Cette journée n’était pas comme tous les autres, une journée où je n’arrivais pas à me soucier des autres, à être celui que je suis d’habitude, un homme joyeux, maladroit, drôle. Aujourd’hui, j’étais sombre, triste, seul. Chose qui arrivé au moins trois fois dans l’année. La cause ? Nous sommes paque aujourd’hui, tout le monde est avec sa famille, chose que je n’ai pas, mais cette année je n’ai pas voulu m’incruster chez des gens, non je m’étais incruster chez un ami, un ami qui avait me donner ce que je souhaitais quand je réclamais, un ami que personne ne connaissait, un ami que certaine personne détester, sans même le connaitre, mon dealer. J’avais donc décidé de me changer les idées, occupé mon esprit et partir marcher, casque audio, dansant à moitié dans la rue, tout en marchant je ne sais où.

Le temps passer assez vite, je ne savais pas quel heure il était, ni même comment je m’étais retrouver là, mais j’étais là, avec la musique dans mes oreilles, assis sur le banc du métro à regarder tous les trains passer, les personnes sortir et rentrer sans se préoccuper de qui que ce soit. Je pose ma tête contre le mur, fermant les yeux, mais le silence me réveille, je n’avais plus de musique, plus mon casque à vrai dire, je me lève me mettant à crier. « Qui c’est qui m’a chouré mon casque ? Je vais le tuer ah ouais ! » Nous sommes bien d’accord, ce n’est pas le gentil Simon que tout le monde connait, non c’est le droguer, énerver. Ayant aucune réponse, je me rassois, énerver, prenant mon téléphone envoyant un message à Skye, ma première pensé, j’avais besoin d’elle. Salu tyu peiu vennir me chérché te plé ? Jsui au métroy à clui de dab. Oui je ne savais pas écrire, mais Skye avait l’habitude de prendre se métro en ma compagnie, nous le prenions souvent ensemble quand nous voulons faire des sortie. Attendant l’arrivée de mon amie, je me remis à regarder les personnes autour de moi, puis sans même comprendre la raison, je me mis à pleurer, mettant mes couches contre mes cuisses, la tête dans mes mains.

Toujours là pour toi !

Aujourd’hui c’était Paques et comme chaque année Skye-Ivy recevait énormément de chocolat. Elle en avait reçu évidemment de sa famille de ses amis, mais également de ses petits élèves du centre équestre. Ces enfants étaient vraiment adorable avec elle de vraies petits anges et la jeune rousse était toujours très heureuse de les retrouver pour leur donner cours. La demoiselle Bloomsbury adorait vraiment leur enseigner l’équitation et leur transmettre sa passion. Elle espérait que cette activité les rendrait heureux comme ça pouvait la rendre heureuse. Skye-Ivy était une jeune femme très entourée surtout par sa famille. A que évènement il était ensemble peu importe lequel. Que ce soit des fêtes familiales ou non, ils passaient Pâques, Noël, Thanksgiving comme tout le monde en famille mais c’était également pareil pour Halloween, le jour de l’an et même pour la fête des pères ou des mères. Toutes les occasions étaient bonnes pour être réuni chez les Bloomsbury au point que ça pouvait être assez étouffant. Malgré cela, la rouquine n’échangerait pour rien au monde sa famille.
La journée était achevée lorsque Skye-Ivy reçu un message de son meilleur ami Simon. Un message qui était vraiment incompréhensible. Après quelques secondes de réflexions et de concentration, la jeune femme fini par comprendre le sens. Elle prévenait ses parents qu’elle sortait et elle partait en direction de la station de métro en voiture. Ce serait plus simple par la suite de rentrer que de trainer dans les transports en commun. De plus Skye-Ivy ne les trouvaient pas très rassurant en particulier la nuit comme maintenant. Avant de s’y rendre la jeune femme lui avait répondu un « Ne bouges pas j’arrive tout de suite. » Le chemin avait été assez rapide, il n’y avait pas beaucoup de monde sur la route. La partie la plus délicate avait été de trouver une place pour stationner sa voiture, mais après avoir tourné quelques minutes elle garait sa voiture sur une place de parking. Puis elle allait assez rapidement vers le quai de métro où se trouvait son meilleur ami. Elle espérait avoir bien compris le message et ce souvenir ou simplement avoir pensé au bon endroit. La jeune femme repéra immédiatement Simon en arrivant sur les lieux. Il n’avait pas l’air d’aller bien. Elle s’approchait de lui et s’asseyait à ses côtés. « Je suis la Simon. » Elle l’embrassa sur la joue pour le saluer.

Me voilà à attendre ma meilleure amie assis sur le banc, la tête dans mes mains, n’entendant pas mon téléphone sonner, je pensais que j’étais abandonner, paniquant je me mis à pleurer, mais je sentis des lèvres sur ma joue et une voix familière venu me rassurer. Je me redresse passant ma main dans mon visage la regardant. Je savais qu’elle allait voir ce qu’il se passait, elle me connaissait mieux que n’importe qui. Je la regarde restant silencieux, le silence en disait long. Puis je me penche vers elle, mettant ma tête sur son épaule fermant les yeux, ce n’était pas le moment de me faire un sermon sachant que ça allait rentrer d’une oreille et sortir de l’autre, elle le savait, mais je savais surtout que le lendemain à mon réveille si je suis à ses côtés, j’allais me faire taper les doigts, ce que je m’héritais. Je passe mes bras autour d’elle. « Je ne sais pas ce qu’il m’a pris, pourquoi j’ai recommencé, mais j’étais seul, je déprimais … Je n’ai pas eu de chocolat ! » Je me redresse mettant ma tête contre le mur fermant les yeux, mettant mes mains face à moi, disant. « Un bon lapin.. Gros… Chocolaté ! » Je fis mine d’avoir un lapin en chocolat et ouvrit la bouche comme si je pouvais le manger. Oui n’oublions que je n’étais pas moi-même, même si en vrai j’étais aussi capable de le faire.

Toujours là pour toi !

En ouvrant le texte et en découvrant le message incompréhensible de Simon, Skye-Ivy avait immédiatement qu'il n'allait pas bien. Elle lui avait répondu en lui demandant de ne pas bouger. La jeune rousse avait été aussi rapide qu'elle le pouvait. En arrivant sur le lieu de « rendez-vous » - si on pouvait dire ça comme ça, - la jeune n'avait pas perdu de temps pour le rejoindre est manifester sa présence. En le voyant, la demoiselle Bloomsbury se doutait bien de ce qu'il avait fait. Ce n'était malheureusement pas la première fois qu'elle le voyait comme cela. Elle avait horreur qu'il soit dans cet état. La jeune rousse ne savait jamais comment elle devait réagir et comment lui, il percevaient ses gestes ainsi que c'est dire. Par contre, elle savait que dans ses moments, il n'était plus vraiment lui-même. Skye-Ivy restait aussi silencieuse que Simon. Il était inutile de lui parler les mots de la rouquine n'aurait aucun impact. Elle voyait qu'il était mal, qui avait pleuré auparavant, il fallait avant tout qu'il se calme. Qu'il reprenne un minimum ses esprits avant d'avoir une conversation. La discussion était indispensable, Simon ne pouvait pas continuer à replonger et à se détruire. La jeune femme tenait trop à lui pour le laisser-faire. Elle le prenait dans ses bras lorsqu'il avait posé sa tête sur son épaule. « Tu aurais dû venir chez moi. Tu sais bien que tu es toujours le bienvenu chez les Bloomsbury. Tu fais quasiment partie de la famille. » Elle l'observait se relever et faire. La demoiselle ne comprenait pas, elle fouillait dans son sac à la recherche de chocolat. Elle savait qu'elle en avait mis cet après-midi dans son sac. « Simon, tiens. » Lui dit-elle en lui tendant du chocolat. « Je n'ai pas eu l'occasion de te l'offrir aujourd'hui. » Elle se redressait et l'incitait à s'asseoir de nouveau en prenant ces mains. Après quelques secondes, elle lui dit. « Tu ne préfères pas que l'on remonte à la surface. » Skye-Ivy n'était pas très à l'aise dans les tunnels du métro surtout que là, ils n'avaient pas l'intention de le prendre.

Ma meilleure amie était là, présente pour moi, j’aurais dû aller chez elle, comme elle venait de me le dire, mais j’avais honte de me présenter à sa famille dans cet état. « Tes parents m’auraient vu comme ça, je n’ai pas envie de te créer des ennuis… » Même pas réellement moi-même, je ne voulais pas faire de peine à Skye, même si sans vraiment le savoir j’étais en train de lui faire de la peine à avoir recommencé ceci. Je me mis dans ses bras fermant les yeux quelques secondes lui expliquant ensuite la situation me levant, expliquant mon chagrin, mais elle insiste pour que je me réinstalle, je la regarde fouiller dans son sac, puis elle sortit du chocolat, je le pris, le détaillant du regard. « Pour moi ? » Je fis un petit sourire comme un gamin, regardant ensuite mon amie lui disant. « Je ne le mérite pas… Je suis bête… » Je me mis à regarder face à moi. « En plus on m’a volé mon casque… Je venais de me l’acheter. » Je baisse mon regard, comprenant que Skye ne voulait pas rester ici, je soupire me redressant. « Tu me ramène chez moi… Je n’ai pas envie de laisser Pixel tout seul. » Oui Pixel mon chien, qui avait était tout seul toute la journée, il devait avoir faim, il avait surement du faire une bêtise. « Mais tu me laissera pas hin… Tu restes avec moi ce soir ? » J’avais besoin de m’en assurer, je ne voulais et pouvais pas rester seul dans cet état.

Toujours là pour toi !

Skye-Ivy aurait voulu que Simon passe chez elle au lieu de se tournait vers ses vieux démons. Vers cette drogue que le détruisait petit à petit, la jeune rousse ne supportait pas de le voir comme cela. Elle craignait de perdre, ce serait trop dure pour elle, elle n’arriverait pas à le surmonter. Pour éviter ce risque, il fallait qu’elle trouve un moyen pour qu’il s’éloigne de tout cela. La jeune femme se demandait comment il avait pu tomber aussi bas sans qu’elle s’en rende compte. Il était déjà trop tard quand elle avait compris qu’il avait un problème avec la drogue. Comme il était trop tard quand Amanda a commencé à sombrer. La jeune Bloomsbury était vraiment une mauvaise meilleure amie, elle se rendait compte te tous les problèmes trop tard. Elle ne détestait jamais la détresse de ses meilleurs amis à force de vivre dans un monde de bisounours. Il fallait qu’elle ouvre les yeux pour enfin comprendre et pouvoir les aider. En attendant, Skye-Ivy tentait de calmer Simon. « Tu me créeras aucun ennuie Simon. » C’est vrai que les parents de la jeune femme pouvaient mal prendre le fait que leur fille fréquente une personne qui se drogue. Mais d’un autre côté, il connaissait Simon depuis aussi longtemps que leur fille le connaissait. C’était son meilleur ami, elle l’avait donc souvent invité chez elle. Donc il comprendrait que malgré son addiction, elle garde son amitié avec lui et qu’elle tente de l’aider. On ne tourne pas le dos aux personnes que l’on aime après tout et la jeune rousse aimait Simon comme un frère.
Skye-Ivy demandait à son ami de s’asseoir avant de lui offrir ses chocolats. Comme chaque année, la jeune femme pensait à lui et elle lui offrait ses chocolats préféraient. « Si, Simon bien sûr que si tu les mérites. Pas pour ce que tu as fait ce soir certes, mais pour tout le reste. Tu es quelqu’un de bien et mon meilleur ami. » La demoiselle Bloomsbury ne voulait pas rester dans les souterrains de la ville et elle demandait à Simon si il pouvait aller ailleurs. « D’accord, je te ramène chez toi. » Elle se leva et elle tendait sa main à Simon pour qu’il l’a prenne. « Oui, si tu veux je reste avec toi cette nuit même. » La jeune femme voyait bien que Simon ne tenait pas très droit donc elle l’invitait d’un signe à la prendre comme appuie.

Skye-Ivy est une femme exceptionnelle, je me demandais comment elle faisait parfois pour me supporter, comment aussi pouvait-elle être patiente avec moi, avec tout ce que je lui faisais voir, entre ma maladresse, mon addiction, elle était là, toujours là pour moi quoi qu’il arrive, à n’importe quel heure, comme moi d’ailleurs, elle le savait, c’était ma petite sœur, ma meilleure amie, je ne pouvais pas vivre sans elle. « Je n’ai pas envie qu’il est une mauvaise image de moi… » Oui il pourrait que se méfier de moi et de ne plus me faire confiance en ce qui concernait Skye-Ivy, ce que je comprenais d’ailleurs. Je regarde le chocolat, que je refusai d’une certaine manière, mais elle insistait, je la regarde, les émotions était beaucoup plus intense à cet heure-ci. « Toi tu es quelqu’un de bien Ivy… Vraiment. » Je me penche embrassant sa joue, lui demandant ensuite à ce qu’elle me ramène chez moi, elle accepte, je me lève donc doucement prenant sa main à son invitation essayant de marcher droit. « Cool, on pourra jouer dans le lit à faire une bataille d’oreiller ! » Dis-je riant bêtement, pour ensuite arrivé à l’extérieur, je grimace à la lumière, mais je suivis la jeune demoiselle vers sa voiture. « Je conduis, ça fait longtemps je n’ai pas conduis ! » Je lui tendis la main pour qu’elle me passe les clés.

Toujours là pour toi !

Skye-Ivy serait toujours là pour Simon et cela quoi qu’il arrive. Elle savait que dans le cas contraire son meilleur ami ferait exactement la même chose pour si ce n’est beaucoup plus. Simon a été la première personne que la jeune rousse avait rencontrée à son arrivée à Los Angeles ainsi que la première personne avec laquelle elle s’est liée d’amitié. Le souhait actuel de la demoiselle Bloomsbury était que Simon s’éloigne de cette drogue qui le détruisait petit à petit. Elle regrettait vraiment qu’il n’est pas passé sa journée avec lui. Elle aurait dû insister davantage pour qu’il passe les fêtes de Pâques avec elle et sa famille. Les parents de Skye-Ivy appréciaient Simon. Jamais il n’aurait refusé sa venue, ils auraient même été ravis de l’accueillir comme invité aujourd’hui. La rouquine comprenait les craintes de Simon concernant l’image des parents Bloomsbury s’ils le voyaient dans l’état où il se trouvait. Ils auraient été tout naturellement très inquiets, elle comprenait qu’il préfère, qu’ils aient une bonne image de lui. « En tout cas, je suis contente que tu m’es appelé. » Cela prouvait qu’il avait confiance en elle et qu’il savait qu’il pouvait compter sur elle, ce qui était très important pour Skye-Ivy. La jeune femme lui offrait des chocolats qu’il lui était destiné. Elle aurait voulu lui offrir plutôt dans la journée, mais elle n’avait pas eu l’occasion malheureusement. Quoi qu’il dise, la demoiselle estimait qu’il les méritait amplement. Il agissait peut-être mal à ce moment-là, mais la plupart du temps c’était tout le contraire. Lorsque Simon lui disait qu’elle était quelqu’un de bien la jeune femme lui sourit. « Toi aussi, ne te sous-estime pas mon Timon. »
Skye-Ivy acceptait tout naturellement de le reconduire chez lui. Elle ne se voyait pas lui donner d’autre réponse qu’une positive. Ils allèrent jusqu’à l’extérieur de retour à la surface et en se dirigeant vers la voiture de Skye-Ivy. Simon voulait conduire, la jeune femme le regardait avec de gros yeux. « Même pas en rêve Simon. Je tiens à ce qu’on arrive chez toi en entier. Tu conduiras une prochaine fois et il n’y a pas de négociations possibles. » La jeune rousse était du genre à toujours dire oui, mais fort heureusement elle savait utiliser la négation lorsqu’il le fallait. Et là celle-ci était absolument nécessaire.

Je n’imagine même pas si les parents de ma meilleure amie m’aurait vu comme ça, j’allais casser l’image du gentil garçon maladroit, ils auront ensuite sans doute peur pour leur fille, ce que je comprenais, mais je ne voulais pas la perdre, je refusa donc d’aller chez elle, j’étais peut-être droguer, mais je commençais à me sentir mieux, du moins à moins sentir la présence de la drogue. La jeune femme, en revanche, semblait ravi que je l’ai appelé, je ne voyais qu’elle à vrai dire, c’était bien la seul qui ne me jugerait pas sur le moment, qui m’aidera toute suite, bon il y avait Matthew, mais lui aurait surement m’enfermer quelques part et me faire regretter ce que j’avais fait, je ne voulais pas me faire tuer maintenant.

Après que Skye-Ivy accepte de me ramener chez moi, nous sortions du métro, tout en se tenant la main, j’arrive alors vers sa voiture réclamant de conduire, ça faisait bien longtemps que je n’avais pas conduit, n’ayant pas les moyens de me payer une voiture. Mais contre toute attente, ou non, la jeune rousse refusa ma demande. « Quoi … ? » Je soupire comme un gamin, montant dans la voiture, côté passager, la laissant monter côté conducteur. « Personne veut que je conduise leurs voitures… »

Toujours là pour toi !

Skye-Ivy raccompagnait Simon jusqu’à sa voiture. Son meilleur ami lui avait demandé s’il pouvait conduire. Étant donner son état la jeune femme avait évidemment refusé. C’était trop dangereux pour lui comme pour elle. Elle ne voulait courir aucun risque inutile. Simon semblait surpris par la réponse négative de Skye-Ivy. La jeune rousse se contentait de lui sourire après son quoi. Elle s’installait dans son véhicule pendant que Simon râlait sur le fait qu’on ne laissait jamais conduire. « Une prochaine fois Simon. »
Skye-Ivy prenait la direction qui menait au domicile de son meilleur ami. Ce n’était pas extrêmement loin et comme il était tard, il n’y avait pas énormément de monde sur la route. Ils étaient donc arrivés assez rapidement au lieu voulu. « Monsieur est arrivé à destination … Tu veux toujours que je reste avec toi ? »

Skye-Ivy venait de refuser de conduire, râleur, je m’installe dans la voiture la laissant conduire. On arrive rapidement chez moi, j’observe la jeune femme l’écoutant, tout en sortant de la voiture. « Pourquoi ça aurait changé, tu es obligé de venir ! » Au fond ne valait peut-être mieux qu’elle parte, on se savait pas comment je pouvais réagir avec la jeune femme, je ne voulais pas lui faire de mal, mais je n’étais pas vraiment moi-même. Même si là, la drogue commençait à moins me faire effet. Je sors alors sortant de la voiture. « J’ai envie de chips… Tu n’as pas faim toi ? Je vais nous préparer à manger si tu veux ! » Dis-je allant vers elle, lui souriant, lui prenant ensuite la main, embrassant sa joue. « Tu sais que je t’aime toi ! »

Toujours là pour toi !

La demoiselle Bloombury raccompagnait Simon chez lui en lui demande s’il souhaitait toujours qu’elle reste avec lui cette nuit. Il semblait surpris par la question et lui disait même qu’elle était obligée de rester avec lui. « Je demande, on ne sait jamais tu aurais pu changer d’avis subitement. » Ils sortaient de la voiture et les deux amis allaient dans l’appartement de Mister Borderick.
Une fois dans l’appartement, Simon décidait de préparer à manger. « Je peux t’aider ? » Skye-Ivy voulait vraiment l’aider, puis elle préférait également rester avec lui pour en quelques sortes le surveiller. Après tout, il n’était pas tout à fait lui-même donc on ne savait pas ce qu’il pouvait faire. « Qu’est-ce que tu veux qu’on se prépare ? » Lui dit-elle en rentrant dans la cuisine après avoir déposé son sac à main dans le salon.

Me voilà dans l’appartement, Pixel venu nous faire une bonne accueil. « Oh mon bébé ! » Je lui caresse le dessus de la tête, puis je partis ensuite dans la cuisine, j’avais faim horriblement faim. J’observe Skye-Ivy. « Un truc gras, des frites ? J’ai des frites au four qui traîne.. Avec euh… » J’ouvre des placards, cherchant quoi me mettre sous la main, je trouve des pains à hamburger. « Et ça … ça te va ? » J’attendu pas sa réponse allant sortir les frite du congélateur, mettant le four en route. « J’ai soif… » J’ouvre mon réfrigérateur prenant une bière. Bref j’étais speed et ça devais être assez stressant pour Skye-Ivy, mais bizarrement je me sentais bien et je ne pensais qu’à manger et à boire et faire mille chose à la fois. « Ça manque de musique, non ? »

Toujours là pour toi !

Simon allait dans tous les sens. Une vitesse assez hallucinante, il avait sortie tout ce qu’il avait besoin. Il avait mis ses frites au four. Skye-Ivy n’avait pas eu l’occasion de lui apporter son aide et encore moins de répondre à ses questions. Le jeune homme allait quitter la cuisine pour aller mettre de la musique. Mais la jeune Bloomsbury se mit devant Simon volontairement pour lui bloquer le passage. « Ralenti Simon. Qu’est ce qui t’arrive ? » La jeune rousse n’avait pas l’habitude de le voir comme cela, elle ne comprenait pas vraiment ce qui se passait. La jeune femme s’était sentie inutile lorsque sa meilleure amie Amanda avait eu des problèmes. Elle ne voulait pas ressentir la même chose vis-à-vis de Simon elle voulait réellement lui être utile et l’aider. D’ailleurs si Skye-Ivy avait choisi d’être médecin c’était avant tout pour aider les autres. Pourquoi elle continuerait dans cette voie si elle était incapable d’aider ses meilleurs amis ? Pour commencer, la jeune femme voulait comprendre ce qui arrivait à Simon. Si son comportement était dû à autres choses qu’à la drogue.

Je m’apprête à aller mettre de la musique, mais rapidement, Skye-Ivy se mit devant moi pour me stopper, je la fixe, redressant un sourcil. « Je ne sais pas, je … Vais mettre de la musique et ensuite continuer à faire à manger, ce n’est pas ça qu’on devait faire ? » Dis-je la fixant, je regarde autour de moi lui disant. « Je suis speed c’est ça ? » après sa réponse j’hausse les épaules. « Plus vite c’est fait, plus vite on peut s’assoir non ? » J’embrasse sa joue, allant mettre de la musique, prenant son bras la faisant tourner sur elle-même la ramenant vers moi lui disant. « T’inquiète, je me sens mieux. » J’embrasse le haut de son front la lâchant retournant dans la cuisine, continuant à préparer à manger.

Toujours là pour toi !

Skye-Ivy trouvait Simon beaucoup trop rapide au point qu’elle avait de la difficulté à le suivre. Elle aurait lui apporter son aide pour l’aider à préparer le repas, mais il ne lui en avait pas laissé l’occasion. Elle l’avait donc freiné. « Si, mais tu ne me laisses même pas te donner un coup de main … Oui tu es trop speed pour moi.» Il lui expliquait que plus vite il aurait fait ce qu’il avait à faire plus rapidement, il aurait être tous les deux tranquilles. La demoiselle Bloomsbury hochait positivement la tête en disant « D’accord ». Mais elle ne pouvait pas s’empêcher de s’inquiéter pour son meilleur ami. Elle souhaitait vraiment qu’il cesse de consommer de la drogue. Elle sourit lorsqu’il l’embrassa sur la joue et qu’il la faisait en quelques sortes danser. Il finit par lui dire de ne pas s’inquiéter. « Je vais essayer Simon. » Skye-Ivy le suivait dans la cuisine. Quand il finit par sortir les frites du four, la jeune femme en piquait une dans le plat. « Je te préviens que je ne mangerais pas beaucoup. Ma mère avait préparé tellement de choses que je n’ai plus beaucoup de place dans l’estomac. » Elle sortait des assiettes en demandant à Simon. « Tu veux qu’on mange en se regardant un film ? Tu veux que l’on fasse quoi ? »

La jeune femme semblait assez paniquer de mon comportement, qui était très speed il faut l’avouer, je tentais de la rassurer, allant continuer de faire à manger, passant la faisant danser, embrassant sa joue lui disant de ne pas s’inquiéter. « Je vais bien, regarde je souris ! » Je lui souris, riant ensuite terminant de préparer à manger, l’écoutant me dire qu’elle n’aurait pas très faim, j’hausse les épaules. « Je mangerais ce qui reste t’inquiète pas. » J’écoute ses propositions mettant tout sur la table basse, allant m’installer sur le canapé, me relevant rapidement pour aller chercher de quoi boire. « Choisis un film, tu sais où il se trouve, je termine de mettre la table. » Très rapidement je pris ce qu’il manque la laissant mettre le film, pour ensuite la laisser venir à mes côtés. « Cool, ça va être une chouette soirée ! » Je ris amusé, comme un gamin prenant des frites, plusieurs, les mettant entièrement dans ma bouche. Oui j’étais un peu fou.

Toujours là pour toi !

Simon rassurait Skye-Ivy sur son état. La jeune rousse avait tendance à dramatiser un peu trop lorsqu’elle ne connaissait pas les choses. Elle se sentait totalement impuissante face à de telles situations. Elle avait tout de même trouvé Simon sous l’influence de drogues sur le quai du métro. Donc malgré ce qui lui disait, elle s’inquiétait pour lui. La demoiselle Bloomsbury expliquait qu’elle ne mangerait pas beaucoup. Le repas qu’elle avait fait en famille l’avait bien assez rassasié. Elle proposait ensuite à Simon de regardait un film. La jeune femme avec son autorisation foulait dans son meuble pour trouver le dvd d’un film sympa à regarder ensemble. Une fois, son bonheur trouvait, elle mettait en route ce dernier. « Oui, je suis sûre que ce sera un bonne soirée. » Elle s’installait sur le canapé tout près de Simon. Elle se servait un peu de frites qu’elle mangeait. En voyant Simon avalait ses frites, la jeune femme n’avait pas pu résister et elle avait éclaté de rires. Elle le trouvait extrêmement drôle. « Tu as fait quoi de ta journée ? »

Installé au côté de ma meilleure amie, je commence à manger, mettant plusieurs frites dans ma bouche, mais celle-ci se mit à rire de ma bêtise, je la regarde la bouche pleine de frite et souris, tel un clown fière de sa bêtise, j’avale ensuite difficilement. Au moins si je venais à m’étouffer, j’avais un futur médecin à mes côtés. Elle me demande ce que j’avais fait de ma journée. « Pris de la drogue et je suis restait dans le métro, je me suis endormie, et après je t’ai appelé. » Dis-je hochant les épaules. « Bref une journée pourrit, et toi c’était bien avec tes parents ? »

Toujours là pour toi !

Simon et Skye-Ivy s'installaient tranquillement sur le canapé afin de regarder le film que la jeune femme avait choisi parmi les DVD de son meilleur ami. La jeune femme comptait bien resté chez lui jusqu'à être sure qu'il aille mieux, en plus il lui avait demandé de lui tenir compagnie pour la nuit. Pour faire la discussion, la jeune femme lui demandait ce qu'il eût fait, mauvaise idée de la part de la rouquine. La demoiselle Bloomsbury grimaçait en écoutant son meilleur ami lui énoncer sa journée, elle était vraiment triste pour un jour de fête. "Oui, c'était bien avec mes parents. Ça aurait été mieux avec ta présence, la prochaine fois, tu seras de la partie ?" Skye-Ivy ne voulait plus laisser Simon seul un jour de fête, surtout quand c'était une fête que l'on devait faire en famille. Après tout, on disait que les amis étaient la famille que l'on s'était choisie. Le jeune homme l'avait bien choisi comme meilleure amie donc elle devait de faire le mieux et le meilleur pour lui. Bien plus que venir le chercher quand il en avait besoin.

Je mange tout en regardant le film répondant à ma meilleure amie lorsqu’elle me demande comment c’était passer ma journée, je ne lui cache rien, lui retournant la question, je la regarde en écoutant sa proposition. Je souris à cela, me penchant embrassant sa joue lui disant. « Heureusement que je t’ai… Merci de l’invitation. » Je me redresse ensuite, la regardant au coin de l’œil, lui souriant. « Qu’es que je ferais sans toi ! » Je pose ensuite ce que j’avais terminé me mettant au fond de mon canapé, ouvrant les bras. « Câlin ? »

Toujours là pour toi !

Skye-Ivy espère qu'à la prochaine fête, Simon serait de la partie. Il était son meilleur ami, il était comme un membre de la famille. Comme le frère qu'elle n'a jamais eu, il comptait énormément pour la jeune rousse et passait les fêtes avec lui pouvait que lui faire plaisir. "Je t'en prie mon Timon." C'était un surnom digne d'une gamine, mais il plaisait bien à la jeune rousse, puis elle était une gamine la première fois qu'elle l'avait appelé comme cela, elle avait quatorze ans. "Et moi dont ..." La demoiselle Bloomsbury serait complètement perdue sans Simon. Il était son plus vieil ami, elle se répétait, mais il était quelqu'un de très important dans sa vie. Quand il lui proposait un câlin, Skye-Ivy sourit et en le rejoignant pour un câlin elle lui dit "Avec grand plaisir."

J’écoute ma meilleure amie me dire qu’elle ne savait pas non plus quoi faire sans moi. « Tu ne serais pas venu au métro, tu ne m’aurais pas vu peter. » J’ouvre ensuite les bras réclamant de l’affection, elle accepte venant contre moi, je la serre dans mes bras, embrassant sa joue. « Tu sais je t’aime toi, un jour on va se marier on adoptera plein de chien on fera un chenil. Dans le Chenil de Broderick et Bloomsbury ! Ça le fait ! » Je souris amusé. Petit je disais souvent qu’on allait se mariée elle et moi, chose qu’on savait fausse tous les deux, mais c’était un jeu entre nous, je l’aimais et je ne voyais pas ma vie sans elle, je pourrais tout faire pour elle, me marié me poserais pas de soucis, on sera juste un couple très libéré et pas très tactile.

Toujours là pour toi !

"Peut-être, mais tu as bien fait d'appeler pour que je vienne te chercher dans le métro." Slye-Ivy n'aurait pas aimé qu'il reste dans le métro dans cet état. Il y avait des fous dans ses tunnels, puis dans l'état où il était, il aurait pu avoir un accident, se faire du mal lui-même comme, perdre l'équilibre près d'une rame. La jeune rousse imaginait toujours le pire, mais on ne sait jamais. Elle faisait un câlin à Simon comme il lui avait demandé. "Oui, on se mariera et on ouvrira un chenil près du centre équestre, comme ça, on s'occupera des chiens et des chevaux. Je ne pourrais pas abandonner mes chevaux, je les adore." En vrai, ils riaient sur le fait, de se marier. Mais c'était quelques choses qui n'arriveraient jamais. Ils étaient amis et Skye-Ivy considérait Simon comme un frère. Un mariage entre eux deux, ce serait presque incestueux. "Ça te gêne si je dors ici cette nuit ?"

« Oui moi aussi dans le fond je suis content de t’avoir appeler. » Je souris la prenant dans mes bras l’écoutant rentrer dans mon jeu, on allait se marié et on avait un tas de projet, bref un délire à l’état pure. « Parfait, ça me va. » Je souris amusé l’écoutant me demander si elle pouvait rester dormir. « Oui reste, s’il te plait. » Je la serre contre lui ajoutant. « Je veux pas rester seul, imaginer il y a la personne qui a voler mes écouteur qui revienne. »