Je ne pouvais tout simplement pas venir ici, à Los Angeles, sans avoir visité les plus grande attrait touristique de la place, s'était irréprochable que je l'est visite et que je l'est apprécie maintenant que je vivais dans cette ville! L.A était complètement différent de New-York, ici les filles se pensent toute reine de leur ville, elles se pavanent avec des vêtements trop sexy pour ce que leur corps leur permet de porter et elle se crois belle... Détrompez-vous mes jolies, il n'est pas donné à tout le monde de ressembler à Jordan L. Parker! Désoler!

Je n'appréciais pas du tout L.A, et quand je dit du tout je fais allusion au fait que je préfèrerait me trouver dans un cachot en Irlande avec pour seul bagage, un curre dent et une chaussure - la chaussure sans talont s'entend! - . L'ambiance de cette ville était beaucoup trop machinal, on marchait dans la rue en espérant voir une vedette quelquonque et en vivant toujours avec un manque d'espace flagrant, certes New-York est d'une certaine façons semblable mais pas comme sa, à New-York s'était moi la reine!

Je marchais dans la fameuse rue, celle qui avait fait sujet de mainte conversation depuis plusieurs années. S'était quand on les visitaient, c'est fameuses étoiles qu'on se rendais compte qu'elle n'était pas si brillante et jolie, au contraire, elle était tâcher délaver et la plupart était polluer par les commerce environnent! Je m'étais vêtu de manière peu commune si on voit les gens de L.A. J'avais enfiler une petite robe blanche -très courtes- avec plusieurs franges, des talont haut blanc dénudant mon pied quelque peu et j'avais animé le tout de quelques accessoire tendance a New-York! Mes cheveux? Il était lousse et frisé comme a mon habitude, j'avais mis très peu de maquillage, je ne m'étais jamais de fars a paupière ses looser et sa fait ''je veut ressembler a un canon quand j'en suis pas un'' complètement contre l'idée! M'enfin, je marchais dans cette fameuse rue de toute façons je n'avais rien de mieux a faire que sa, je ne voulais pas rester avec ce crétain de colocataire, la plaie que mes parents m'avaient forcer de cotoyer pour que je devienne gentille, et bien il avait raté leur coups, il allait payer ce mec!

Je ne connaissait personne ici, ou presque. Je n'avais que mes pensées et le long vide qui grandissait a mesure que je posait le pied par terre. J'étais tellement dans mes pensée que je ne prit même pas la peine de regarder ou je mettait les pieds, je s'avais que les autres autours de moi allait se tasser devant la beauté que j'étais, et ce n'était pas complètement fou, s'était au contraire, tellement réel... Je m'arrêta pour voir une étoile, celle d'un artiste que je connaissais mais pas assez pour être épaté par son talent quand j'entendit un bruit étrange...

Los Angeles, ville de païens et d'êtres inférieurs, ville qui est devenu le centre du monde suite à mon arrivé à moi le grand Drew Miller. Cette ville n'était que le lieu de vie de starlettes, jeunes héritières se prenant pour des divas et comédiens à deux balles... maintenant elle peut dire qu'elle a un véritable Dieu parmi ses habitants, maintenant elle peut dire que l'incarnation même de la beauté en a fait son antre, maintenant elle peut dire qu'elle a l'un des plus riches héritiers, maintenant elle peut dire qu'elle a Drew Miller. Non mais c'est vrai cette ville sans moi ne serait rien... un peu comme New York, Paris et autres villes futiles qui ne rivalise aucunement avec celle qui m'a vu naître, Londres.

À Londres j'étais connu et apprécié de tous, c'est la que ma religion le Drewisme a vu le jour... après m'être fait dire à plusieurs reprises que j'avais quelque chose de divin je me suis rendu compte que le commun des mortels avait raison. Bon c'étaient bien beau toutes ces pensées qui me passaient par la tête mais ça faisait un bon 15 minutes que la sculptrice de renom que j'étais venu voir avait fini la statue de moi même que je lui avais commandée pour mettre à la place de la fontaine sur ma propriété. Je sortais donc de son établissement qui se trouvait non loin de la promenade des célébrités alors je me décida à aller y jeter un coup d'oeil pour voir s'il avait prit en compte ma plainte à propos du mauvais entretien des étoiles.

À mon grand regret ce n'était pas le cas au contraire l'état était encore plus mauvais qu'avant ma plainte. En continuant de longer la promenade des célébrités je fus épater par mon reflet dans le miroir se trouvant chez le vendeur d'antiquités. Je m'arrêta donc quelques instants pour contempler ma beauté mais je ne pouvais pas m'en contenté alors je commença à me complimenter, me disant que j'étais beau, sexy, séduisant et tellement irrésistible. Les passant me regardaient d'un air étrange, sans doute intimidé par ma beauté renversante mais je n'y faisais pas plus attention j'avais mieux à faire... comme me regarder.

Désoler pour l'attente mon mois d'août était pas mal rempli =)

Le bruit venait d'un homme que je connaissait très bien... Si il y avais une personne sur terre qui avait plus d'égaut et qui se trouvais tellement beau qu'il se marirait si ce n'étais pas pris pour blague de mauvais gout, et bien cette personne ce serait Drew... Le beau Drew, le magnifique Drew, l'incroyable Drew, le sublimissime Drew... Manquez vous d'adjectif?? Moi non en tout cas. Je le surprenais d'ailleur a faire l'une de ses activiter préférer qui était: l'observation de sa propre personne dans le miroir suivit de petit compliment cocace... Personnellement je n'osais pas faire cette exercise en publique mais Drew etait beaucoup moins timide que moi...

Je m'approcha de lui en souriant marchant sur le bout des pied pour ne pas qu'il entende le bruit assez criar de mes talont sur le parquet dehors, puis je m'avanca vers lui, je mit mes lunette fumer pour qu'il ne me reconnaisse pas sur le coup puis je me pencha juste a ses coté de lui pour qu'il me voit dans la glace de la vitrine puis j'embrassa sa joue avec un sourire au lèvre, juste un petit sourire coquain!



Pas grave je comprend sa...

Alors que je continuais de me regarder dans la glace je vis juste en bas de moi à ma droite une superbe jeune femme qui se trouvait à être ma meilleure amie Jordan, elle se releva et m'embrassa sur la joue avec un sourire coquin aux lèvres. Je la pris dans mes bras et je la serra très fort avant de la remettre sur ses deux jambes.

Comment vas tu ma belle? Toujours le mal de Los Angeles? Moi en tous cas je m'ennuie de Londres et ça fait près de 4 ans que je vis ici alors j'imagine que tu t'ennuie de NY.

Mon blackberry se mit à vibrer dans ma poche arrière, je regarda qui appelait et c'était un appel urgent alors je fis signe à Jordan que je n'avais pas d'autre choix que de répondre.

Oui allô?

Bonjour M. Miller je vous appel simplement pour vous dire que vous n'avez pas encore payez pour le prochain semestre.

Vous en êtes sure? Je vais régler ça le plus tôt possible.

Je ferma mon blackberry et le remit dans ma poche arrière.

Dit Jordan ça te dérange si je vais faire un dépôt dans mon compte de banque? Apparemment je n'ai pas encore payer pour mon prochain semestre et j'avais retiré tout mon argent de mon compte alors je vais aller en déposer un peu.

Elle me répondit que ça en la dérangeait pas alors je la pris encore une fois dans mes bras et je me mis à courir jusqu'à la banque qui était quelques rues plus loin. Rendu là je me dépêcha de faire un petit dépôt de 75 000 livres sterling soit l'équivalent d'un peu plus de 118 000 us ça allait bien payer mon semestre et je n'aurais plus besoin de faire un autre dépôt avant un moment.

Ça y est c'est fait. Maintenant on se fait une sortie de best tant qu'à être ensemble? Moi j'aimerais ça passer du temps avec toi. Pourquoi pas faire du shopping? Je me suis pas acheté de morceaux depuis plus de 3 jours tu t'imagines ça toi !? Moi non.

J'appela un taxi et nous nous y sommes installés, tout cela c'était dérouler rapidement alors j'attendais la réponse de Jordan avant de lui dire où nous désirions aller.

Elle était tout aussi scandalisé que moi ! Non mais c'est vrai 3 jours sans que je m'achète un morceau c'est aussi rare que les jours d'apocalypse, Alalalala je l'aimais ma Jordan, c'était l'une des seulement filles qui me comprenait totalement, m'aimait et m'assumait comme je suis alors que d'autre tenterait de me changer. C'était une fille d'une infinie beauté, avec un vrai visage d'ange en parfait contraste avec sa personnalité des plus démoniaques. En fait elle me ressemblait beaucoup, je suis un beau gosse, un charmeur comme il ne s'en fait plus, quelqu'un de franc et direct et tellement mais tellement sexy. Tout comme Jordan. Mais bon revenons à nos moutons c'était le temps de magasiner et le taxi nous déposa.

On commence par où?

Je poussais délicatement la porte tout en la retenant pour empêcher celle-ci de se refermer devant ma reine new yorkaise.