Ouais je sais , mais je suis la est puis tu sais c'est assez frustrant de pas pouvoir faire tout ce qu'on veux non plus de pas pouvoir faire des choses a sensation car mon coeur ne me le permet pas rien que le sport je peux pas non plus... Puis lorsque je lui dis que je la trouver folle pour bien d'autre chose elle fit sa curieuse ta petite folie et puis franchement quand tu vois du chocolat...je fais même pas le poids contre lui hein , mais j'aime ta folie En même temps nos folie c'était ce qui mettais aussi de la fraicheur dans les couple non ? Je roula des yeux ensuite Ouais mais je tiens toujours mes promesse je pense l'avoir assez prouver je l'embrassa ensuite et lui dis que je l'aimais tout en venant l'embrasser dans son cou par la suite sa reste a voir dis je amusais , j'avoue que je me laisser un peux aller en même temps Bélinda me stopper pas non plus est d'ailleurs je l'allongea sur le lit et continua de l'embrasser sur ses lèvres cette fois je la couvre un peu de baiser , mais sa m'avait tellement manquer et puis je ne pense pas aller plus loin pour le moment vue ce qui c'était la dernière fois Bélinda avait bien fais comprendre qu'elle n'était pas prête donc je la laisserais me montré quand elle le sera

Je comprenais tout à fait ce que ressentait mon petit ami. Si on me privait de théâtre, j'en serais malade. J'imaginais aisément que le basket était pour lui ce que le théâtre était pour moi. Mais il ne fallait pas pour autant minimiser la chose. La vie est plus importante que tout. Elle est bien trop précieuse pour jouer avec. "Je sais... Mais tu es en vie et si pour le rester, il te faut ne plus faire de basket, tant pis. Je sais que c'est difficile mais je préfère de loin t'avoir à mes côtés plutôt que de pleurer jours et nuits ton absence..." C'est ce qui se passait avec Mike. Même si c'était loin d'être pareil. Si Jordan venait à partir, mon coeur ne s'en remettrait pas. Je partirai avec lui... "Personne ne fait le poids contre du chocolat. C'est comme ça. Mais je te rassure, tu as tes chances plus que d'autres face à lui. Et ne le dis à personne, mais je préfère te serrer toi dans mes bras plutôt que le chocolat." C'était stupide mais ça m'a tout de même fait rire. "Oui, tu le prouves chaque jour, mais c'est pas une raison..." Repris-je plus sérieusement. Sa maladie n'était pas quelque chose à prendre à la légère. Mais nous avions repris nos baisers et il disait m'aimer plus que je l'aimais. Nous ne saurions jamais qui avait raison, car je n'en démordrais pas, je l'aimais plus que de raison. Il finit par nous allonger sur le lit. Je me sentais en confiance dans ses bras. Je savais qu'il ne se passerait rien de plus sans que je ne le veuille. La dernière fois qu'il avait tenté quelque chose nous avait tous les deux refroidi et je comprenais qu'il ne veuille pas retenter l'expérience. Alors je me suis laissée porter dans ses bras, l'amour flottant en et autour de nous. "Tu crois que l'amour est plus fort que tout ?" Finissais-je par lui demander. Ça pouvait paraître hors contexte comme question, mais j'avais ma petite idée derrière la tête...

Regarde Béli si on venait a t'enlever la comédie tu ferrais comment ? Quand on t’enlève ta passion c'est assez difficile après , surtout que j'ai tout perdu d'un seul coup a ce moment la Oui mon secret sur ma maladie avait était dévoiler , mon père avait rendu l'âme et puis Aphrodite m'avait quitter , la seule chose bien qui m’était arriver c'était bélinda qui m'avait dévoiler ses sentiment, je sourie malicieusement je pari que moi mélanger au chocolat sa serait parfait ! [/b] dis je amusais heureusement que c'est moi dans tes bras car si c'était le chocolat je devrais me battre contre lui alors que je l'aime bien dans le font Oui j'avais aussi ma cachette de chocolat , mais je ne le disais pas a Bélinda ou Harmonie sinon elle viendrait tout me manger les deux petites fouine Ouep , mais tu sais pour cette après midi tout ira bien aussi je connais déjà leurs charabia habituelle. Puis je me laissa toute de même aller je l'allongea sur le lit , mais sens réaction de sa part je n'irais pas plus loin même si on m'avait dit une fois qu'il faudra bien forcer un peux les choses un jour , mais je ne pouvais pas pour bélinda si elle parté de nouveau je ne sais pas réellement ce que sa serais ma réaction faudra bien qu'elle me dise réellement les raisons car même si elle n'était pas prête elle ne partirait pas en courant comme sa non? Je l'embrassa de nouveau pour lui montré que je l'aimais plus qu'elle, elle coupa le baiser pour me poser une question Oui , l'amour est le lien le plus fort qu'on ne peux pas briser si il est véritable

"Je sais bien et je sais que si on m'enlève ma passion, je le vivrai très mal. Mais la vie est cruelle, tout le monde le sait. Et tant que je t'ai à mes côtés, tout ira bien pour moi." Ça faisait peut-être un peu trop mélodramatique et un brin trop eau de rose mais je pensais sincèrement ce que je disais. "Tu n'auras jamais à te battre contre lui, car le vainqueur sera toujours le même." Lui était persuadé que le chocolat gagnait contre lui, alors que c'était tout à fait le contraire. Mon côté sadique ressortait en voulant lui faire croire qu'il ne gagnerait jamais. "J'espère que tu dis vrai." Répondis-je au sujet de ses examens médicaux à venir. J'étais bien plus inquiète que lui même si je m'efforçais de ne pas lui montrer de trop. Il dit ensuite que l'amour était un lien qu'on ne pouvait pas briser s'il était véritable. J'ai souri à ça, car c'est vraiment ce que je ressentais pour lui. "Et tu penses que notre amour l'est, je veux dire... Qu'il est véritable ?" J'étais très romantique et dramatique à la fois, mais ces moments-là se faisaient rares et ça valait mieux qu'une énième dispute.

et c'est ce que je fais , le seul truc qui me fais tenir c'est toi et ma cousine pour le moment car sa me manque de jouer... oui sa me manquer cruellement de jouer de pas avoir un ballon tout le temps dans les mains de plus j'avais un terrain de basket dans mon jardin sa me narguer ... Ouais mais le mélange des deux sa serais pas sympa?laisse moi au moins une chance contre lui ou du moins me faire désirais avec du chocolat on parla de mes examens et je fis un simple signe de tête au final et déposa un baiser sur sa joue tout va bien aller je la voyais inquiète et je n'aimais pas spécialement sa je l'avoue je voulais la voir sourire et non s'inquiéter pour moi .Je la fis s'allonger sur le lit et l'embrassa avant qu'elle me pose une question assez spécial est apparemment ma question la fessais réfléchir Bien sur que oui enfin pour moi oui je tes toujours voulu , j'ai jamais arrêter de t'aimais depuis... j'essaya de me souvenir exactement du jour bon depuis bien longtemps , mais je pense que mon coup de foutre pour toi et arriver des qu'on c'est rencontré même si on était que des gamins car depuis je tes jamais lâcher

Je compatissais fortement pour mon petit ami. Il ne pouvait plus jouer au basket suite à sa maladie cardiaque, c'était injuste. Lorsqu'il me répondit qu'il tenait le coup grâce à moi et à sa cousine, je lui souris. « Je t'aime, tu sais. Tu es très courageux. » Je le pensais vraiment. En plus de ça, son terrain de basket n'était pas loin de chez lui, autant dire carrément chez lui. Ça ne devait pas être facile tous les jours. Mais je savais qu'il allait y arriver. Il était fort et c'est pour ça que je l'aimais. « Tu veux te faire désirer avec du chocolat ? Mais fais donc. Ça sera le couple parfait. Toi et du chocolat, miam j'ai hâte. » Dis-je en répondant au sujet de mon aliment préféré. Puis il voulut me rassurer au sujet de ses examens cardiaques. Il m'assura que tout irait bien mais j'avais quand même des doutes. J'ai tout de même souri en l'embrassant à mon tour. Et nous nous sommes laissés aller à nous embrasser sur le lit. Jusqu'à ce que je décide de stopper ce merveilleux moment pour lui poser une question spéciale. A laquelle il répondit avec brio, il faut le dire. « Alors il l'est, t'as raison. » Répondis-je en parlant de notre amour véritable. « Tu penses qu'on finira notre vie ensemble ? » Repris-je en souriant.

j'ai pas vraiment le choix tu me diras bah non c'était sa ou je pouvais me retrouver avec dans un fauteuil a ne plus bouger ou a attendre un nouveau coeur avec urgence si une crise arriver et que je n'arrive pas a la surmonter Oui pourquoi pas , mais bon je me ferrais désiré quand tu seras prête bah oui j'allais pas me couvrir de chocolat et qu'elle me rejette une fois sa m'avait assez suffit puis lorsqu'on s'embrasser elle commencer a me poser quelque question que je ne compris pas pourquoi elle me les poser la a ce moment la peux être car elle avait peur une fois de plus d'allée plus loin je me recula alors un peux et la regarda .Je haussa les épaules Je l'espère de tout coeur On ne sais jamais ce qui pouvais arriver sa me fessait de nouveau penser a ce qui c'était passer sur le toit et au paroles qu'elle m'avait sortie ce jour la pourquoi ses question ? et toi tu en pense quoi de tout sa de finir avec moi et de l'amour véritable? autant que je sache ce qu'elle pense aussi de tout sa de ses sentiments envers moi et si elle pensait réellement faire sa vie avec moi. Après tout nous étions ensemble la , mais peux être qu'elle ce rendrait compte dans peux de temps que en réaliter que les sentiments qu'elle avait pour moi n'était pas vraiment réelle donc j'attendais sa réponse avec impatience

Que dire de plus au sujet de sa maladie ? Il avait raison, le choix ne s'imposait pas à lui. Il fallait simplement faire avec. Et quand je dis "simplement", ça ne veut pas dire que ça l'est. "Mais je suis prête." Répliquais-je en parlant du chocolat. Je savais très bien que ce n'était pas possible de le faire ici mais j'avais tout de même hâte de voir s'il le ferait. En attendant, nous nous embrassions, jusqu'à ce que certaines questions s'imposent à moi. Je n'ai pas pu faire autrement que de les poser à Jordan. Et ses réponses me satisfaisaient. Jusqu'à ce qu'il me demande ce que je pensais de tout ça. "Oh, ce sont justes des questions comme ça, t'en fais pas..." Mais je ne lui avais toujours pas dit ce que j'en pensais. En réalité, je voulais savoir si je pourrai compter sur lui quoiqu'il arrive. Je savais déjà que oui, mais je voulais en être certaine. Depuis que Mike est mort, j'ai trop peur de perdre quelqu'un d'autre. Je ne serai pas capable de surmonter ma peine une nouvelle fois. Je n'y arrivais déjà pas maintenant. Et perdre Jordan me serait pire qu'insupportable. Alors pour lui répondre sincèrement, je lui ai dit : "Et j'en pense qu'on va finir ensemble. Je le souhaite de tout mon coeur en tout cas. On ne sait jamais ce que nous réserve l'avenir. Mais je veux vraiment passer le reste de ma vie avec toi."

je fus assez surpris quand elle dit qu'elle était prête du mélange moi et du chocolat sois elle ne réaliser pas réellement ma penser quelque peu perverse je l'avoue ou alors si et j'étais surpris par rapport a la dernière fois et qu'elle ne montré pas réellement d'occasion de recommencer .Je fis un simple sourire a cela ne sachant pas vraiment quoi dire sur le coup on s'embrassa , mais bélinda coupa le tout pour me poser quelque question et je lui demanda pourquoi c'est question et je lui retourna même ses questions pour voir ce qu'elle penser de tout sa Tu sais si sa tenais que a moi je voudrais passer mes journée avec toi pour rattraper le temps qu'on a perdu toi et moi même si j'ai aimait les autres moments qu'on a eu étant ami . Même si certain moment était quelque peux embarrassant comme lorsque tu venais dans mes bras et que je devais résister a l'envie de t'embrasser . dis je avec un petit sourire puis je dis sur le ton de la rigolade Mais bon si un jour tu me quitte pour une fille alors la...je me reconverti curé je pense ! sa en foutrait gros sur mon égaux a mon avis , mais je pense pas devenir curé non plus un jour mais j'avais rien trouver de mieux déjà rien que le faite qu'elle me quitte écroulerait tout au tour de moi car j'aurais l'impression de ne plus avoir rien pour moi ma mère qui ma abandonner mon père décédé il rester toujours harmonie , mais je me cacher pas la face qu'un jour elle partirait aussi de la villa pour son boulot et puis ce n'était pas pareil même si je tenais énormément a ma cousine j'avais l'habitude de voyager pour la voir

A l'évocation de nos moments passés ensemble en tant qu'amis, mon coeur fit un bon dans ma poitrine. A l'époque, lorsque je dormais chez lui, je m'amusais à aller le réveiller en pleine nuit. Autant dire que j'accusais très bien ses retours de flammes. Ces moments-là me manquaient. Mais nous en avions de meilleurs aujourd'hui. A l'époque, j'avais tellement mal qu'il sorte avec d'autres filles que j'étais mal dans ma peau. Mais c'était du passé et le présent était nettement meilleur. "Tu résistais à l'envie de m'embrasser, intéressant. C'est marrant, parce que c'était pas du tout mon cas." Répliquais-je en souriant. Mais bien sur, je plaisantais. La tentation était intense et très forte mais j'arrivais toujours à ne pas y succomber. Heureusement que les temps ont changé et que je peux embrasser mon chéri autant que je le veux aujourd'hui. Lorsqu'il ajouta que si un jour je le quitte pour une fille, il se reconvertit en curé, je lui d'abord tapé doucement sur l'épaule à l'aide d'un de mes poings. Puis j'ai ri. J'étais si bien dans ses bras, là, loin du monde, loin de chez nous. "C'est une idée tiens ! Je suis curieuse de te voir curé !" Rétorquais-je en rigolant de plus bel. Je ne le ferai jamais, je tenais bien trop à lui pour ça.

Certain moment me manquer de notre complicité , mais j'aimais aussi nos moment de maintenant même si j'avoue que pour le moment j'étais calme , mais je pouvais très bien redevenir le Jordan chiant et de nouveau l'embêter a son réveille ou même la journée je profite juste des petit moment qu'on avait en ce moment et la on ce retrouver en quelque sorte après notre fameuse dispute chacun son truc je résiste moins que veux tu je haussa les épaules , puis je reçu un coup de poing de sa part sur mon épaules quand je dis que j'allais devenir curé si elle venait me quitter pour une fille Pourquoi me frapper si c'est une bonne idée dis je amusais tu m'en crois pas capable de devenir curé ? je ne lui disais pas pour le moment , mais tout s’écroulerait si elle me quitterais je sortirais peux être avec d'autre femme , mais sa ne sera plus jamais pareil aphrodite puis bélinda ...deux femme m'avait legerement suffit la ...mon coeur ne le supporterait s'en doute pas une troisième. Mais bon a ton avis si un jour tu viendrais a me quitter sa serais pourquoi ? oui je poser des question bizarre a mon tour

"Ouais, la loi de l'homme en chaleur, c'est tout à fait ça." Répliquais-je en lui tirant la langue. Il disait moins résister et pourtant j'étais dans le même cas que lui. Mais je m'amusais à lui faire croire que le contraire. C'est pour ça que j'ai inventé cette loi idiote. Car niveau idiotie, il n'y avait pas mieux. Quoi que finalement... "Je ne t'ai pas frappé, je t'ai juste frôlé. Monsieur deviendrait-il sensible à mes coups ?" Repris-je en riant. "ET tu connais déjà la réponse à cette question." Qui était "non", je ne le croyais pas du tout capable de devenir curé. Surtout pas lui. Puis il se mit à me poser une question étrange. Pourquoi en viendrais-je seulement à le quitter ? C'était absurde. Mais je lui ai tout de même répondu : "C'est impossible, je ne te quitterai jamais." Je ne lui mentais pas, je n'avais nullement l'intention de le laisser tomber.

tu y va fort la l'homme en chaleur , si je l'étais je t'aurais rapidement sauter dessus Donovan même si j'en avais envie et que ce qui m'arrêter c'était ce qui c'était passer la dernière fois je voulais absolument plus la brusquer , même si la j'avais bien envie de lui faire rappeler que la dernière fois c'était elle qui m'avait sauter dessus est qui m'avait fait quelque avance ! Je roula des yeux oui je vais appeler SOS homme battu bientôt... je fis une grimaceMince je suis pas crédible alors dans ce rôle! je la regarda dans les yeux est lui posa une question je l'espère je posa une main sur son visage et m'approcha pour l'embrasser et me leva Aller viens on sors avant que l'homme en chaleur te saute dessus dis je amusais allant récupéré de nouveau ma veste pour l’enfiler

Il ne m'a jamais sauté dessus et je le regrettais. Enfin, pas totalement. Il était gentleman et je le remerciais pour ça. Mais c'est vrai que depuis qu'on est ensemble, on n'est encore jamais allé jusqu'au bout. Et c'était de ma faute... Pour lui répondre, j'ai pris un air outré : "Tu ne m'as peut-être pas sauté dessus mais tu m'as fait des avances ! L'épisode de l'aspirateur ne te rappelle rien . Tu as carrément fait en sorte de voir mon soutien gorge. Si ça c'est pas être en chaleur." Je plaisantais. Bon d'accord, seulement à moitié. "Oh oui appelle-les, j'imagine bien leur réponse." Je pris un air détaché pour imiter une standardiste : "SOS hommes battus j'écoute ? Quoi ? Votre petite amie vous a donné un coup de poing ? Laisse-la faire monsieur. Elle s'amusait simplement. Au revoir monsieur, j'ai d'autres cas plus urgents à traiter." Puis je fis mine de raccrocher mon téléphone imaginaire. "Non pas du tout crédible." Repris-je en parlant de son idée de devenir curé. Puis il me demanda pourquoi j'en viendrais à le quitter, si jamais c'était possible. Ma réponse fut courte et sincère. Jamais je ne le quitterai. Pour rien au monde je ne céderai ma place à une autre fille. Je l'aimais trop pour ça. Il répondit qu'il espérait que ça n'arriverait jamais et il m'embrassa. Baiser après lequel j'ai repris la parole : "Je te le promets, ça n'arrivera jamais." Il se leva pour prendre sa veste et sa réplique me fit rire. "Zut alors, moi qui rêvais qu'il le fasse enfin !" Répliquais-je à a sa remarque en riant de plus bel. Je me suis levée à mon tour et je l'ai embrassé avant de prendre moi aussi ma veste. "Et où allons-nous monsieur l'homme en chaleur ?" Lui demandais-je en souriant.

Quoi faut bien que je face certaine chose pour voir ce que je veux je roula des yeux et haussa les épaules , même si c'était faut je ne l'avais pas fais exprès tout sa .Je la regarda ensuite tout en la regardant faire sa petite scène ce qui m'amusais beaucoup Ouais , ouais tu joue bien le rôle , mais je peux être très convainquant oui je n'étais pas crédible pour ce qui était d'être curé je l'avoue je ne sais pas si je pourrais l'être un jour . Je l'espère je l'espéré qu'elle ne me quittera jamais je voulais faire ma vie avec Bélinda je savais que c'était la femme qui me fallait même si d'un coter je voudrais je voulais m'écarter d'elle pour éviter qu'elle subisse ma maladie car on ne savais jamais quand tout sa s'arreterais et je ne voulais pas non plus qu'elle me voit faire certaine crise...Mais le jour ou tout sa s'aggraverais peux être que je prendrais une certaine décision...Je ne voulais pas qu'elle me voit mal est qu'elle est cette dernière image de moi .Je préféré qu'elle me déteste de l'avoir quitter que de me voir comme sa car sa lui resterais toujours en mémoire et je ne voulais pas que sa la choque...Je la regarda Béli me cherche pas de ce coter la c'est frustrant par moment avec ce qui y a eu la dernière fois bah quoi ...j'étais un homme et depuis que j'avais quitter aphrodite je n'avais plus rien.... je respecter le choix de Bélinda ,mais fallait pas trop non plus jouer comme sa dessus encore un rejet sa serais difficile quand même... que dirais tu d'allais a central park ? et si tu veux on reviendra ici et je te laisserais te détendre temps que je vais a mon rendez vous a l'hôpital pour voir le programme de demain

« Je le savais ! » J'ai ouverts grands les yeux. Il venait d'avouer que l'épisode de l'aspirateur n'était finalement pas un accident, comme il le prétendait depuis le début. Je le suspectais de l'avoir fait exprès depuis le début mais lui niait. Mais maintenant, il avouais enfin que j'avais raison. J'ai repris victorieuse : « J'avais raison sur toute la ligne ! » Puis je lui ai tiré la langue en signe de victoire. Je sais, c'est puéril. Il ajouta qu'il pouvait être très convainquant en tant qu'homme battu, chose à laquelle je lui ai tiré une nouvelle fois la langue. « Mais bien sur, aucune femme sensée ne te croira. » Répliquais-je en souriant. Il répéta ensuite qu'il espérait que je ne le quitterais jamais. Pour sceller ma parole par un geste, je l'ai embrassé. Il se leva ensuite du lit pour aller chercher sa veste. Je m'amusait à le taquiner au sujet du sexe mais il ne semblait plus trouver ça drôle. Je n'allais pas m'arrêter en si bon chemin. J'étais d'humeur festive et surtout joueuse. Et je ne voulais surtout pas que ce merveilleux moment se termine. Je me suis alors levée pour l'imiter. J'ai pris ma veste et je me suis approchée de lui et d'une voix sensuelle, j'ai dit : « Bouh, monsieur est bougon. Mais t'as de la chance, j'aime ça. » Je savais très bien ce qui s'était passé la dernière fois. Je ne voulais pas que ça se reproduise. Mais je pensais être prête à sauter le pas cette fois-ci. J'espérais pouvoir aller jusqu'au bout. J'ai passé délicatement mon index le long de sa poitrine et même avec son tee-shirt, il pouvait le sentir. Puis j'ai ajouté en souriant, toujours d'une voix sensuelle : « Tu es sûr de vouloir aller à Central Park maintenant ? » Ce n'était pas malin de ma part de jouer comme ça avec lui. Mais je ne voulais pas le laisser filer et sortir maintenant...

Je souri amusais a sa réaction lorsque je lui dis pour l'aspirateur , bon d'un coter c'était pas réellement vrai , mais en quelque sorte oui j'avais pu profiter de la vue avant qu'elle cache tout Ou pas oui j'allais pas lui dire encore une fois qu'elle avait raison ! et elle joua de nouveau la petite gamine ce petit coter que j'aimais chez elle et qui m'amusais beaucoup .

Et pourquoi parce que tu as un visage d'ange ? Et Bélinda avait un talent de comédienne fallait pas l'oublier elle pouvait facilement cacher certain de ses émotions enfin sauf devant moi son regard ne pouvais jamais me trahir . Je répondis ensuite a son baiser posant une de mes mains sur son visage et l'autre sur sa hanche , mais elle ne trouva pas mieux que de me taquiner sur le sexe une fois que je mettais reculer d'elle et mettais lever pour éviter d'aller plus loin tout en proposent d'aller a central park , mais elle disait que c'était dommage que l'homme en chaleur ne lui saute pas dessus car apparemment elle le voulait , d'ailleurs je le pris un peu mal au début . Je mi ma veste est la regarda , mais elle continua a jouer je la laissa donc faire avec un regard quelque peux amusais .J'approcha mes lèvres de son oreille est lui dit de la même façon qu'elle cette fois je me ferrais pas avoir , faudra que tu me prouve vraiment que tu le veux Je me recula d'elle est souri avant de marcher vers la porte on y va alors?

Il n'en démordrait pas, il n'avait pas fait exprès d'aspirer mon haut ce jour-là, avec l'aspirateur. J'ai laissé courir, sachant pertinemment que j'avais raison.

J'ai ensuite dit qu'aucune femme sensée ne le croirait s'il disait être battu. Il répliqua que j'avais un visage d'ange, bien sur en plaisantant. "Exactement. En plus, qui pourrait résister face à moi ?" Je plaisantais moi aussi. Je n'étais pas si prétentieuse. S'en suivit un jeu de séduction à sens unique pour commencer, jusqu'à ce que Jordan accepte enfin de rentrer dans mon jeu. Partiellement, tout du moins. Ses mains étaient posées sur mon corps à divers endroits mais il ne voulait pas céder. Ce qui rendait la tâche amusante et très attractive. Lorsqu'il me susurra à l'oreille que je devais lui prouver que je voulais réellement le faire, l'épisode de sa chambre me sauta en pleine figure. Mais je ne me suis pas laissée démonter. Je me suis collée à lui pour lui répondre, alors qu'il était déjà prêt à sortir : "Et je fais ça comment ? Dis-moi ce que tu veux, et je le ferai." Cette phrase était tout droit sortie d'un film porno très salasse, ou c'est tout du moins ce que j'ai ressenti en la prononçant. Car jamais je ne regarderai ce genre de films, ah ça non !

Je suis pas convaincu je peux faire fondre n'importe qu'elle fille C'était vrai d'un coter , mais j'étais l'homme que d'une seule femme maintenant et j'espéré de tout coeur que sa sois la dernière ! Car je voudrais faire le reste de ma vie avec Bélinda depuis le temps que je l'attendais et que je l'avais enfin j'allais pas laisser cette chance m'échapper comme sa sauf pour ma maladie sa devenais a s'aggraver
Lorsque je commença a aller vers la sortie bélinda venu contre moi et me dit qu'elle ferrait ce que je voulais j'arqua un sourcil en la regardant Non je veux pas te dictée , je veux que sa vienne de toi je n'allais pas forcer les choses non plus sa ne serais pas bien , je la regarda dans les yeux me mordant la lèvre curieux quand même de voir ce qu'elle pouvait faire car j'avais toujours ce doute si elle était encore vierge , je ne savais pas si elle l'était ou non . Je ne bouger pas pour le moment autant la laisser essayais de me tenter au moins je n'aurais s’en doute pas de rejet cette fois sa voudrais dire qu'elle le voulait !

"Hors de question ! Je mets mon droit de veto pour ça !" Lui fis-je en prenant une mine outrée et boudeuse à la fois. Je ne voulais pas qu'une autre fille ne l'approche. C'était absolument hors de question !
Il me dit ensuite qu'il voulait que je lui prouve que je voulais que ça arrive mais que le comment devait venir de moi. Je n'avais pas la moindre idée de comment procéder. Je ne m'étais jamais vraiment retrouvée dans ce genre de situation avant. Enfin si, mais jamais avec un garçon. Je devais donc improviser et faire en sorte que Jordan accepte mes avances. Car je voulais vraiment lui montrer que je tenais à lui plus que tout au monde. Je suis donc restée collée à lui pour lui chuchoter à l'oreille : "Très bien." Je l'a alors pris par la main pour le forcer à me rejoindre sur le lit. J'ai abandonné ma veste par terre et j'ai repris : "Jordan Noah McCoy, es-tu prêt à aller si loin avec moi ?" Ma question était stupide mais je ne savais pas vraiment comment faire et je devais bien commencer par quelque chose.

Je sourie a sa réplique je n'avais jamais vue Bélinda aussi jalouse et possessif depuis qu'on était ensemble j'avoue que j'aimais un peux ma liberté , mais j'adorais aussi ce cote la de bélinda sa prouver qu'elle tenait beaucoup a moi et qu'elle ne voulait pas me partager tout comme moi sauf que j'avais une jalousie que je renfermer pour pas crée d'histoire et pour éviter des engueulade avec elle , mais si un jour sa venais a sortir...aie aie c'est que mademoiselle Donovan est jalouse et possessif dis je amusais .

Puis Bélinda mi un petit jeux de séduction entre elle et moi sauf que je voulais qu'elle me prouve qu'elle le voulait réellement tout sa que sa ne face pas comme la dernière fois . Mais sa phrase m'amusait tout de même , la façon dont elle l'avait dit aurait pu me tentait mais pour une première fois entre elle et moi je voulais que sa sois autrement on va dire qu'elle veut aussi ce moment et non la forcer !Elle me prit la main et me fit aller avec elle vers le lit , je la suivi bien évidement et écouta sa phrase bien sur que j'en est envie quel question ! comme si je n'avais pas envie de Bélinda! sa serais vraiment pas nette de ma part de ne pas vouloir de la fille que j'avais toujours aimait .

En temps normal, je n'étais pas si jalouse et possessive que ça. Mais il s 'est passé trop de choses entre Jordan et moi pour que je ne le devienne pas. Je ne voulais pas le perdre. Et ma jalousie s'était développée au fil du temps. "Et tu devras t'y habituer." Répliquais-je avec le sourire.

Le jeu de séduction continuait. Nous nous sommes de nouveau retrouvés sur le lit alors que Jordan me répondit ce que je voulais entendre. Il en avait envie tout autant que moi. C'était un début. Après, comment lui prouver que je ne me défilerai pas cette fois-ci ? Je ne le savais pas encore. J'ai simplement commencé par l'embrasser. Et entre deux baisers magiques, j'ai dit : "J'en ai envie tout autant que toi." Je ne me reconnaissais pas. Jamais je n'ai été comme ça avec personne. Je tenais bien trop à Jordan pour gâcher une fois de plus les choses. Il fallait qu'on aille jusqu'au bout et j'allais y arriver. Mais il fallait qu'il y mette du sien. "Je t'aime vraiment. Je t'aime trop pour te faire du mal, plus jamais je ne te ferai souffrir." Je n'étais plus en train de jouer. J'étais sincère. Et je voulais qu'il me prenne au sérieux.

Elle m'emmena jusqu'au lit me posant sa fameuse question si je voulais allait plus loin avec elle et bien sur que je répondis oui et répondis a son baiser et la regarda dans son magnifique regard écoutant de nouveau ses parolesAlors voyons si cette fois sa marche je l'embrassa de nouveau venant me mettre au dessus d'elle fessant attention de ne pas l'écraser enlevant en même temps ma veste qui me gêner sans réellement quitter ses lèvres est posant une de mes mains sur elle est la passa doucement sous son haut pour toucher sa peau tu ne me fais pas souffrir Bélinda je frôla son nez je te promet de faire de même de ne jamais te faire souffrir , tu mérite d'avoir tout le bonheur que tu mérite Je m'amusa alors avec nos deux nez puis captura de nouveau ses lèvres l'embrassa passionnément et amoureusement

Je n'avais pas peur. les bras de Jordan étaient comme une forteresse qui jamais ne me feraient souffrir. Ils me protégeaient de tout le malheur du monde. J'aurais voulu rester comme ça des années. Ce moment était magique. Lorsqu'il dit que je ne le faisais pas souffrir, je me suis contentée de sourire. Il promit en retour de ne jamais me faire souffrir et je l'ai embrassé passionnément. Et ce qui devait arriver, arriva. Autant la peur s'était emparée de moi la première fois, autant cette fois-ci, rien ne m'effrayait. Nous nous abandonnions dans les bras de l'autre et ce moment scella notre amour pour toujours.

Mais le temps nous a rattrapés et dans les bras de mon chéri, je ne voulais pas m'extirper. "Je t'aime." Me contentais-je de lui dire avec tout l'amour dont j'étais capable. Je ne voulais plus jamais bouger et pourtant il allait bien falloir sortir...

Je n'aurais jamais penser que Bélinda aurait jouer la dessus aujourd'hui , d'ailleurs je ne pouvais qu'être que heureuse car a ce moment précis je pouvais dire qu'elle me fessait entièrement confiance vue qu'elle c'était laisser allait avec moi sans avoir trop peur , j'avais essayais de faire comme il le fallait essayant de la rassurait par des geste et ce moment magique était enfin arriver. Une fois a coter d'elle , la gardant tout de même contre moi je ne pu que sourire a son je t'aime je plongea mon regard dans le sien Moi aussi tellement je lui vola un dernier baiser et me mi sur le coter pour mieux la regarder je n'es plus envie d'aller a l'hôpital la ...je veux rester avec toi non je voulais la garder contre moi et profiter encore de cette journée avec elle au lieu d'aller dans cette endroit alors que je savais déjà tout ce qui allait ce passer demain comme a chaque fois