« Where have you been all my life? »

Cela faisait un mois que Mariann et moi étions ensembles et je l'aime. C'est simple, je l'aime plus que n'importe qui peut l'aimer. Franchement au départ, je passais plutôt qu'elle serait une simple de jambe en l'air et que j'allais finir par sacrer mon camp. Malheureusement, j'étais tombé dans le piège, je suis accidentellement tombé amoureux de Mariann. Je ne peux pas tellement décrire ce que je ressens quand je suis avec elle, mais tout ce que je peux vous dire, c'est que je me sens bien.. J'aimais la sensation de pouvoir être moi-même sans qu'elle puisse me juger. Bon okay, j'aimais aussi coucher avec elle, car un corps qu'elle possédait, il était difficile de résister. J'avais toujours envie d'elle, car c'est seulement à ces moments que je puisse être si prêt d'elle.

Aujourd'hui, j'avais fait quelques séances de photos. On en demandait beaucoup depuis que l'été avait commencé. Mon téléphone sonnait sans cesse, et puis un coup de fil qui allait totalement changer ma vie. On m'a demandé d'aller à New York pour faire à nouveau un stage et qu'il allait me le payer. Why not? Une chance comme ça, je ne pouvais pas refuser.. L'inconvénient c'est que ça allait durer un mois.. Un mois sans ma copine, sans mes proches, sans amour... Si après ce stage, ça allait améliorer le mode de vie de ma mère et moi, alors je vais le faire sans hésité. Et puis, c'est pas comme si j'allais partir pour toujours. J'allais revenir c'est sûr et certain, mais j'ai peur que ça brise quelque chose entre elle et moi... J'ai peur que tellement elle s'ennuie, elle préférait d'aller voir ailleurs. Non Justin, ne te fait pas de scénarios. Elle m'aime, je l'aime et tout va bien se passer.

J'étais parti faire un petit jogging avant de rentrer chez moi et de m'emmerder devant la télé. Rendu à la maison, je me précipitais dans la salle de bain en prenant une bonne douche pour être tout propre. Après une bonne douche, j'entendais mon cellulaire vibré sur la table de chevet dans ma chambre. J'allais voir et lisant le message de Mariann. Mes yeux s’agrandissaient et je répondis aussitôt : J'arrive! Laisse-moi m'habiller. Je pris immédiatement une chandail quelconque et un jean. Je mettais en premier mon caleçon et enfilant l'habit que j'ai choisi.

Je descendais de ma chambre rapidement et criant à voix haute : « Je reviens plus tard, à bientôt maman! » Je sortis de la maison rapidement et entrant dans ma voiture en finissant par rouler vers le terrain de basket. Elle m'inquiètait sérieusement.. Elle voulait me parler? Elle voulait rompre avec moi? C'est pas bon signe ça.. Du tout..

Je roulais quand même vite pour être enfin être sur le terrain de basket. J'espère qu'il n'a rien de grave et qu'on va s'aimer pour toujours. Je vous le jure que si je la perd, je sais pas comment je vais réagir, mais je ne laisserais jamais Mariann partir aussi facilement. Je l'aime et elle doit rester avec moi.

Je me stationnais et descendis aussitôt pour aller vers elle. Je courus vers elle et me mettant devant elle en la regardant. « Bébé qu'est-ce qu'il y a? Tout es correct? Tu es vivante? Pas blessé? » Je la regardais en respirant un peu plus fort et espérant que tout va bien aller ce soir. Mon attention était seulement viré sur elle rien de plus. Je ne crois pas que j'avais la tête ailleurs, car elle m'inquiètait sérieusement.

Je me frottais doucement le visage en baissant le regard, mais apercevit quelque chose qui attirait mon attention. Je tournais la tête en apercevant tout ce qu'elle avait fait. Attendez une minute, il y a une seconde, elle me disait qu'elle devait me parler et je la vois ici en train de chanter... WHAT THE FUCK?

« Bébé mais c'est toi qui a fait ça? » Je m'accroupis devant elle et levant la tête vers elle. Je pris ses mains dans mes mains et les caressant doucement. Maintenant, je devais me calmer et écouter ce qu'elle a dire. Je crois que je m'en fais beaucoup trop et que je dois comprendre ce qu'elle voulait. Peut-être que ce n'est rien de grave après tout? Mais on ne sait jamais avec les femmes.. Elles sont toujours aussi compliqués , mais on les aime comme ça.

Mariann m'avait envoyé un message qui me rendait inquiet pour elle. J'arrive immédiatement en courant presque vers elle. Je finis par m'accroupir et croisant son regard. Elle me disait que tout allait bien et qu'elle n'avait rien. Je soupirais doucement de soulagement en la regardant et souriant en coin.

Quand je m'étais retournée la tête pour regarder derrière moi, j'avais sous les yeux pleins de trucs qui étaient faits par Mariann. Je lui demandais ce que s'était, et je finis par comprendre qu'elle voulait me faire une surprise et que le seul moyen de me faire venir rapidement, était de m'écrire un message comme ceci. Je l'écoutais parler en voyant qu'elle se sentait mal de me voir ainsi à cause d'elle. Elle se levait en s'éloignant de moi..

Je me lève en attrapant son poignet et lui tirant contre moi. Je la serrais contre moi et collant mon torse contre son dos et déposant mes lèvres dans son cou. Je caressais doucement ses bras et collant ma tête côte à côte du sien et murmurant à son oreille : « Tu n'as pas à le prendre mal mon coeur... Je croyais que tu avais quelque chose et que j'ai eu tellement peur que je m'en faisais des scénarios. Pas ma faute si tu m'as rendu accro à toi. Bien sûr, tu es le diable en talon en haut. »

Je rigolais doucement en la faisant tourner pour l'avoir face à moi, et écrasant immédiatement mes lèvres sur les siennes. Je l'embrassais passionnément et glissant mes mains dans le bas de son dos. Je frottais doucement son dos et mettant fin au baiser. « Qu'as-tu prévu pour ce soir mon coeur? » Je lui souris en grand en la regardant et caressant doucement ses hanches.

Cet endroit, je ne l'oublierais jamais, car c'était à cette place que j'ai rencontré la femme de ma vie. Je ne regretterais jamais d'avoir lancé involontairement le ballon sur ses jolies fesses. Bon peut-être que je voulais son attention. Ben quoi? Comment pourrais-je résister à elle?

Au début de notre rencontre, je la trouvais un peu trop violente à mon goût cette Mariann... Elle a presque failli me casser le nez si je n'aurai pas eu de grandes réflexes, elle m'aurait solidement défait le nez. Nous avons fait une partie de strip basket et que je la laissais gagner bien sûr... J'allais pas faire le vantard qui démontre ses talents, car ça ne servait à rien. Comme je vous l'ai dit, je ne suis pas démonstratif, et puis ça aurait pu m'amener où si elle l'aurait su? Quelques semaines plus tard après cette partie, j'étais allé voir un spectacle qui se donnait au cabaret. J'ai eu la grande surprise de l'avoir sur scène et elle était magnifique.. Encore aujourd'hui c'est sûr! Et avec le temps, nous couchons fréquemment ensembles. Au départ, je pensais seulement que c'était une histoire de sexe, mais ça avait changé avec le temps. Je voulais savoir un peu plus d'elle sans qu'on soit tous les deux nus sous les draps. Les gens me disaient qu'elle était bonne au lit et rien d'autre. Oui elle l'était, mais je suis un gars curieux et je voulais en savoir davantage. Elle se montrait dure envers les gens, mais au fond c'était une carapace qui se formait autour d'elle pour se protéger. Au final, j'avais raison depuis le début. À l'intérieur de cette charmante brunette se cachait une belle et douce femme qui a seulement besoin qu'on l'aime pour ce qu'elle l'est et de trouver son amour. Eh bien, son amour, c'est moi Justin Robert Stevenson. Je suis même fier d'avoir eu le courage de savoir ce côté d'elle et de tomber amoureux de la personne qui voulait me fracasser la figure. Haha, comme je l'aime cette Mariann...

Je la pris dans mes bras et collant son dos contre mon torse. Je la fis pivoter pour l'avoir face à moi et l'embrasser. « Oh oui, tu me fais perdre la perdre en un seul claquement de doigts. » Je claquais doucement les doigts en levant le bras et rigolant doucement. Je smackais ses lèvres et la regardant en l'admirant. Je remercie la personne qui a mis au monde une perle rare, et je suis heureux de pouvoir dire au monde entier qu'elle est ma copine et qu'elle m'appartient. Je m'en fous des commentaires des autres, mais je me gênerais pas de me promener dans les rues et dire aux gens que je croise qu'elle est la femme de mes rêves, celle que je verrai plus tard dans l'avenir, la mère de mes enfants, et que nous serons heureux. Et que je veux voir personne faire un truc pour nous séparer, car je le pète en deux.« Ah oui? » Je lui avais demandé ce qu'elle avait prévu pour la soirée. Elle me répondit un programme d'enfer et qui piquait ma curiosité.

Je l'apercevais courir derrière le buisson pour faire telle affaire que j'ignore. On voyait simplement un peu son corps dépassé sans trop être osée. Quelques minutes plus tard, elle sortait de là et je commençais à rire en apercevant le chandail qu'elle portait. Elle s'approchait de moi en se collant contre moi et levant mon chandail. « Comme je t'aime toi! Je crois même que je ferai de même pour moi, sauf que tu gardes tes vêtements ou pas... À moins que je garde le chandail pour moi seul et que y'a seulement moi qui peut le voir.. » Dis-je en partant à rire et étant comme un vrai pervers. Elle finit par s'éloigner en disant le programme qu'elle avait prévu pour nous deux. Je souris en grand en m'approchant d'elle. Je déposais mes mains en-dessous de ses fesses et la soulevant. Je commençais par l'embrasser de partout dans le cou et la tenant bien correctement pour ne pas la faire tomber. « Tu me quittes plus, et tu es coincé avec moi pour la vie mon bébé. Je suis fou de toi! »

Elle me disait qu'elle avait pensé à tout.. Elle se dirigeait vers son sac pour prendre un chandail qui avait son corps... Je souris en coin en la voyant allé et m'approchant vers elle. Je la pris par les fesses et la soulevant du sol. Je l'embrassais de partout en la tenant bien contre moi. « Pas plus que moi bébé. »

Mariann était une personne que je n'avais jamais pensé à être auprès d'elle. Premièrement, je pensais plutôt que son genre de mec était des '' douchbag '' qui se prenaient pour le nombril du monde et tout ce qu'ils pensent, c'est sexe et sexe. Bon oui, il m'arrive de penser au sexe, mais ma vie ne se résume pas à ça. Je ne fais pas juste ça dans la vie oh! J'ai un fils, j'ai un travail, j'ai une mère à occuper, alors oui je peux dire que ma vie est pas mal chargé. Et maintenant que j'ai une copine, je dois avoir le temps de la voir, car en la connaissant elle va peter une petite crise. Elle me fait toujours rire cette Mariann avec ses crises. Et pour les crises de jalousie, c'est autre chose... J'avoue qu'elle pousse parfois trop loin et que ça me fait presque peur ouais! Je me sens renfermé sur moi, car si je fais une bétise, elle va s'en prendre à moi. Et puis, pourquoi j'en ferai? Mais au moins, je vois qu'elle tient à moi et j'aime savoir ceci. Par chance, qu'elle me prend à la légère! Je suis moi-même jaloux quand elle est trop près d'un mec, mais je ne le dis pas. Je détestais paraître collant et possessif envers quelqu'un. Je ne voulais pas l'entendre dire que je l'énervais, car j'allais vraiment mal le prendre. Quand ça pousse trop loin, j'interviens. Au moment que j'interviens, c'est que j'ai les nerfs bien haute! Je la tenais par les fesses en la soulevant du sol. Je la redéposais par terre en la laissant faire. Je caressais doucement ses fesses et remontant mes mains dans son dos. « Oh moi aussi!! » Dis-je avec intonation comme quoi c'était bien et bel vrai que j'avais ÉNORMÉMENT envie d'elle. Je n'attend pas qu'elle me répond et l'embrassa immédiatement en laissant mes mains se balader sur elle. Je nous faisais reculer vers ma voiture en la gardant toute coller contre moi.

Même pas eu le temps d'être à la voiture, Mariann avait profité de m'exciter avant de passer à l'acte. J'émet quelques gémissements à ses caresses et la laissant totalement faire. Je glissais une main sous sa robe en caressant le bas de ses fesses. Je ramène ses jambes autour de ma taille en l'embrassant fougueusement et glissant mes lèvres dans son cou. On pouvait sentir dans mes caresses que j'avais une envie pressante d'elle. Ben quoi? Ça fait un baille que ma chérie et moi étions pas collés comme ça. J'ouvris la portière en la faisant en premier et montant ensuite dans la voiture en fermant la porte de la voiture assez rapidement. Je la plaquais contre le siège en m'installant par dessus elle. J'enlevis rapidement son tee-shirt et embrassant à la naissance de sa poitrine, tout en la caressant. J'enlevais son short serré dont j'avais du mal à le défaire. Je rigolais doucement en finissant par l'enlever et glissant une main plus bas... Je laissais mes lèvres à la même endroit et remontant à son cou et me collant davantage à elle. Je sens que je vais bien me souvenir de cet instant avant de partir. Chaque fois qu'elle me manquerait, je repenserais à la surprise qu'elle m'a fait et me dire à quel point j'ai la chance de l'avoir et que je l'aime plus que tout.

Je me collais contre elle en laissant mes mains caresser son joli corps. Je pris ses hanches dans mes mains en émettant quelques pressions dessus. Je finis par laisser une main se glisser plus bas pour y m'aventurer et lui donner un maximum de plaisir. Quelques secondes à peine, je me retrouvais dévêtu. Je commençais donc à la déshabiller et prenant le temps de caresser chaque parcelle de son corps. Elle était totalement nue et j'en profitais pour me coller davantage à lui. Je soupirais de plaisir en sentant ses caresses et laissant ma tête dans son cou en respirant fort..

Je ne pouvais plus attendre longtemps, car j'allais vraiment devenir violent durant l'acte. J'arrêtais doucement mes caresses en entrant doucement en elle et poussant un long soupir de satisfaction. Je commençais mes vas et viens en nichant ma tête dans son cou et respirant fortement. Je me collais contre elle en laissant mes mains se balader sur son corps et donnant quelques bisous dans son cou.

Je continuais à lui faire l'amour tout en caressant son corps. J'augmentais la vitesse de mes mouvements. Je me collais davantage à elle en respirant plus fort et lui faisant un suçon dans son cou. Je pouvais être doux comme un agneau, mais je peux aussi être rude. Je ne voulais pas trop y aller dure, car je ne voulais pas lui faire du mal.

[Nul, mais je suis hyper crevé, je t'aime chou-fleur]

Après de longues minutes à lui faire l'amour, je finis par me retirer d'elle en restant sur elle. Je bécotais doucement sa lèvre inférieure en restant collé contre elle. Je ramènais une mèche de cheveux derrière son oreille en l'écoutant me parler. « Parce que je suis obligé d'y aller, si je veux avoir une belle vie future! » Je lui souris doucement en me mettant de côté. J'étais au bord du siège, alors qu'elle était au fond. Mariann était toute petite, et c'était moi le gros porc qui me prenait toute la place sur le banc. Je déposais une main dans son dos en la collant contre moi. « Tu vas me manquer! »