'J’aurais jamais cru qu’on pouvait se faire du mal en s’aimant trop. Mais peut être que si..☇Charlie&SIMON.

Ce n’est pas ma journée ! Et pour cause, je suis arrivé en retard ce matin, pas de problème me direz-vous sachant que je suis le patron, si un peu sachant que j’avais beaucoup de livraison en ce jour. Mais maintenant j’avais un autre souci, je ne retrouvais pas un papier de commande, j’étais dans mon bureau à chercher ce fichu papier. Tellement j’étais agacer de ne pas le retrouver je coupe la musique que j’écoutais, dans l’espoir d’être concentrer plus. Mais c’est vrai qu’en ce moment j’étais assez pensif, Calliope, ma petite amie avait failli mourir, me cachant sa maladie, je faisais mine que ça ne me faisais, enfin si bien sûr j’étais inquiet, mais sur le fait qu’elle me cache ce genre de chose, je n’avais pas du tout apprécié, surtout que son ex avait tout remit sur ma faute. Passons. J’avais du mal à me concentrer sur les petites choses simples de la vie, je me répétais sans cesse que je devais laisser couler, mais ça me prenais la tête. Et si elle me cachait autre chose ? Je ne savais pas.

Une personne venu frapper à mon bureau, se permettant d’ouvrir, je compris que c’était l’un de mes employer qui semblait en panique, il ne comprenait pas ce qu’il se passait avec la machine. Je fronce les sourcils, essayant de chercher l’erreur avec lui dans la pièce, mais il préférait que je vienne pour constater le souci. Je laissai donc tout en plan, pour aller voir le souci. J’espérais juste que la personne à la caisse soit patiente, car habituellement, mon cassier savait gérer les petits soucis, c’est que ça devait pas aller. Je m’approche alors de la caisse, une femme se tenait devant, une jolie femme, une très jolie femme que je reconnus dès que j’avais posé mon regard sur elle. Charlie. Mon cœur s’emballa, mon dieu mais qu’es qui se passait pourquoi elle était là, mon dieu et qu’es que je dis-moi. Hey salut Charlie, ça fait longtemps… Ridicule. J’arrive devant la caisse lançant un : « Charlie… » Bon je confirme c’est d’avantage ridicule, mais je n’y croyais pas mes yeux, elle était là devant moi, combien de chance il y avait pour qu’elle vienne ici sérieusement ? Le monde n’est pas assez grand. Tout mon passé me revenu en pleine poire, mon dieu elle devait me haïr de l’avoir laissé comme ça, mais elle avait surement réussi ce qu’elle a toujours voulu faire. Mon caissier me sortit un peu de ma lune, enfin de mon blocage, il essaya de m’expliquer le souci, hésitant je pose mon regard sur la caisse, essayant de me concentrer sur le problème, mais comment voulez-vous que je me concentre ? J’essaye tout de même quelques manipes tout en lançant à Charlie. « Te voilà à Los-Angeles, ça te change de climat ! » J’étais bien placer pour dire ça, puis pourquoi je disais ça ? Surement pour pas la laisser filer… Enfin je ne sais pas, c’était un peu le fouillis dans ma tête.

© MUSCLOR.

'J’aurais jamais cru qu’on pouvait se faire du mal en s’aimant trop. Mais peut être que si..☇Charlie&SIMON.

Parfois la vie nous réserver de drôle de chose, on ne pensait pas qu’un beau matin, en se réveillant, notre journée serait bouleversé à tout jamais, enfin j’exagérer peut-être un peu. Quoi que. Charlie avait fait partie de ma vie, mon première amour, mais je l’avais quitté, la chose que j’avais regretté pendant un long moment, mais elle avait, du moins j’espère, réaliser son rêve, c’est tout ce qui compter. Je ne voulais pas être le mec qui l’empêche de vivre de sa passion, le mec qui penserais qu’à lui et non au bonheur de la jeune femme. Elle semblait avoir d’avantage muri, même si elle était assez mature plus jeune. Ceci n’est qu’un aspect, mais en tout cas, elle était belle, toujours d’aussi jolie yeux. Mon dieu je pars en cacahuète, je dois me ressaisir. Après avoir cité son prénom, me voilà lui dire que ça lui changer de climat d’être ici. Franchement j’aurais pu trouver mieux, mais non, j’étais assez impressionné par ce qui nous arrivé. « Tu es de voyage ? » Demandais-je curieux, autant l’être un peu, après tout, l’idée de partager des moments avant son départ me traversé l’esprit.

Charlie me demande si je suis le patron, du moins elle l’avait bien compris, je souris aux coins des lèvres lui disant. « Oui, c’est pas un projet commun. » Je souris amusé et mon caissier dit à la jeune femme. « C’est un super patron vous savez, un chouette gars. » Je regarde le jeune, redressant un sourcil surpris et amusé ajoutant. « Tu veux une promotion ? Va prendre ta pause, tu t’es assez énerver sur cette machine, je m’en occupe. » Il me sourit ravi de ce que je venais de dire. Je le savais tout juste en relation amoureuse, il ne quittait que rarement son téléphone, par chance je n’étais pas à cheval dessus, hormis quand il y a des clients, ce qui va de soi. A peine ma proposition qu’il sortit, prenant son téléphone, je souris amusé, posant mon regard sur la caisse essayant de comprendre le problème. « Fallait que ça tombe sur toi le problème… Comme quoi le hasard voulez que je te voie. » Je lui lance un regard amusé.

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