Depuis que j'ai dit oui à Jordan, la vie loin de lui me pèse. Mais je ne pouvais pas quitter mon appartement du jour au lendemain et laisser Ellen et Joey y vivre seuls. Et cet appartement me plaisait, il faisait partie de moi. C'est sûr qu'à choisir, je choisirais sans hésiter Jordan. Et je savais que viendrait le jour où je devrais tout quitter pour aller vivre dans son immense villa.

J'étais en train de nettoyer la cage de Poutou lorsque mon portable sonna. J'avais un nouveau message. Truffy aboya au son de l'appareil, ce qui me fit rire. Il n'était encore pas totalement habitué à tous les bruits qu'occasionnait la vie quotidienne. Lorsque j'ai lu mon message, j'ai souri. J'ai lâché ce que je tenais mais avec des gants, c'est loin d'être facile de tenir un téléphone et encore moins de composer un numéro. Lorsqu'il décrocha, je pris une petite voix pour lui répondre : "Bonjour monsieur de New York, je suis la fille qui vous a dit oui il n'y a pas si longtemps. Et pour répondre à votre question, je suis totalement libre ce soir." Après avoir fini de nettoyer la cage de Poutou mais j'allais le lui dire. "J'ai juste quelques petits détails à régler et je suis à vous. En revanche, il faudrait que mes animaux de compagnie m'accompagnent, ils détestent passer la nuit tous seuls et je déteste ne pas les sentir près de moi. C'est pareil avec vous chez monsieur."J'attendais qu'il me répondre même si je connaissais déjà sa réponse.

Jordan venait de m'envoyer un message auquel j'ai décidé de répondre en lui téléphonant carrément. Il me répondit que ça ne le dérangeait pas que je sois accompagnée de mes deux chéris, ce qui me fit sourire. Il me proposa aussi d'aller manger au restaurant, proposition que je ne pouvais pas refuser. « Monsieur n'a que des bonnes idées ce soir. Je suis d'accord pour un restaurant. » Répondis-je en gardant un oeil sur Truffy et Poutou. « Vous êtes tout aussi mignon que vos mots, chez monsieur. Pourrais-je également vous rejoindre en sous vêtements ? » Petite référence à notre voyage passé à New York il n'y a pas si longtemps. Encore une fois, je ne sortirai jamais habillée de la sorte, mais j'aimais taquiner mon petit ami.

Jordan ne voulait pas que Truffy et Poutou nous accompagnent au restaurant, et il avait entièrement raison. Il allait leur préparer une salle exprès pour eux, ils allaient bien s'amuser. « Quelle délicate attention de votre part. Je vous en remercie sincèrement. » Lui répondis-je toujours en plein dans mon rôle. « Monsieur est exigeant, mais je me plierai à ses volontés. » Répliquais-je au sujet de mes sous vêtements. « L'envie est tut aussi valable de mon côté, je vous assure. » J'ai ri avant d'ajouter : « Mais je dois encore m'occuper de l'habitat de mon adorable lapin avant de pouvoir vous serrer dans mes bras. » J'allais me dépêcher pour pouvoir le rejoindre, mais la tâche qui m'attendait n'était pas des moindres.

J'ai ri à la réponse de Jordan. Il avait toujours les mots pour me faire rire. « Je comprends. » Répliquais-je en riant toujours au sujet de ce qui lui appartenait. Je lui appartenais, c'était certain. « Disons que oui, même si ça n'est pas le cas. » Ajoutais-je au sujet du "pas grand chose" que venait de répondre mon petit ami. J'avais encore du pain sur la planche si je voulais le rejoindre pour le dîner. Mais j'allais tout faire pour y arriver, je ne manquerais pour rien au monde une occasion comme celle-ci.

J'ai raccroché avant de finir ce que j'avais commencé. Il me fallut pas loin d'une heure pour tout nettoyer de font en comble et pour tout remettre à sa place. Je me suis ensuite préparée en allant prendre une douche. Un petit tour à la salle de bain me permis de ma sécher les cheveux et de me maquiller, il ne me restait plus qu'à m'habiller. J'ai choisi une robe rouge, rien de bien extravagant. Une fois prête, j'ai enfilé ma veste blanche et j'ai bien calé Poutou dans sa cage dans ma voiture, Truffy à ses côtés.

« Hey ! » Dis-je à Jordan en le voyant m'ouvrir la porte de sa villa. Je lui aurais bien sauté dessus mais la cage de Poutou dans mes bras m'empêchait de le faire. « Alors, prêt pour le resto ? » Lui demandais-je en souriant par la suite,t out en déposant la cage toute propre et son habitant non loin du canapé du salon. Truffy à mes côtés, au bout de sa laisse, ne se gênait pas pour aboyer. Il n'aimait pas vraiment que quelqu'un d'autre s'intéresse à moi. « Tais toi un peu. » Lui dis-je gentiment. Il ne lui en fallut pas plus pour qu'il cesse de donner de la voix. J'ai enfin pu embrasser mon amoureux tout en lui disant : « Tu m'as trop manqué. »

Un deuxième baiser de Jordan ne pouvait que me ravir. J'étais si bien dans ses bras. Je l'ai embrassé une fois de plus lorsqu'il répondit que je lui avais manqué. Puis il me montra la salle où allaient pouvoir gambader mes deux amoures. « Tu as pensé à tout, c'est super. » Dis-je à Jordan en souriant. « Mais tu n'as pas peur que Poutou te mange tes chaussettes ? Il est capable de se frayer un chemin jusqu'à ton placard à chaussettes, c'est un vicieux. Et maintenant que lui et Truffy sont comme les doigts de la main, ils font tout ensemble donc deux fois plus de dégâts. » Même si Poutou avait cessé ses bêtises depuis un moment déjà, depuis l'arrivée de Truffy à l'appartement, il s'en était donné à coeur joie pour détruire tout ce qui lui passait par la bouche. Ça c'était de nouveau calmé lorsqu'il a compris que je ne le délaisserai pas pour Truffy. Mais je continuais tout de même de me méfier. « Et sinon, tu as choisis quel restaurant mon chez futur mari ? » C'était encore étrange de le qualifier de cette façon, mais j'allais vite m'y habituer.

Truffy semblait à son aise dans la salle que Jordan avait apprêter pour lui et Poutou. « Parfait alors. » Répondis-je simplement à sa remarque. Puis il m'embrassa une nouvelle fois, je ne m'en lasserais jamais. C'était magique et magnifique à chaque fois. « Super ! » Ajoutais-je au sujet du restaurant, Jordan était vraiment le meilleur petit ami du monde. Ce qu'il dit ensuite me le prouva. « Si seulement c'était vrai. » Répondis-je en l'embrassant moi aussi.

Ce qu'allait dire Jordan allait changer ma vie, nos vies. Nous avions déjà parlé de mon hypothétique déménagement pour venir vivre chez lui, dans son immense villa. Et plus le temps passait, plus je me demandais si je serai un jour capable de laisser mon appartement derrière moi pour commencer une nouvelle vie. Jordan avait raison, il devenait de plus en plus difficile de se quitter chaque jour, je détestais ça autant que lui. Mais j'avais peur qu'au quotidien, il se lasse de moi ou qu'il prenne peur en apprenant à vivre avec la fille bordélique que je suis. J'avais vraiment envie de venir vivre avec lui, de pouvoir avoir ses bras à portée de mains quand je le désirais, mais j'avais vraiment peur que ça se passe mal. C'est pour quoi je lui répondu : « Tu es sérieux ? Je veux dire, tu penses vraiment que c'est une bonne idée ? » Je ne disais pas ça de manière négative mais j'ai senti qu'il le prendrait peut-être mal, c'est pourquoi j'ai ajouté : « Je ne dis pas que je ne veux pas bien au contraire ! C'est juste que... Tu vas réussir à me supporter des journées entières ? » C'était sans parler d'Ellen et de ce que j'allais devoir quitter. Mais je préférais mille fois pouvoir vivre aux côtés de Jordan que le savoir loin de moi, comme c'était le cas en ce moment.

J'avais peur de venir vivre chez lui, c'est un fait. Mais il fallait en passer par là, il avait entièrement raison sur ce point. C'est juste qu'abandonner ma meilleure amie n'était pas la meilleure chose que j'aurai à faire dans ma vie. Je ne voulais pas qu'elle prenne ça comme un abandon. Et pire que ça, j'avais peur que Jordan et moi tout le temps ensemble, ça ne fonctionne pas. Et si après avoir vécu quelques temps avec moi il revenait sur sa décision de se marier avec moi ? Et s'il n'aimait pas ma façon de fonctionner et qu'on devait se quitter à cause de ça ? Je ne voulais pas avoir à penser à toutes ces choses négatives mais il le fallait bien. Et on ne le saurait pas avant d'essayer. « Je sais que je ne fais pas d'erreur en t'épousant, enfin en voulant t'épouser... Mais si tu n'aimes pas mon mode de fonctionnement, comment on fera ? Tu reviendras sur ta décision de te marier avec moi et j'aurai encore le coeur brisé... » J'allais un peu vite. « Je sais que je réagis toujours assez bizarrement, mais je ne veux pas te perdre, j'ai vraiment peur de ça. » Mais tous les couples passent par là un jour ou l'autre, pourquoi pas nous ?

Et pourquoi je n’aimerais pas ton mode de fonctionnement, sa peux être de même pour moi je vais te coller sens arrête Dis-je avec un petit sourire amusais J’ai demandé ta main parce que je t’aime réellement Béli , je te ferrais jamais de mal et je ne te laisserais jamais je pourrais pas tu es la seule personne qui me reste , je veux te rendre heureuse et je ne veux plus te quitter dormir qu’une seule nuit avec toi je te veux dans mes bras chaque nuit pouvoir t’embrasser quand j’en es envie et pas seulement quand on se donner des rendez-vous-même si j’avoue que j’ai nos rendez-vous et à vivre seul je commence à devenir fou je peux plus demander a d’autre personne de venir vivre ici car la seule et dernière personne qui dois venir vivre ici c’est toi et bien sur nos enfant viendrons ici ! Sauf si Bélinda voulais quelque chose de plus petit tu me perdras pas ne te met pas cette idée en tête. Plus rien peux me séparer de toi maintenant J’essayais de la convaincre mais c’était peux être un peu trop rapide Promet moi d’y réfléchir au moins car je vais peut-être trop rapidement dans toute mes demande en ce moment, j’ai pas envie que tu prenne peur et que tu t’enfui et elle ne pourrait pas faire de la colocation toute sa vie à moins qu’elle voulait réellement vivre avec Ellen toute sa vie , sa serais pas simple par la suite !

Je l'écoutais m'énoncer toutes les raisons du pourquoi il voulait vivre avec moi et ce qu'il dit dépassa mes espérances. Il a réussi à me faire pleurer, et voilà moi qui ne voulais pas en arriver là, c'était gagné. Bien sur, je pleurais de joie. Ses paroles étaient si belles que je ne pouvais que fondre en les entendant. Il me fallut un instant pour me reprendre et pouvoir lui répondre. « Je dis oui ! Pas besoin de réfléchir, je dis oui et encore oui ! » J'aurais voulu lui dire à quel point ses mots étaient merveilleux et comptaient pour moi mais tout ce que j'arrivais à dire c'était "oui je le veux". J'ai tout de même réussi à ajouter : « Je ne m'enfuirai jamais, tu es mon prince charmant, comme dans les contes de fées. Bon d'accord avec moins de cheveux mais tu l'es quand même. Et ça, ça sera toujours le cas. Je veux faire ma vie avec toi et si tu me supportes longtemps, on aura même des enfants tous les deux. » Rien ne pressait, d'abord le déménagement et ensuite les enfants, mais nous avions encore le temps. Il ne fallait rien presser, en tout cas pour les enfants. « Je t'aime tellement que je ferais n'importe quoi pour toi. » C'était sincère et les larmes dans mes yeux l'étaient aussi.

Lorsque je lui donnai, mes raisons pour qu’elle vienne vivre avec moi j’aperçus des larmes ce former ce qui me fit mal au cœur car je penser avoir fait quelque chose de mal sur le coup ou lui avoir dit quelque chose qu’il ne fallait pas, mais non c’était des larmes de joie vue qu’elle me disait oui de nouveau, un sourire ce forma sur mon visage, je pris son visage entre mes mains et l’embrassa amoureusement. Avant de la laisser tout de même parler de nouveau, je lui caressai doucement la joue Je compte avoir des enfants avec toi, avoir une fille qui te ressemble serait le plus beaucoup des cadeaux sauf que après elle va donner des cheveux blanc a son père il va devoir faire attention à tous ses gars qui vont lui tourner au tour ! Mais je n’étais pas encore au stade enfant pour le moment je voulais profiter de ma vie avec Bélinda ! On avait tous les deux un futur assez compliquer avec nos métier et pour elle tomber enceinte pourrait lui coûter gros pour le moment je ne voudrais pas lui foutre sa carrière en l’air ! Moi aussi, tu ne peux pas t’imaginer à quel point, je suis totalement dingue de toi oui c’était le mot ! Même accro définissais bien comment je tenais a elle et à quel point je ne pouvais plus me passer d’elle certes lorsqu’elle viendrait ici elle pourrait continuer sa petite vie aussi, ses sortie entre ami ou même des soirées avec Ellen je n’allais pas lui en privé. J’avais juste besoin de la savoir avec moi de pouvoir me réveiller chaque jour près d’elle la vie était tellement courte qu’il fallait profiter de chaque instant qu’on nous offre

Lorsque mon futur mari me demanda de venir vivre avec lui, j'ai d'abord eu peur de conséquences de ma décision. Mais j'ai bien réfléchi et j'ai fini par dire oui. Je ne pouvais pas refuser. Ça devenait de plus en plus difficile de se séparer à chaque rencontre. Il ajouta qu'il voulait avoir des enfants avec moi, plus particulièrement une fille. J'ai souri, mais je ne m'imaginais encore pas dans la peau d'une maman. No carrières respectives ne nous permettaient pas d'avoir des enfants maintenant. Mais nous pouvions tout de même l'envisager. "Tu es trop mignon. Mais tu ne dois pas l'étouffer quand même ! Enfin bon, on n'y est pas encore." Je souriais parce que ces derniers temps, tous ces moments passés aux côtés de mon chéri étaient les plus beaux de toute ma vie. Je l'ai ensuite embrassé en l'entendant dire qu'il était dingue de moi. Jamais je n'aurais cru une chose pareille. Il y a quelques mois, je ne m'imaginais pas pouvoir le serrer dans mes bras sans franchir certaines limites, et aujourd'hui je l'embrassais sans retenue, priant pour ne plus jamais avoir à le quitter.

Promis je vais essayais, oui je pense que j’ai quand même fais les plus grosse demande en peu de temps donc les bébés sa attendra, par contre essayais moi ça me dérange absolument pas ! ce que j’entendais pas essayais c’était aussi d’être protéger non les bébés c’était pas maintenant même si je m’entendais bien avec eux on aurais pas le temps elle et moi de s’en occuper et puis Bélinda allait commencer sa carrière si elle commence à arriver avec un ventre aussi gros qu’un ballon pas sûr qu’on l’accepte. Je sourie est répondis a son baiser, mais toute bonne chose avait une fin et je la regarde dans les yeux et lui vole un dernier baiser On va manger alors ? il fallait aussi qu’on monte poutou dans la chambre car truffy était déjà dans la salle pour lui jouer .

Je n'étais pas prête à devenir maman et Jordan encore moins à devenir papa. Encore une chose sur laquelle nous étions daccord. Et je comptais bien vivre ma vie, notre vie désormais, avant de fonder une famille. J'avais déjà ma famille : Jordan, Truffy et Poutou. Tout ce petit monde faisait ma fierté et mon bonheur, je n'avais pas besoin de plus pour l'instant. "Hum le coquin ! Mais je crois que l'abstinence est de rigueur si on ne veut pas faire l'expérience de la parentalité maintenant." Répliquais-je en souriant. Bien sur je plaisantais. Avec toutes les méthodes contraceptives existantes, nous avions de quoi essaye et essayer encore. "Oui allons-y ! Je meurs de faim !" Repris-je en emmenant Poutou rejoindre son meilleur ami.

j’arque un sourcil lorsqu’elle me parle d’abstinence et fit un non de la tête et arqua un sourcil qu’es que sa veux dire abstinence déjà ? dis-je fessant semblent de pas connaitre ce mot Mais ou on a tout le temps pour avoir des bébés qui vont tout nous casser et qui vont courir par tout dis amusais puis on partit au restaurant on avait enfermer les deux bestiau dans leurs salle et j’avais vérifié si la porte était bien fermer et ont pu partir [b] On y va a pied ?[b] La marche ne nous ferrais pas de mal et on pourrais ce balader comme sa