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| STONES ✘ « Aimer, c'est l'innocence éternelle, et l'unique innocence est de ne pas penser. » - 100% | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: STONES ✘ « Aimer, c'est l'innocence éternelle, et l'unique innocence est de ne pas penser. » - 100% Mer 6 Juil 2011 - 18:59 | |
| Serait-il possible de changer Sweeney en Stephen s'il vous plaît ? (: Merci ! Amazing People Stephen Luke Stones
Tu veux me connaître ?! Toutes les larmes ne sont pas un mal.
Hé oh ! Tu sais comment je m’appelle ? Mon nom est Stones et mon prénom est Stephen Luke. Tu aimerais en savoir plus sur moi ? Alors continue à lire. Je suis née en 1988 le 13 octobre à El Paso, USA, j’ai 22 ans. Je suis de nationalité américaine. J’adoooore les hommes et les femmes, je suis donc bisexuel. Je fais partie de la confrérie Theta Sigma et cela fait 3 ans que je suis dans cette école. J'ai choisie Jackson Rathbone parce que j'en suis fan. Une remarque sur mon Physique ?
Bon alors... Stephen, qu'en est-il de son physique ? Je vais faire très court. 1M75 pour commencer. Et oui il est grand ! 65 kilos... disons qu'il est dans la moyenne. Il entretient régulièrement son corps avec quelques exercices, afin de faire évoluer les muscles de ses bras, et ses abdos, mais avec modération. Stephen a les cheveux brun d'origine, actuellement, ils sont décolorés, et les yeux verts, qui s'éclaircissement étonamment à la lumière du soleil. Selon son humeur, il sera mal rasé, il aime ce petit côté négligé. Niveau pilosité, je vous rassure -ou du moins, je me rassure-, Stephen reste dans la ''norme''. Rien sur le torse, rien sur les épaules, rien dans le dos ! Le Ciel soit loué ! Il a un tatouage dans le dos, fait il y a trois ans : des ailes. Peu original certes, mais il trouve le dessin beau, et ce signifie rien de particulier, donc rien ne pouvant choquer quiconque. Il n'a aucun piercing, peut-être un jour qui sait... Niveau vestimentaire, Stephen opte pour le style ''soyons fous on tire les fringues au sort les yeux fermés !''. Il ne fait pas vraiment attention à son allure, si ce n'est qu'il restera inconsciamment dans son petit monde ''rock''. Des chemises à carreaux, pantalons troués, vestes abîmées, baskets bon marchés... à quoi bon s'en préoccuper, les vêtements ne font pas tout.
Mon caractère ? Le voici, le voilà
Stephen est une vraie pile électrique. Dynamique, il est toujours prêt à faire la fête et à s'amuser. Il profite grandement de sa jeunesse en sortant, en rencontrant du monde, et en élargissant ses découvertes. Il ne s'arrête pas à son univers, il aime découvrir de nouvelles choses. C'est un homme ouvert d'esprit, il déteste les préjugés, et il n'osera jamais parler de quelqu'un sans le connaître. Stephen aime la solidarité, et en fera preuve avec ses proches, comme avec n'importe qui. Affectueux, tendre, Stephen est un grand romantique qui portera une attention toute particulière à son âme soeur, sans pour autant être collant. Néanmoins, il est jaloux, et n'hésitera pas à le montrer, il ne supporte pas que l'on essaye de lui ''voler'' une personne chère, et sa sensibilité sera mise à l'épreuve. Impulsif, il peut démarrer au quart de tour si on ose l'insulter ou s'en prendre à un de ses proches. Malgré ce petit détail, c'est une personne patiente qui saura comprendre les sentiments de ses amis, il ne brusque jamais les choses. Le meilleur remède pour consoler quelqu'un ? Le rire ! Stephen fera son possible pour faire sourire ceux qui ont l'âme en peine, par de l'humour absurde par exemple. Souriant, courtois et galant, Stephen sait parfaitement qu'il n'est pas au-dessus de tout le monde, et gardera sa place en tant que tel. Modeste, il ne peut pas s'auto-complimenter, la prétention et la frime ne font pas parties de son vocabulaire. Autant se faire complimenter par les autres... Objectif, Stephen reste une personne posée qui ne se basera pas sur ses propres vécus pour donner des ordres. Stephen a bien entendu des faiblesses, dont ses phobies, qui le hantent et le rendent incontrôlables. Squalophobe et kénophobe, Stephen ne supporte pas les requins ou l'obscurité, ces deux phobies provoquent des crises d'angoisses, de la paranoïa excessive et une perte de contrôle de son esprit. Stephen est un très mauvais menteur, et lorsqu'il ne dit pas la vérité, il a un tic beaucoup trop distinct : il regarde en l'air en se grattant la nuque. Je vais vous raconter ...
Nous sommes à El Paso, dans l'état du Texas. Mary Jackson Stones était sur le point de mettre au monde son premier enfant, un événement qu'elle avait attendu depuis bien longtemps... Son époux, Keith Stones, était dans la salle d'attente, et ne cessait de faire les cent pas, angoissé à l'idée qu'il puisse arriver quelque chose à sa femme et son fils. Pourtant, tout se déroula à merveille, et lorsque l'enfant poussa ses premiers cris, la mère en pleura de joie. Stephen Luke Stones était enfin de ce monde, et rien n'était plus beau pour ce jeune couple, qui avait traversé de nombreuses épreuves, notamment les conflits familiaux, le déménagement à l'autre bout du pays. Ils avaient commencé une nouvelle vie, dans l'espoir d'être enfin heureux sans subir la pression de qui que ce soit. Keith était l'héritier d'une grande entreprise familiale, mais il refusa de prendre la relève lorsqu'il décida d'épouser celle qui aujourd'hui était sa femme. S'en suivit une guerre entre les deux familles, impossible à surmonter, ce qui mena le jeune couple à quitter New York pour se rendre à El Paso. Ils voulaient être le plus loin possible de tous ces problèmes, ne plus avoir à supporter les bribes incessantes de leurs parents. Ils se trouvèrent un ranch dans le désert, où Keith décida de commencer un élevage de chevaux. Mary, quant à elle, continuait les mêmes activités professionnelles qu'auparavant : elle ouvrit sa propre petite boutique de vêtements artisanaux. Elle s'arrêta cependant de travailler lorsqu'elle dut s'occuper de Stephen. Elle prit soin de cet enfant, elle le choyait, lui donnait tout l'amour dont il avait besoin. C'était une belle petite vie à laquelle Mary aspirait sans aucune forme d'ennui. Les années passaient, et tout se déroulait pour le mieux entre les trois membres de la famille Stones, il n'y a donc rien à en redire, si ce n'est les disputes violentes qui suivirent...
Stephen était âgé de trois ans lorsque son père et sa mère ont commencé à se disputer de choses et d'autres. Ça commençait par des broutilles, et ça terminait sur des sujets fâcheux. Petit, Stephen ne comprenait pas grand chose de ces problèmes, mais assez pour savoir qu'ils n'allaient probablement pas passer le reste de leur existence sous le même toit. Un an plus tard, Mary demanda le divorce, et Keith quitta El Paso pour retourner à New York, demander pardon à ses parents et reprendre l'entreprise familiale des mains de son petit frère. Il laissa alors son ex femme et son fils seuls. Mary sombra dans la déprime, sachant qu'elle n'arrivait pas à joindre les deux bouts, et ne savait pas comment travailler, s'occuper du ranch, et de son fils en même temps. Sa sœur habitait dans l'état du Texas à l'époque, et après avoir eu vent de ces soucis, proposa de l'aider. De toute la famille Jackson, Elizabeth était sûrement la plus raisonnable, et n'avait jamais jugé sa petite sœur sur ses choix amoureux. Elle l'aida alors au ranch, et s'occupait de Stephen lorsque Mary travaillait. Son mari se chargeait des chevaux. Mary, admirative de tant d'attention, ne savait comment remercier sa sœur et son beau-frère, elle en fut énormément touchée. Stephen, quant à lui, ne pouvait pas se plaindre de passer du temps avec son oncle et sa tante, il en fut ravi. Elizabeth venait le chercher à l'école le soir, l'aidait dans ses devoirs, s'amusait avec lui... Cette situation dura un an et demi, et lorsque Stephen atteignit sa sixième année, sa mère trouva un fiancé. Il s'appelait Connor. Mary paraissait heureuse avec lui, et c'est ce qui importait. Stephen s'entendait bien avec son beau-père, ils passaient beaucoup de temps ensemble, et un jour, Stephen décida de l'appeler 'papa'. L'intéressé fut énormément touché, et se jura de s'occuper de cet enfant comme s'il était son véritable fils.
Mary tomba enceinte, elle mit au monde une petite fille alors que Stephen avait sept ans. Ils l'appelèrent Rachel. Ils formaient une famille unie, tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Rien ne se produisit de particulier jusqu'aux onze ans de Stephen. Parlons d'ailleurs un peu plus de lui. Petit, il était discret, et suivait passivement chaque événement familial sans broncher ou y mettre son grain de sel. Il était aussi bien trop jeune pour répliquer. Il entrait dans la phase difficile de l'adolescence, et pourtant, il parvenait à surmonter les complexes, les changements physiques, les sautes d'humeur et autres problèmes de cette phase humaine. Il se trouva un intérêt tout particulier pour la musique, notamment pour les grands classiques du rock. Adorateur d'Aerosmith, The Rolling Stones et Pink Floyd, Stephen aspirait déjà à devenir musicien. Sa mère accepta de lui payer des cours de guitare particuliers, durant lesquels Stephen faisait des efforts herculéens pour satisfaire son professeur, et surtout s'améliorer rapidement. Stephen était plus attaché à cette passion qu'à ses amis, les filles, le sport, ou autres distractions d'un adolescent basique. Il savait déjà ce qu'il voulait faire de sa vie, et cette idée ne le quitta jamais. Les années passaient, et l'ambiance à la maison devint différente. Connor était étrange, reclus, froid et sévère. Stephen décelait une pointe de méchanceté dans son regard, il était hautain et maladroit. C'est après quelques mois qu'il se rendit compte de son addiction pour l'alcool. Stephen, du haut de ses quatorze ans, essayait de comprendre, en parlait régulièrement à sa mère, mais cette dernière faisait la sourde oreille, tentant de cacher les quelques bleus de son visage sous une tonne de fond de teint. Rien n'allait plus, et Stephen savait pertinemment qu'il ne pourrait supporter cette situation plus longtemps.
Connor devint de plus en plus violent, que ce soit avec Mary, ou Stephen. Mais ce dernier ne bronchait pas, les coups ne lui faisaient rien, du moins, c'est ce qu'il voulait faire croire. Connor était exclu, il restait sans cesse tapi dans son coin et ne voulait parler à personne. Il piquait des crises de nerfs sans raisons, hurlait, cassait des objets, frappait sa femme, râlait, rabaissait... il était détestable, et Stephen savait, qu'en tant que deuxième homme de la maison, il se devait d'intervenir. Il avait quinze ans lorsque, pour la première fois, Connor frappa Rachel. Elle avait huit ans. Stephen ne laissa pas passer cet acte odieux, et provoqua son beau-père, qui le frappa à son tour. Stephen se retrouva à l'hôpital, suite à un choc plutôt important. Mais lorsque les médecins lui demandèrent la cause de cette blessure, il ne mentit en aucun cas, et raconta tout de A à Z. Connor fut arrêté, et n'eut plus aucune autorité parentale sur Stephen, ou sur Rachel. Mary fut longtemps reconnaissante de son fils aîné, et ne pouvait exprimer la fierté qu'elle ressentait envers lui. Ils gardèrent le ranch, cet endroit qu'ils avaient entretenus depuis leur arrivée à El Paso, et il ne comptait pas partir de si tôt. Quant à Stephen, après ce problème résolu, il voulait reprendre sérieusement en main l'idée de devenir musicien. Il travailla dur, jouait au lycée, et parfois même sur un trottoir, histoire de se divertir, et de faire partager ses talents aux passants. Inutile me direz-vous ? Pas tant que ça : il fut remarqué, et grâce à ça, il pu obtenir des cours d'un niveau supérieur, qu'il accepta avec grand plaisir. Plus les mois passaient, plus Stephen savait qu'il pourrait atteindre son rêve, et qu'il serait un jour connu dans le monde entier.
Alors, à ses dix neuf ans, il quitta El Paso pour se rendre à LA, là où se trouvait une université capable de réaliser ses rêves. Ca fait aujourd'hui presque trois ans que Stephen étudie ici. En parallèle, une vie pleine de rebondissements, de laquelle il n'a pas à se plaindre.
Derrière votre écrans ?
♦ Es ce un personnage prédéfinis ? Non ! ♦ Surnom et ton âge : CRANE ASYLUM ♦ Que penses-tu de Amazing ? A votre avis ? (: ♦ Niveau de RPG :
- Spoiler:
« Eh bien, tu devrais l'être – mort de trouille. Même le plus gentil des vampires peut faire des écarts, et... Il se trouve que je suis loin d'être le plus gentil des vampires. » « Arrête de gaspiller ta salive, je n'ai pas peur de toi, et ce n'est pas prêt de changer. » répondit-il immédiatement en haussant les sourcils avec indifférence.
Aloïs avait apprit à contrôler sa peur envers les créatures comme les vampires. En fait, il n'avait jamais cru à leur existence jusqu'à la mort de sa famille, toutes ces personnes massacrées ont montré à l'allemand qu'il était loin de vivre un conte de fées, où les monstres n'existaient. Ils étaient bel et bien là au contraire, et voilà qu'ils avaient atteint à la vie de ses proches, si bien qu'il s'était retrouvé totalement seul, livré à lui-même. Aloïs n'oublierait jamais cette peur qui l'avait envahie ce soir-là, les entendre rôder dans la maison pour vider ses proches de leur sang, jusqu'à ne plus entendre le moindre cri, le moindre gémissement. Tout s'était terminé si rapidement, que le jeune homme avait mit du temps à prendre conscience de la situation. Mais depuis, il s'était juré de détruire tous vampires qui se dresseraient sur son chemin. Certes, les loup garous en prenaient aussi pour leur grade, mais la haine d'Aloïs envers ces bêtes n'était probablement pas aussi forte que pour leurs ennemis. Cependant, après toutes ces promesses qu'il s'était fait à lui-même, voilà qu'il allait à l'encontre de ses principes depuis qu'il avait rencontré Ambre. Non seulement, il avait fait ce pacte ridicule, mais en plus, il sentait qu'elle n'était pas qu'une connaissance, ou une intouchable. Il avait senti cette part d'humanité en elle, ce brin de colère et cette méchanceté dont elle faisait preuve. Et Aloïs avait l'impression de voir son reflet, cette fille lui ressemblait beaucoup trop, et il avait fallu que ce soit un vampire. L'allemand n'était jamais tombé amoureux, il ne saurait pas aujourd'hui ce qu'aimer voulait dire, du moins, pas comme un homme aime une femme. Mais lorsqu'il était en présence d'Ambre, tout paraissait différent. Il ne ressentait plus le besoin de la tuer aujourd'hui, et par ce pacte, il s'était rajouté une propre règle : la protéger. Étrangement, c'est ce dont il avait envie, la savoir en sécurité, bien qu'il savait parfaitement qu'elle était capable de se défendre, il y avait toujours cette pointe d'appréhension lorsqu'elle n'était pas là. Alors, il voulait la savoir saine et sauve, à chaque instant, et il se maudissait d'y songer aussi souvent. Il ne pouvait pas s'attacher à quelqu'un, surtout à un vampire, et pourtant, il ne pouvait pas lutter contre ses sentiments. Avant tout, il était humain...
Il devait aller à l'hôpital, sa blessure était trop importante pour qu'il rentre chez lui sans passer par le service d'urgence. Cependant, il avait déjà dans l'idée de demander à Ambre de rester, de l'accompagner. Une fois debout, appuyé contre la brune, Aloïs s'apprêtait à marcher, mais un bruit dans les buissons derrière eux attira son attention. Beaucoup trop distinct pour que ce soit l'effet du vent ou de la pluie, l'allemand resta immobile, les yeux rivés sur les feuillages, alors qu'il glissait lentement sa main à sa ceinture pour frôler son pieu du bout des doigts. Ne sait-on jamais, mieux valait être rapide, bien qu'il soit doté d'un handicap profond. Il ne pouvait pas définir l'auteur de ce bruit pour l'instant.
« Aucune idée. Mais nous ferions mieux de ne pas traîner dans le coin trop longtemps... »
Et ce n'était pas Aloïs qui allait répliquer quoi que ce soit. Déterminé à débuter cette marche difficile vers sa voiture, le bruit se fit trop insistant, et bien vite, l'allemand sentit une présence étrangère. L'allemand se retourna précautionneusement, et la vision de cette bestiole ne lui fit pas plaisir, pas le moins du monde. Un loup garou. Une pleine lune. Cet imbécile n'avait rien pour se défendre, si ce n'était ce pieu en bois, mais ça ne lui servirait strictement à rien. Le brun serra les dents sans bouger d'un millimètre, les yeux rivés sur la créature tandis qu'il essayait de machiner un plan dans son esprit. Il pouvait partir en courant, laisser Ambre s'enfuir de son côté, mais le chasseur y passerait, il ne pouvait pas faire cent mètres sans que sa jambe ne se remette à saigner. Et sur un pied, il n'irait pas bien vite. Le regard d'Aloïs se posa un instant sur Ambre. Il ne pouvait pas la laisser, c'en était hors de question... le chasseur prit alors une profonde inspiration, avant de se souvenir de ce qui trônait dans le fond de la poche de son jean... de l'aconitum. Pas des masses, mais sûrement assez pour ralentir la bête. Aloïs toucha sa poche avec précaution, sans geste brusque. Maintenant, restait à bien calculer son coup... Alors, le chasseur baissa les yeux pour regarder le sol, un caillou se trouvait près de sa jambe droite. Ni une ni deux, l'allemand se baissa, prit le petit rocher et le lança en direction du loup, qui, embarqué dans sa colère, se jeta sur Aloïs. Ce dernier glissa sa main dans sa poche, dans un élan d'habilité forcé, et alors que la gueule de l'animal ouverte se jetait sur sa gorge, il fourra la plante comme il le put dans ce trou béant. Le loup lâcha une plainte, alors qu'il reculait, confus et embarqué dans sa douleur. Aloïs se leva immédiatement, et se rua vers Ambre.
« COURS ! »
Il poussa la brune, l'incitant à avancer, alors qu'il oubliait la douleur de sa jambe pour se concentrer sur sa propre course. Le loup n'allait sûrement pas rester aussi faible longtemps, il allait revenir. En attendant, le chasseur ne réfléchissait pas, et courait comme il le pouvait, tandis qu'il sentait une chaleur désagréable au niveau de sa main : en usant de la plante, l'animal l'avait mordu, superficielle comparé à sa jambe, mais sa paume rougie par le sang laissant croire qu'il avait été amoché, tout de même. En ligne droite, Aloïs n'aurait jamais songé que sa voiture se trouvait aussi près... Sur le bord de la route, le chasseur se leva tomber à genoux, lâchant une plainte alors que sa jambe était plus douloureuse que jamais... Il se redressa, tant bien que mal, sortit ses clefs et ouvrit le véhicule pour se hisser côté passager. Non, il ne pourrait pas conduire dans cet état. Une fois assit, Aloïs ferma sa portière, et, dans une observation de sa main blessée, cracha avec haine :
« Saloperie de clebs ! J'te les buterais tous ces bestioles !!! » ♦ Fréquence de connexion : .../7 et avez-vous un multicomptes ? Trois à quatre fois par semaine / Aucun double compte ♦ As-tu signé le règlement ? CODE BON après avoir terminé votre présentation vous devrez envoyer le secret de votre personnage à l'un des admins
Dernière édition par Stephen L. Stones le Mer 6 Juil 2011 - 20:39, édité 1 fois |
| | | | Sujet: Re: STONES ✘ « Aimer, c'est l'innocence éternelle, et l'unique innocence est de ne pas penser. » - 100% Mer 6 Juil 2011 - 19:26 | |
| WHOUAHHH !! Rarement pris Bienvenue à toi (: |
| | | | Sujet: Re: STONES ✘ « Aimer, c'est l'innocence éternelle, et l'unique innocence est de ne pas penser. » - 100% Mer 6 Juil 2011 - 19:31 | |
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| | | | Sujet: Re: STONES ✘ « Aimer, c'est l'innocence éternelle, et l'unique innocence est de ne pas penser. » - 100% Mer 6 Juil 2011 - 19:36 | |
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| | | | Sujet: Re: STONES ✘ « Aimer, c'est l'innocence éternelle, et l'unique innocence est de ne pas penser. » - 100% Mer 6 Juil 2011 - 19:37 | |
| Merci beaucoup je fais ça tout de suite ! : D |
| | | | Sujet: Re: STONES ✘ « Aimer, c'est l'innocence éternelle, et l'unique innocence est de ne pas penser. » - 100% Mer 6 Juil 2011 - 19:40 | |
| Bienvenue je veux que tu me réserves un lien !!
Dernière édition par Drew Miller le Mer 6 Juil 2011 - 19:42, édité 1 fois |
| | | | Sujet: Re: STONES ✘ « Aimer, c'est l'innocence éternelle, et l'unique innocence est de ne pas penser. » - 100% Mer 6 Juil 2011 - 19:41 | |
| bienvenue et je veux un lien avec toi c,est sur |
| | | | Sujet: Re: STONES ✘ « Aimer, c'est l'innocence éternelle, et l'unique innocence est de ne pas penser. » - 100% Mer 6 Juil 2011 - 19:41 | |
| Pas de problème, merci à vous deux ! ^^ |
| | | | Sujet: Re: STONES ✘ « Aimer, c'est l'innocence éternelle, et l'unique innocence est de ne pas penser. » - 100% Mer 6 Juil 2011 - 19:44 | |
| Welcome =) =) Bon courage parmis les fous =) =) ♥ |
| | | | Sujet: Re: STONES ✘ « Aimer, c'est l'innocence éternelle, et l'unique innocence est de ne pas penser. » - 100% Mer 6 Juil 2011 - 19:50 | |
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| | | | Sujet: Re: STONES ✘ « Aimer, c'est l'innocence éternelle, et l'unique innocence est de ne pas penser. » - 100% Mer 6 Juil 2011 - 19:51 | |
| Bienvenuuue Stephen |
| | | | Sujet: Re: STONES ✘ « Aimer, c'est l'innocence éternelle, et l'unique innocence est de ne pas penser. » - 100% Mer 6 Juil 2011 - 19:52 | |
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| | | | Sujet: Re: STONES ✘ « Aimer, c'est l'innocence éternelle, et l'unique innocence est de ne pas penser. » - 100% Mer 6 Juil 2011 - 20:15 | |
| très bon choix de vava bienvenue |
| | | | Sujet: Re: STONES ✘ « Aimer, c'est l'innocence éternelle, et l'unique innocence est de ne pas penser. » - 100% Mer 6 Juil 2011 - 20:19 | |
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| | | | Sujet: Re: STONES ✘ « Aimer, c'est l'innocence éternelle, et l'unique innocence est de ne pas penser. » - 100% Mer 6 Juil 2011 - 21:11 | |
| Bienvenue chez les fous |
| | | | Sujet: Re: STONES ✘ « Aimer, c'est l'innocence éternelle, et l'unique innocence est de ne pas penser. » - 100% Mer 6 Juil 2011 - 23:06 | |
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| | | | Sujet: Re: STONES ✘ « Aimer, c'est l'innocence éternelle, et l'unique innocence est de ne pas penser. » - 100% Ven 8 Juil 2011 - 12:57 | |
| Bienvenue!! |
| | | | Sujet: Re: STONES ✘ « Aimer, c'est l'innocence éternelle, et l'unique innocence est de ne pas penser. » - 100% | |
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| | | | STONES ✘ « Aimer, c'est l'innocence éternelle, et l'unique innocence est de ne pas penser. » - 100% | |
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