Il était hors de question que je m'excuse auprès de Théo. Il pouvait toujours courir, ou bien m'empêcher de bouger comme il le faisait maintenant, ça m'était égale. J'étais une fille têtu et déterminé à réussir, j'étais une Heaven, j'avais le même sang que ma soeur et un grande partie de son caractère, alors je n'avais pas peur de Théo et des menaces qu'il s'évertua à me donner, pensant que ça m’inciterait à abandonner et à m'excuser. Le pire dans tout ça, c'est qu'il savait que j'étais joueuse et que plus il entrerait dans mon jeu, plus j'aurais envie de continuer à y jouer. Je le laissais tout de même parler, acquiesçant à chacune de ses petite remarque. Bein voyons, pisse moi dessus, y'a pas de soucis. Moi je peux le faire également. En plus je suis allongé, donc personnellement, je pourrais m'endormir et me réveiller au petit matin sans problème, en revanche tu risque en effet de voir passer la nuit très lentement dans cette position. Je lui offrit un joli sourire narquois, avant de tenter de m'échapper sans succès.

Malgré des coups d'oreiller et un ordre pour qu'il bouge, il ne fit rien. Il préféra largement se moquer de moi et du fait qu'il m'écrasait. Sans abandonner et plus décidé que jamais à le faire céder avant moi, je lui redonnais des coup et réitérer ma demande. Cependant, lui même semblait bien décidé à pas broncher non plus et il prenait un peu trop de plaisir à se moquer de moi à mon goût. Sa petite moue outré en était la preuve, bien qu'il était très sexy avec se visage, il n’empêchait qu'il se moquait de moi et que je ne le laisserais pas faire. Je lui lançais donc un regard mauvais. Oui c'est maintenant que tu devrais avoir peur. Tu sais ce qui est très bien placé pour que je frappe en plein dedans, mon chéri ? Tu veux vraiment prendre le risque de voir ton ... se prendre un cou ? Je le regardais en haussant un sourcil, un sourire sadique sur le visage. Je lui montrait alors mon petit point serrer. Tout en le regardant droit les yeux pour lui faire comprendre que je ne plaisantais pas. J'en étais capable. Tu sais que j'en suis capable. Bon en faite, soyons honnête, je n'en était pas capable, du moins pas avec Théo. L'idée de le blesser ou de lui faire mal, me répugner. Dans un petit espoir, je me remis à gigoter dans tout les sens, tout en l'attrapant par les bras pour tenter de le faire basculer. Mais... Oust. Descend. Aller ! THEO LONGWAY bouge tes grosses fesses Je partis dans un fou rire au fur et à mesure que je m'excitais dans le but de me libéré.

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Théo venait de s'allonger entièrement sur moi en guise de réponse à ma tentative de victoire. Je le regardais cependant en souriant. J'aurais voulu rester neutre et déterminer, mais avec Théo j'avais de plus en plus de mal à être ce genre de fille. Il arrivait de plus en plus à me faire décrocher un sourire où à me faire craquer et ça me faisait penser qu'il serait temps que je répare cela. J'étais donc en train de rire en le sachant positionner ainsi sur moi et je m'occupais de le pousser gentiment pour qu'il se relève en secouant la tête amusé. Il se releva enfin et je levais les yeux au ciel en le voyant soupirer. Je prend ça pour un compliment, mais tu provoquerais probablement ma mort. Je finirais par manquer d'oxygène et pouff plus d'Eva, ce serait trop triste Je lui tirais la langue avant de m'amuser à le frapper avec des coussins.

Après avoir tenté à de multiple reprise de le faire bouger grace à des coup, il était clair que cette solution était à bannir. Je décidais donc d'utiliser les grand moyens. Une menace qui faisait réflechir beaucoup d'homme qui tenait vraiment à leur partie intime. Et oui, l'avantage de le voir assis sur moi et face à moi était que ma mains aurait acces à cette endroit sans grand problème si je décidais de le frapper par surprise. Seulement encore une fois, ces connaissance sur Eva Heaven, m'enlevait toute crédibilité, il s'avait que je ne pourrais le lui faire, mais ça me faisait tout de même rire de le voir se protéger, j'étais peut etre un peu crédible après tout.. En revanche, même s'il savait que j'avais de grande chance de ne pas le faire, je venais de lui donner une idée. Mais il m'avait lui aussi dit qu'il me ferai jamais de mal alors il suffirait que je joue cette carte pour lui enlever toute suite l'idée de la tête. N'essaye pas de faire quoi que ce soit ou je mord et pas de la façon la plus agréable! J'étais peut-être pas capable de le frapper, mais je savais comment le manipuler et frapper la ou il fallait frapper.

Cependant, je préférais garder cette atout pour plus tard et continuer à m'amuser avec lui, c'était pas si déplaisant de l'avoir sur moi, il était très mignon après tout, mais là n'étais pas la question. Je voulais le voir abandonner lui et pas moi, même si j'étais à deux doigts de le faire. Je tentais donc de la faire descendre et commençait à gesticuler, mais il comprit assez vite comment m'en empecher, c'est donc en s'allongeant sur moi, qu'il m'empêcha à nouveaux de faire quoi que ce soit. Je le regarder surpris, mais aussi agacé. Mon regard était plongé dans le siens et je lui faisait comprend qu'il m'enquiquinait à m'embêter. Bon, il était temps que j'abandonne, je ne pouvais rien contre ça, il avait pris le dessus. Ok, ok j'abandonne. Excuse moi mon beau Théo d'amour, le plus sexy du monde de t'avoir frapper... Tu es content, maintenant libère-moi ! . Je lui lançais un petit air suppliant et je fis ma petit moue enfantine en espérant le faire craquer davantage.

Je continuais à rire de la situation. Théo affirma qu'il serait triste de me voir disparaître et je ne pus m'empêcher de sourire fièrement. Mais je partie dans un fou rire lorsqu'il compris mon arrière pensé. Je le regarder totalement amusé,alors qu'il se vexait. Arrête Théo, tu es ENORME ! Tu as plein de bourrelet partout et puis je confirme tu pourrais me tuer en restant longtemps allongé sur moi, espèce de grosse vache. Bon j'avoue, ça me faisait d'autant plus rire que j'exagérais les choses et que j'aimais ça. Par la suite, la bataille fut rude, j'avais entrepris de sortir mes crocs et mes griffes, à tel point que la scène serait probablement censuré si elle devait être filmé et projetté dans un cinéma. Les menaces et les regards sadiques s'entremêler à travers mes lèvres et pourtant j'étais toujours aussi peu sérieuse et amusé que Théo prenne le contrôle, pour une fois que c'était lui. Je lui lançais un regard choqué, presque horrifié, lorsqu'il menaça de me mordre si je tentais de planté dans son corps d'appolon, mes petites dents. Ok ok ! Je te mord pas je tiens a mes belles petites fesses rondelette. C'est comme ça que je me rendis compte que ça faisait un sacré bout de temps, que Théo n'avait pas ris à ce point, qu'il ne s'était pas amusé et chicaner avec moi comme il le faisait là, maintenant, à cet instant. Je me surpris à sourire.

L'amusement était à son comble. J'étais morte de rire et je n'arrivais même plus à garder un semblant de sérieux. Je décidais donc d'abandonner. Théo avait gagner, il m'avait vaincu et je ne pouvais plus rien. Pour la première fois, mais je vous rassure dernière fois, il avait réussi à surpasser le maitre. IL m'avait lamentable éjecter de la colline où il régnait à présent en maitre, mais pas pour bien longtemps. Je lui offrit donc la phrase d'excuse qu'il attendait tant et il me libéra enfin. Je restais quelques instant allongé, tournant la tête dans sa direction pour le voir se délecter de sa victoire et entreprendre la magnifique danse de la victoire qu'il venait de s'inventer. Je lui tirais la langue et poussais un cri apeuré lorsqu'il sauta sur le lit pour se rallonger. J'attendais qu'il ne bouge plus pour vérifier que j'étais en vie. C'est bon monsieur est content ? Il a gagner ! Dis-je en levant les yeux au ciel, une peu mauvaise sur les bords. J'en profitais qu'il soit allongé pour aller me blottir contre lui, ma poitrine contre son torse. J'ai le droit d'avoir un bisous quand même ? Dis-je avec une petite moue enfantine. Mon cadeau de défaite. Je lui souris et je décidais de regarder l'heure sur le PC : 18H24. Le temps c'était écoulé à une vitesse vertigineuse. Je me redressais sur le lit, attrapant mon sac, tout en rapprochant tout mon bordel que je devrais ranger à l'interieur. Je vais devoir y aller moi. Leana ma dis que je devais être rentré pour 19h