C'était Carnaval et Michael n'avait pas arrêté de me rabâcher les oreilles avec ça pendant deux semaines. Il voulait se déguiser en pirate, chose qui allait être difficile. Mais j'ai tout de même pris le temps d'aller lui acheter son costume car je n'ai jamais une de ses femmes qui cousent, comme dans les séries télé. Et lorsqu'il l'a découvert, il a sauté de joie. J'avoue avoir eu un boule à l'estomac pendant un instant. J'ai eu peur que ça ne lui plaise pas. Mais heureusement pour moi, il a adoré.

Nous étions donc dans la rue, en train de faire du porte à porte pour récolter des bonbons. J'étais déguisée moi aussi, je n'ai pas pu y échapper. Je portais donc une longue cape noir et un chapeau pointu, n'oublions pas la baguette à la main. Et oui, j'étais une sorcière, beaucoup de personnes auraient apprécié l'allusion à mon tempérament de sorcière, même si pour le moment, je m'étais assagie.
Je souriais en voyant mon fils s'amuser comme un petit fou. J'aurais voulu que ça continue mais on n'a jamais ce que l'on veut... Il était tard et nous allions rentrer. Rares étaient les fois où Michael restait debout aussi tard.
Autour des 22h, la terre a commencé à trembler. Michael courait non loin de moi mais j'ai eu peur quand j'ai senti la terre bouger. Fort heureusement, j'ai pu vite le rattraper et il n'avait rien. Malgré tout, il a voulu continuer la tournée des maison. Je lui ai expliqué qu'il était tard et que nous ferions mieux de rentrer chez nous. En plus, nous étions assez loin de la villa. Il nous faudrait pas mal de temps pour rentrer. Il concéda à me donner raison et nous avons rejoins la voiture.
Mon téléphone vibra et j'ai dû arrêter la voiture. Michael descendit de la voiture car ma conversation s'éternisait. Nous étions encore dans la ville. Il était tard et mon interlocuteur ne voulait pas raccrocher. Je gardais un œil sur mon fils, tout de même inquiète qu'il aille trop loin. Je n'ai pas eu le temps d'y voir... D'autres secousses se firent sentir et cette fois-ci, j'ai lâché mon téléphone dans la bataille. J'étais paniquée en en voyant plus Michael. Mais où était-il passé ? J'avais beau crier son prénom, je n'avais pas de réponses en retour. J'étais complètement paniquée. Heureusement pour moi et surtout pour mon fils, Joshua était là. Je ne savais pas ce qu'il venait faire là mais je m'en fichais. Il avait réussi à rattraper mon fils et c'est tout ce qui comptait. Je les ai rejoints et mes premiers mots furent les suivants : « Merci, merci beaucoup ! Heureusement que tu es là ! » Puis je me suis adressée à mon fils : « Plus jamais tu ne me fais ça d'accord ? Maintenant tu me tiens la main et tu ne la lâches plus ! » J'ai à nouveau tourné la tête vers Joshua, inquiète pour lui : « Et toi, tu n'as rien ? Ça va ? »

Je n’étais pas du genre a venir a ce genre de fête enfin si on pouvais appeler sa une fête c’était surtout un grand carnaval en plein milieux de la ville , et je le redis je n’était pas du genre a faire ce genre de chose , mais je ne pouvais pas non plus rester enfermer chez moi devant ma console car même ma console ne me donner pas envie je venais de faire une chose que je regretter j’avoue .Mais je ne pouvais pas laisser passer cela…j’avais besoin d’un peu de temps sa fessais fille , mais …je m’en voulais…elle n’avait pas l’air bien et l’idée de la voir pleuré me détruise un petit feu … Il avait déjà failli l’embrasser et sa ne lui avait pas suffit apparemment pour jouer avec pendant le jour de la saint valentin pour danser assez proche avec lui et après notre petit week end de le faire venir directement chez elle une fois que je l’avais déposer…non car il l’avait encore embrasser elle avait beau me dire qu’elle l’avait repousser de le voir poser ses lèvres sur celle de Ellen me …me repousser .

J’étais donc venu a la soirée du carnaval , mais tout d’un coup pendant que je regarder le carnaval défiler tout ce mi a trembler moi qui ne tenais pas sur mes jambes j’avais failli tomber a cause de la grosse secousse , mais je mettais retenu a une barrière . Je me redressa correctement et aperçus une petite bouille que je ne connaissais que trop bien , je regarda dans les allentour et Wendy n’était pas la comment sa ce fessais je m’approcha de lui «  Salut bonhomme » je me mi alors a sa taille lui tenant légèrement le bras «  Elle est ou ta maman ? » il semblait paniquer il ne savais pas ou elle était et tout d’un coup j’entendis la voix de Wendy je leva mon regard vers elle et me redressa ensuite «  Euh…de rien , c’est normal j’allais pas le laisser tout seul … » rare était les moments ou je voyais Wendy sortir avec son fils sa devais être la première fois d’ailleurs ! Puis elle me demanda si sa aller «  Oui enfin j’ai pas vraiment compris ce qui ce passer sur le coup , mais oui et toi tu n’as rien ça va? »

J'étais complètement paniquée à l'idée de ne pas retrouver mon fils. Tout un tas d'idées me traversèrent l'esprit, à commencer par une voiture qui pourrait l'écraser. Bon d'accord il était tard, mais les jeunes étaient toujours de sortie à une heure pareille et j'en savais quelque chose! J'ai alors couru un peu partout, ne sachant pas vraiment où aller. J'ai alors enfin trouvé ce que je cherchais : Michael était là, en train de tenir la main de Joshua. J'ai soufflé de soulagement et je me suis précipitée vers eux. J'avais peu qu'il soit arrivé quelque chose à mon fils. Des secousses telles qu'on venait d'avoir avaient de quoi affoler le monde, moi la première. Mais voir Joshua tenant la main de mon fils eut un effet rassurant sur mon système nerveux. Une fois vers eux, j'ai disputé Michael, et demandé à Joshua s'il n'avait rien. D'après lui, tout allait bien. Mais j'ai pu voir que mon fils n'allait pas si bien que cela. Il avait un peu de sang sur la tête, ce qui renforça le sentiment de peur que j'ai ressenti quelques minutes plus tôt. « Moi ça va,merci. Tu es vraiment sur que tu n'as rien ? Oh mon dieu! Michael, tu saignes! Qu'est-ce que tu as fait ? » Il ne pleurait pas, c'était bon signe. Il ne semblait pas non plus traumatisé outre mesure par ce qui venait d'arriver, je n'avais donc pas de raison de m'inquiéter. Mais c'était plus fort que moi... J'ai alors essuyé délicatement le sang sur le front de mon fils, et j'ai pu constaté qu'effectivement, il n'avait rien. J'ai soufflé une seconde fois de soulagement avant d'ajouter : « On ferait bien d'aller à l'hôpital pour s'assurer que tout va bien. Je veux que Michael voit un médecin. » Je me doutais que l'hôpital allait être surchargé mais je m'en fichais. Et puis je me demandais si Alessia et ma soeur allaient bien. Je ne me rendais pas compte que la seule personne qui n'allait pas, c'était moi... Je ne sentais ni ne voyais le sang couler le long de mes cuisses... Je focalisais mon attention sur Joshua et Michael.