtemps. C'était tout autant de chose qui me faisait culpabilisé et qui me firent me sentir plus bas que terre. C'était cet ensemble qui faisait que mon visage était inonder de larmes. Doucement, j'arrivais à calmer les larmes. "J'ai jamais voulu te le cacher Timéo. Je crois que je l'avais juste moi-même oublié. Le fais que tout ce passait si bien entre nous, m'a donné envie de mettre ça dans un coin de mon esprit en attendant le bon moment pour t'en parler, de voir comment ça allait évoluer entre nous et j'ai fini par oublié qu'elle était là. Faut que tu me crois ! Je t'aurais jamais caché ça volontairement." Ce fut un second flot de larmes qui s'emparait alors de moi. Pour le coup Timéo avait beau me dire de me calmer parce que l'histoire finissait bien, je ne pouvais cesser de me demander Et si ça s'était terminer mal ? Je savais que cette question allait me rester longtemps à l'esprit. Mes pensés allait alors vers Ethan, mon fils, il aurait pu perdre sa maman  et j'en étais la seule responsable.  Timéo réussis à me sortir de mes sombre pensé et je ne sais comment, il parvint à me tirer un rire. " C'est pas beau de mentir, je dois être hideuse". Au contact de ses lèvres sur mon front, je fermais les yeux pour en ressentir tout les frissons et je les rouvris alors, regardant dans le vide. " Je peux pas ! Tu ne peux même pas imaginé tout ce qui me passe à l'esprit." J'essuyais les dernières larmes présente sur mon visage.

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"J'aurais du t'en parler"

Je pris ma petite amie dans mes bras, la réconfortant tout en lui faisant quelques peu la morale, l’idée de la perdre m’aurait anéantit, je m’étais beaucoup attacher à elle, je l’aimais. Je l’écoute se justifié sur sa maladie, je serre la mâchoire. « Je veux plus dès à présent que tu me cache une chose d’une tel importance, j’en ferais tout autant, je veux bien que tu es des petits secrets, mais pas comme ça. » J’embrasse son front, changeant de sujet, tout en lui disant qu’elle restait ravissante. « Tu es loin d’être hideuse, arrête de dire n’importe quoi, tu es ravissante. » Je lui dis de se reposer, mais elle me confiait qu’elle ne pouvait pas, je fronce les sourcils. « Parle-moi alors, sors tout ce qui a dans ta tête, ça peut te faire du bien, mais je veux qu’ensuite tu te reposes tu en as besoin, je resterais auprès de toi et si je viens à partir je serais là à la première heure.. » Je redresse ma tête, cherchant son regard, posant ma main sur sa joue. « Je vais dès à présent te botter le cul sur tu fais trop d’effort, le sexe terminé ! » Dis-je pour la taquiner.

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"J'aurais du t'en parler"

Je m'enfonçais davantage des les bras de mon petit ami. C'était surprenant de voir que la présence de la personne qu'on aime pouvait être autant rassurant. Et même s'il n'avait la possibilité de voir que mes yeux pleurer, au fond de moi, sa présence me rassurait, me réconfortait. Il me demanda alors de ne plus jamais lui caché une chose aussi importante et j’acquiesçai, relevant mes yeux vers lui. "Je te le promet." J’esquissai alors un léger sourire, puis très vite des pensés négatives envahirent mon esprits. Il m'embrassa alors le front et changea de sujet. "Tu dis des bêtises. Je suis sur que j'ai les yeux tout rouge et surement noir avec le maquillage". Puis, il m'invita à me reposer, seulement, j'en était incapable. Je savais pertinemment que les pensés qui avaient pris place dans mon esprit, m'empêcherais de dormir ou de me reposer pleinement. Elles étaient la, comme un virus qui se propage sans gêne dans un organisme. Lorsque je lui fis part de cela, Timéo me proposa d'en parler et je savais qu'une partie de lui avait envie de connaitre mes pensés, mais j'hésitais, je ne voulais pas qu'il s'inquiète davantage concernant mon état. Le temps que je me décide, il en profita pour me faire du chantage. Je le regarder surprise et avec une petite moue boudeuse. "Je te l'interdis. C'est bien la seule chose que l'on m'autorise encore ! Et puis de toute façon tu serais même pas capable de t'en passer bien longtemps". Je passait ma main sous son tee-shirt et caressait du bout du doigt son torse, avant de l'enlacer, mes pensés m'envahissant de nouveau. "J'ai tellement peur Timéo."

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"J'aurais du t'en parler"

Calliope me promis alors de ne plus me cacher une chose d’une tel importance, j’embrasse son front rassurer de l’entendre me promettre cela. Je change alors de sujet, lui disant qu’elle restait belle malgré le choc de la situation. « C’est toi arrête de dire n’importe quoi, je te trouve belle n’importe qu’elle situation, tu restes mon poids plume, un poids plume sublime, les larmes te rende même craquante, mais évite de pleurer trop souvent, je n’aime pas te savoir triste. » Je lui dis alors aussi qu’elle serait privé de tout sorte de câlin, elle refuse, ajoutant que je ne pouvais pas résister, je sentis sa main aller sous mon tee-shirt. Je souris aux coins des lèvres. « Je pourrais t’étonner. » Elle se serre contre moi, me confia sa peur, je la serre doucement contre moi, embrassant de nouveau son front lui disant. « Tu n’as plus à avoir peur, je suis là et je vais te surveiller à présent, puis je le sais maintenant je n’hésiterais pas à te botter le cul. »

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"J'aurais du t'en parler"

Timéo avait toujours le petit mot pour faire plaisir. C'était ce qu'on pouvait appeler un vrai gentleman, je dirais même plus un homme parfais, du moins à mes yeux. J'avais été irresponsable et je lui avait fait peur autant qu'il avait été surpris par l'annonce de ma maladie et il ne fuyait pas, il ne partait pas en courant ou ne me hurlais pas dessus pour le lui avoir caché. Evidemment, ça n'avait jamais été mon intention, je n'avais juste jamais eu l'occasion de lui dire et j'étais véritablement sincère quand je lui expliquais cela. Tout ça pour en revenir au fait qu'il est un gentleman en tout point et qu'il avait toujours le petit mots pour vous faire sentir mieux en un instant.
Je savais que j'étais loin d'être magnifique, j'avais le teint livide, probablement les yeux rouge et pourtant, il trouvait le moyen de rendre tout cela futile et de me complimenter. Je roulais des yeux, avant de laisser échapper un sourire charmer. Il enchaina alors, voulant me privé de câlin. Je refusais, il en était hors de question et je l'embêtais lui disant qu'il ne pourrait me résister de toute manière. Je souriais à sa réponse. " Tu m'étonne déjà mon amour. " Blotti dans ses bras, je laissais finalement échapper mon sentiment du moment. J'avais terriblement peur. " Je sais , mais j'ai peur, je peux pas m'en empêcher." Je me mordis la lèvre anxieuse avant de relever la tête et de regarder Timéo. "Je faisais attention Timéo. Je sais que c'est difficile à croire en me voyant ici, mais je faisais vraiment attention à ne pas faire trop d'effort, à ne pas dépasser les limites du raisonnable et crois même le spectacle à côté de ce que je faisais avant, c'était rien. Et malgré ça, je me retrouve ici, à apprendre que mon coeur s'est arrêter de battre un instant et je me dis : Et si il était pas reparti ? Mon fils n'aurait plus de maman et alors je pense à toi et à tout ceux qui compte pour moi. Et ça me fout la trouille et je sais ce que tu vas dire ! Que je dois pas penser à tout ça, mais c'est difficile". Je me sentais mal de lui dire, tout ça. Je ne voulais pas l'inquiété davantage, mais si je ne pouvais le lui dire à lui, à qui j'aurais pu en parler.

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"J'aurais du t'en parler"

J’observe ma petite amie allonger sur le lit d’hôpital, j’étais heureux de la voir en meilleur état, elle m’avait fichu la frousse de ma vie, je n’imaginais même pas la perdre. Je me redresse lui disant que j’allais me prendre un café, histoire de tenir le coup, je n’allais pas la laisser maintenant, bien au contraire. Je m’approche d’elle, répondant à son baiser de la même manière. « Je me dépêche. » Je me recule la laissant une bonne dizaine de minute seul, je reviens mon café à la main, je lui avais pris aussi des kinder bueno, pas grand-chose, mais je savais que ça lui plairait. « Je t’ai ramené ça, je sais que tu adore. » Je lui tendis, j’espère au moins qu’elle les mange, ça lui redonnerais surement de la couleur.

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"J'aurais du t'en parler"

La peur, ce sentiment qui porte si bien son nom. Je la ressentais au plus profond de moi et je n’aimais pas ça. Je n’aimais pas parce que je ne voulais pas pensé à tous ce qui aurait pu se passer si l’issu avait été dramatique et je n’aimais pas parce que je savais que les personnes qui me connaissait le mieux y compris mon fils, le ressentirais à travers moi. C’est entre autre la raison pour laquelle j’avais besoin de le dire à l’homme que j’aime. Je souriais en l’écoutant me rassurer pour la énième fois en quelque minute. « Je ne sais pas ce que je ferais sans toi mon amour, tu peux être sur mon dos j’en aurais jamais marre parce que je veux pas que ça arrive de nouveau. Ce qui me fait le plus peur c’est de n’avoir aucun contrôle sur ma maladie, mais comme tu le dis, il faut que j’arrête d’y penser et surtout que j’arrête mes bêtises. Je suis vraiment désolé de ne t’avoir rien dis avant. J’aurais dû le faire au tout début.»
Timéo m’embrassa finalement sur le front avant de me prévenir qu’il allait se chercher un café. « Non j’ai besoin de rien, enfin juste de toi » Je lui souriais et je partis capturer un baiser sur ses lèvres. Lui offrant un baiser tendre et langoureux. « Reviens vite ».  

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"J'aurais du t'en parler"

Calliope se mit à tout me dire, se confiant sur ses erreurs et autre, certes je lui en voulais qu'elle ne m'ait rien dit, mais que voulez-vous, je n'allais pas m'acharner sur elle, loin d'être mon genre. Je lui dis que je revenais, j'avais besoin de prendre l'air et prendre un café. Je m'approche d'elle, lui disant que je me dépêcherais. Elle me fit s'approcher d'elle pour qu'on s'embrasse, je répondus à son baiser de la même manière qu'elle, souriant à ses paroles. "Je fais vite." Je partis donc à l'extérieur prenant un café pour ensuite revenir tout de même avec des kinder bueno. Je toque et rentre dans la chambre lui disant. "Je sais que tu ne voulais rien, mais quand je l'ai vu j'ai pensé à toi, puis ça te fera surement reprendre des couleurs." Je m'approche d'elle et lui tendis.

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