Voilà que je venais de manger un plat de mon cher Apollon, un plat rapidement préparer, mais affreusement délicieux. J’adorais qu’il me fasse à manger, moi je n’étais pas très bonne cuisinière, la mère de Matthew m’apprenait quand elle pouvait, je savoir-faire quelques recettes, mais après je m’arrêtais dans les choses classiques. Ce qui était bien avec Apollon, c’est qu’il faisait d’une chose classique un repas merveilleux, surement aussi sa compagnie qui changer tout. « J’ai toujours un briquet sur moi. » Dis-je faisant un clin d’œil. Je finis rapidement de manger, ajoutant. « C’était succulent. » Il ramasse alors son assiette, je prépare mon assiette, mettant les couverts dedans, il venu vers moi, se penchant me volant un baiser au bout des lèvres. J’étais agréablement surprise de ce petit baiser voler, il redressa légèrement l’assiette restant assez près de moi, je le fixe, regardant ensuite ses lèvres comme attiré. Puis, sans hésiter, je m’approche à mon tour, l’embrassant avec douceur. Il allait finir par lâcher ses assiettes, je souris me décollant doucement de ses lèvres le regardant amusé prenant les assiettes qu’il avait en main. « Tu vas finir par les lâcher.. » Dis-je le regardant dans ses jolis yeux, me mordillant ensuite la lèvre.

Apollon s’approcha de moi, afin de débarrasser l’assiette qu’il y avait face à moi, je l’avais aidé, mettant les couverts dessus, mais sans chercher à savoir pourquoi, il venu me voler un doux baiser, j’ouvre les yeux, le regardant dans ses yeux, me rapprochant à mon tour afin de l’embrasser rapidement, mais en douceur et tendresse. Je coupai le baiser doucement, afin de lui dire que la vaisselle dans ses mains aller finir par tomber. A mes paroles, il les posa, restant silencieux, le silence en voulait dire long, surtout lorsqu’il repose de nous ses lèvres contre les miennes. Il avait posé ses mains sur mes joues, ce qui me fit frissonner, je répondis à son baiser de la même manière n’ayant aucune envie de me reculer de celle-ci, si apaisante, et plaisante. Sa manière de m’embrasser était simplement unique, à travers se baiser je pouvais tout comprendre, tout ressentir, j’étais bien, amoureuse. Sans quitter ses lèvres, je me redresse, me levant, afin d’être un peu plus à sa hauteur et face à lui. D’ailleurs, une fois debout, je coupe le baiser, posant mon front contre le sien, fermant les yeux, souriant, comme une gamine, j’étais bien, mon cœur battait la chamade.