Voilà, le grand soir était enfin arrivé. Aujourd'hui, Samedi 21 avril 2012, je participais a mon premier vrai rendez-vous amoureux avec Théodore Longway. Cet Apollon qui avait su conquérir mon coeur plus vite que ne l'aurait fait cupidon avec toute les flèches du monde. Jamais je n'avais pensé me retrouver dans une soirée au côté de Théo prônant le statu de petit ami. Il avait été pendant des mois mon inséparable, mon meilleur ami et même si nous avions l'air d'un couple lui et moi, dans notre esprit ça n'avait pas été le cas et ce jusqu'à ce qu'il m'avoue me désirer, ce jour où je lui avait rendu visite après des semaines sans le voir. Ce magnifique jour où dans ma tête, tout avait été chambouler, ce jour ou je me retrouvais à le désirer, ou je me surprenais à l'imaginer m'embrasser. Et voilà qu'aujourd'hui, tout ceci c'était réalisé, Théo était mon petit ami et j'en étais plus amoureuse que jamais, il me faisait tellement de bien par sa simple présence. Il se disait si imparfait et pourtant, jamais un homme ne m'avait donné cette impression d'être plus important pour lui que lui-même...

Plus tôt dans la journée, j'étais partis en ville pour acheter quelques derniers accessoires pour parfaire la jolie robe que j'avais acheter avec Sanaa. C'est elle qui m'avait conseiller et être conseiller par une styliste était le signe que j'allais être plus belle que jamais ce soir là. Elle avait même pris quelques heures pour la modifier et la faire en fonction de mes formes, pour la rendre unique. Vers 18h30, je me retrouvais donc vêtu d'une magnifique robe noire, qui s'arrêtait à hauteur de mes mi-cuisses et qu'un petit voile noir venait aider à couvrir. Une seul bretelle argenté permettait à cette robe de tenir, robe qui épousait mes formes avec splendeur et précision. J'avais assortis à cet ensemble une magnifique paire d'escarpin noir et une petite sacoche argenté. J'avais également demander l'aide de ma soeur pour me faire une coiffure et j'avais fini par maquiller mes yeux. Il était 19h30 et j'étais fin prête à partir rejoindre l'élu de mon coeur pour cette soirée qui semblerait être mémorable.

Lorsque, je mis mon premier pied en dehors de la voiture, mon portable affichait 19h52. J'écoutais les dernières recommandation de ma soeur. Je la saluais, un sourire immense accroché à mes lèvres et je me dirigeais avec détermination vers l'entré principal du centre. De nombreuse personne était déjà présente, tous vêtu de magnifiques costumes pour les hommes et de belles robes pour les femmes. J'étais probablement la plus jeune personne présente ici ce qui m'intimidait un peu, mais je ne regrettais ma présence pour rien au monde. Une fois la portes passé, je traversais le hall, pour rejoindre le couloir des dortoirs. Je m'arrêtais devant un petit miroir, vérifiant que j'étais bel et bien présentable. Arrivé devant sa chambre, je frappais un coup et ouvrit la porte que je passais sans attendre. C'est moi. Mon regard se posa alors sur Théo. Il était 20h et la soirée commençait enfin ...

Je venais de pénétré dans la chambre de Théo. Mon regard se posa immédiatement sur ce bellâtre encore allongé sur son lit. Toute la journée, je m'étais senti bien. Sans angoisse, sans stress, sans inquiétude. J'avais fait preuve de minutie, de détermination, avec un seul objectif, être la plus jolie possible pour Théo. Mais voilà, que maintenant, alors que mon regard venait de se poser sur lui, j'étais prise de pleins d'idées folles : Et s'il ne me trouvait pas jolie. Si je le décevait dans ses attentes. Et si je faisais capoter toute cette soirée involontairement. Je lui offris un sourire qui se voulu timide et quelque peu gêné, loin de moi l'idée de l'être ce soir, mais c'était plus fort que moi. Il ne fallait pas oublier qu'en plus d'être une soirée, c'était notre première soirée en temps que couple. Soirée ou tout le monde nous verrais lui et moi, mains dans la mains, yeux dans les yeux et lèvres contre lèvres. Je désirais tellement que cette soirée soit parfaite, pour moi, mais surtout pour lui, je ne voulais pas le décevoir, ce soir ni jamais. Je voulais qu'il soit fière d'être à mon bras, fière d'être avec moi.

Je l'observais alors se lever, espérant secrètement qu'il vienne m'embrasser et me rassuré sur mes petites angoisses personnelles, sans que je n'ai rien à lui demander, mais il alla d'abord récupéré une petite boite dans un de ses tiroirs. Je le regardais confuse et surprise, me demandant ce que cela pourrait être. Il semblait lui aussi très nerveux, tremblotant, ce qui me fit sourire. Ne Stress pas mon coeur, ce n'est que moi. Je n'étais donc pas la seule à perdre mes moyens, et ce fut, aussi étonnant soit-il, un soulagement. Je me mis à sourire, amusé, alors qu'il sortait un petit bracelet de tulipe blanche de son écrin. J'étais ébahis devant cette petite merveille, il était tellement beau, que je fus prise d'une terrible envie d’accélérer le temps pour l'avoir d'autant plus vite en ma possession. Lorsqu'il le glissa à mon poignet, je le regardais faire avant de relever mes yeux vers les siens. Un immense sourire accroché à mes lèvres. Il est ...magnifique. Merci. Je ne savais pas quoi dire de plus et j'avais probablement l'air du nunuche à m'extasier devant un bracelet, mais tout ceci était nouveau pour moi, sans était presque idyllique et magique, voire probablement le plus parfais des rêves. La partie la plus agréable arriva enfin lorsqu'il m'attira vers lui, en complimentant mon apparence. J'en gloussais de plaisir .J'étais belle à ses yeux, il venait de me le dire et je n'avais plus de crainte à avoir à se sujet. Je lui offrit alors un véritable sourire, j'étais charmé, j'étais conquise par ces simples petits mots. Et toi tu es parfais, tu es charmant, tu es sexy, tu es juste ... divin. J'étais peut être à l'origine de cette tenue, mais c'est lui qui l'avais choisi, qui avait assorti son ensemble et il avait tout simplement bien choisi. Il était incroyablement sexy, son côté charmeur ressortait divinement et je me pinçais les lèvres pour ne pas craquer en l'obligeant à rester ici toute la soirée pour que personne d'autre ne puisse profiter de sa beauté, déjà que je m'en empêchais en temps normal, je me battais un peu plus encore avec moi-même ce soir.

Sans plus attendre, il déposa ses délicieuses lèvres contre les miennes et en cet instant, il faisait de moi, une petite amie plus que comblé. Tout était parfais, ce bracelet, lui et ce baiser. Je ne pouvais imaginer qu'il puisse il y'avoir mieux que ce qu'il m'offrait là, maintenant, en cet instant. Je tentais de prolonger encore et encore se baiser, ne souhaitant y mettre fin, je voulais lui transmettre tout mon bonheur et tout mon amour, pour qu'il se sente bien avec moi. Cependant, même les meilleures chose ont une fin et c'est à contre-coeur que mes lèvres se détachèrent des siennes. Mon visage encore tout près du siens, je tentais de reprendre mes esprits. J'avais l'air d'une petite fille, toute excité. S'en était presque déroutant, de voir l'effet qu'il provoquait en moi par sa simple présence et celui qu'il provoquait par un simple baiser de "bonjour". Avec plaisir. Avais-je répondu lorsqu'il me proposa s'y aller. Je lui renvoyais un magnifique sourire et le laissait saisir ma main, entrelaçant mes doigts avec les siens. Les portes de sa chambre passer, nous avions fini par atteindre la salle de bal. Tout était magnifique, le décors était somptueuse et tout le monde semblait s'être surpasser pour rendre cette salle merveilleusement belle. Contrairement à ce que j'avais pensé, il y'avait énormément de gens et la plupart tous accompagné. Certain dansait déjà,d'autre ne faisait que discuter et les derniers grignotaient près du buffet. Il n'y avait jusque là rien d’exceptionnel et pourtant à mes yeux ça l'était. C'est vraiment merveilleux. Tout est juste parfais. Je soufflais d’émerveillement.

Mon regard se posa à nouveaux sur Théo, lorsqu'il me proposa de danser et mon visage s'illumina d'un nouveau sourire, alors que j'acquiesçais d'un simple hochement de tête. Je me dirigeais à ses côtés jusqu'à la piste de danse, qui s'illuminait sous nos pieds lorsque l'on faisait le moindre pas, ce qui me fit décrocher un petit rire. La musique étais assez douce pour le moment, signe d'un début de soirée tranquille, qui espérons-le se transformerait en une soirée de folie par la suite. Je pris donc position pour danser au côté de mon petit ami. Merci de m'avoir choisi pour être ta cavalière ce soir. Murmurais-je en le regardant intensément dans les yeux. Puis, je le détaillais à nouveau quelques instants, il était tellement sexy que j'en restais troubler. Il n'osait pas croire que je pouvais le désirer, mais j'avais qu'une envie en cette instant, c'était lui enlever toute ses fringues. Seulement, quelque chose m'en empêchait, une tare dont je me serais bien passé. Mon regard vint se plongé dans le siens. Est-ce que j'ai le droit d'exiger que tu m'embrasse ? Je tirais la langue d'un air coquin. Parce que j'ai vraiment envie que tu dépose tes lèvres... Dis-je en posant mon index sur ses lèvres. ... Sur les miennes. Ajoutais-je en montrant du doigt les miennes, avant de pouffé de rire en attendant qu'il m'offre ses lèvres.

La nervosité de Théo me faisait sourire. Je le connaissais depuis maintenant presque neuf mois et jamais il n'avait donné l'image d'un homme nerveux. Oui j'avais percer à jours son côté guimauve et tendre au fil du temps que j'ai passé avec lui, mais il ne s'était jamais montré nerveux et je trouvais ça adorable de découvrir cette nouvelle facette de lui ce soir. Evidemment, je ne serais pas moi, si je ne l'embêtais pas avec ça, alors je me lança le chariants tout en le rassurant qu'il n'avait pas à être nerveux. Après tout, ce n'étais que moi, je n'étais pas une reine, une princesse, ni même une présidente, j'étais juste Eva Heaven et mon seule titre était d'être sa petite amie. Ce mot sonnait de moins en moins bizarre dans ma tête, je commençais à m'y habituer et selon moi c'était une très bonne chose, parce que je n'étais plus d'accord pour céder ma place. La petite phrase qu'il me murmura me fit fondre. Je le rendais nerveux. C'était bien la première fois que quelqu'un était nerveux devant moi, sauf quand je jouais les manifestantes en colère ou que je me présentais en temps que candidates pour être élu présidentes des élèves. Cependant, les raisons étaient totalement et indéniablement différentes des siennes. En guise de réponse, je lui offrit un sourire et me mordit la lèvre. Je comprenais bien ce qu'il ressentait en cette instant parce qu'en réalité, moi aussi je ressentais la même chose. Seulement j'avais un magnifique don qui était de pouvoir caché mon stress au yeux des autres. T'inquiète pas... Je sais déjà que ce sera parfait ! Je voulais le rassuré, mais en même temps je le pensais sincèrement parce que quoi de plus parfais qu'être à un bal avec l'homme qu'on aime tout en sachant qu'il nous trouve merveilleusement belle. Il enfila le bracelet qu'il m'avait confectionner, je l'avais deviné parce qu'il était fait avec les "moyen du bord", mais ça n'empêchait pas qu'il soit magnifique et je ne me retenais pas de le lui faire savoir. D'autant plus que ça le rendais unique et il prenait alors toute une signification pour notre relation à Théo et moi. Je profitais de ce petit moment, pour le complimenter lui aussi sur sa tenu et sur son charme certain de ce soir.

J'eus enfin un baiser de la part de Théo. Un baiser qui me transporta, tant je pouvais sentir la passion qu'il essayait de faire passer à travers se baiser. Lorsqu'il quitta mes lèvres, je fut prise d'un léger vertige, j'en avais littéralement le souffle coupé et je dû prendre quelques seconde pour me rappeler qui j'étais et où j'étais. Fouf .. Whouaw. Avais-je seulement réussis à murmurer. Tous le monde avait tendance à croire que seul Théo éprouvait du désir, mais tout le monde oubliais que j'étais une jeune femme de 16 ans en pleine puberté. Une puberté qui faisait naître en moi, tout un tas de fantasmes érotiques et de désirs en tout genre. Théo était le premier à croire que j'avais pas de désir pour lui, pourtant il se trompait. J'avais toutes ses sensations bizarres et incontrôlable qui traversait mon corps, je ne savais pas d'où elles venaient et ce qu'elles me voulaient, mais elles étaient là et elles prenaient d'autant plus leurs places quand Théo apparaissait devant moi. Ce baiser en était l'exemple même, il m'avait transporté et je ne rêvais que d'une chose c'est qu'il recommence. Seulement, j'avais peur, peur de ce qui pouvait se passer ensuite.Pourtant plus je passais de temps avec Théo, plus cette peur s'affaiblissait peu à peu et plus se désir prenait place en moi. Par chance, Théo proposa qu'on se rende à la salle de bal et j'acceptais sans plus attendre. C'est, l'émerveillement qui fut le mot convenant à mon état d'esprit lorsqu'on arriva dans cette salle.

Après m'avoir laisser le temps d'en prendre plein la vue, il me proposa de danser. Comment refuser une telle demande ? Elle me permettait d'être un peu plus dans ses bras et puis nous étions là aussi pour ça aussi. Il m'emmena sur la piste de danse où nos deux corps c'étaient enfin rapproché. J'avais placer mon visage dans son cou et son parfum vint très vite m'enivrer. Je déposais alors un petit baiser.Mes mains elle caressait tendrement sa nuque. Puis je relevais la tête, pour lui demander un baiser. Il souriait face à ma requête et je le lui rendis également. Je mourrais d'envie de sentir ses lèvres à nouveaux contre les miennes. Ressentir la même sensation que peu de temps avant. Tout en continuant à bouger, il exauça mon souhait et ses lèvres vinrent habiller les miennes. Plus les secondes défilaient, plus je sentais qu'il resserrait notre étreinte. J'amplifiais alors même-moi l'intensité de ce baiser, empêchant Théo de se dé-saisir de mes lèvres, puis lorsque ma respiration fut fragilisé, je déposais un dernier baiser avant de reculer mon visage de quelques petits centimètres et d'ouvrir mes yeux pour les plonger dans les siens. Je me pinçais les lèvres avant de sourire satisfaite. J'espérais qu'il comprendrait que pour une fois, moi aussi je le désirais. Je t'aime. Sans rien dire d'autre, je reposais ma tête dans son cou et soufflait pour reprendre contenance après ce baiser qui m'avait , tout comme le premier, chambouler les sens. Puis je l'incitait à nouveaux à danser.

La musique avait quelque peu changer, c'était un peu plus mouvementé, pas le genre de musique que l'on pouvait qualifier de notre "âge", mais elle était un peu plus dynamique et je m'amusais avec Théo a faire toute sorte de pirouette, elle qu'il essayait de m'attirer à lui à chaque fois, à croire qu'il voulait plus me lâcher de toute la soirée. Ce n'était évidemment pas pour me déplaire. Alors que je venais de faire une nouvelle pirouette avec son aide, le retour fut un peu brute puisque mon corps se plaque littéralement contre le sien, provoquant une petite, mais très petite douleur dans mes seins. Je me mis à pouffer de rire, nous étions d'excellent danseur, mais même les meilleurs n'était pas à l'abris d'un choc frontal. Je reculais légèrement, toujours en riant et alors que je replaçais une de mes mèches derrière mon oreille, je lêchais mes lèvres pour les humidifier, signe précurseur de mon dessèchement. Je posais l'un de mes mains sur le torse de Théo alors que l'autre était toujours accroché à la sienne. J'irais bien chercher un petit truc à boire. Toutes cette danse m'a donné soif.

Tous ses baisers échangés, ses sensations ressentis, ces mouvements de danse exécutés, avait à leur manière eu un impact sur mon organisme. Sensation de manque, de vertige, d'excitation, d’essoufflement, de bien-être, de désir, de soif, de faim et j'en passe. Tous ceci m'avait à un moment parcouru et pourtant nous n'étions qu'au début de la soirée. Cela me laissait présager que plus le temps s'écroulerait plus cela s'amplifierait.

Je venais d'offrir à Théo, un baiser dont j’espérais qu'il se souviendrait, parce que meilleur encore que celui échangé dans la chambre, notamment parce qu'il était plus intense, plus passionné, plus langoureux que jamais. Puis pour parfaire le tout, j'en avait été la maîtresse, j'avais pris ce baiser en mains et je l'avais offert à Théo. C'était mon cadeau à moi, mon intense désir, que je lui transmettais et je savais qu'il l'aimerait, parce que c'était ce qu'il attendait. Il attendait que je lui prouve que moi aussi je le désirais , que moi aussi je ne voulais que lui, je le voulais avec moi, contre moi et peut-être même sur moi. Le sourire qu'il arborait lorsque nos lèvres furent détaché me procurèrent un intense sentiment de satisfaction.Il avait à présent le début d'une preuve que plus qu'un petit ami, il était celui que je voulais comme étant le premier, au moment où j'aurais le courage de surpasser cette angoisse qui m'habitais depuis des années.

Théo et moi dansions comme des bêtes. On n’enchaînait les chansons qui devenais de plus en plus rythmer et oser. Alors que Théo, s'évertuais à me ramener à lui, dès l'instant où il considérait que j'étais trop loin, moi je m'amusais à le séduire. C'est par des regards plus intense les uns que les autres, par des mimiques comme le mordillement ou le pincement de mes lèvres et par des gestes furtifs tels que des caresses, des baisers que je m'y amusais. Parfois, le seul fait d'être collé à lui, mon visage tout près du siens suffisait à changer les choses. Seulement, j'avais conscience que si j'en faisais trop, il pourrait se sentir mal, parce qu'il aurait envie d'aller plus loin alors que je ne serais peut-être pas capable d'assouvir ses envies. Après un petit choc rien de bien méchant, un sensation de soif me parcouru, elle était dû avant tout à l'effort physique, mais je savais qu'elle était du à cette monté de température, à mon sang qui commençait à bouillir de désir. Je devais donc me rafraîchir, refreiner mes pulsions avant de tout gâcher. Une fois que j'en eu avertir Théo, il m’entraîna jusqu'au buffet et me servis un verre de punch 'non alcoolisé', qu'il goûta avant de me passer. Je souriais lorsqu'il me le passa fier de me dire que c'était délicieux. J'attrapais alors le verre et d'une seule traite j'en avalais son contenu. Heureusement que Théo, regardais ailleurs, il m'aurait probablement pris pour une folle. J'avais tellement chaud que je me forçais à attraper un glaçon que je m'amusais à croquer discrètement. Théo se retourna enfin vers moi. Puis sans que je m'y attende, il m'attira à lui pour m'embrasser. Moi qui venait de calmer le jeu, je sentis ma température remonter, mais je me forçais à me calmer mentalement.

J'avais passer deux bonnes heures à tenter de refreiner, contrôler, refouler mes émotions et sensations. J'avais été l'euphorique à un certain moment, puis après la fatigue m'avait envahis et maintenant j'étais à peu près redevenu normal depuis une bonne demi-heure. Je n'avais ni chaud, ni froid, j'étais bien,j'étais la Eva de toute les jours à la différence que j'étais toujours autant en train de m'amuser avec Théo. Aussi étonnant soit il après 3h o nous avions énormément dansé, j'avais toujours autant la patate, je gardais la forme et j'étais prête à continuer encore 3 bonnes heures s'il le fallait. J'avais rejoint le buffet de nourriture cette fois, parce que j'était affamé, alors, je piquais dans les chips quand Théo arriva derrière moi. Il passa ses main autour de ma taille et avec un sourire aux lèvres, je vint m'adosser contre son torse. Ses lèvres quant à elle vinrent jusqu'à mon oreille et le souffle provoquer par ses paroles me firent légèrement frissonner. Théo me proposait d'aller au calme dans sa chambre. Je savais qu'il faisait ça, sans arrière pensé,mais les miennes étaient belle et bien présente et elle me disait de foncer. D'accord, je te suis. Je secouais en même temps , la tête en signe d'acquiescement et il m'attrapa la main en menant la marche pour rejoindre sa chambre. Une fois la porte passé, j'observais Théo s'effondrer sur le lit. Je laissais alors échapper un rire tout en allant m'allonger à ses côtés comme il le voulait. Je me mis à lui caresser le dos en remontant légèrement dans la nuque, j'étais installé sur le côté je voyais donc toutes ses réactions et je pouvais donc savoir quand ça lui faisait du bien. Je souriais face à sa question et cherchait ses yeux pour lui répondre. Oui... C'était parfait ! Je ne pouvais pas rêver mieux en étant toutes la soirée dans tes bras. Je déplaçais ma mains jusqu'à sa joue que je me mis à caresser et j'allais déposer un baiser sur ses lèvres. Même si, la soirée n'est pas encore terminer et qu'elle peut-être pleine de surprise. Dis-je amusé et le regard coquin. Et toi ? Tu es content ? Tu n'es pas trop fatigué ? Parce que si tu veux, je peux mettre mes talents de masseuse à ta disposition.

Théo m'emmena jusqu'à sa chambre où il espérait pouvoir se reposer un peu et échapper aux bruits qui commençait à lui faire mal aux oreilles. J'acceptais sans broncher. L'idée de me retrouver toute seule avec lui, n'était pas pour me déplaire.Bien que, je commençais à angoisser à l'idée que les choses pourrait elle aller plus loin. En effet, même si c'était, peut-être, pour lui sans arrière pensé, j'avais conscience que ce soir j'avais dépassé le simple stade de la petite amie vierge et innocente. Je l'avais chauffer pendant une bonne partie de la soirée, je lui avais fait comprendre que j'avais envie de lui et même si ce n'était pas par des mots, mon comportement et mes gestes l'avait fait pour moi. Et même si, je ne regrettais rien de ce qui avait pu se passer durant la soirée, je pouvais imaginer qu'il puisse espérer en secret qu'il se passe quelque chose et pour être honnête envers moi-même je crois que l'idée ne m'effrayais pas tant que ça en réalité, l'acte oui, mais l'idée elle était bien présente et inconsciemment cela se ressentais dans mes gestes que j'en avais envie.

Alors que nous venions d'entrer dans sa chambre, Théo s'affala sur son lit me provoquant un petit rire et un énorme sourire. J'allais m'allonger à côté de lui, lui vantant le plaisir que j'avais eu à passer la soirée avec lui. C'est vrai qu'à mon âge le seul véritable bal, autrement dit, le bal de promo, était lors de ma dernière année de lycée et je n'y était pas encore malheureusement. Alors ce soir, grâce à Théo, j'avais eu un avant goût de ce que c'était et j'avais aimé chaque petite seconde passer avec lui. Il m'avait fait vivre de nombreux instant magique et cette soirée était à présent l'une de ces soirées que je n'oublierais jamais.Tout en lui parlant, j'avais entrepris de lui caresser tendrement le dos et il semblait apprécié tout particulièrement cela, ce qui me faisait plaisir, j'attisais encore son désir pour moi , bien qu'il était déjà présent.Je savais maintenant que si je le voulais davantage, il fallait que ça vienne de moi parce qu'il ne voulait pas me forcer la main, mais j’étais toujours tirailler. J'en était arrivé au stade où je me demandais si je devais lui expliquer pourquoi j'avais peur pour qu'il comprenne, mais j'étais tellement inquiète que ça le refroidisse encore plus après, qu'il veuille même pas me touché, par peur de me faire souffrir ou voire pour d'autre raison. Cependant je continuais à faire comme si de rien était, à vouloir être avec lui, contre lui. En réalité, je voulais lui faire ce cadeau, pour tout ce qu'il m'avait offert jusque là. Je voulais lui offrir, tout en sachant que lui bien plus qu'un autre respecterait mon corps. Il fallait que je fasse un choix. En attendant, je l'embrassais tout en lui faisant espérer qu'il puisse se passer quelques chose. A voir sa réaction, il semblait vraiment surpris et je me mis à sourire, le regard coquin, je ne répondis pas à sa question lui proposant juste un massage pour lui permettre de se détendre. Monsieur, me pensait incapable de le détendre et pourtant, les simples caresses dans son dos avait suffis pour qu'il se sente bien. Je déposais un baiser sur sa joue et murmurais à son oreille. Je relève le défis. Puis dans un mouvement alors que lui s'était déjà placer à plat ventre je passais l'une de mes jambe de l'autre côté de son corps. A califourchon sur lui. Tu vas voir, je vais te détendre et tu n'auras même pas le temps de dire ouf. Je me penchais en avant pour que mes lèvres atteignent son oreille. Mais en attendant, je vais déjà t'enlever tes habits ...enfin tes hauts. Je déposais un petit baiser sur ses lèvres qui m'étais encore disponible et tout en me redressant légèrement, je passais mes mains sous son torse et je déboutonnais son gilet que je fis ensuite glisser. Une fois celui-ci au sol, je m'occupais de son chandail. Je le fis glisser vers le haut et avec un peu d'aide de Théo, je le lui enlevais complètement.

Théo était à présent torse nu sur son lit. Je mentirais si je disais que je ne profitais pas un peu de cette situation et que je n'avais pas eu dans l'idée de tout lui enlever. Mes hormones était toujours en action, malgré mes tentatives pour les calmer, être seule dans la chambre avec l'homme qui me faisait fantasmer n'arrangeait pas les choses d'autant plus alors qu'il était à moitié nu. Cela faisait de nombreuses minutes déjà que je le massais. De temps en temps, c'étais plus des caresses qu'un massage en lui même et pourtant, il semblait malgré cela, plus crispé que détendu. Je commençais à croire que j'avais vu un peu trop haut et qu'il était insensible au massage. Je me penchais en avant, m'allongeant sur lui et je posais ma tête, sur son épaule, alors que mes mains et mes bras glissaient sous son torse, comme pour le serrer contre moi. Théo ? Je me débrouille si mal que ça ? Tu es encore plus crispé qu'avant. Je fis une petite mine triste et boudeuse. Moi qui voulait te détendre ...Désolé de ne pas être parvenu à mon but. Je déposais un baiser dans sa nuque, puis dans le haut de son dos,pour finir par le creux de ses reins, avant de me redresser. Je quittais ma position et j'allais m'allonger sur le dos à côté de lui, légèrement confuse. Je n'avais même pas réussis à le détendre, alors comment je pourrais lui donner envie de moi si je le rendais plus mal qu'il ne l'était déjà. Comment pourrait-il avoir envie de moi, si j'arrivais même pas à lui donner du plaisir quand moi j'en avais envie...

J'avais voulu relever un défi, celui de permettre à Théo de se détendre. Je savais que j'étais doué pour les massages, j'avais souvent été en institue pour me faire masser et Lea savait faire de bon massage, selon Logan. Ce qui rien que d'y penser me dégoûtais. Néanmoins, elle m'avait appris quelques petits truc et m'avait dis qu'elle endroit d'une homme pouvais être sensible. Cependant, spécialement pour Théo et parce qu'il était à présent mon petit ami, j'avais même pris l'initiative d'y ajouter ma touche personnel en faisant quelques caresses et quelques baisers, par-ci par-là, de temps à autre. Pourtant, en voyant sa réaction, j'avais l'impression de ne faire aucun effet à Théo. Plus les secondes défilais, plus j'avais l'impression qu'il se crispait, ce qui n'était pas l'idée et que mon initiative pour le détendre fonctionnait de moins en moins bien. J'étais presque frustrer de ne pas y parvenir et en plus d'aggraver la situation. Néanmoins, j'avais beau être une personne très déterminé, qui n'abandonnais quasiment jamais, je voyais pas qu'il n'aimais pas ça, alors je décidais d'arrête. Je m'allongeais alors sur lui et il se mis à plaisanter, seulement moi je n'arrivais pas à en rire, j'étais presque énervé d'avoir échouer. Il tenta de me rassurer en me disant que je l'avais détendu, mais j'avais bien vu que ce n'étais pas le cas, mais qu'il voulait faire bon figure pour éviter que je sois trop déçu. Je lui embrassais alors le dos à trois endroit pour me consolé un peu de la catastrophe ambulante que j'étais et je m'allongeais à côté de lui en boudant. Il me fixa longuement et je tournais la tête dans sa direction en essayant de lui offrir un sourire. Avec un doigt je caressais son torse, c'était l'une des parti de son corps avec son visage que j'aimais le plus et j'avais vu directement dessus. Cette vision magnifique accompagné du baiser qu'il était en train de m'offrir me firent oublier le côté négatif. Seul le baiser compté à présent et je savais que j'embrassais bien.

Lorsque nos lèvres se détachèrent, il me regarda en souriant et avec un petit air malicieux il me fit basculer sur le ventre. Je ne savais pas comment il faisait, mais il venait de me redonner le sourire et il avait fait disparaître toute ma frustration. Montre moi ! Théo se pris donc a faire glisser la fermeture éclaire de ma robe, puis il fit glisser le tissus jusqu'a mes hanches. J'étais un peu surprise et angoissé, mais je me rappelais qu'il s'agissait juste d'une massage et surtout que c'était Théo qui le faisait et que je n'avais pas de quoi m'inquiété, qu'il fallait juste que je me laisse aller comme je l'avais fait dans ses bras tout au long de la soirée. Il commença alors tout doucement à caresser mon corps à moitié nu. Je ressenti alors des milliers de frisson parcourir mon corps, notamment à chaque instant où il caressait mes reins. Plus les minutes passait, plus je me sentais obliger de contracter chaque muscle de mon corps pour éviter de craquer tellement ses caresses me procurait de plaisir, j'en arrivais même à cesser de respirer. Puis lorsqu'il commença à embrasser mon dos en partant de mes reims pour remonter jusqu'à mon épaule, tout mes muscles se crispèrent. Et alors que ma tête était enfouie dans son oreiller, je soufflais de plaisir.

Théo descendit enfin de moi et ce coucha juste à mes côté, je respirais enfin. Je lui lançais un petit coup d'oeil, tout en essayant de reprendre mon souffle, ma respiration étant devenu halletante. Je posais ma tête sur le côté et cherchais Théo du regard. Je suis désolé, je savais pas que ça pouvait procurer ce genre d'effet. Si j'avais su, j'aurais pas fait tout ça. J'allais alors me blottir dans ses bras tout en replaçant un peu ma robe histoire de cacher mon buste pour éviter de le tenter. C'est ce genre de sensation que je suis sensé ressentir quand on fait l'amour ? Je déplaçais ma tête pour la poser sur son torse, mais je m'empechais de le caresser, bien que ce n'étais pas l'envie qui m'en manque. Théo, il faut que je t'avoue quelques chose. Quelque chose que j'ai jamais dis à personne ! Et qui pourrait tout changer ! Faut que je te le dise parce je pensais pas qu'un jours j'aurais envie d'aller plus loin avec un garçon. Je pensais pas que j'aurais envie de faire l'amour avec toi ce soir.... Faut que je t'explique pourquoi, je suis jamais aller plus loin, pourquoi j'ai peur de faire l'amour. Mais tu dois me promettre, que tu ne le diras à personne, que tu garderas ça pour toi. C'est encore plus dur de te le dire parce que j'ai pas envie de te perdre... Je le regardais, le regard emboué de larme, la voix tremblotante, puis lorsque je commença à tout lui racconté, mon regard ce fit fuyant, les larmes commençaient à couler le long de mes joues. Je me redressais et m'éloignais de lui par peur de le dégouter, comme je me dégoûtais moi-même...

Je me rendais maintenant compte que chaque caresses ou chaque baiser que j'avais fait ou donner à Théo avait été un vrai torture pour lui parce qu'il devait contrôler chacune de ses pulsions pour éviter de me sauter dessus. Je m'en était rendu compte dès l'instant où il m'avait fait subir ce que quelque minute auparavant je lui avait fait . En voyant que chacun de mes muscles s'était petit à petit contracter comme pour empêcher mon corps de se laisser aller, une sorte défense contre se désir charnel qui venait nous envahir, je comprenais que ce n'étais pas un manque de talent de ma part, mais un désir intense pour moi, provenant de lui, sous l'effet du contact de mes mains sur son corps, qu'il tentait de contrôler. Je m'excusais sincèrement auprès de lui, jamais je n'avais pensé lui faire autant d'effet parce qu'en réalité je n'avais jamais ressenti ça. Et alors que j'allais me blottir contre lui , il m'expliquais que les gestes en eux-même n'étais pas le problème, le problème était qu'il n'avait aucun moyen d'expulser ce genre de sensation car je n'avais pas encore accepter de faire l'amour. Je comprend, je suis désolé. Néanmoins, n'ayant vraiment aucune expérience dans ce genre de sensation et de plaisir, je posais curieusement ma question sur les sensations qu'on devait ressentir pendant l'amour. J'écoutais attentivement Théo me confirmer et m'informer des ce que j'allais ressentir si je faisais véritablement l'amour avec quelqu'un , même si mon quelqu'un à moi n'étais à l'heure actuel envisager que pour Théo...

Durant cette soirée, j'avais été envahis par du désir, des sensations étrange que je n'arrivais pas vraiment a expliquer et Théo qui venait de m'expliquer ce qui était sensé arrivé si l'on faisait l'amour, venait également m'éclairer sur un point : J'avais envie de faire l'amour, j'avais envie de faire l'amour avec lui. Toutes ses sensations, se désir était véritablement une envie de faire l'amour avec mon petite ami. Bien que je me doutais que c'était mes hormones qui me travaillais, je n'avais pas pris conscience que mon corps me criait en réalité de faire l'amour avec l'objet de mon désir. Seulement, même si je venais de prendre conscience que je mourrais d'envie de lui, je ne pouvais pas le faire sans être sur qu'il ne me ferais aucun mal. Je savais que je devais lui dire pourquoi j'avais peur, pour qu'il fasse attention, je devais tout lui raconter. Mais plus que la peur de souffrir en faisant l'amour, maintenant j'avais peur de souffrir par l'éloignement que Théo pourrait avoir avec mes confidences. Seulement je devais être honnête avec lui, je ne pouvais pas le laisser poireauté des semaines, en le laissant croire que je n'étais pas prête alors que j'avais envie de m'offrir à lui. Je décidais donc de tout lui dire, du moins de lui dire une partie, il n'étais pas vraiment nécessaire d'entrer dans les détails.

Je savais qu'au fond de lui Théo était en colère, il était hystérique et ce même s'il tentait de le caché en me caressant les cheveux et en posant ses lèvres dans ma nuque. Je savais qu'il allait encore plus s’inquiéter, se poser tout un tas de question, parce que c'est ce qu'il faisait constamment et même si j'aimais cette part de lui, je ne voulait pas qu'il se pose trop de question et qu'il en arrive a ne plus vouloir de moi. Je me redressais alors, m'éloignant de lui , les larmes aux yeux, j'avais tellement peur de le dégoûté à présent, tellement peur qu'il ne veuille plus me toucher. Mais, il ne resta pas trop longtemps éloigner de moi. Il commença a m'expliquer que c'étais pas normal et que je ne devais pas me sentir différente. Pourtant bien que je savais que ce n'était pas normal ce qui avait pu m'arrive, je n'arrivais pas à me sentir comme toute les autres filles, c'étais impossible, parce que j'étais différent, j'avais ressenti des chose différente, si n'est même jamais rien ressentir à par un douleur intense et l'impression d'être sale. Je fuyais toujours le regard de Théo, pourtant, il était si doux et si tendre avec moi, mais j'avais tellement peur de voir son regard, de voir qu'il avait changer. Puis, il vint alors me rassuré et alors que j'aurais du être heureuse de ses paroles, j'en était triste. Il ne voulait même plus essayer et c'était loin d'être ce que je voulais. Moi, ce que je voulais c'était être avec lui et ressentir tout ce qu'il m'avait décrit quelque minutes auparavant, parce que je n'avais pas besoin de m'inquiété sur la douceur et la tendresse qu'il aurait vis à vis de moi, c'étais même pas ca qui m'effrayais depuis le début. C'étais de souffrir lorsqu'il me pénétrais, mais de ne pas réussir à ressentir du plaisir. Il m'attira alors à lui, me soufflant un magnifique "Je t'aime" qui vint rassuré mes angoisses et calmé mes larmes, c'étais également ça le pouvoir de l'amour. Théo était le seul à réussir à calmé mes angoisses ou mes crises de colère existentielle et c'était le pouvoir qu'avait son amour sur moi.

Je l'avais donc laisser parler, sans jamais intervenir, mais il était temps que je le fasse. Je me détachais légèrement de Théo, attrapant ses mains dont j'entrelaçais les doigts avec les miens. Ecoute Théo. J'ai pas dis ça pour que tu arrêtes de me dire que tu as envie de moi ou que tu me désire ou pour repousser l'échéance. Je t'ai dis ça , parce que depuis quelques jours, je ressens tout ce que je t'ai dis et ce soir tout c'est amplifié d'une force que je n'imaginais même pas. Je me rend compte que j'ai envie de toi, j'ai envie que tu me fasse l'amour, pas demain, ni dimanche prochain, mais là ce soir. Cette soirée est parfaite, j'ai adoré chaque seconde passé avec toi et si je t'ai dis tout ça, si je te l'ai avoué à toi et à personne d'autre, c'est parce que j'ai confiance en toi, je sais que tu me feras l'amour avec douceur et tendresse. J'ai pas peur que tu me fasse l'amour, Théo, j'ai juste peur de pas être capable de ressentir ce que tu me procurera. Je sais pas ce que c'est de faire l'amour, je suis pas vierge et pourtant je sais pas ce que c'est ! Je veux que tu me désire , je veux que tu me touches comme je me suis amusé à te le faire sans même savoir que ça te faisait plus de mal que de bien. Je me mis alors à genoux devant lui, lâchant ses doigt pour mettre mes mains dans son cou. Je posais alors mon front contre le siens, le regardant dans les yeux. Je veux que tu me montre que je ne te répugne pas ... Je veux que tu me montre ce que c'est de faire l'amour avec l'homme que j'aime ... Je veux que tu me fasses oublier ce souvenir atroce que j'ai en tête, pour le remplacer par le souvenir merveilleux de cette belle expérience que tu viens de me promettre. Je me mis à sourire, un sourire immense alors que mes yeux encore un peu humide petillait de désir. Fais moi l'amour Théo. Fais moi l'amour et rend moi heureuse... rend cette soirée encore plus parfaite qu'elle ne l'ai déjà grâce à toi. Je déposais alors un baiser sur ses lèvres, avant de le fixer à nouveaux en attendant une réaction de sa part.

Je m'étais excusé aupres de Théo, pour ce que je lui avait fait subir. Je savais qu'il avait une certaine expérience des femmes et je savais également que ça faisait déjà un certain temps qu'il n'avait pas eu de relation sexuel avec l'une d'entre elle. J'avais suivit les cours d'éducation sexuel, je savais toute la théorie, tout ce qu'il fallait savoir sur le sexe et je savais donc que tout homme avait des besoins et qu'il finissait toujours par les combler un jours. Ce que j'avais fais subir à Théo était donc une vrai torture physique, mais aussi moral. Je l'avais malmener, je lui avait fait renaître des envies enfouis, refoulé, qu'il avait caché au fond de lui pour contré le manque du a son enfermement. En réalité, j'étais celle qui l'empêcher de se sentir bien parce que je ravivais ses pulsions à chaque fois que je le touchais. A chaque fois que je déposais ma main sur son torse, mes lèvres sur les siennes, je provoquais en lui ses envies, j'étais comme une dose d’héroïne qu'on mettrais sous le nez d'un camé en manque. Pourtant, bien que j'avais conscience de tout ça à présent, Théo continuait à m'enlever toutes mes responsabilités. ll refusait que je me sentes coupable, responsable alors que j'étais clairement la responsable de toutes ses pulsions. J'étais celle qui jouait les troubles faits dans son esprit, la tentatrice naive qui alimentait son désir et qui le poussait à vouloir plus, à vouloir goûter à l'objet de ses désirs ... MOI, en l'occurence. Lui, il ventait les bien-faits que mes caresses lui avait apporter, la découverte de ses sentiments plus important qu'il ne pensait. Je n'osais dire, qu'il me remerciait presque pour tout ça. Ainsi, la situation en était presque paradoxal. Moi, je me rendais compte du mal que j'avais pu lui faire ressentir depuis tout ce temps, alors que lui constatait le bien que je lui avait fait .

Et puis, le moment où je lui disait mes souffrances passé arriva. Je voulais être honnête avec lui, je voulais lui expliquer qui j'étais, pourquoi j'étais comme ça. Pourquoi selon moi, je n'étais pas normal. Pourquoi j'avais peur, pourquoi je le freinais à chaque fois que l'opportunité de passer au chose sérieuse arrivé. Il avait le droit de savoir. Il avait le droit d'en connaitre chacune des raisons. Et puis, je savais que je voulais qu'il soit celui qui me rendrais véritablement femme. Je savais, moi Eva Heaven, que c'étais lui et non pas un autre homme qui me ferait véritablement découvrir l’expression "Faire l'amour". Parce qu'il était le premier homme -car oui c'était un homme - avec qui j'avais envie de me libéré totalement. Il était le seul envers qui ma confiance était totale. Pourtant, je ne le connaissais que depuis peu de temps, mais dès l'instant où je l'avais vu, je savais que sous ses air de rebelle et de tombeur, ce cachait une personne capable de tout pour celle qu'il aime et même si tout ce temps, je n'avais été que sa meilleure amie, il m'avait aimé de façon inconditionnel. Alors je lui avait dit tous ce que j'étais en mesure de lui dire. Étonnement, il n'avait pas réagit avec colère, il avait garder son calme, il n'avait pas flancher devant moi, mais si je connaissais un temps soit peu celui que je disais aimer, je savais qu'il bouillait de l'intérieur. Il haïssait toutes les personnes qui avait pu un jour me faire du mal et ce mal que l'on m'avait fait dépassait les simples colportage de Justin ou de n'importe qu'elle autre idiot de mon lycée. Alors, au fond de moi je savais qu'il aurait été capable de folie furieuse s'il avait eu le nom de la personne qui m'avait fait subir cette horreur.

Puis, je lui fis savoir ce qu'il en était en cette instant de mes désirs. Je ne cherchais pas à le cacher. Bien que je venais d'avouer l'horreur que j'avais subit, j'étais bel et bien entrain de lui demander de me faire l'amour. J'en pouvais plus de ressentir toutes ses choses en moins, sans pouvoir les extraire. Je voulais tellement qu'il me prouve ce qu'il me disait. Qu'il me prouve qu'il m'aimait bien plus encore. Je voulais lui offrir mon corps pour lui montrer que moi aussi je l'aimais bien plus que je n'avais pu le penser ou l'imaginer auparavant. Qu'il était mon souffle de vie à présent, mon bonheur sur patte. Parce que, Théo était entrée dans ma vie quelques jours à peine après mon arrivé et il était celui qui m'avait redonner le sourire. Qui m'avait fait oublier les malheurs de mon enfance pour me montré qu'ici à Los Angeles, une seconde chance s'offrait à moi. Lui et Leana était mes chances. Je n'imaginais plus ma vie sans Théo et qu'il eut été mon meilleur ami, ou mon petit ami, n'avait aucune espèce d'importance , parce que sans lui à présent je n'étais plus qu'un corps privé de son âme. Alors oui, je le désirais et que ce soit maintenant, demain, dans trois mois, la pendule était lancé et sa ne changerais plus. Il avait ouvert en moi les portes du désir et ce soir ce désir était à son apotéose.

J'étais sensé être celle qui était la plus raisonnable de nous deux. Celle qui réfléchissait à deux fois avant d'agir, mais Théo me prouvait une nouvelle fois que je me trompais. C'est ce que j'aimais chez lui. Il avait se don pour montrer que même la fille la plus parfaite pouvait avoir des défauts. J'étais constamment mise sur un piédestal : la fille la plus intelligente, la fille la plus sage et réfléchit, celle qui obtenait toujours ce qu'elle voulait par sa simple force de persuasion et de manipulation... Et même si dans les apparences, je restais parfaite, il me rappelais que je n'étais pas WonderWoman et que j'avais moi aussi mes faiblesses. Il me rappelait tout simplement que j'avais le droit de ne pas savoir quelques choses, que j'avais le droit d'échouer quelques part sans en craindre quelconque conséquences. Et à cette instant c'est exactement ce qu'il faisait. Il me montrait à sa manière et peut-être même sans s'en rendre compte que je n'avais pas à essayer d'être la fille modèle, que j'avais le droit d'ignorer tout de ce qu'étais "faire l'amour" et que je ne devais pas précipiter les choses, que je devais y aller en douceur. Car en réalité, c'étais ça qui comptais réellement, que les choses ce passe à mon rythme, pour que je puisse ressentir chaque sensation que l'acte sexuelle pouvait procurer. Ce n'étais plus lui qui me ferait l'amour, mais nous. Parce que je ne serais pas là en temps que spectatrice comme je l'avais été, mais en temps qu'actrice. Il allait m'apprendre à me découvrir, mais aussi à le découvrir lui. J'hochais donc la tête avec entrain. Car je voulais qu'il m'apprenne et qu'il m'aide à gérer toutes ses sensations qui s'agglutinait en moi pour pouvoir m'en servir quand lui et moi ferions ce que tout couple fait... l'amour.

Je déposais alors un tendre baiser sur ses lèvres, baiser qu'il s'empressa de prolonger, c'était la seule chose que je maîtrisais réellement. Je savais comment embrasser , mais tout le reste je l'ignorais. Il commença alors tout doucement par faire glisser sa main de ma joue jusqu'à mes reins. Je ne le quittais pas un instant du regard, mais je me concentrais tout de même sur chacun de ses toucher. Lorsque ça main remonta jusqu'à ma joue et qu'il se mis à sourire, je fis de même. Je lui offrait un sourire sincère et enthousiaste. J'avais tellement hâte d'apprendre. Puis, une mains dans mon dos, il m'incita à me coucher sur le lit et vint s'installer juste à côté de moi. De ce fait je tournais la tête dans sa direction. Des questions commençait à affluer dans ma tête. Qu'allait-il faire ? Qu'aurais-je moi aussi à faire ? Et alors que mes yeux ne quittais pas son visage, il fit glisser délicatement ma robe, dévoilant mon buste puis mon ventre. Aucun signe de dégoût ne se lisais sur son visage, ce qui me rassurait aussi débile était-il de s’inquiéter pour ça. Tout doucement, je commençais à sentir ses lèvres caresser différentes partie de mon corps, mais ne sachant vraiment à quoi me rattacher, je fermais les yeux, ce qui eut pour effet de faire renaître ses sensations étranges en moi et de les attiser encore plus. C'étais encore plus intense que les caresses qu'il m'avait faites quelques minutes auparavant. Je tentais de garder une respiration normale, mais je sentais qu'elle se faisait tremblante. Je finis par arrêter de respirer préférant me pincer puis me mordre les lèvres pour faire face à cette délicieuse sensations qui parcourait mon échine. Il me libéra par un baiser et lorsqu'il se rallongea à côté de moi, j"ouvris les yeux, respirant à nouveaux. Je pensais qu'il en avait fini, mais il vint saisir ma main et je le regardais alors agir et déposer ma mains sur son torse nu. Je plongeais mon regard dans le siens. Je me demandais ce qu'il voulait que je fasse, bien pire encore je savais ce qu'il voulait que je fasse, mais je cherchais comme lui aimerais que je le fasse. Seulement il ne me donna aucune réponse. Un peu perdu, je me penchais sur le côté et je le fis en même temps basculer pour qu'il prenne la même position que je prenais avant lui. J'allais poser l'une de mes mains sur sa joue, pendant que l'autre prenait appuis sur le lit, puis, j'allais déposer mes lèvres sur les siennes. Je lui donnais alors un baiser plein de tendresse, jouant timidement avec ses lèvres, ma main caressa sa joue, puis son torse jusqu'à rejoindre son flan auquel elle s’agrippait, sans pour autant cesser de lui offrir des caresses. Puis mes lèvres quittèrent les siennes, mon regard se plongeant alors dans les yeux de Théo. Je déposais un dernier baiser sur ses lèvres avant d'aller conquérir sa mâchoire, puis son cou que j'embrassais avec douceur. Cependant j'avais très vite fait le tours de son cou et je fus traverser d'une envie de découvrir plus. Cherchant alors un nouvel appuis avec ma main, je me fis légèrement glisser, pour permettre à mes lèvres d'atteindre le torse de Théo que j'embrassais à chaque extrémité avant de revenir en son centre et de suivre la ligne de ses abdominaux. J'arrêtais mes baiser à hauteur de sa ceinture. Et en un seule mouvement, je ramenais mon visage souriant vers celui de Théo. Je le fixais longuement mon sourire toujours présent, avant de déposer un baiser sur ses lèvres et de m'allonger sur le ventre, mon buste sur son torse , mon menton sur son épaule, attendant patiemment la suite ...

Je savais que je n'aurais pas de réponse de la part de Théo sur la manière dont je devais agir avec lui. Sur ce qu'il attendait que je fasse. Alors je décidais, de ne plus jouer les trouillardes. Je l'aimais, je le voulais voilà ce qui importait réellement. Je pris donc l'initiative et je l'embrassais, les caressais, je lui procurait plaisir et désir. Je ne su pas si je m'y prenais correctement avant d'entendre un son sortir de sa bouche et un sourire se dessiner sur ses lèvres quand je décidais de le laisser mener à nouveau. Je me rallongeais donc à ses côtés, mon corps à moitié déshabiller et Théo entrepris de nouvelle caresses. Celle-çi était plus oser, plus franche et direct. Il ne cherchais plus à m'émoustiller les sens, mais à me montrer certain geste que je rencontrerais souvent si je décidais de faire l'amour avec lui. Il n'étais plus à côté de moi, mais sur moi, il me dominait. Moi, je me retrouvais entre ses jambes, presque emprisonner si je ne savais pas que je pouvais le repousser à tout moment. Mais je n'avais pas envie de le repousser au contraire j'avais envie qu'il reste sur moi, j'avais envie qu'il me garde "prisonnière" de son désir pour moi. Je me rendais bien compte que ses caresses était différentes, plus emprunt à un désir qu'il n'avait plus envie de garder en lui et pourtant, il continuait à se contrôler alors que je n'avais qu'une envie qu'il s'oublie complètement en moi.

Lorsque ses lèvres eu atteins mon ventre , inconsciemment mon corps se cambra et je mordis les lèvres. J'étais pris par le plaisir de ses sensations sur mon corps . Sa main sur mon sein me surpris mais peu à peu je me laissais aller dans cette caresses pleine de tendresse. J'avais décidé de garder les yeux fermer tout le temps où il me donnait du plaisir, je ne voulais pas en rater une miette, je ne voulais pas rater une seule sensation de plaisir qu'il pouvait me procurer. Puis, je sentis à son baiser que ça devenait un peu plus compliquer pour lui à gérer. J'aurais du m'inquiété pour lui, peut être même être désolé, mais en réalité j'étais heureuse, j'étais tellement bien dans ma tête à cette instant. Je ne savais pas si c'était le fait d'avoir parler avec lui, mais j'étais bien et j'étais plus déterminer que jamais à aller jusqu'au bout.

Puis Théo me libéra de son emprise et je fus comme déçu que ce soit si rapidement fini. Je me redressais sur les coudes, posant mes yeux sur son visage. Il tentait de se contenir et ce n'étais guerre à mon goût. Je me mis à genoux juste à côté de lui et me penchais pour aller déposer un furtif baiser sur les lèvres à avant de me relevais. Mon regard plongé dans le sien je croisais les bras saisisant les côtés de ma robe que je fis glisser le long de mon corps pour enfin m'en séparer. Je lançais un regard coquin à Théo et je me positionnais comme lui venait de le faire. Mes bras tendu pour maintenir mon corps surelevé, il avait une vu imprenable sur son ensemble. J'abaissais mon visage pour que mes lèvres puissent atteindre les siennes avec lesquelles je décidais de m'amuser. Je les mordillais, les frolait, les caressait, les embrassait. Ma langues jouait elle aussi avec la siennes. Tout commençait par se baisers qui pouvait se revélé être une véritable arme de torture. Puis une fois que je me lassa de ses lèvres, je plaçais mes mains sur son torse et, de mes mains et de mes lèvres, je lui caressais et embrassait toutes zones pouvant se révéler sensibles. Ma poitrine encore recouverte de son habit de lingeries fini elle aussi par caresser le corps de Théo. Je voulais à présent qu'il me touche, je voulais qu'il s'associe à mes dans ses caresses. Plus les minutes défilais, plus je descendais vers son ventre puis son bas ventre. Mais, surtout vers cette zone qui se révélerait être la plus sensible de son anatomie. Je stoppais mes baisers et mes caresses quand mes lèvres eut atteint sa ceinture. J'hésitais. Est-ce que je devais m'arrêter la et abandonner mes désirs pour rester la petite fille sage et effrayé que j'étais jusqu'à présent ? Ou bien fallait-il que je saute le cap ? Que je continue d'avancer. Je relevais la tête en direction de Théo, plongeant mon regard dans le siens. Il mourrait probablement d'envie de me faire l'amour, mais c'étais à moi de prendre la décision. Je décidais donc de me redressais et de m’asseoir sur ses cuisses, sans jamais quitter son regard jusqu'à cette instant à je posais ma mains, sur a boucle de sa ceinture pour la lui défaire. Puis je déboutonnais son pantalon et tout en me relevant légèrement, je fis glisser son pantalon jusqu'à ses chevilles, avant de venir me positionner au dessus comme je l'étais au tout début, mes genoux à hauteur de ses hanches et mes bras tendu. Mon regard lui montrait alors l'intense désir qui me brûlait.

J'aimais cette sensation que l'on voulait beaucoup plus l'un de l'autre. J'aimais entendre les petit bruit rauque qui sortait de la bouche de l'homme que j'aime, alors que je lui faisait ressentir du plaisir. J'aimais savoir qu'il me désirais, que je l'excitais. Vous m'auriez dis quelque jours plutôt que ça allait arrivé, que j'allais connaitre le plaisir des caresses et des sensations précédent l'amour et je vous aurais probablement ris au nez. Je vous aurais assuré que ça n'arriverais jamais, que je n'irais jamais plus loin que de simple baiser avec mes probable petits amis et pourtant c'était en train d'arrivé. Le plus intéressant dans tout ça , c'est que ça arrivait là maintenant et que j'aimais ça, que j'avais envie de ça, que j'avais même envie de plus. Théo, se retenait, il tentait de ne pas craquer, alors que moi je faisais tout pour qu'il craque. J'avais conscience que c'était fou et surprenant qu'après ce que j'avais vécu, je sois l'initiatrice de ce qui se passait, mais j'avais envie d'avancer, j'avais envie d'être celle que j'étais destiné à être. J'en avait marre d'être cette pauvre petite fille de 12 ans, apeuré. Je voulais être cette femme forte que je montrais si souvent, que l'image que je tentais de montrer aux autres soit également celle que j'avais à l’intérieur de moi. Je voulais que Théo soit fière de moi. Mais surtout, je voulais lui montrer tout l'amour que je lui portait, lui offrir l'ultime cadeau qui lui montrerait qu'il était tout ce que je désirais, tout ce que je voulais, que lui plus que quiconque avait accaparé mon coeur. Il avait toute ma confiance et je lui offrait l'opportunité de me montrer que j'avais pris la bonne décision.

Tout le temps où j'avais été sur lui et que j'avais aimé provoquer ses sens, j'avais également libéré les miens. J'avais ressenti la chaleur caresser mon corps tout entier et le plaisir l’inonder. J'avais admirer les traits de son anatomie qui ne cessait de m'éblouir, de me séduire. J'étais à nouveaux allongé à côté de lui et alors que j'attendais la suite, pensant être encore plus osé que cela ne l'était, il me fit seulement tourné vers lui, rapprochant mon corps contre le siens. Je posais ma main sur son flanc alors que l'autre vint trouver sa nuque et alors qu'il me poussait pour je m'approche de lui, tout en m'embrassant, je commençais à faire des mouvements onduler avec mon bassin, tandis que ma main glissais jusqu'à ses fesses. Je transformais notre délicieux baiser en un baiser fougueux. Mon coeur se mis à battre la chamade, ma respiration devint de plus en plus forte, j'avais chaud, je brûlais de l’intérieur et chacun de ses gestes provoquait en moi une multitude de frisson, de picotement ... Une fois ses lèvres dans mon coup, je plassais rapidement ma main dans sa nuque, pour l'insiter à continuer encore et encore à me procurer ses frissons si bon, si delectable. Puis il fit volte-face et je me retrouvais à nouveau sur le dos. Ses lèvres sur mon ventre et si proche de mon intimité provoquais la contraction de mes muscles, je tendis alors mes mains sur le bord du lit et j'aggripais le matela avec un tel force que je m'étonnais moi-même. Je me cambrai à nouveau, laissant échapper un cri de plaisir. Je n'arrivais plus à contrôler ma respiration, j'étais totalement prise par l'ardeur de ses baisers. Il vint alors récupérer mes lèvres, je lui offris alors un sourire pour lui montrer que tout allait bien, puis je l'observais en train de m'enlever mon soutient-gorge et caresser mes seins un sourire au lèvres, avant que son regard ne se reporte sur moi . Il approcha à nouveaux son visage du mien, j'avais tellement envie de lui à cette instant, pourtant il frôla mes lèvres et alla se rallonger.

Sur le coup je me sentis frustrer. Pourquoi s'arrêtait-il ? Là maintenant alors que tout mon être le désirais. Ma respiration était saccader, je sentais qu'il se passait quelques chose au niveau de mon entrejambe,quelque chose que je n'avais jamais ressenti. J'avais tellement faim de lui. Dans un mouvement rapide, presque sauvage , je passais sur lui,mon bassin contre le sien. Je resserrais l'étreinte de mes cuisses et de mes deux mains, je vint caresser son torse. Je remontais mes caresses vers son torse, puis vers ses épaules, avant de les faire glisser le long de ses bras pour finir attraper ses mains et entrelacer mes doigt au siens. Une fois nos mains lier, je vint les placer mon ventre et je déplaçais mon regard vers le siens. A travers mes yeux, je lui fis comprendre que j'attendais plus de lui. Il n'étais plus question que nos deux corps se détachent à présent. Plus question de jouer à savoir qui allait être le plus fort. Je me penchais vers l'avant, positionnant mon visage juste au dessus du siens. Un sourire se dessina sur mes lèvres et je me mordis les lèvres. Je déposais un furtif baiser et redetachais mes lèvres des siennes, sans pour autant m'en éloigner. Tu es tellement beau... je t'aime tellement ... Je l'embrassais alors à nouveaux , j'y mettais tellement de fougue de passion. Puis sans quitter ses lèvres, je fis basculer mon corps sur le côté et je l’entraînais avec moi. J'aimais le savoir sur moi car ainsi, il était le seul à pouvoir m'atteindre.

Théo m'avait frustrer lorsqu'il était parti se rallonger alors que tout mon corps se mettais à vibrer de plaisir. J'aurais presque pu le tuer pour m'avoir fait ça et je l'aurais fais si je n'avais pas été amoureux de lui et que sa disparition m'aurait probablement plongé dans un terrible chagrin dont personne pourrait me libéré jusqu'à ce que la mort elle même m'emporte. Enfin, tout ca pour dire qu'il aurait mériter que je le tape. Cependant, je décidais de ne pas lui en tenir rigueur et c'est dans un esprit amusé que je grimpais sur lui. J'étais satisfaite de lui soutirais un hoquet de plaisir et quelque faible gemissement. Il était sur le point de craquer et je savais que dans d'autre circonstance, il aurait craquer depuis bien longtemps, mais il voulait y aller en douceur pour que je me sente bien et je l'aimais d'autant plus pour ça, pour l'attention qu'il me partait. Néanmoins, j'avais envie de lui alors, je le poussais un peu plus à agir, d'autant plus que je pouvais sentir un gonflement au niveau de son boxer, qui m'avait surpris au début, mais je décrochais un sourire parce que c'était le signe que moi aussi je l'excitais et pas qu'un peu. Après l'avoir longuement caresser, j'approchais mon visage du sien et le complimenter. Ces réponses firent accroître mon sourire. Puis en guise de remerciement, je l'embrassais avec fougue, y mettant tout la passion que je pouvais.

Le préférant lorsqu'il était sur moi, je l'obligeais à valser avec moi. Je retrouvais alors ses lèvres dans mon cou et son corps tout contre le mien. Je posais alors mes mains sur ses flanc pour le rapprocher de moi pendant qu'il embrassais mon cou et je mordais ma lèvre sous l'intense bien-être que me procurais ses baisers. Puis lorsqu'il ses lèvres jusqu'à mon nombril et qu'il commença à faire glisser ma petit culotte, je souffla grandement de plaisir et ma main qui avait glisser jusque dans ses cheveux empoigna quelque mèche, sans pour autant les lui tirer. Sous les caresses de ses mains sous mes cuisses je ne pus retenir un gemissement. C'étais tellement bon ,tellement délicieux. Je profitais que ses lèvres soit dans mon cou pour reproduire le même geste que lui. J'avais toujours mes mains dans son dos et je vous mentirez si je n'avais pas imaginer un instant d'arrêter tout. C'étais le moment fatidique, celui que j'avais déjà vécu et j'avais peur de mal réagir et de blesser Théo qui mourrait totalement d'envie de me faire l'amour. Je fis donc glisser son boxer et nous étions tout les deux à présent totalement nu. Moi brûlante de désir, il en était certain. C'était normalement à cette instant que je devais être effrayé, mais en réalité j'allais merveilleusement bien, parce que je savais que c'étais Théo et pas un autre et j'avais confiance, je savais qu'à la moindre douleur, il s'arrêterait. En cette instant, il m'embrassait tendrement. Attend... Attend Théo. J'arrêtais alors notre baiser et je le regardais dans les yeux et je me repris à parler cette fois assez timidement, presque maladroitement. Dis moi... tu as un...un préservatif. Je le regardais fronçant les sourcil et me pinçant les lèvres gêné. Je le regardais récupérer le petit chapeau de protection, un sourire aux lèvres. Puis je plongeais mon regard pétillant de bonheur dans ses yeux et je l'enlaçais de mes deux bras, caressant tendrement son dos. Montre moi combien tu m'aimes Théo... Je lui offris un merveilleux sourire avant de l'embrasser amoureusement.

J'avais réussis une grande étape cette nuit. Celle d'autorisé une nouvelle personne à entrer en moi. Jamais je n'avais pensé que ça pourrait arrivé à nouveaux. J'avais pendant des mois, crié haut et fort que je ne voulais pas faire l'amour, que je ne voulais pas qu'un homme me touche. Ca me répugnais, ça me donnait envie de vomir, parce que la seul image que j'avais c'étais une image effrayante du sexe. Pourtant, j'étais là allongé complètement nu sur le lit de Théo et je l'avais laisser prendre possession de mon corps. J'avais mis de côté ma peur grâce à lui et je le laisser faire de moi une nouvelle femme. Ça avait semblé tellement simple, tellement facile, sans douleur. Je me sentais totalement bien. Je faisais l'amour, j'étais heureuse en cette instant. Les mouvements de va-et viens que faisait Théo, me faisait ressentir des nouvelles choses, ce n'étais plus de la violence en tant que tel,ce n'étais pas pour me blesser mais pour me donner du plaisir et là était la différence. Théo savait ce qu'il faisait et ce qu'il faisait me faisait du bien. A chacun de ses mouvements qui était associé à un baiser ou une caresse, je laissais échapper un petit gémissement de plaisir et plus il intensifiait ses mouvements, plus le plaisir grandissait en moi. C'étais presque devenu une habitude mais je fini par me cambré en fermant les yeux pour ressentir cette immense plaisir.

Un scene vint alors se faufiler dans mon esprit, une scene que je n'avais pas envie d'avoir à cette instant. J'ouvris alors les yeux, légèrement effrayé. Théo s'amusais toujours avec mon cou et j'étais bien contente qu'il n'ai pas vu mon regard, car il aurait probablement tout arrêter. En réalité,ce n'étais pas la douleur ou la souffrance physique qui m'était revenu en tête, ce n'étais pas l'acte sexuel en lui même, mais l'impression d'être prise au piège et de ne pouvoir m'en échapper. J'avais conscience que c'était différent cette fois, mais un légère angoisse réapparaissait et je devais tout faire pour la contrôler. Je ne voulais pas gâcher ma première fois avec Théo, c'était tellement parfais jusque là. Je me mis donc à respirer calmement, à me dire intérieurement que tout allait parfaitement bien. Théo vint alors capturer mes lèvres, tout en émettant un gémissement. C'étais incroyable ce que ses baisers pouvait avoir comme impact sur moi, il me calmait, il me rassurait. Seulement, j'avais peur que des l'instant où il les détacherait, les images reviennent. Je le fis alors roulé sur le côté et je me retrouvais sur lui. Cette position où je dominais, fit fuir totalement mon angoisse parce que j'étais en mesure de partir s'il le fallait. Bien que j'en avait clairement pas envie. Je balançais alors mon bassin d'avant en arrière... Puis, je vint reconquérir ses lèvres et l'embrassa langoureusement. Mes mains caressait chaque parcelle de son torse avec plus ou moins de douceur. Mes mouvement de hanches s’accélérant, je sentais le plaisir m'envahir et mes gemissement se firent plus fort, plus intense. Pour preuve de ce plaisir grandissant, j'avais laisser quelques marques sur le ventre de Théo : de jolie griffure qui me décrochèrent un petit sourire de satisfaction. J'approchais mon visage du sien, mon sourire toujours présent et je l'embrassais tendrement.