Depuis mon retour à Los Angeles, les choses ne sont plus pareilles. L'annonce de ma grossesse a tout chamboulé. Je ne suis pas prête pour cet enfant mais je vais être obligée de le mettre au monde, il est trop tard pour avorter. Si je l'avais fait dans les temps, j'aurais perdu Jordan et je ne veux pas le perdre. Je veux pouvoir vivre à ses côtés, pas me disputer constamment avec lui.

Depuis mon retour à la villa, je passais mes journeés dehors. Je faisais de mon mieux pour éviter Jordan. Ca ne pouvait plus durer mais je n'étais pas en mesure de l'affronter. De son côté, il a même retiré son alliance. Que devais-je en penser ? Ne m'aimait-il plus ?

Ce soir-là, je suis rentrée tard. Je ne pensais pas tomber sur lui. Mais il était là, en train de prendre ses médicaments. Je ne pus faire autrement que de lui adresser la parole. Et puis, cela devait cesser une bonne fois pour toute. "Salut..." Dis-je doucement. Je ne savais pas s'il allait me répondre mais j'avais envie qu'il le fasse.

Il a fini par me répondre. Je ne sus pas vraiment comment réagir. J'étais gênée. Est-ce vraiment une réaction normale lorsqu'on se trouve en compagnie de son mari ? Tout cela me dépassait et j'en avais assez. Incapable de penser à autre chose, j'ai alors répondu : "Ca va ? J'ai vu..." J'eus du mal à terminer ma phrase, c'était stupide, je le savais, mais c'était comme ça. "J'ai vu que tu as retiré ton alliance, pourquoi ?" La première chose que je lui disais après des jours de silence, c'était certain, il m'en voudrait. Mais je devais lui poser la question, c'était vital pour moi.

Mon ventre commençait à s'arrondir. Il faut dire qu'après trois mois de grossesse, les formes s'affinent pour laisser place à la réalité. J'avais des nausées matinales, des crampes parfois. Je ne comprenais pas qu'on puisse dire qu'être enceinte était un pur bonheur. Il faut dire que je suis restée figée sur l'idée que je ne voulais pas d'enfant. Je me demandais encore de quelle manière j'allais réagir face à cet humain miniature...

Je n'aimais pas la façon dont on s'ignorait tous les deux. Et je ne faisais rien pour arranger les choses. Attendre un enfant est sensé être une belle chose, un moment de pure joie. C'est loin d'être le cas pour Jordan et moi. Pour en ajouter une couche, il avait enlever son allaince et son explication n'en était pas une. Cela m'énerva plus qu'autre chose. "Tu vas donc l'enlever à chaque fois qu'on se dispute ?" Je m'efforçais de rester calme mais je n'y arrivais que moyennement. Je n'aimais pas quand on se disputait mais aller jusqu'à enlever son alliance, c'est exagéré. "Tu veux me quitter c'est ça ?" Après tout, j'étais en droit de me poser la question. En arriverons-nous à ce point ? "Vas-y ! Après tout c'est pas comme si j'avais plus de boulot non plus ! Je vais perdre mon mari en même temps !" J'exagérais car je n'avais pas encore perdu mon emploi. J'étais en congé maladie car les producteurs n'avaient pas voulu intégrer ma grossesse à la série. Mon personnage est donc parti en voyage loin de New-York.

Je ne savais pas comment on allait s'en sortir. Il réagissait mal à chacune de mes phrases, ce qui m'énervait d'autant plus. J'allais encore crier et ça ne serait bon ni pour lui ni pour moi. "Tu fais pareil je te signale !" Je réplique en commençant à crier. Je détestais en arriver là mais je n'arrivais pas à me contrôler. Il avait raison sur un point, j'avais encore du travail, pour l'instant. Je ne doutais qu'une fois maman, on me relèguerait au second plan. "Tu crois que ça marche comme ça toi ?! Tu vis au paus des bisounours ou quoi ?!" J'y allais fort mais j'étais lancée. "Laisse tober, de toute façon tu comprends rien !" De mieux en mieux, si je continuais comme ça, le divorce ne serait plus qu'une formalité. Puis, sans que je ne sois prévenue, mon ventre commença à me faire mal. Le bébé devait ressentir ma colère et il s'énervait lui aussi. Instinctivement, j'ai osé une main sur mon ventre. Mais je ne voulais pas que Jordan ne le remarque. J'ai donc fait de mon mieux pour ne rien laisser paraître. ""Oublie ça... Ajoutais-je en rejoignant lentement le salon.

Maintenant j'étais barrée, selon ses dires. Eh bien de mieux en mieux lui aussi... "Commence pas avec Trevor. Lui au moins il me comprend !" Ce qui n'était pas le cas mais je ne voulais surtout pas le lui avouer. Mon meilleur ami était du côté de Jordan puisqu'il n'arrêtait pas de me répéter qu'avoir un bébé est une merveilleuse chose, la plus chose qu'on puisse souhaiter. Mais pourquoi n'était-ce alors pas mon cas ? Pourquoi n'arrivais-je pas à me faire à cette idée ? Je n'eus pas le temps d'y réfléchir puisque Jordan remarqua tout de suite ma main posée sur mon ventre. Sans réfléchir, je lui réponds méchamment : "Rien, truc de femme enceinte." Réponse idiote mais je ne voulais pas qu'il prenne pitié, surtout pas maintenant. Je me suis dirigée vers le salon en espérant m'y retrouver seule. Une fois que je lui ai tourné le dos, j'ai pu grimacer de douleurs. Je fis de mon mieux pour ne pas laisser échapper de cri mais cela devenait de plus en plus difficile. J'ai alors alors pris sur moi pour rejoindre la chambre. Mais chaque pas me faisait un mal de chien.

Je ne pouvais pas mentir à Jordan. Sa fonction de médecin ne me déservirait pas. Il savait toujours quand je lui mentais sur ce point. "Du genre dégueu pardi." Répliquais-je pour qu'il me laisse tranquille, même si je savais pertinemment qu'il n'en ferait rien. Je n'ai pas fait deux pas qu'il me rattrapait pour me porter jusqu'à notre chambre. J'en ai profité pour me blottir contre lui sans trop en avoir l'air. Puis il me déposa délicatement sur le lit. Je faisais de mon mieux pour ne pas crier. Je ne voulais pas de sa pitié. "Ya rien Sherlock. Je veux juste me reposer." Mais pas besoin de mentir, j'étais transparente comme de l'eau de roche. Malgré mes efforts, je ne pus répimer un "Aïe" de douleur. Ma main était toujours posée sur mon ventre mais ça ne soulageait en rien la douleur. "Tu ne bosses pas ce soir ?" Lui demandais-je ensuite pour qu'il parte. Mais je ne voulais pas qu'il parte, je ne voulais pas qu'il m'abandonne, ce que je ne lui dirai jamais.

"Y a rien." Répétais-je, obstinée. Puis il partit, j'eus peur qu'il me laisse seule, ce qu'il ne fit pas. Il remonta avec sa trousse de médecin. Je ne voulais pas qu'il m'ausculte. J'étais bien trop mal à l'aise pour ça. Mais je ne pouvais plus cacher ma douleur. "Y a rien à voir, c'est à l'intérieur que ça se passe." J'étais stupide de lui répondre sur ce ton mais je ne pouvais pas m'en empêcher. J'étais à présent pliée en deux. Tout en geignant, j'ai ajouté : "Mon médecin dit que tout va bien, ça va passer." Je voulais que ça passe, il fallait que ça passe. Je ne pourrai pas supporter ça bien longtemps. Quoi que je préférais de loin supporter la douleur plutôt que notre dispute. "Il va me tuer." Dis-je en grimaçant et toujours pliée en deux sur le lit. "Je... Je ne veux pas le..." Le perdre. Mais je n'arrivais pas à le dire. Pourquoi arrivais-je à cette conclusion maintenant ? Je n'avais pas le cours à réfléchir, j'avais bien trop mal pour ça.

J'étais tellement sur les nerfs et Jordan ne manqua pas de vouloir connapitre la suite de mes pensées. La vérité était que je ne voulais pas le perdre, lui, Jordan. Si je perdais notre bébé, Jordan m'en voudrait pour l'éternité, je ne pourrais pas le supporter. Mais je ne pouvais le lui dire, j'étais bien trop têtue pour ça. Alors je me suis contentée de répondre sur un ton plus calme : "Comment peux-tu en être sûr ?" Je n'avais pas répondu à sa question. Je devais pourtant le faire. Je nem'en sentais pas capable. "C'est quoi ton truc ? U, truc à base de plantes je parie." Il m'a déjà parlé de ces faux médicaments qu'il donnait aux gens pour les calmer. Peu m'importait, j'ai tout de même avalé le cachet. "Je ne veux pas te perdre." Finis-je par lâcher. Je ne m'attendais pas à ce qu'il me saute dans les bras mais au moins, j'ai relâché un peu la pression.

Je n'arrivais pas vraiment à comprendre comment un truc d'une taille insignifiante pouvait me rendre la vie si affreuse... Arriverais-je un jour à m'y faire ? J'en doutais fortement... « Il est trop petit pour imposer sa loi. Hors de question que je le laisse faire ! » Répliquais-je sur un ton boudeur. J'étais encore de mauvaise humeur et notre dispute n'était pas terminée, après tout. Je pris le cachet à base de plantes, juste pour faire plaisir à Jordan. « Je sais... » Ajoutais-je doucement en baissant la tête. Mon but n'était pas de le blesser. Je ne savais plus où j'en étais et c'était Jordan le bouc-émissaire. Je savais que je n'agissais pas de la bonne façon mais c'était comme si je ne pouvais pas m'en empêcher. « Tu m'en veux beaucoup ? » Finissais-je par lui demander, appréhendant sa réponse.

Il impose pas sa loi il s'inquiète pour toi et te fais comprendre que c'est mauvais Je soupire , Béli est souvent comme une boule de nerf surtout quand quelque chose ne lui plais pas et être enceinte ne lui plaisais absolument pas et le bébé le resenter facilement vue que maintenant tout les deux son relier. Puis elle commence à me dire qu'elle ne voulait pas me perdre et si je lui en voulait je range alors la boite dans mon sac est hausse les épaules je pourrais pas dire non sa serais te mentir Je la regarde ensuite Je te reconnais plus en ce moment a croire qu'être loin de moi elle aimait cela ,enfin en même temps c'est sur que sa carrière elle en rêver.Mais apparemment pour être actrice il fallait mieux être célibataire. Mais en ce moment c'était hurlement sur hurlement on ne ce voyais plus car elle sortait tout les jours elle devait être a la maison lorsque je bosse et sors quand je rentre pour qu'on s'évite , mais es que c'était une vie tout sa ?

Avant de plonger directement dans l'environnement artistique, et plus précisément dans la vie d'une actrice, je ne comprenais pas qu'on puisse penser que vie de couple et carrière ne correspondaient pas. Je le comprends mieux que personne aujourd'hui. Je déteste y penser mais c'est pourtant la réalité. C'est très difficile de concilier amour et travail. Surtout lorsque son conjoint ne fait pas partie du même milieu que vous. Je ne voulais pas y croire au début et c'est pourtant vrai, je déteste cette idée... J'étais devenue quelqu'un d'entreprenant dans le domaine du travail. J'étais devenue horrible à vivre. Je m'en rendais peu à peu compte. Je détestais cette idée là également. Jordan ne pouvait qu'en pâtir... Je n'aimais pas l'idée d'être responsable de son mal être, mais j'étais pourtant celle qui devait contribuer à son bonheur, ce que j'étais d'accomplir...

« Il pourrait le faire savoir autrement. » Répondis-je à mon mari en grimaçant. C'était idiot comme réponse car comment un petit être qui n'est pas encore né pouvait-il se faire comprendre autrement qu'en me faisant du mal ? C'était impossible... Puis Jordan répondit à ma question et sa réponse ne me plut pas du tout. Je le méritais, il fallait bien l'avouer. Il disait ne plus me reconnaître et il avait raison. « C'est les hormones... C'est chiant ce truc là. » Répliquais-je toujours de mauvaise foi. Il y avait certes les hormones en jeu mais mon comportement premier y était pour beaucoup également. « Tu pourras me pardonner un jour ? » J'avais peur qu'il me dise non, là, aucun retour ne serait possible...

Tu voudrais qu'il te le montre comment a part te faire vomir ou quelque coup ? Qu'il te le crit ? Oui comment pouvais t-il lui dire que sa maman devais ce calmer ? Après tout ils ressente tout , tout les deux maintenant et Bélinda allait penser au bébé avant tout .   Les hormone on toujours bon dos , mais ce n'es pas seulement la cause  lorsqu'elle me demande si je pourrais lui pardonner un jour je ne savais pas réellement quoi dire ... Je baisse alors le regard  passant une main dans mes cheveux.  Je pourrais pas endurais ceci tout le temps oui les cris , les crise de colère je n'étais pas son punch ball . Mais oui... J'aimais Bélinda bien plus qu'elle pourrait l'imaginer sauf que nos carrière avait pris tellement de place entre nous . Nous , nous étions éloigner petit a petit et j'avais peur de l'avenir

Les choses n'était pas facile en se moment , mais Bélinda rester ma femme quoi qu'il arrive...nous , nous étions marié et ce n'était pas pour des dispute qu'on allait se séparé enfin je l'espère et elle avait l'air du même avis que moi car elle me demanda si je pouvais lui pardonner un jour . Je l'aperçus commencer à pleurais je mettait mi de nouveau à ses coter et la pris contre moi on est marié pour le meilleur et pour le pire quoi qu'il arrive... j'avais prononcer ses paroles il y a de cela bientôt un ans et pour moi ses paroles voulais dire beaucoup je mettais engager et je le serais jusqu'au bou. Je dépose un baiser au dessus de sa tête .

A mes mots Bélinda se mi à pleurais se n'était pas mon but loin de la ! Mais mes paroles était tout simplement sincère et je voulais lui montré malgré tout se qui pouvais nous arriver ses dernier temps que d'avoir ce bébé n'était pas une erreur et que je l'aimais quoi qu'il arrive ...Je ne savais pas quoi ajouter je la regarder ensuite droit dans les yeux après mettre légèrement reculer pour poser mes mains sur son visage et lui essuie ses joues humide et parce que j'en mourrais d’envie depuis des semaine maintenant vue qu'on se fessais la tête...je m'approche et embrasse doucement Bélinda