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 Il faut aplanir les chose tu ne crois pas ? [Trish A. Kebbel]

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MessageSujet: Il faut aplanir les chose tu ne crois pas ? [Trish A. Kebbel]   Il faut aplanir les chose tu ne crois pas ? [Trish A. Kebbel] EmptySam 25 Jan 2014 - 13:17


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Il faut aplaniri les choses tu ne crois pas ?
J'ai besoin de toi !
Voilà quelques temps maintenant que je n’ai plus la moindre raison de me plaindre bien que je ne sois pas dans une forme olympique. Depuis mon retour de New York, j’ai une chance folle d’avoir des infirmières rien que pour moi, Skye d’un côté qui elle s’occupe de mes passages à l’hopital obligatoire et de l’autre Trish. Au départ elle n’était que mon infirmière, mais depuis quelques temps déjà, disons que la situation entre nous deux à quelques peu "évoluer" si je puis dire cela de cette manière. Notre relation n’est plus simplement autour de la relation patient-infirmière, non, c’est aller beaucoup plus loin pour mon plus grand plaisir devrais-je dire ? Elle a été capable de me faire oublier bien des choses, mais je m’en veux quand même de ce qu’il s’est passé pour le nouvel an, je ne crois pas qu’il puisse se passer quoi que ce soit de plus entre nous que nos merveilleuses parties de jambes en l’air, mais je me sens quand même très mal de l’avoir vu partir de la sorte avant l’arrivé de Ruby, je ne voulais pas qu’un froid s’installe à cause de cela, surtout que ce qu’il s’est passé ce soir là n’aurais jamais du avoir lieu... Qui n’a jamais rêvé d’aller plus loin avec son infirmière ? Bien pour moi c’est rêve qui est devenu réalité grâce à elle, puis autant le dire, elle est loin d’être déplaisante en plus ma belle Trish. Aujourd’hui encore je l’attendais, comme tout les jours d’ailleurs, je m’impatientais de sa visite, mais je n’ai jamais oublié la visite du premier de l’an quand elle est venu faire son travail et qu’elle est repartit presque aussitôt, elle savait que Ruby était encore là j’en suis sur, mais pourquoi avoir été aussi froide avec moi ce jour là ? Honnêtement j’ai encore du mal à comprendre tout cela, il y a d’ailleurs pas mal de chose que j’ai du mal à comprendre ces derniers temps mais peu importe je présume, je dois trouver mes réponses seul, je dois parvenir à rester droit, que tout aille bien et je dois surtout faire en sorte que tout le monde aillent bien autour de moi bien que ce soit ce que je fais de moins bien. Aujourd’hui, j’avais revêtit un jean mais pas de haut, de toute façon il sautera dès qu’elle arrivera, entre la piqure et le soit disant pansement, il y a de quoi faire donc à quoi bon le mettre ?

J’étais là, dans la cuisine, préparant le repas sagement ne sachant pas vraiment à quelle heure elle allait arriver, il faut bien le reconnaitre, il n’y avait pas d’heure prédéfini de toute manière, mais malgré tout j’aimais la savoir ici. C’est vrai que cela peut vous paraitre idiot, surtout vu la situation actuelle, mais je n’aimais pas la savoir chez quelqu’un d’autre, rien que de m’imaginer qu’elle pourrait éventuellement partager le lit d’un autre ça me rendais dingue, mais ne me demander pas pourquoi, je n’en ai pas la moindre idée... Taillant mes légumes alors que ma viande était en train de mijoter, j’entendis retentir la sonnerie de la porte, c’est à ce moment précis que je lâchais tout ce que je tenais afin de me laver les mains, de saisir mon torchon et d’ouvrir la porte tout en m’essuyant les mains. J’ouvris ensuite la porte de l’appartement et allait reposer mon torchon dans la cuisine attendant bien sagement qu’elle n’arrive, elle savait où j’habitais depuis le temps, inutile de dire que je n’ai plus vraiment besoin de l’attendre à l’entrée, même si cela ne m’empêchais pas de rester non loin de la porte et de m’impatienter...


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MessageSujet: Re: Il faut aplanir les chose tu ne crois pas ? [Trish A. Kebbel]   Il faut aplanir les chose tu ne crois pas ? [Trish A. Kebbel] EmptyJeu 30 Jan 2014 - 21:47

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Il faut aplaniri les choses tu ne crois pas ?

Est-ce que tu as besoin de moi ?


J'avais aujourd'hui, comme tous les jours d'ailleurs, rendez-vous chez Apollon pour ses soins quotidiens. Je savais très bien que la majeure partie du temps ceux-ci ne se limitaient pas au changement d'un pansement et d'une piqûre et je prenais toujours soin d'avoir suffisamment de temps dans mon emploi du temps pour vaquer à des occupations d'ordre plus... personnelles disons. Cela faisait maintenant plusieurs mois que nous nous fréquentions. J'étais chargée de m'occuper de lui depuis son "accident". Je dis "accident" parce qu'en règle général, se faire tabasser n'est pas considéré comme tel, est n'a en général jamais le caractère hasardeux de l'accident. Quoiqu'il en soit je pense que mon affectation à ce suivit a plutôt été une bonne chose jusque là. Nous avons très vite su nous comprendre, très vite su nous apprécier. C’est finalement assez naturellement qye nous avons commencé à coucher en semble. Et continué. À l'hôpital comme maintenant, presque à chaque fois que je venais lui rendre visite, soit tout les jours. Étonnement, même depuis le réveillon, le rituel n'avait quasiment pas changé. Je savais très bien que cette fois se passerait comme toutes les autres : j'allais le détester durant tout le trajet jusque chez lui, me dire à quel point j'étais bête de persister, puis arriver devant sa porte, rentrer. Et au moment où je le verrais, avec son sourire et son assurance habituelle, j'oublierais tous ces mots dans ma faiblesse de corps comme d'esprit, lui sourirait et finirait à nouveau dans ses bras.
J'avais beau savoir tout cela, j'étais actuellement toujours au stade 1, celui où je n'arrivais pas à comprendre pourquoi je lui réservais tant de place sur mon temps de travail alors que je pourrais largement consulter trois autres patients à la place. Je serrai le volant, blanchissant mes phalanges et me poussai à souffler un grand coup. Je tournai à droite et me garai rapidement au bas de son immeuble. Je claquai la porte de ma voiture et sonnai chez lui. Le bip d'ouverture se fit entendre sans qu'il eût répondu à l'interphone, il savait très bien que c'était moi sur le pas de sa porte. J'entrai dans l'ascenseur et appuyai rapidement sur le numéro 7. Je sus à l'instant ou les portes se refermaient que j'aurais dû prendre l'escalier : l'attente statique que je m'infligeais ne rendais que ma nervosité plus grande. Les chiffre défilèrent sur l'écran et je pus enfin sortir. Je toquai à la porte et ouvrit sans attendre une quelconque réponse : je me sentais ici presque chez moi.
Une douce odeur me parvint lorsqu'il m'ouvrit. Comme prévu, toute volonté de rébellion contre lui - ou contre moi ? - s'évanouit lorsque je croisai son regard. Il me souriait comme à chaque fois et comme à chaque fois ce sourire faisait fondre toute colère ou appréhension qui aurait pu me rester. Je franchis le pas de la porte et m'approchai pour le saluer.
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MessageSujet: Re: Il faut aplanir les chose tu ne crois pas ? [Trish A. Kebbel]   Il faut aplanir les chose tu ne crois pas ? [Trish A. Kebbel] EmptyDim 2 Fév 2014 - 9:42


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Il faut aplaniri les choses tu ne crois pas ?
J'ai besoin de toi !
J’étais là, j’attendais patiemment son arrivé, ou en fait pas du tout. J’avais ce souci que je ne pourrais sans doute jamais régler, je suis toujours très impatient quand il s’agit d’attendre Trish, je sais que c’est étrange comme situation, mais c’est tellement réel. Officiellement elle n’est que mon infirmière mais le temps m’a forcer de constaté qu’elle était bien plus que cela à mes yeux, je ne savais pas vraiment comment je pouvais la définir en réalité, mais elle est plus que mon infirmière, bien plus que cela même, elle a pris une grande importance dans ma vie et si je devais me blesser encore et encore juste pour la revoir il ne fait aucun doute que je n’aurais aucune hésitation à le faire, surtout que mes soins sont bientôt terminé... J’étais appuyer contre l’encadrement de la porte de la cuisine et je guettais sagement la porte d’entrée de mon petit appartement jusqu’à ce que j’attendais puisse enfin se produire. Quelque coups retentirent sur la porte avant que cette dernière ne s’ouvre, laissant place à une silhouette ravissante ornée d’une soyeuse chevelure d’or, ses traits fin, ses petits yeux effilés, ses pommettes légèrement arrondis, un vrai visage d’ange en prime de ça, comment voulez-vous que moi je résiste ? Trish n’est pas qu’une infirmière, c’est aussi et surtout une beauté de la nature, c’est même plus simplement la huitième merveille du monde je dirais. Certains trouveront que j’en rajoute peut-être beaucoup, mais pour moi il n’en est rien, je ne trouve pas que je rajoute quoi que ce soit, je dis les choses comme je les aperçois, comme cela a toujours été le cas auparavant. Je ne pris d’ailleurs que peu de temps avant d’aller l’embrasser en guise de bonjour, un baiser sur la joue et je l’invitais à entrer. Bien sur je ne m’arrête qu’à la joue, entre elle et moi il n’y a pas plus que le lit, du moins je le crois... Je pris alors son manteau que je déposais sur un cintre et reviens à elle.

« Tu veux boire quelque chose peut-être ? »

Je n’ai malgré tout pas encore réussi à oublier ce qu’il s’est passé pour le réveillon de l’an, je ne sais pas si elle m’en veut ou autre, ni même pourquoi elle m’en voudrait si c’était le cas, mais moi je sais que je ne regrette que la moitié de se réveillon, ce que je regrette le plus c’est de l’avoir laissé partir comme cela... Enfin, vu ce qu’il s’est passé, c’tait peut-être mieux ainsi non ? En tout cas, il y a une chose dont je suis absolument sur, c’est que depuis le réveillon de l’an, rien n’est plus pareil, j’ai l’impression que quelque chose à changer et je n’aime pas du tout cette situation, j’ai besoin d’elle bien plus que je ne l’avais jusque lors imaginer, il est dont automatiquement pour moi impensable de ne plus la revoir après tout ces soins, je ne sais pas ce qu’il en est pour elle, mais peut-être devrais-je essayer d’en avoir le cœur net ? Peut-être devrais-je essayer de faire ce que je fais de mieux ? Dire les choses clairement ? On avait pas encore commencer les soins habituels, étions nous pressé ? Elle peut-être, elle travail, mais moi non.

« Dis moi Trish, je sais que tout ces soins sont bientôt terminés, que bientôt tu n’auras plus besoin de passé par chez moi. Mais continuerais-je te voir ? Ou bien va-t-il falloir que je trouve un moyen de me blesser pour avoir de nouveau la chance de t’avoir non loin de moi ? »

C’était surement un peu bizarre comme demande je l’accorde, mais autant dire que ça expliquait à la perfection ce que je ressentais au moment présent.


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MessageSujet: Re: Il faut aplanir les chose tu ne crois pas ? [Trish A. Kebbel]   Il faut aplanir les chose tu ne crois pas ? [Trish A. Kebbel] EmptyLun 3 Fév 2014 - 21:57

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Il faut aplaniri les choses tu ne crois pas ?

Est-ce que tu as besoin de moi ?


Il m’embrassa sur la joue et je souris. Je n'avais aucune idée de l'endroit où allait me mener notre histoire – ou peut-être n'était-ce une histoire que pour moi ? – ni comment elle allait m'y mener, mais je ne pouvais pas me plaindre de fréquenter un homme comme Apollon. Il portait bien son nom, quelque part, bien que n'ayant pas le côté efféminé que les auteurs antiques se plaisaient à lui donner. Au contraire même. Plutôt grand et carré, une gueule d'ange sur laquelle était immuablement plaqué ce sourire qui lui donnait cet air si sûr de lui. J'avais beau le regarder, je n'arrivait pas l'imaginer autrement que contrôlant absolument la situation.
- Tu veux boire quelque chose peut-être ?
Je haussais les épaules mais mon regard disait sûrement ma réponse pour moi, et Apo me connaissait trop bien pour croire un seul instant que je pus refuser son offre. Je ne suis pas alcoolique, loin de là, mais je ne peux pas décliner un verre, surtout de la part d'une personne aussi charmante. Bien sûr en temps normal je ne bois pas en service, mais j'allais rester ici encore un petit moment et l'alcool serait sûrement très vite oublié face à l'ivresse charnelle à laquelle je m'attendais.
- Je dis pas non a un petit whisky.
Il sourit, satisfait, et tourna les talons pour aller nous chercher des verres. Je ne pouvais m'empêcher de le suivre des yeux, comme redécouvrant chaque seconde à quel point sont corps me plaisait. Il revint finalement, posa les verres, nous servit, me regarda un instant, sembla hésiter, et finit par me demander :
- Dis moi Trish, je sais que tout ces soins sont bientôt terminés, que bientôt tu n’auras plus besoin de passé par chez moi. Mais continuerais-je te voir ? Ou bien va-t-il falloir que je trouve un moyen de me blesser pour avoir de nouveau la chance de t’avoir non loin de moi ?
Je baissais les yeux. Une partie de moi voulait que je lui saute au cou, me blottisse dans ses bras, enfouisse mon visage dans sa nuque et lui dise à quel point je ne voulais plus avoir à supporter son absence, jamais. L'autre aurait préféré que je parte en courant, ou, dans le cas échéant, que je lui crache à la figure à quel point il me faisait souffrir, moi, et à quel point toutes les blessures qu'il pourrait s'infliger n'égaleraient pas celles qu'il me faisait subir. Je faisais tourner mon verre sur la table, incapable de décider du comportement à suivre.
- Dommage que Ruby ne soit pas infirmière, elle, elle aurait peut être pu s'occuper de toi.
Je me mordis la lèvre. J'étais sans aucun doute la femme la plus stupide du monde : l'homme que j'aimais – il faut bien se le dire clairement un jour ou l'autre non ? – venait de me dire qu'il désirait me revoir encore quoiqu'il lui en coûtât, et je ne trouvais rien d'autre à répondre que ma jalousie. Jalousie venu d'un acte sur lequel je n'avais aucune certitude et hypothétiquement survenu alors que rien, officiellement, ne nous liait.
- Désolée, c'était cruel et gratuit.
Pathétique. J'étais pathétique. Même pas. Un être pathétique inspire la pitié, la compassion, je ne m'inspirais que le mépris. J'étais misérable.

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MessageSujet: Re: Il faut aplanir les chose tu ne crois pas ? [Trish A. Kebbel]   Il faut aplanir les chose tu ne crois pas ? [Trish A. Kebbel] EmptyDim 9 Fév 2014 - 11:06


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J'ai besoin de toi !
Au départ, je m’étais préparer à une journée plus ou moins semblables aux autres vous voyez ? Trish qui passe qui me fait mes soins tout le monde sait comment ça va ensuite finir, l’avantage de cela c’est que je pouvais la garder plus longtemps à la maison, dans le fond ça me rassurait énormément car tant qu’elle était chez moi, elle n’était pas chez quelqu’un d’autre, surement que je suis égoïste ou autre, mais j’aimais bien avoir sa présence non loin de moi, mais ne me demandez pas pourquoi je serais très certainement incapable de vous répondre. Dans le genre journée typique, je pense que je suis le meilleur, mais bien sur, il y a toujours le détail qui fait changé la donne et autant dire que celui d’aujourd’hui, je risquais de ne pas le voir venir... Elle était donc entré chez moi comme d’habitude d’ailleurs, elle n’avait plus vraiment besoin d’attendre que je la fasse entrer puisque je lui avais déjà dit plusieurs fois qu’elle était ici chez elle, mais bon des fois je sens qu’elle se retient de bien des choses, mais puis-je lui en vouloir ? Après tout elle est censée travailler là, mais chaque fois, chaque jour même je la détourne de son fil conducteur en la conduisant dans ma chambre. Cela est surement malsain et je sais pertinemment que je serais lynché pour tout ça par certains autres, mais honnêtement ? Je m’en contre-fiche ! A peine entrée que je lui avais déjà récupérer ses affaires afin de les rangé soigneusement comme ci il était normal qu’elle passe tant de temps chez moi, mais dans le fond la normalité avait fini par s’installer entre nous deux je crois, s’en était presque naturel de faire un passage au lit après les soins, je ne sais plus comment cela avait commencer, mais je peux le dire, je ne le regrette pas et ne le regretterais jamais d’ailleurs. D’ailleurs il était temps pour moi de faire un tour par la cuisine et de saisir deux verre ainsi que le whisky qu’elle venait de me demander, après tout rien ne nous empêche de rien je me trompe ? J’avais d’ailleurs pris une petite gorgée de mon verre avant de lancé les hostilités en quelque sorte, car oui, vu ce que je venais de dire on pouvait parler d’hostilité, pourquoi suis-je aller lui dire ça de la sorte ? Je suis complètement atteints moi ma parole.

Elle venait de baisser les yeux, faisant même tourner son verre sur la table, c’est à ce moment précis que j’avais compris que je venais de dire une sacrée bêtise et je ne comprenais pas vraiment pourquoi d’ailleurs. Dans le fond je m’attendais à quoi ? Un simple on se reverra, pas besoin de te blesser ? Cela aurait été tellement simple je pense, mais qu’est ce qu’il y a de réellement simple entre nous deux ? J’ai beau y réfléchir encore et encore, je n’ai jamais rien trouvez de simple dans la situation qui nous réunis tout les deux, c’est assez embarrassant d’ailleurs si je puis dire. Mais franchement, j’aurais pu tout voir ou tout entendre je pense, mais sa réponse fut à la fin une blessure, une déchirure et voir même plus loin, c’est comme ci elle venait de me tuer indirectement. Je pouvais tout prendre en pleine poire, mais pas ça, c’est exactement la chose que je ne pouvais pas encaisser cela est sur, mais que pouvais-je bien faire face à cela ? Avait-elle tord ou raison ? Elle ne pouvait pas le savoir, mais moi je savais, moi je connaissais la vérité, moi je sais ce que chacune représente pour moi, mais pouvais-je lui en vouloir après ce qu’il c’est passé au nouvel an ? D’ailleurs elle ne mit pas longtemps avant de s’excuser sans même que je ne comprenne pourquoi, c’était assez embarrassant, là je risquais de m’y perdre si je ne me reprenais pas rapidement ! Je me levais alors et m’asseyais juste à coté d’elle, saisissant sa tête entre mes mains afin de la tourner vers pour qu’elle me regarde et qu’elle voit clairement que je ne lui mens pas. Mon pouce glissant adroitement sur sa joue.

« Tu ne peux pas dire ça, Ruby n’est rien de plus qu’une amie, quelqu’un que je connais depuis plusieurs années maintenant. Qu’elle soit infirmière ou non n’aurait rien changé pour moi. Je ne veux pas que tu repartes d’ici avec de fausses idées en tête. C’est vrai qu’elle ne sortira jamais de ma vie car des amis comme elle il n’y en a pas quinze, mais en aucun cas je n’ai envie que toi tu sortes de la mienne pour autant. Je n’ai pas non plus besoin que qui que ce soit ne vienne s’occuper de moi et de mes petits bobos que j’ai plus ou moins cherché, mais au moins ce fut merveilleux car j’ai pu te rencontrer, je n’échangerais tout ce temps pour rien au monde. Mais sache que même si je viens à ne pas avoir besoin d’infirmière, ça ne m’empêchera jamais d’avoir envie de te voir, d’en avoir besoin même. »

C’était sorti un peu au fur et à mesure que je pensais je l’admet, surement que j’aurais l’air stupide, surement qu’elle ne pensera que des choses erronés, surement avec cette fin pourris d’ailleurs, je ne veux pas d’elle uniquement dans mon lit, je veux juste qu’elle soit là, c’est bizarre, je ne sais même pas pourquoi d’ailleurs alors que je sais que je pourrais profiter pleinement de tout et surtout d’un maximum de jeune femme car ce n’est pas ce qu’il manque dans cette ville. Suffit de faire la liste pour comprendre de quoi je veux parler, mais bon je crois que je n’en suis pas à me dire ce genre de chose, là il y a plus important sur le feu, il y en a une pour qui je dois me battre, je ne me suis battu pour aucune de mes trois véritable relation précédentes alors pour celle-ci je me battrais, même ci je ne peux pas vraiment parler de relation réellement...


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MessageSujet: Re: Il faut aplanir les chose tu ne crois pas ? [Trish A. Kebbel]   Il faut aplanir les chose tu ne crois pas ? [Trish A. Kebbel] EmptyLun 10 Fév 2014 - 17:38

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Il faut aplaniri les choses tu ne crois pas ?

Est-ce que tu as besoin de moi ?


Je fixai lamentablement mon verre, incapable de faire face au regard que je sentais pour moi. Je savais qu’un levant les yeux, je verrais le reproche, je verrais la douleur. Je savais qu’en levant les yeux la douleur que j’avais donnée deviendrait mienne. Il se leva. Mon estomac se sera un peu plus : il n’allait tout de même pas partir ? Je faillis me lever, l’attraper, lui dire de rester. Je m’en trouvais incapable. Si je bougeais ne serait-ce que d’un millimètre plus aucune barrière ne serait là pour me retenir. Cela faisait plus d’un mois que je refusais de voir la vérité : l’équilibre que nous avions formé Apo et moi ne durerait pas une vie. Aujourd’hui les masques devaient tomber et je savais à quel point je n’étais pas assez forte pour ça. À quel point l’affection que je lui portais m’empêchait d’être assez forte pour ça, car j’avais peur de la perdre. Si je bougeais ne serait-ce que d’un millimètre, je serais forcée de constater que le temps passe, obligée de lui parler et mon monde exploserait. Il entoura mon visage de ses mains et leva face au sien. Ses yeux étaient pleins d’inquiétude et d’affection. Le monde explosa. Il commença à parler et chacun de ses mots se plantait un peu plus dans mon cœur. Une larme coula sur ma joue.

- Tu ne peux pas dire ça, Ruby n’est rien de plus qu’une amie, quelqu’un que je connais depuis plusieurs années maintenant. Qu’elle soit infirmière ou non n’aurait rien changé pour moi. Je ne veux pas que tu repartes d’ici avec de fausses idées en tête. C’est vrai qu’elle ne sortira jamais de ma vie car des amis comme elle il n’y en a pas quinze, mais en aucun cas je n’ai envie que toi tu sortes de la mienne pour autant. Je n’ai pas non plus besoin que qui que ce soit ne vienne s’occuper de moi et de mes petits bobos que j’ai plus ou moins cherché, mais au moins ce fut merveilleux car j’ai pu te rencontrer, je n’échangerais tout ce temps pour rien au monde. Mais sache que même si je viens à ne pas avoir besoin d’infirmière, ça ne m’empêchera jamais d’avoir envie de te voir, d’en avoir besoin même.

Je tentais vainement d’esquisser un sourire à travers les larmes qui roulaient sur mon visage. Je m’étais tout ce temps efforcée de ne pas penser à l’avenir de notre relation. Je m’étais convaincue que nous n’étions liés que par du sexe et de la complicité et j’avais donné cette excuse à ma conscience pour profiter de l’étreinte de ses bras. Je savais, au fond, que je ne pourrais pas toujours continuer comme ça. Mais j’avais tout fait pour ne pas y penser. Aujourd’hui je n’avais plus le choix. Mais aujourd’hui une donnée changeait : je n’étais pas la seule à vouloir me battre pour rester avec lui. Seulement aujourd’hui mes mains tremblaient et j’étais absolument incapable de lui parler, de lui dire à quel point j’étais moi aussi incapable de continuer sans lui. Je parvins finalement à bouger et, m’approchant de lui, je passai un bras de chaque côté de son cou pour enfouir mon visage dans celui-ci avant de parvenir, enfin, à prononcer quelques mots :
- Moi aussi Apo… Moi aussi j’ai besoin de toi.


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MessageSujet: Re: Il faut aplanir les chose tu ne crois pas ? [Trish A. Kebbel]   Il faut aplanir les chose tu ne crois pas ? [Trish A. Kebbel] EmptyMer 12 Fév 2014 - 18:10


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Toute cette histoire avait fini par aller trop loin, je ne sais pas trop ce qu’elle attendait de moi tout comme je ne savais pas vraiment ce que j’attendais d’elle, mais de l’entendre parler de Ruby de la sorte m’a fait prendre conscience d’une chose importante, je n’ai pas besoin de Trish, non, mon ressentit est bien plus fort que cela encore, je ne saurais pas expliqué le pourquoi du comment, mais je suppose que dans le fond ce n’est pas une mauvaise chose ? Ça en tout cas je l’espère car je n’avais pas du tout envie de la perdre, ni même de la blessé et pourtant j’ai fortement l’impression que c’est ce que je venais de faire inconsciemment. Je m’étais donc approcher d’elle, prenant sa tête entre mes mains et lui sortant clairement ce que j’avais sur le cœur au moment présent, c’est d’ailleurs là, que se produisit la chose interdite, une larme le long de sa joue. Je n’aimais pas ça du tout et je ne voulais pas de tout cela, je n’ai jamais voulu de tout cela d’ailleurs et pourtant c’est arrivé. De mon pouce je venais chasser cette larme lui indiquant par ce geste qu’elle ne devait pas, que je ne me permettrais pas de dire ou de faire quoi que ce soit qui puisse apporter une quelconque tristesse chez elle. Je sais qu’il y a aussi des larmes de joie, mais je ne pense pas que cette fois ci il s’agisse de cela, je l’ai surement blessé profondément et ça je ne peux que m’en vouloir. J’avais pensé chacun des mots que je venais de prononcer, que ce soit au sujet de Ruby ou bien d’elle-même j’ai besoin de mes amis, que ce soit Alessia, Bella, Ruby mais j’ai aussi besoin de Trish. Certes avec elle nous nous étions plutôt arrêter sur une relation qui n’avait que des vertus sexuelle, mais je crois que le temps a fini par me jouer quelque tour, dont un dont je ne suis pas très fière, mais que je ne pense pas pouvoir regretter pour autant. Je n’aimais pas voir ses larmes que je m’efforçais d’effacer au fur et à mesure qu’elles perlaient sur son visage resplendissant, mes yeux fixèrent les siens, voyageant de temps à autres jusqu’à ses lèvres de manière accidentelle. Elle fini par passé ses bras autour de mon cou et y enfouis sa tête, laissant ensuite sortir quelques mots qui vinrent tout droit dans mes oreilles et qui n’en sortiraient jamais d’ailleurs, j’étais un peu perdu, j’avais de drôle d’envie au moment présent, mais pour la première fois depuis que nous avions commencé à nous "fréquenter", cela n’avait rien de purement sexuel si vous voyez ce que je veux dire. Je laissais alors mes mains se balader de la nuque jusqu’au fessier de la jeune sans vraiment les arrêter si ce n’est sur ce dernier de temps à autre. Je ne savais pas vraiment qu’elle était la réaction que je devais adopter, mais c’est la que je fis la connerie du siècle je crois. Je m’écartais légèrement d’elle et vint déposer mes lèvres contre les siennes aussitôt avant de la prendre de nouveau dans mes bras.

« Alors ne part pas, reste là autant que tu le souhaites, vient là quand tu le souhaites, je serais ravis que tu sois là, non loin de moi, ravis et rassuré aussi. »

J’avais surement les mots rapides, mais mes pensées venaient comme cela, trop rapidement d’ailleurs, je suivais difficilement le rythme de ces dernières. Je disais des choses, je ne savais pas l’impact que cela aurait, mais je présume que ce n’est pas trop mauvais, en tout cas je l’espère car je ne veux pas perdre Trish et je ferais tout ce que je peux pour que cela n’arrive jamais d’ailleurs ! J’avais peur de certaines choses peut-être, ou peut-être pas, je me suis perdu quelque part où le soleil n’est plus suffisant pour tout éclairer. Je passais alors mes mains sous le haut de Trish comme pour revenir aux habitudes et lui caressait délicatement le dos, presque amoureusement même d’ailleurs.


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MessageSujet: Re: Il faut aplanir les chose tu ne crois pas ? [Trish A. Kebbel]   Il faut aplanir les chose tu ne crois pas ? [Trish A. Kebbel] EmptyMar 18 Fév 2014 - 21:32

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Il faut aplaniri les choses tu ne crois pas ?

Est-ce que tu as besoin de moi ?

Il tenait à moi. Il tenait à moi. Il venait de le dire. Je ne pouvais pas avoir rêvé. Je ne pouvais pas parce que j'étais tellement loin d'imaginer que ce puisse être possible. Enfin, je veux dire, j'avais bien conscience que quelque chose nous unissait, qu'il attendait ma venue, qu'il était heureux que je sois là. Mais pas une seule seconde je n'avais imaginé qu'il puisse avoir pour moi une affection plus que charnelle et amicale. Je l'avais sûrement voulu à chaque instant (bien que je ne m'en sois rendu compte que le jour du réveillon) mais jamais je n'y avais cru. Malgré les sentiments qui s'entrechoquaient en créant un joyeux désordre dans mes pensées, une partie de moi continuait, méfiante, à prendre en compte le fait que, peut-être, ces belles paroles n'avaient pour but que de me garder dans son lit encore un peu, le temps, peut-être, de trouver mieux encore. Il me serra contre lui, caressant mon dos, et la manière dont ses mains passaient et surtout restaient un peu plus chaque fois sur mes fesses ne faisait que me conforter dans cette idée. D'un autre côté, ses caresses éveillaient en moi toujours autant de plaisir et d'impatience et je n'étais absolument pas prête à m'en plaindre. Il finit par poser ses mains sur mes hanches, s'écarta un peu de moi et posa un court baiser sur mes lèvres, si furtif que je crus l'avoir simplement imaginé, avant de me serrer à nouveau contre lui d'une étreinte si puissante et douce à la fois, que je n'arrivais presque lus à la considérer comme venant d'une affection feinte.- Alors ne part pas, reste là autant que tu le souhaites, vient là quand tu le souhaites, je serais ravis que tu sois là, non loin de moi.
Mon cœur rata un battement et je me serrais tant bien que mal contre lui, les muscles affaiblis par le trop-plein d’émotions qui me bousculait depuis le début de notre conversation. Il ajouta :
- Ravis et rassuré aussi.
Je restai encore un instant contre lui, profitant de la chaleur de ses bras et de la sensation de sécurité que me procuraient son souffle dans mes cheveux et le battement de son coeur contre moi. Puis, enfin, tous les mots que je n'avais pas sus prononcer jusque-là sortirent. Je parlais vite. Trop vite. Et je doutais bien qu'il puisse comprendre ce que je lui disais. J'avais pourtant besoin qu'il m'écoute et saisisse le sens de mes mots. Le vrai sens. Celui qui faisait vibrer mon corps et mon coeur lorsque je l'exprimais. Mais plus encore que ça, j'avais besoin de parler. Besoin de dire tout ce que moi-même je n'avais pas su jusque-là. Tout ce qui avait forgé ma vie ces derniers mois sans que je m'en aperçoive.
- Moi aussi Apo. Moi aussi j'ai besoin de rester. Moi aussi j'ai besoin de toi dans ma vie. Moi aussi j'ai peur quand tu n'es plus là. Je voudrais que ma vie soit rythmée par les battements de ton coeur, par tes étreintes, par tes caresses. Je voudrais que tout ce que l'on a partagé jusqu'ici continue toujours, plus fort et plus beau. Je voudrais voir ton sourire provoquer le mien. Je voudrais voir mon sourire provoquer le tiens. Je sais à quel point tu es capable de me rendre heureuse et si je pouvais te rendre un dixième de ce que tu me donnes je pourrais sûrement faire de toi le plus heureux des hommes Apo. Je voudrais tellement de choses. Tellement de choses et si peu en même temps parce que j'ai beau vouloir tout cela au final... Le flot finissait par se tarir. Je repris mon souffle. Me desserrai un peu de lui pour plonger mon regard dans le sien.
- Au final je ne veux que toi Apo.
Je me figeais un instant. Je l'avais dit. Tout me paraissait différent et identique à la fois. Je savais, une nouvelle fois, que les quelques minutes, peut-être même les quelques secondes, à venir allaient être déterminantes. Je m'approchais un peu de lui pour poser mes lèvres contre les siennes. Je n'avais aucune idée de sa réaction. Mais je savais que je n'avais rien à perdre. Quoi qu'il arrive, rien ne serait plus comme avant. J'étais sur le bord de la falaise et j'avais le choix entre partir et sauter en espérant que quelqu'un me rattraperait en bas.
J'aivais sauté.
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