Hé oh ! Tu sais comment je m’appelle ? Mon nom est Welch et mon prénom est Ivy-Ann. Tu aimerais en savoir plus sur moi ? Alors continue à lire. Je suis née en 1992 le 14 janvier à Ottawa, Canada, j’ai 20 ans. Je suis de nationalité Canadienne et Américaine. J’adoooore les n'importe qui qui peut attirer mon regard, je suis donc bisexuelle, ou plutôt sans étiquette et je suis célibataire endurcie. Je fais partie de la confrérie Beta Psi et cela fait2 ans que je suis dans cette école. J'ai choisie Deborah Ann Woll parce que je la trouve magnifque et que j'ai toujours adoré les rousses.

Ivy est une jeune femme très belle. Grande, svelte et avec des courbes là où il le faut, la nature, et la génétique, a été plutôt généreuse avec elle. Elle a l'impressionante chevelure enflâmée de sa mère, probablement son attribut le plus cher ses yeux. Il fut dire qu'elle porte un très grand soin à ses cheveux. Elle dépense probablement autant en un mois sur des produits pour entretenir sa tignasse qu'elle ne dépense d'argent sur des nouveaux vêtement et du maquillage. Quand ce ne sont pas ses cheveux qui attirent le regard des autres, ce sont habituellement ses grands yeux de biches d'un bleu presque turquoise qui vous hypnotiseront. Un battement de ses longs cils et vous êtes sous son charme. Personne, ou presque, ne peut résister à ce regard.

Côté look, Ivy-Ann ne se casse pas la tête à se trouver un look parituclier. Elle y va avec ses envies du moment. Un jour elle peut porter une petite robe fleurie, et le lendemain c'est les pantalons moulants de cuir. On peut habituellement déterminer comment elle se sent juste en la regardant. Vêtements plus longs, lourds et foncés veulent dire qu'elle s'est levé du mauvais pied et qu'il ne faut pas la chercher, ou bien si c'est tout bariolé de couler, rien ne pourra la mettre de mauvaise humeur. Il n'y a pas un look qu'elle n'ai jamais expérimenté.

Ivy-Ann est probablement une des personnes les plus vivantes que vous croiserez. Comme tout le monde, il lui arrive évidement de passer des mauvaises journées ou d'être de mauvaise humeur sans raison, mais en règle générale, c'est une jeune femme souriante et pétillante d'énergie. Elle est aussi une des personne les plus franches que vous rencontrerez, pour la simple et bonne raison qu'elle est comme un livre ouvert et que ça ne lui servait à rien de mentir ou d'être hypocrite parce qu'on le remarquerait d'un seul coup d'oeil. C'est peut-être ce pourquoi plusieurs personnes ne peuvent supporter d'être avec elle alors que d'autres l'adore. Avec Ivy, on l'adore ou on la déteste mais il n'y a que très rarement d'entre deux. Elle est aussi reconnue pour sa grande ouverture d'esprit. La diversité ne lui fait pas peur, elle l'accepte sans problème. On en attendrait pas moins, vu son contexte familial. Elle est aussi une fervente militante de plusieurs causes. Un des problèmes d'Ivy-Ann est, en fait, qu'elle ne se rend pas compte que les gens ne sont pas aussi ouverts qu'elle, ou quand elle a dépassé les limites du confort de quelqu'un. Étudiante en sexologie, elle n'a aucune gêne à en parler mais ne réalise souvent pas que ça peut gêner les autres. Elle n'a aucun filtre. Accessoirement, Ivy-Ann est aussi une jeune femme très désorganisée et spontanée.

«Moi, mon papa il est avocat. Et toi, Ivy, il fait quoi ton papa?» demanda la petite blondinette à sa nouvelle meilleure amie (que voulez-vous, à 6 ans toute nouvelle personne rencontrée devient notre meilleure amie). Ivy-Ann, assise dans les marches de l'escalier de la cour d'école leva les yeux vers la petite, surprise par la question.
«Mon papa? J'ai pas de papa moi. Mais par contre, j'ai deux mamans!» répondit-elle le plus normalement du monde. Pour elle, de toute façon, c'était très normal. Elle avait deux mamans qu'elle aimait et qui l'aimaient et qui s'aimaient. En quoi était-ce différent d'avoir une maman et un papa? Évidement, elle connaissait la mécanique de la chose, elle savait que pour avoir un enfant il fallait une maman et un papa, et qu'elle devait en avoir un quelque part, mais jamais l'idée de le rencontrer ou de l'avoir dans sa vie ne lui avait traversée l'esprit. Elle aimait ses mamans et ne changerait pas. Heureusement pour elle, son amie fit comme si de rien était.
«Ah? Et elles font quoi tes maman?»
«Maman Isa, elle écrit des livres, et maman Léontine, elle, elle fait de la cuisine dans un restaurant.»

U N D E R C O N S T RU C T I O N