Hé oh ! Tu sais comment je m’appelle ? Mon nom est Lewis et mon prénom est Nathaniel Timothy. Tu aimerais en savoir plus sur moi ? Alors continue à lire. Je suis née en 1985 le 13mars à Los Angeles - États-Unis, j’ai 25 ans. Je suis de nationalité Américaine. J’adoooore les femmes, je suis donc hétéro sexuelle et je suis dans une situation compliquée. Cela fait de nombreuses années que je suis dans cette ville. J'ai choisie Chris Evans parce que c'est comme ça x)

Mon caractère hein ? Tout dépend de quelle période de ma vie en fait... Je sais que vous vous demandez ce que je suis en train de vous raconter, mais croyez-moi, c’est assez complexe, y compris pour moi. En réalité, il y a eu deux périodes marquantes de ma vie, mais ça vous le comprendrez assez rapidement. Initialement, je suis quelqu’un de tout doux, tout sympathique, j’aime prendre soin des personnes qui me sont chère j’ai besoin que ces personnes se sentent rassurés du fait de ma simple présence, j’ai toujours été là pour tout le monde, dans les meilleure comme dans les pires moments. C’est comme ça, j’étais le meilleur ami que l’on puisse rêver d’avoir après tout, quelqu’un de sage et qui travail d’arrache pied pour toujours être au top de sa forme et réussir tout ce qu’il entreprend. Que ce soit dans le perso comme dans le privé, je ne connaissais pas l’échec, j’étais presque l’enfant parfait, celui dont ma mère rêvait, preuve à l’appui, ce n’est pas du narcissisme. Certains disaient même de moi que j’étais trop gentil que je disais amen à beaucoup trop de choses, je n’ai jamais compris pourquoi ils me disaient cela, mais j’osais les croire au vue de leurs nombres à me le dire. Puis parfois il y a une personne qui vous donne encore plus envie de vous surpasser, une personne qui vous incite à être meilleur que vous ne pouvez l’être, pour elle vous ne vous donnez pas à cent mais plutôt à deux cent pour cent, cette personne qui est la seule à pouvoir rendre votre vie meilleure, je sais que d’autre l’ont connu et moi, je sais que tout ce que je suis, tout ce que je fais, je le lui dois à elle. Mais depuis un an, beaucoup de choses ont changé...

En effet, le gentil petit Nathaniel que vous avez tous connu vient de complètement disparaître de la circulation, place maintenant à cette chose qui ce cache au fond de chacun de nous, une partie maudite que l’on essaie tous d’enfouir sous une image resplendissante. Et bien moi, ça fait un an que je ne la cache plus, que je ne la cacherais plus. Les amis ? Ça va, ça vient, seul ceux capable de me comprendre peuvent prétendre au droit d’être un ou une ami(e), je ne suis pas chiant, je tri simplement. J’ai aussi un message fort à tout ceux qui auront bien profiter de moi pendant vingt quatre longues années, c’est terminé, maintenant, je vais être obligé de vous faire regretter chaque petits détails de ce que vous m’avez alors fait, vous allez regretter d’avoir perdu le gentil petit bichon que j’étais. A présent, on a plutôt tendance à dire de moi que je suis un rebelle, une petite merde de la société, le genre de personne qu’il vaut mieux éviter si l’on ne veut pas de problème, pourtant je suis calme, si vous me faite pas chier, je suis calme. Ah et avant que j’oublie, n’essayer pas de me dire ce que je dois dire ou faire, vous n’avez aucune chance de réussir avec moi, alors abandonnez tout de suite si vous ne voulez pas que je me déchaîne sur vous également !

Vous voulez quoi ? Un départ bateau du genre tout à commencer il y a 25 ans... Non mais quel ennuis rien que d’y penser ma parole. J’ai vingt-cinq ans, vous l’aurez compris et j’ai eu la chance de naitre au sein d’une famille d’artiste, un père peintre et une mère chanteuse puisque la dans ne lui est plus possible, autant dire que je suis issue d’une famille de classe aisée, j’ai donc toujours eu droit à tout, mais cela ne m’a pas empêcher pour autant d’apprendre le respect et de ne pas profiter de ma richesse. J’ai toujours fréquenté des écoles publique au milieu de tout le monde, pour mes parents, c’était le meilleur moyen que je m’épanouisse et ça je ne les en remercierais jamais assez, je n’ai pas eu a fréquenter tout ces fils à papa qui ont toujours ce qu’ils demandent, chez moi ça marchait différemment, tu veux donc tu te démerde c’était un peu comme ça que nous marchions, n’étais-ce pas plus mal au final ? D’après notre entourage je ressemblais beaucoup à mon père, mais j’avais tout pris de ma mère, autant intellectuellement que caractériellement ou même en termes de talent d’ailleurs. C’est à l’âge de quatre ans que je fus inscrit dans mon premier club de danse, à l’école on c’est beaucoup moqué de moi, tout le monde prétend que la danse c’est pour les filles, puis vous les connaissez les garçons à nos âges, ils ont méchants les uns envers les autres, chacun essayant au mieux de surpassé l’autre, mais je n’y ai jamais vraiment prêté attention, à ma plus tendre enfance en tout cas. Quand on est enfant on a plein de rêve en tête, surement pas celui d’être le garçon le plus fort de l’école, en tout cas pour moi ce n’étais pas le cas à cette époque. D’ailleurs en parlant de danse, c’est là que je l’ai rencontré pour la première fois, celle qui illuminera ma vie quelque années plus tard.

Là je vous vois, perplexe, vous posant des tonnes et des tonnes de questions, ne vous inquiétez pas pour autant, je suis calme et ordonné, vous saurez tout ce qu’il faut savoir. J’ai continué pendant longtemps à fréquenter les écoles publique et surtout mon école de danse, nous avions appris à nous connaitre elle et moi, nous partagions la même passion, nous vivions danse tout les deux et c’est comme ça que nous sommes si rapidement devenu partenaire, mais jamais nous ne nous serions attendu à la fulgurante ascension que nous avons alors connu. Je me rappelle encore de certaines fête où nous étions invités, tout ces types qui me sortaient que la danse c’est pour les filles, quand je voyais leurs copines en train de nous regarder danser les étoiles dans les yeux, c’est moi qui riait, c’est moi qui pouvais alors répondre à tout cela, au final je gagnais, au final c’était moi le grand champion de cette histoire et ça je ne l’oublierais jamais et je suis sur qu’eux non plus d’ailleurs. Mais tout cela n’étais qu’un jeu, je ne salissais pas pour autant l’image de la danse, non c’était pour moi impensable. A nous deux, on a gravit les échelons, sans doute trop vite d’ailleurs, on a été sélectionné pour le championnat national jeune à trois reprises où nous avons fini douzième la première, puis deuxième et premier, preuve que le travail acharné fini toujours par payer. Nous avions alors déjà une confiance aveugle l’un en l’autre. Nous n’étions qu’amis, mais le temps à fait que nous sommes vite devenus plus, la danse nous avait rapprochés, à telle point que nous avions décidé de finalement nous mettre ensemble. Nous avions beaucoup d’amis autour, Los Angeles la ville de tout les interdits ? Pas pour nous semble t-il.

Nous avons finalement fini par voyager, Amérique du sud, Asie, Europe, Océanie, nous avons vu tant de choses et glaner de nombreux autres titres, malgré notre jeune âge nous étions épanouis et nous nous faisions un nom dans le monde de la danse, un nom que les gens autour ne connaissait pas et c’était tant mieux, comment auriez vous voulu que l’on puisse vivre au milieu de tout le monde à Los Angeles ? Mais pour une histoire si joyeuse, vous croyez qu’il n’y a jamais de traumatisme ? Alors là détrompez-vous ! Ça c’est passé il y a un an maintenant, nous étions alors en final des championnats du monde et c’est qu’on eu le droit au drame. Alors que l’on faisait notre chacha, qui, à coup sur, nous rapporterais énormément de point, j’au un porter à faire, un simple porter qui en soit n’avais rien de complexe, mais c’est une crampe qui m’empêcha de le faire correctement et la voilà qui s’écroule au sol, tapant la tête au sol. Elle fut ramenée d’urgence à Los Angeles où elle est dans le coma encore aujourd’hui. Je ne suis plus jamais monté sur une piste de danse, à la simple approche d’une d’entre elle mes jambes tremblent, je me suis alors perdu, pendant un an j’ai été perdu dans le noir le plus sombre, drogue, alcool et tout autre qui n’ont rien de naturel ou de classique, je ne me sens plus vivant, je me raccroche à quelque chose qui n’existe pas, je n’existe pas, ou plus. Je ne sais pas combien de temps je vivrais de la sorte, mais j’en suis là, perdu, j’ai fais le con ce jour là, jamais plus je ne serais capable de danser, j’ai donc rejoint l’UCLA, connu mais inconnu un compte plein, mais pour quoi faire ? Ma seule vocation étant la danse, que puis-je faire de plus ?