Tom était une étudiant américaine comme les autres, elle travaillait peu et préférait faire la fête avec un gars différent chaque soir plutôt que de rester toujours avec la même. Il était un riche héritier d’un mania du pétrole, et un jour il fit un voyage à Paris où il rencontra Rose, qui était une jeune fille plus jeune, un brin naïve et surtout amoureuse. Durant tout un été, il lui fit croire en l’amour et lui rendit la foi, elle la fille d’un des hommes les plus rechercher dans tout l’Europe et d’une mère héritière elle aussi mais d‘une exploitation des plus grand vignoble de France. Vers la fin de l’été, elle trouva que c‘était un bon garçon et recommença à coucher, elle avait déjà eu ma sœur d‘une aventure précédente et elle pensait que celui là c‘était le bon, qu’il était l’homme de sa vie, bien sûr une erreur dans la compréhension se produisit, lui ne désirait qu’une amourette de vacances et elle rêvait du grand amour. Malheureusement pour Oliver, Rose tomba enceinte, et ne désirant pas avorter elle garda avec le consentement de sa mère l’enfant. Le jeune homme, reparti sans savoir qu’il allait être père et reprit son existence là où elle c’était arrêté avant les grandes vacances. Neuf mois plus tard, il recevait un faire part de naissance munit d’une photo de l’enfant ainsi qu’un petit mot glissé personnellement. Ce mot disait :

« Te voilà aujourd’hui père, je ne demande rien.
Le 04 Mai 1991 voit naître Brooke Pénélope Davis
Tendrement, Rose. »

C’est comme ça que Oliver apprit qu’il était le père d’une magnifique petite fille qui possédait d’ailleurs ses yeux.

« Une enfance emplit de doutes. »

Je m’appelle Brooke Pénélope Davis, mais le plus souvent on m’appelle Brookiie, pour mon deuxième prénom. Pénélope qui vient de Pencho , en référence à mon père qui joue au abonné absent. J’ai grandi entouré d’une famille aimante, ma mère, mes grands-parents et ma grande sœur. Ma grande sœur Est-ce qu’on peut appeler la reine des garce, elle m’a tout appris mais désormais elle fait sa vie bien loin de nous. Mais comme toutes les petites filles la présence d’un père était importante, et bien sûr le miens ne répondait pas à l’appel. Ma mère ne m’a jamais dit si c’est par choix qu’il m’avait abandonné ou si il avait été obligé de me laisser. Je pense qu’il ne voulait pas de moi, et toute mon enfance j’ai cherché à être la meilleure partout me disant que si j’étais suffisamment bonne, il reviendrait. A l’âge de dix ans, j’ai reçu une carte pour mon anniversaire, une carte de mon père, lui qui ne m’avait jamais donné aucune nouvelle malgré mes nombreux courriers. Evidement j’ai sauté sur la lettre et j’ai dormis avec pendant des mois, pour la première fois de ma vie, mon père m’adressait un mot et me disait qu’il était fière de moi, cependant il n’est jamais venu me voir et le plus souvent j’eu à faire avec sa secrétaire pour choisir mes cadeaux de noël ou simplement pour avoir des nouvelles de mon père. Il ne voulait me connaitre que de loin à travers ses cadeaux. J’ai vécu à Paris toute mon enfance et lui à New York, donc il se trouvait bien loin pour un père. Lorsqu’à l’école on nous demandait la profession du père, où il habitait je me forçais à dire qu’il voyageait et qu’il ne pouvait être là, la vérité est qu’il ne voulait pas être là. Je me suis donc forgé un caractère dure et distant. J’ai vécu à Paris jusqu’à l’âge de quatorze ans, puis j’ai annoncé à ma famille que je désirais partir à New York et vivre là bas, ma mère et moi sommes donc parti là bas après moult recherches de logements dans l’Upper East Side.
Je suis donc arrivé à New York avec la ferme intention de rencontrer enfin mon père et de lui faire assumer ses erreurs passé. La vie ici est bien différente de celle de Paris, les gens ne se reconnaissent jamais et tu dois t’imposer, tu ne peux forcer les gens à t’aimer, mais tu peux faire en sorte qu’ils aient peur de toi. Jusqu’à mes seize ans, je fus la petite fille riche parfaite. J’étais douce & gentille, mais arrivé à un stade où je saturais, je partie voir à son bureau mon père. Je ne l’ais jamais vu, il n’était pas venu à son boulot depuis trois semaines et ne répondait à aucun coup de fil, personne chez lui. La police le chercha pendant des mois, sans aucune trace de Tom Davis, l’homme qui avait bâti un empire dans le monde de l’immobilier.

« Ta vie, tu l’as choisit. »

J’entrais au lycée et je fit la connaissance de Peyton Sawyer, nous aurions pu être amies mais ennemies nous disaient mieux. J’avais rencontré Peter et nous étions heureux ensemble sauf que miss Sawyer avait mit son grain de sel là dedans, me volant mon copain, j’en fut folle de rage et une guerre froide s’engagea alors entre nous. Comment apprécier une personne aussi détestable qu’elle ?! Je devins alors la reine des garces. A l’âge de dix-huit ans j’annonçais à ma mère que je voulais faire ma vie, seule. Et le soir je suis donc partie, un compte en banque bien remplit, mes affaires dans une main, le cœur dans l’autre. Il me fallait retrouver mon père, où qu’il soit je le reverrais. Un tour du monde plus tard et plusieurs aventures d’un soir j’obtenais un indice sur la disparition de mon père, il n’était pas mort mais simplement exilé car il avait détourné des fonds. L’argent ne m’importait que trop peu, j’étais riche et j’avais décidé de partir loin de tout ça après mon bac. Pour passé une année à la recherche de mon géniteur, si lorsque l’année serait écoulé je n’avais rien je commencerais la fac à Princeton. Et malgré mon indice, un an c’était écoulé sans la moindre nouvelle de lui.

« Sourit ma fille, te voilà étudiante. »

La vie universitaire, comment expliquer cela simplement ? Un tas d’étudiant en mal de sexe, de l’alcool qui coule à flot et quelques heures passé avec un mal de crâne ? Après avoir abandonné mes recherches pour retrouver mon père, je postulais pour toutes les universités de BEVERLY HILLS , et surprise j’étais prise dans chacune d’elles, mais je choisis finalement BH car mon père avait été à Yale et lors de mes neuf ans, il m’avait envoyé une casquette de Yale. Princeton serait parfait. A mon arrivé je fus étonné et furieuse de retrouver Peyton, forcement avec la chance que j’avais, je l’aurais retrouvé sur mon chemin quoi qu’il arrive. Sauf que en quelques années j’étais passé de peste à garce. La guerre contre Peytonavait débuté et je comptais bien remporter la victoire. Elle sortait avec Lucas et qu’est-ce qu’il fait le plus mal à une fille ? Que son petit ami chéri ait une aventure. C’est donc avec audace que je commençais une liaison avec le beau Lucas, et je prend un malin plaisir à d’une détruire leur couple et deux à coucher avec Lucas. Je suis devenu en très peu de temps la chef de ma confrérie, ce dont je suis très fière. Etre une Alpha ZETA n’es pas donné à tout le monde.
Malgré mon compte en banque bien rempli, mes privilège de petite fille riche pourrit gâté et mes aspect de garce certaines personne se plaisent à penser. A Beverly Hills là où avait été Sophia, ma copine je me suis rendu compte qu’être une vrai garce m’avait toujours conduit vers les sommets et que continuer me mènerait surement bien plus haut que ça. Mon aventure avec Lucas perdurait et j’en étais assez contente. Les gens me considérait comme la pire des garces et il faut dire qu’ils avaient raison !