Nous étions dimanche et comme tous les dimanche je dînais chez mon père et passais la journée avec lui. Depuis que je vivais avec Caleb et Lison je ne le voyais quasiment plus mais je tenais à garder le contact. Mon père était l'une des personnes que j'aimais le plus au monde, c'était un peu mon héros et ça me faisait plaisir de lui tenir compagnie. Lui et moi on est vraiment proches, il me fait beaucoup rire. Mais j'ai beau adorer mon père parfois il se comporte comme un vrai petit vieux je vous jure. Tous les dimanche après manger il est obligé de faire une sieste. Pendant au moins deux bonnes heures il dort comme un bébé ! Et moi pendant ce temps je faisais quoi hein ? Autant vous dire que je m'ennuyais à mourir. Y avait que de la merde à la télé puis Caleb me manquait. Je l'avais vu ce matin pourtant mais pas assez à mon goût. Alors n'ayant rien à faire je décidais de l'appeler. Un donneur, deux sonneries, trois sonneries... Bordel pourquoi il répondait pas cet abrutit ? Jalouse comme je l'étais je me demandais ce qu'il faisait et avec qui et sérieusement ça m'énervais déjà. À la cinquième sonnerie il daigna enfin me répondre. " Putain Caleb tu foutais quoi ? Mille ans pour répondre sérieux !"

Je m'étais réveillé super tôt ce matin pour être un minimum avec Robbyn qui partait comme la plupart des dimanches chez son père. Je savais qu'elle était folle de lui et c'était bien l'un des seuls endroits où je la laissais aller toute seule. Surtout qu'aujourd'hui j'étais trop claqué pour bouger. Évidemment à peine était elle partie en direction de chez lui j'étais retourné me coucher comme un porc. Le problème est qu'il était déjà midi passé, que je n'avais pas pris ma douche et qu'elle n'allait pas tarder à m’appeler. Je me levais en sursaut et me speeder à prendre une douche jusqu'à entendre mon portable sonner. Ça ne pouvait être qu'elle. La connaissant elle allait se faire de sacré film avec mon temps de réponse. En une minute top chrono. Je sortais de la douche, passais une serviette et répondais enfin, "Désolé, je me touchais en pensant à toi, fallait bien que j'attende de me finir non ?" sourire à l'autre bout du fil.

Sa réponse ne me fit qu'à moitié sourire. Je savais qu'il mentait évidemment mais du coup qu'est-ce qu'il faisait réellement ? Je sentais la jalousie me prendre doucement. "Te fout pas de ma gueule Caleb. On a fait l'amour comme des bêtes hier soir, impossible que tu ai déjà besoin de te vider. Allez sérieusement tu faisais quoi bébé..." Je pouvais pas m'empêcher de me faire des films c'était horrible !

Malgré ma petite blague je sentais sa jalousie s'accroître mais je ne pu m'empêcher d'ajouter "Faire l'amour ? Jaurai plutôt dit baiser " petit rire " Sérieux ? Panique pas j'étais à la douche ! Jsuis trop fatigué pour te tromper aujourd'hui franchement " rajoutais je avant de faire recouler l'eau quelques secondes "Écoute bébé, et soulage tes angoisses " ordonnais je, voulant la rassurer. L'imaginant se faire des films jusqu'au soir ce qui me stressais moi en même temps. Je détestais ça, la sentir mal.

Plus il parlait plus il s'enfonçait. Sincèrement même si j'étais habituée aux paroles vulgaires de Caleb je détestais quand il disait qu'on baisait. Non, on faisait l'amour. Il y avait des sentiments et ce même si c'était parfois bestial entre nous. Ses remarques me mettaient vraiment les nerfs car comme une conne je le croyais. "Ça m'amuse pas arrête." Doucement il me montra que ses dires étaient vraies et je me sentis soulagée. Franchement parfois je me faisais des films pour rien, abusé. "Désolée mon amour... Tu me manques (soupirant légèrement)"

Je ne pouvais pas m'empêcher de la faire rager, elle me tendait la perche et en même temps elle me rendait dingue de douter de tout. Je soupirais longuement avant de répliquer "Arrêtes de douter alors " puis doucement je la faisais écouter l'eau couler pour la calmer. Je soupirais à ses paroles soufflant cette fois si d'une voix douce à travers le téléphone "Je sais... " je me coupais le temps d'aller dans le salon "Toi aussi tu me manques bébé, mais ne panique pas d'accord ? Je ne pense qu'à toi ! Puis avec tout le parfum que t'as mis, il y a ton odeur partout, même pas je pourrais sentir ma propre présence " plaisantais je en riant "Tu fais quoi ma puce ?" demandais je en me laissant tomber dans le canapé.

Il n'avait pas tord. Je comprenais que ce soit énervant et fatiguant de me rassurer en permanence. Parfois moi aussi je souffrais de ses doutes, car oui il lui arrivait de douter de moi juste par jalousie. "Je vais essayer amour, promis." J'aimerai tellement tenir cette promesse malheureusementce n'était pas vraiment quelque chose que je contrôlais, à mon grand désespoir. Je me sentis si bien lorsqu'il je l'entendis me dire que je lui manquais aussi. C'était tout ce que j'avais besoin d'entendre. Presque aussitôt je me sentais joyeuse. C'était dingue ! "Y a plutôt intérêt que tu ne penses qu'à moi sinon gare à toi. (innocente) Mon odeur partout ? Je ne vois pas de quoi tu parles, mais alors vraiment pas." répondis-je en tentant de ne pas rire. Oui j'avais évidemment fait exprès d'asperger toute la maison de mon parfum, juste au cas où. C'était ma façon de marquer mon territoire si vous préférez. "Actuellement j'attends que mon père se réveille de sa sieste. Puis je pense à toi... Et à notre folle nuit d'hier. C'était magique bébé !" Rien que d'y repenser j'en avais des frissons. Sérieusement il avait été plus que performant si vous voulez tout savoir. Et je sais que vous le voulez petits coquins.

"déjà dis pas amour, dis mon amour " grognais je comme d'habitude. Je me plaignais de son surplus de jalousie pourtant la mienne était rapidement présente aussi. Quand elle n'était pas auprès de moi c'était davantage difficile de maîtriser tout ça. Pourtant la deviner heureuse me rassurais et me calmais aussitôt avant de me mettre à rire à ses mensonges "Je connais tes techniques, tu ne me l'as fait pas à l'envers à moi " après tout je faisais la même chose, au cas où. On élimine les tentations. Malgré que ma petite sœur pétait des câbles vis à vis de ça. "Ça fait combien de temps qui l'a commencé ?" questionnais je pour me mettre à sourire et grondais tendrement "Ne m'excite pas ! T'es pas la je vais vite devenir dingue !" je me coupais quelques secondes en essayant de ne pas trop penser à la nuit passée sachant que vis à vis de ça j'avais légèrement du mal à me contrôler. "en plus tu sais comment je suis quand je dois attendre " prévenais je la voix déjà presque chaude

Sa remarque me fit sourire. Monsieur aimait que je me montre ma possessivité. Soit, j'allais exaucer ses désirs alors. "Oui MON amour" répondis-je en prenant bien soin d'accentuer le mon. Aussitôt une musique me vint en tête. Mon amour mon cœur d'Anais ou un truc du genre. Putain non. Je détestais avoir des chansons du genre en tête ! Heureusement en le concentrant sur les paroles de Caleb la mélodie s'éloignait peu à peu. Ouf, sauvée. Je ne pus m'empêcher de rire à sa remarque. Mince, j'étais démasquée, pensais-je amusée. En plus il ne pouvait pas se moquer il faisait exactement pareil, c'était drôle à voir. Heureusement que j'adorais son parfum sinon imaginez le massacre. "Je ne peux rien te cacher bébé de toute façon." Et c'était vrai, il me connaissait bien trop pour ça. À sa question je regardais ma montre avant de répondre "Une vingtaine de minutes environ. Donc j'ai le temps..." Oui connaissant mon père j'avais encore une bonne heure devant moi, voire plus. J'adorais quand il me grondait, ça m'excitais encore plus je vous jure. "Mais j'ai rien fais ! C'est pas ma faute si j'y repense... Puis je suis dans la même situation que toi bébé." Il était peut-être plus pervers que moi -quoi que- mais c'était dur pour moi aussi de résister. Rien que là je sentais le désir monter en moi c'était mauvais signe. Je riais à sa remarque. "Oh oui je sais ! T'es plus grincheux que le nain de Blanche Neige c'est pour dire !" Un Caleb frustré était un Caleb ronchon. Il pouvait être de très mauvaise humeur dans ces cas là. "Mais tu sais.. Rien ne t'interdis de me rejoindre hein..." lentement je me mordis la lèvre espérant qu'il devine mon geste.

"Tu mérites des baffes" pestais je comme un gosse à sa réponse joueuse. Je poussais un large soupir feintant une colère, étant pourtant à deux doigts de rire. "Non rien, je suis trop fouineur pour puis t'es une trop mauvaise menteuse " me moquais avant de rajouter devenant bien rapidement joueur "Heureusement que t'es meilleure au lit que tu l'es en tant que menteuse, sinon l'horreur " et franchement c'était vrai, bien même pour sa première fois elle avait été parfaite mais plus de temps passait et davantage elle excellait ! Et j'aimais à penser que c'était grâce à moi. Sans trop y réfléchir je répliquais "Beaucoup de temps devant toi même " la voix, légèrement mystérieuse. Je poussais de petit grognement "Menteuse ! Tu cherches à me rendre dingue et me faire pêcher ! Tu essayes de me mettre en colère et de m'exciter en même temps, sale perverse !" menaçais je doucement sachant qu'il ne fallait pas que je m'emporte sinon j'allais tomber dans son jeu. "vas y décris moi ton état dans ce cas " pourtant j'avais rajouter ça et j'étais entrain de chuter voulant moi aussi jouer. On allait voir qui allait plonger en premier. "C'est de ta faute ça ! Tu me fous en chien et après je suis comme un con à attendre toute une saloperie de journée en me faisant des films de dingue qui me font douter de ma santé mentale !" me plaignis je. Parce que putain que c'était vrai. Tout le long d'attente quoique je pouvais faire elle m’obnubilait et je devenais dingue à imaginer tout un tas de situation et surtout à fantasmer sur son corps. Et rien que d'y penser je me sentais déjà faiblir. Elle serait là, je l'aurai déjà violé. "Comme ça on ferait tellement de bruit que ton père nous verrait en très bonne posture sur la table de sa propre cuisine. Parce que oui je te prendrais dessus après te faire l'amour contre la porte d'entrée. " je grognais voulant limite gémir et je savais déjà ce qu'elle faisait la, je connaissais son foutu tic qui me rendait fou "arrête de te bouffer la lèvre ! Ce n'est pas parce que je ne vois pas que je ne devine pas !" grondais je à nouveau "je n'aime pas quand tu me rends dingue comme ça... Sérieux bébé tu sais que ça me fou en chien " soufflais je la voix suave

Je riais à sa réponse. Il n'était jamais content celui là de toute façon, pensais-je amusée. Je ne dis rien le laissant poursuivre. Moi mauvaise menteuse ? Il n'avait pas tord, du moins avec lui il m'était impossible de mentir. Dès que je voyais son regard je me mettais à rire et c'était foutu, j'étais grillée ! "Je ne peux malheureusement pas te contredire là dessus. Enfin, je sais mentir à certaines personnes quand même." Oui comme à mon père par exemple. Devant lui je jouais très bien la petite fille modèle. Si il savait ce que j'étais devenue le pauvre... Un large sourire prit place sur mon visage lorsque j'entendis la suite. "Au moins tu admets que je suis au bonne au lit, même si je le savais déjà. T'es pas mal non plus dans ton genre." Ça me rassurait toujours de l'entendre me dire vu qu'il était mon unique expérience au niveau du sexe. Mais qu'elle expérience hein ! Je n'aurai pas pu trouver meilleur partenaire au lit, de ça j'en étais certaine. Néanmoins je ne flattais pas trop son égo même si je n'en pensais pas moins. Caleb était un dieu au lit ni plus ni moins. J'en avais des frissons rien que d'y penser brr ! Si il savait ce que je pensais... Je riais franchement à sa réponse. Dans le fond il n'avait pas totalement tord, ça m'amusait. J'adorais le rendre fou ce n'était tout de même pas la faute si ? Puis il était tellement sexy quand il avait envie de moi... Je vous jure que le regard qu'il me lançait dans ces moments lâ me donnait envie de lui arracher sauvagement ses vêtements et de lui faire l'amour sur le champs. "En tout cas ça a l'air de marcher. Je sens rien qu'à ta voix que tu brûles de désir bébé. Avoue que je suis forte !" Je faisais la belle mais je n'était pas en meilleur état que lui. Oh non ! Je commençais à avoir des papillons dans le bas du ventre et ce n'était vraiment pas bon signe. Je risquais de ne pas tenir très longtemps. Il voulait que je lui décrive mon état ? En chaleur était la seule chose qui me venait à l'esprit. "J'ai chaud, terriblement chaud. Je commence même à trembler ! J'ai la poitrine gonflée et dure rien que de penser aux caresses que tu pourrais le faire, ça te va là ?" Je savais que mes paroles n'allaient pas arranger son état, ni le mien d'ailleurs mais je m'étais contentée de dire la vérité. Il doutait de sa santé mentale ? Mon dieu cet homme était fait pour moi il n'y avait plus aucun doute ! Car si il savait ce que je pouvais penser parfois il serait surpris... "Personne ne t'a demandé d'attendre toute une journée tu sais. Au pire tu peux dire bonjour à ta main droite en attendant" répondis-je légèrement moqueuse. Bah quoi ? C'est un homme hein et comme tous les hommes il se touche, enfin moins depuis qu'on est ensemble j'espère. L'image qu'il me mit en tête ensuite me fit drôlement sourire. Je nous voyais déjà à faire l'amour partout dans la maison et le regard choqué de mon père face à sa précieuse petite fille. "Imagine la tête de mon père. (rire) Il verrait que je ne suis plus une petite fille prude et sage. Le pauvre... Si il savait ! N'empêche tu serais pas capable d'attendre jusqu'à ma chambre gros pervers que tu es hein ! " Non mais c'est vrai quoi, ma chambre était pas si loin que ça de l'entrée quand même. M'enfin je sais pas si je serais capable d'attendre jusque là moi aussi. J'étais satisfaire et plutôt fière qu'il devine mon geste et j'imaginais pas dans s'il état il était. Ce geste l'avait toujours rendu dingue, à mon plus grand plaisir d'ailleurs. "Désolée bébé... Mais jte jure j'ai trop envie de toi là maintenant. C'est urgent quoi. Je pense qu'à ça c'est un truc de malade. En plus tu devineras jamais ce qu'il y a chez mon père. Du caramel... C'est bête je m'en suis mis dans le cou en mangeant ce midi et personne n'est là pour me l'enlever..." Et voilà je savais que j'avais fini de l'achever. Le caramel était son péché mignon. Et moi aussi d'ailleurs.

Je rigolais à sa réponse. Parce que oui, le pauvre père. Lui qui croyait que Robby était la fille douce, tendre et surtout très prude. Si il savait comme elle était maintenant. Ou bien ce qu'elle pouvait penser. Je crois qu'il en ferait une crise cardiaque le pauvre. Je le plaignais mais ça me faisait quand même sourire cette image parfaite qu'elle arrivait à lui renvoyer. Puis à sa seconde réponse je soufflais "T'es bonne tout court même "et je souriais comme un con. Pourtant très franc. Parce que putain son corps, je n'en pouvais plus. Il était parfait. Sa bouche. Ses seins. Son ventre. Ses jambes. Ses fesses. Un fantasme cette nana. J'en frissonne rien qu'à la visualiser. "Genre pas mal ?! Je vais t'en mettre ce soir, tu vas voir le pas mal. Demain tu n’arriveras même plus sortir du lit " la prévenais je en lâchant un rire coquin. "Non t'es qu'une peste " avant de soupirer d'envie et d'imaginer tout ce qu'elle me disait. Je laissais échapper un violent soupir d'envie, sur le point de gémir. "Arrêtes foutu pestes ! Me parle pas de tes seins comme ça ! Tu me fous mal sérieux ! Pourquoi tu me fais ça ?" me plaignis je vraiment à bout, à la limite de ne plus en pouvoir. Ma main droite ? Je sifflais "Ma main droite tu vas te la prendre ouais ! Je vais pas me péter le poignet parce que ma copine est une garce ! Toi tu vas faire quoi avec tes doigts hein ?!" ça y est j'étais franchement trop excité ! Et elle me mettait en rogne quand elle me faisait ça. Pourtant j'adorais ces moments. Entendre sa voix envieuse au téléphone ça me tuais "ramènes ton cul et viens utiliser ta main ouais !" grondais je et étant réellement sérieux. Avant de rire. "Genre tu serais capable d'attendre jusqu'à ta chambre ? À peine t'entendrais ma voiture se stopper que tu serais déjà dehors à me rejoindre pour que je te prenne à l'intérieur " me moquais je "je sais comment que t'es, fausse prude " cette fois c'était foutu ! Elle avec du caramel sérieux, elle abusait "Putain t'es une saloperie ! Ne fais pas ça sérieux ! " gueulais je presque. "J'ai envie de toi sérieux ! Et t'es même pas là. T'as même pas l'intention de venir en plus et tu continues à vouloir me faire bander !"

Oh putain, j'arrêtais pas d'avoir le regard choqué de mon père en tête si il apprenait qui j'étais réellement. Mais le plus dingue c'est que ça me donnait envie de rire. Waouh, le choc que ce serait pour lui n'empêche. Parce que ouais je jouais la petite fille sage à la perfection. Pas besoin que mon father soit au courant de la vie sexuelle assez active je devais bien le dire. Et encore active c'était un euphémisme. J'étais une vraie nympho et Caleb était pas mieux. Au lit je ressemblais plus à une tigresse qu'à un ange si vous voyez ce que je veux dire. Un large sourire de dessina sur mon visage de démon lorsque je l'entendis dire que j'étais bonne. Bah quoi c'était vrai après tout j'étais réaliste hein. Et si certaines se vexer d'entendre leur mec leur dire ça c'était pas du tout mon cas, au contraire ! "Je sais que je suis canon bébé mais c'est gentil de le confirmer." Moi modeste ? Ah ah faudra repasser pour la modestie désolée ! "Et que devrais-je dire de toi ? T'es un orgasme ambulant, c'est pas permis d'avoir ton corps." Non mais sérieusement vous l'avez vu ? Franchement la première chose qui me vient en tête quand je le vois c'est "BANDANT" et direct après j'ai envie de lui arracher ses vêtements mais pas qu'avec les mains hein non avec les dents aussi. Grr la tigresse est de sortie. Ouais ou pas. Putain il se rendait compte qu'il m'aBllumait comme un dingue lui aussi ? Rien que d'imaginer ce qu'il allait me faire ce soir ça me rendait toute chose. Ça devenait humide dans la culotte ah ah. Faites pas les choqués hein c'est une réaction normale ! Bande de coincés. "J'en doute pas bébé. Belle excuse pour rater les cours n'empêche. Et bah robbyn pourquoi t'es pas venu ? Oh je pouvais pas mon mec m'a trop baisé hier soir je pouvais plus bouger. Ça passerait nickel non ?" Je me retenais de rire à ma connerie. Ce serait tellement drôle à dire n'empêche. Et croyez moi j'étais bien capable de le faire. Me tentez pas ! Ses soupirs me faisaient frissonner. Entendre son désir était tout aussi excitant que de le voir. C'était peut-être même pire. Et moi j'en rajoutais encore et encore. "Quoi ? Qu'est-ce qu'ils ont mes seins ? Tu aimes les dévorer d'habitude pourtant." répondis-je joueuse. Mais j'avais déjà en tête les caresses de Caleb sur ma poitrine et ça me rendait folle ! En lui donnant envie je me donnais envie aussi, c'était horrible. "La garce elle t'emmerde sale chien. Et puis laisse mes doigts tranquilles ils sont bien là où ils sont." Non n'allez pas croire que j'étais en train de me toucher bande d'obsédés va ! Ma main était posée sur le lit et voilà. Je faisais rien de mal, enfin pour le moment. "Et pourquoi ce serait à moi de me bouger d'abord ? Allez viens feignasse !" Bah quoi pourquoi ce serait à moi de me déplacer ? La galanterie c'était inexistant chez lui je vous jure. Bon tant mieux j'aime pas ça mais tout de même, merde. Il pouvait faire un effort. Je riais doucement à la suite de ses paroles. Il me connaissait trop bien ! Évidemment je serais incapable d'attendre qu'on atteigne ma chambre, fallait pas pousser non plus oh. "Tu m'as démasqué ! Toute façon elle est confortable ta voiture alors ça te gênerais pas pervers que tu es !" Pas besoin d'un lit pour faire ce qu'on avait à faire hein. N'importe quel endroit suffira ah ah. Je savais ! Je savais que j'allais l'achever avec le caramel. Putain je suis trop bonne. High five with myself yeah. Avouez que je suis forte quand même ! Mais putain qu'est-ce que l'envie était là ! "Eh ! Mais moi aussi j'ai envie de toi, t'es pas le seul à être dans cet état. J'ai peut-être une solution si tu es sage..."

"Avec grand plaisir bébé" rigolais je très sérieux de chacun de mes propos. Ce qui me rendait dingue chez elle c'est que je pouvais lui parler à mon aise. Le terme bonne ne la vexait pas et au contraire elle sen contentait plus que bien, à la limite je sentais qu'elle aimait l'entendre. Plus d'une autre nana aurait déjà fait une crise pour le manque de respect de ce mot. Alors que sérieusement dire t'es trop jolie, et dire t'es bonne, la deuxième phrase en envoi plus. Je ne sais pas moi, ça exprime bien le ressentit de l'instant non ? Elle était bonne, elle était bonne. Être juste belle et rien d'autre ça ne sert à rien. C'est inutile. Nada. Être bonne c'est un excitant ensemble. Je souriais au combiné à sa réponse. C'est dingue comme elle était pareil que moi. Alors je surenchérissais "Développes donc tes dire " jusqu’à éclater de rire, laissant passant une légère tension d'excitation dans le timbre de ma voix. "Belle excuse non ? En même temps le vilain prof qui te bloque au lit devrait s'excuser au téléphone auprès de ses étudiants, parce qu'il le pourrait pas laisser sa préféré seule, non ? Faudra qu'il la soigne. Et tel la citation : On soigne le mal par le mal. Dans ce cas tu ne seras plu absente un jour mais sûrement une semaine. Le temps que je continue ma punition sur toi et que tu te rétablisses, au moins un minimum " j'expliquais le tout non sans sourire envieux. Depuis le départ je surveillais bien attentivement son parcours et ses résultats. Je ne voulais pas d'une nana stupide. Je voulais une canon mais aussi qui en avait dans la tête, pour du répondant c'était nettement plus intéressant. Mais des que ça touchait au sexe j'avais des retranchements assez développé. Une semaine de cours ce n'était rien, ça se rattrapait vite, hein ? Enfin, passons. Hop on parlait de ses seins, l'excitation restait bien présente, je ne pensais qu'à ça. C'était bien une partie que son corps qui me rendait nerveusement envieux. Un simple décolleté et je manquais de faire péter mon jean. Et je peux vous assurer qu'ils étaient tout aussi beau dénudé. C'était l'une des parties de son corps qui me faisait le plus rapidement bander. Et ce que j'étais entrain d'imaginer le prouver directement. Bizarrement ma partie favorite c'était son ventre parce que malgré sa poitrine vachement volumineuse il était tout plat. Il était vraiment parfait. Je lâchais un long soupir d'envie avec tout de même une pointe de lassitude, je devais dingue mais elle n'était pas là. "C'est blasant que tu ne sois pas là" je marquais une poser "je te l'aurais déjà bouffer, et bien d'autre chose encore " je m’enfonçais dans le canapé en la visualisant parfaitement dans ma tête tout en l'écoutant avec un large sourire, pervers. Exactement. Je haussais un sourcil. "merci petite chienne " rétorquais je tout d'abord bien amusé, en reprenant "et ils sont ou tes doigts ?" je ne pouvais m'en empêcher. Fallait que je joue. Fallait que je m'enfonce encore plus dans l'envie de la posséder. Je la voulais et fallait que je la mette au bord de la dinguerie comme elle le faisait aussi bien avec moi. "parce que t'es la femme, t’obéis à ton dieu !" grognais je. Ça va je déconnais bien même si ouais fallait qu'elle se ramène. À la maison y aurait pas de quoi devoir se retenir. Chez son père si. Et croyais moi dans l'état dans lequel je me retrouvais il était impossible d'être raisonnable. C'est comme demandé à un puceau pré-pubère de ne pas sortir le jus trop vite, non possible. Je souriais à cette remarque mental avant de rire à ses paroles. "Ça t'exciterais dans la voiture ! Mais tu la salirais toi, tu te laisserais trop aller !" soufflais je moqueur voulant la tenter encore plus en la provoquant avant de me couper net à ses autres paroles, me redressant d'un coup. Une solution "Mais je suis sage !" assurais je. Ouais je l'étais. Je gardais mes mains loin de mon boxer malgré l'envie qui me bouffait de plus en plus et qui limite devenait douloureux "dis moi la solution " grondais je la voix brûlante. Ça y est je pouvais plus la !

Des fois je me demandais si j'étais une fille comme les autres. Non mais sérieusement j'avais rien de normal comme nana, j'en avais peut-être le physique mais pas plus. Je ne me vexais pas pour un rien et n'était pas super fan du romantisme. Ouais je m'en tamponnais pour tout vous dire. Et je préférais largement que Caleb dise de moi que je suis bonne plutôt que je suis belle. Tarée moi ? Peut-être bien mais c'était ce qui faisait mon charme après tout. Faites pas genre hein je sais que je vous plaît mes poulets. De toute manière seul l'avis de Caleb comptait. Il m'aimait comme ça alors je n'avais aucune raison de changer. J'étais comme j'étais, point barre. Je souriras à sa réponse. Monsieur avait besoin que je flatte son égo ? Soit ! Il avait de la chance que je sois de bonne humeur. "Bébé tu sais très bien que t'es sexy hein. Ton corps musclé là putain qu'il me fait de l'effet ! Sans parler de tes tatouages... T'es putain de viril c'est fou ! Puis bon.. Y en a aussi dans le pantalon je dois l'admettre." Bon je n'avais pas de point de comparaison mais j'étais certaine que Caleb était gâté à ce niveau là. Enfin je veux dire si lui en avait une petite j'imaginais pas celle des autres putain. Rien que d'y penser j'en riais. Ouais je me fais rire seule et alors ? C'est tout un art je vous assure. Au moins je m'ennuie pas. J'écoutais la suite de ses paroles amusée. Si ses étudiants l'entendaient mon dieu... J'imaginais déjà leurs gueules de choqués c'était tordant ! Même si parfois le fait que Caleb soit prof ça me saoulait bien comme il faut je devais dire que c'était super excitant. Les petits regards discrets à l'université, les parties jambes en l'air dans les salles de cours avec la peur qu'on nous surprenne putain que c'était bon ! Mais y avait pas que des avantages. Le truc le plus chiant c'était les filles. Ces étudiantes qui bavaient en le regardant espérant qu'il leur accorde un peu d'attention. Pathétique ! Elles me donnaient envie de les gifler. Mais bon d'un côté je les comprenais. Je veux dire c'était impossible de rester insensible au charme de mon homme. Mais je ne partageais pas. Pas du tout même. Alors la seule envie qui me prenait c'était de leur arracher les yeux et de leur faire bouffer. Mouahaha. Je suis sadique. "Meilleure excuse du monde même ! Hum l'idée me plaît... Je ne serais pas contre une semaine de repos. Enfin repos, non. De sexe intensif plutôt ! C'est bien plus intéressant que les cours et je suis bien plus jolie que tes étudiantes avoue le." Non mais sérieusement vous avez vu la gueule des autres filles ? Bon y en avait des belles quand même mais très peu. Le reste c'était des pimbêches couvertes de peinture. Horribles. Beurk. J'étais bien contente de pas être comme elle ! Puis en plus d'être moche elles étaient connes. Ok j'étais loin -très loin- d'être un génie mais tout de même je n'étais pas stupide non plus. C'était juste que les études je trouvais ça barbant. J'y allais pour mon père et aussi pour Caleb car mine de rien je savais qu'il faisait gaffe à mon parcours scolaire. Je pouvais le comprendre. Puis j'avais pas envie d'être un boulet, je comptais bien m'en sortir par moi-même. Hors de question d'être un poids pour les autres ! Mais je n'y pensais déjà plus que la conversation déviait sur mon anatomie. Ou devrais-je dire ma plastique superbe (modestie mode on ah ah). Je sais qu'il aimait mes deux gros petits lolos. Ils lui faisaient toujours beaucoup d'effet à mon plus grand plaisir ! L'image qu'il me mettait en tête était à deux doigts de me faire craquer. Si bien que j'eus une sorte de spasme dans tout le corps. Bordel ! L'excitation était bien là, c'était certain. "Chut. Tais toi. Dis pas des trucs comme ça j'en peux plus là ! Bébéééé !" gémissais-je comme une enfant. Non mais sérieusement pourquoi il était pas là ? Vie cruelle ! C'était horrible et presque douloureux tant j'avais envie de lui. Heureusement par je ne sais quel miracle j'arrivais à me retenir. Bon j'avais pas trop le choix, quoi que y avait bien une autre solution qui s'offrait à moi mais non. Je ne voulais pas être la première à craquer en tout cas pas comme ça. Un rire franc s'échappa de ma bouche suite à sa réponse. "Mes doigts ne sont pas là où tu penses gros pervers !" Ouais ouais hein je savais à quoi il pensait. Mais je m'appelais pas Caleb moi, les mains restaient là où elles étaient. J'espérais d'ailleurs qu'il en était de même pour lui car très vite une idée m'était venue en tête. Et j'allais très vite la lui partager. "Dieu de mon cul ouais !" rétorquais-je à cette remorque macho. J'avais l'habirude avec lui et j'adorais le remettre en place sur ce sujet à chaque fois. Parce que ouais j'étais loin d'être une petite soumise croyez moi. Et alors qu'il me parlait de le faire dans la voiture je sentais l'envie monter encore et encore. J'étais au bord de l'explosion mais il fallait que je tienne encore un peu. "Genre ! Je suis sûre que tu serais trop excité pour contrôler le tuyau !" Bon par tuyau vous voyez ce que je veux dire hein pas besoin de vous faire un dessin. Je souriais fière de moi face à sa réaction lorsque j'évoquais une solution possible. Ça me donnait l'impression d'avoir le pouvoir et putain que j'aimais ça ! Et vu la situation on pouvait même dire que c'était moi aux commandes hé hé. "Et bien vu que mon père est parti pour dormir encore une bonne heure voire deux j'me suis dis que j'aurai pu prendre sa voiture et venir te rejoindre à la maison. J'aurai qu'à lui laisser un mot lui disant que je suis allée faire un tour parce que je m'ennuyais. Le connaissant il me posera même pas de questions du moment que je rentre en vie et que sa voiture n'a rien. Mais bon c'est juste une idée hein..." dis-je d'un ton coquin sachant très bien que Caleb accepterait ma proposition. Il était probablement dans le même état que moi -voire pire- alors c'était dans son intérêt d'accepter.[

Je souriais en l'écoutant parler de moi. J'étais constamment complimenter. Parfois même mes défauts elle les vantait et ça me faisant encore plus craquer pour elle. Parce ça me soulageait de voir quelle était identique à moi. Ce que j'aimais chez elle en premier c'était c'est foutu défaut puis son corps, vraiment j'en étais dingue ! Je peux pas cacher qu'il m'a grandement aider pour tomber amoureux d'elle. C'est une perfection aussi. Je l'entendais rire et je devinais déjà quelle devait se dire de sacrée connerie dans la tête alors je questionnais aussitôt "Vas y tu penses à quoi ? Je t'entends rire petite coquine " cette fois je riais à mon tour, de toute manière juste je l'entendais que je partais aussi dans un délire. J'en pouvais rapidement plus d'ailleurs. Puis hop mon invitation détournée faite je la laissais déjà imaginer le plan alors que je pensais à la prochaine semaine de repos pour mettre à exécution ses dires. "On péterait le lit, le matin, le midi, l'après midi, le soir, non stop, et je te mangerai dessus aussi " soufflais je déjà bien ancré dans le moment. Et la voyant au bord de l'excitation je reprenais "Je dois pas dire quoi ? Que je te boufferai les seins ça ? Ah pardon je tai dit que je te boufferai les seins " malsain en souriant derrière le combiner la voix pleine de jeu mais imposante par le désir. Parce que tout ce que je disais je le mettais en scène, je ne pourrais dire quelque chose de différent. Jusqu'à lâcher un gros rire "quoi je n'ai jamais dit que tes mains se baladaient, j'ai juste supposé quelles étaient bien installés sur tes cuisses, c'est tout "répondis je avec la mine du type bien innocent. Innocent qui s'entendait malgré qu'elle ne se voyait pas. "qu'est ce t'as femme tu veux que jte latte ?!" grondais je tel un bon gros salaud à deux doigts d'exploser de rire. Je savais que ça la mettait hors d'elle et jadorais ça c'était orgasmique. Je souriais "j'attends que tu viennes le vider alors je suis patient " surencherissais je. Avant de boire ses mots me redressant d'un coup dans le canapé à ses paroles. "Sérieux, viens, viens, viens maintenant ! Ce n'est pas une idée c'est un éclair d'intelligence bien bandant. " insistais je "Viiiiiite !" m'excitais je à bout en sachant qu'elle n'allait pas tarder.

Je savais qu'il ne fallait jamais trop complimenter un homme pour ne pas qu'il prenne la grosse tête mais sérieusement c'était dur de ne rien dire avec un gars comme Caleb. Je n'étais pas du genre à garder ma langue dans la poche, quand j'avais un truc à dire je le disais point barre. Et sincèrement j'en avais des choses à dire que lui et sur son corps de dieu grec. Alors pourquoi se priver ? Bon parfois je me retenais un peu car après monsieur jouait le mec macho et je détestais ça. Heureusement ça me donnait l'occasion de le remettre à sa place et croyez moi je me gênais pas pour le faire redescendre sur Terre. Toute façon on adorait se fighter lui et moi, notre relation était ainsi depuis presque toujours, c'était ce qui nous caractérisait. Je souris en voyant qu'il me connaissait par cœur même si je n'en avais jamais douté. Il savait que je pouvais avoir souvent des délires toute seule, parfois il me surprenait morte de rire alors qu'il n'y avait personne avec moi. Schizophrénie bonjour ! Bon je lui dis ou pas ? Allez ! "Et bien j'étais en train de me dire que si toi tu avais une petite bite j'imaginais pas la taille de ceux qui en ont des grandes. Parce que bon j'ai vu que la tienne mais quand même hein. Dis tu m'autoriserai à voir celle d'un autre juste pour pouvoir comparer ?" Evidemment je savais qu'il allait dire non, enfin j'espérais qu'il dise non car je ne comptais absolument pas voir un autre homme à poil ! C'était de l'humour si vous n'aviez pas compris. Mais bon c'était vrai je n'avais pas de points de comparaison, c'était pas ma faute tout de même. Je me reconcentrais sur la proposition de Caleb. Proposition plus qu'alléchante il fallait l'avouer ! Sincèrement il faudrait être folle pour refuser une idée pareille ! Entre une semaine de cours et une semaine au lit avec mon homme, le choix était vite fait. Ça me faisait rire n'empêche et je pouvais pas m'empêcher de penser à la pauvre Lison qui allait devoir supporter nos ébats pendant une semaine. Rien que d'y penser ça me faisait rire. "Ta sœur va être ravie je pense (léger rire) Hum tu mangerai sur moi intéressant ? Quelle genre de choses tu mangerais dis moi ?" Bordel pourquoi je lui demandais des trucs pareils sérieusement ? Je devais aimer me faire du mal car ouais j'avais tellement envie de lui là que se retenir était douloureux. J'étais au bord de l'explosion croyez moi ! En plus il insistait encore et encore voulant le rendre folle comme je le rendais fou. Putain mais comment je faisais pour tenir. COMMENT ? C'était pas humain d'avoir envie à ce point, sérieusement. "Arrêtes bébé je t'en prie arrête..." soufflais-je doucement me tortillant sur mon lit tant l'envie était présente. J'avais les images en tête et ce n'était pas du tout bon pour moi ! Et si mes mains étaient bien loin de mes cuisses elles risquaient de ne pas mettre très longtemps. "Pour l'instant elles n'y sont pas mais si tu continues je risque de pas pouvoir m'en empêcher !" Je disais ça mais je comptais le retenir quand même. Franchement se faire du bien toute seule c'était pas vraiment mon truc. Caleb était bien meilleur et il comblait largement tous mes désirs ! "C'est moi qui vais te latter tu vas voir !" Ok j'avais envie de lui mais j'allais pas me laisser faire non plus hein ! Même si je savais qu'ill disait cela en plaisantant évidemment. Je le sentais à sa voix, il cherchait juste à m'embêter rien d'autre. Je riais à sa remarqué sachant que vu l'idée que j'avais en tête je pourrais mettre à exécution ses désirs. L'impatience de Caleb me fit grandement sourire. Et bien monsieur était vraiment excité là je n'avais plus aucun doute ! Je riais en l'entendant me dire de venir. Il avait l'air d'un enfant qui réclame ses cadeaux le jour de Noël c'était trop craquant. "Je peux être intelligente quand je veux t'as vu ? C'est bon zen j'arrive laisse moi dix minutes bébé. Le temps que je fasse la trajet et te touche pas pendant que je conduis hein ! Sinon abstinence !" riais-je commençant déjà à me diriger vers la voiture. J'étais tout aussi pressée que lui d'arriver à la maison.

Je partais dans un fou rire à sa réponse, c'était trop bon ce quelle me disait. Pas parce qu'elle me complimentait mais la façon dont elle me l'avait dit on aurait dit un bébé. Je craquais d'amour pour elle t'en elle était adorable "t'es trop adorable la manière dont tu dis ça je fond " je l'aimais trop. Rien que pour ça j'avais envie de la prendre dans mes bras et de la couver. C'était furieux ce genre d'envie parfois javais tellement l'impression à avoir à faire à une petite gosse, j'aimais trop. "Tu veux que je te saute et te fracasses ou quoi ?" Caleb le jaloux de retour. Je savais quelle plaisantait, mais je pouvais pas. Sérieusement c'était trop pour moi, je n'arrivais pas contrôler ça. C'est la mienne je n'aimais pas les autres délire "Jamais tu ne verras une autre queue que la mienne, je peux te le jurer ça " grondais je pour ensuite respirer un bon goût "Pardon, je me laisse emporter "soufflais je en riant faisant mine de lui envoyer un baiser par téléphone. Et des qu'elle parla de ma sœur j'étais à deux doigts de me remettre à rire comme un con. Mais elle avait raison, mon pauvre bébé prenait cher à chaque fois. Et si elle était la cette fameuse semaine je pense quelle nous butterait. "Je lui payerais des vacances de une semaine " trouvais je comme solution. Et après bordel dans toute la maison sans se faire incendier. Le bonheur loin de la débandade. "Du caramel, du chocolat, de la glace, du beurre de cacahuète, je mangerai n'imp juste pour pouvoir lécher ta peau avec " soufflais je tout tremblant d'envie. À sa voix suppliante je ne pus que continuer "Imagines mes mains qui vont traîner partout et ma bouche et ma langue la ! Sur ton ventre, tes seins, ton cou, ton bas ventre, tes cuisses, je te boufferai de partout et entre les cuisses pour la fin !" insistais je m'excitant tout seul en prenant une voix d'enfant je reprenais l'entendant bouger dans le lit, sachant très bien ce que ça voulait être "t'en empêches pas alors ! Aller fais moi plaisir, laisses toi aller, soulages moi en faisant ça, s'il te plait mon bébé, dis toi que quand tu rentres les miens les remplaceront " continuais je encore mais vraiment envieux. J'attendais que ça. Puis bien droit dans le canapé je n'étais concentrer que sur elle et ses mots qui me rendait vite rêveur "dix minutes c'est long ! T'as intérêt à bien sucer si je dois me retenir jusque la (petit rire) vite je suis a bout bébé " et je écoutais prendre la voiture faisant déjà les cent pas dans l'appart.

C'était bon de pouvoir confier ce que je pensais à Caleb. J'avais beau avoir des conneries en tête il prenait toujours ça a la rigolade au lieu de me traiter de famine comme l'auraient fait certains. Je l'aimais encore plus pour ça. Il acceptait mon côté femme enfant (même si je savais des fois que ça pouvait le gonfler mes délires de petite fille). Et puis ce rire... J'adorais l'entendre rire. Sérieusement c'était du bonheur à l'état pure. J'avais l'impression qu'une bouffée de joie me prenait à chaque fois et je tombais encore plus amoureuse. Et sérieusement comment ne pas craquer lorsqu'il me répondait ce genre de chose ? Je ne me vexais pas du tout quand il disait qu'il me trouvait adorable. Certes ça ne faisait pas très "femme" et alors ? Il avait cerné les deux cotés de ma personnalité et il m'aimait pour ça. Je me mis quelque peu à rougir à l'autre bout du fil. Heureusement qu'il n'était pas là pour voir ça tient ! Je détestais rougir, ça me donnait l'air timide alors que c'était pas du tout dans mon caractère. Oui mais voilà j'étais touchée par ses paroles et c'était plus fort que moi. Je souris en l'entendait faire le jaloux. J'étais certaine qu'il allait réagir à ma remarque même si cette fois il n'y avait aucun jeu perverse derrière, j'avais seulement dit ça pour plaisanter car je n'en pensais pas un mot. Sérieusement c'était vraiment pas quelque chose qui me viendrait à l'esprit. Je sortais avec un orgasme ambulant pourquoi je voudrais voir un autre gars sérieux ? Faudrait être folle on est d'accords ! "Je rigolais bébé tu le sais bien ! Mais c'est plaisant de te savoir jaloux, même si tu n'as vraiment pas de quoi t'inquiéter." C'était peut-être tordu ou je ne sais quoi mais j'étais toujours rassurée de le voie jaloux. Je partais du principe que si il l'était alors il ne me considérait pas comme acquise vous voyez ? La jalousie en fait c'est juste une peur. La peur de perdre l'autre. Voilà tout. Ainsi il avait peur de me perdre, du moins de mon point de vue et c'était bon à savoir car tous les jours je craignais qu'il m'échappe. Je flippais à l'idée qu'il puisse s'en aller avec une autre. Je vous jure ça me bouffait de l'intérieur, alors ce genre de petites réactions me faisaient un bien fou. Je me mis à rire en pensant à Lison. La pauvre se plaignait déjà du bruit que l'on faisait alors toute une semaine entière de sexe intensif elle risquait d'en mourir ! Elle avait tout essayé : les boules quies, s'endormir avec de la musique, mettre le coulent de la télé au maximum mais rien à faire on était trop bruyants pour elle. Ce n'était tout de même pas ma faute si Caleb était un dieu au lit ! Impossible pour moi de ne pas crier. Je vous jure ! J'avais essayé et tout mais rien à faire ça sortait tout seul. "Bonne idée ! Au moins on serait libres de faire tout le bruit qu'on veut." répondais-je d'une voix sensuelle. Une semaine sans Lison à la maison je n'imaginais pas les dégâts ! On aurait plus aucune limite et putain ça me donnait encore plus envie de lui ! Ce serait le bonheur total et je croisais les doigts pour que cette proposition soit réalisée pour de vrai. Je me mis à frémir en entendant la suite. J'imaginais déjà Caleb me manger sur le ventre. Vous avez déjà marié la nourriture et le sexe ? Non ? Alors foncez ! Deux plaisirs en un. C'était quelque chose que j'adorais. Je m'amusais parfois à tartiner Caleb de chocolat ou de caramel et croyez moi ça ne restait pas longtemps sur son corps. J'imaginais déjà toutes les choses qu'on allait pouvoir faire. J'avais presque la sensation de sa langue sur ma peau et ça me faisait tomber un peu plus dans le désir. Et plus il parlait plus je m'enfonçais. J'imaginais tout ce qu'il me disait et ça me faisait craquer. Tout mon corps frissonnait et je fus prise de tremblements tant j'avais envie de lui. Je me tortillais comme un ver sur mon lit étant dans l'impossibilité de rester statique face à ses mots. Je le voulais et je le voulais maintenant ! "Bébé..." soufflais-je pleine de désir. J'avais chaud, terriblement chaud. J'allais craquer, je le sentais. Mon dieu pourquoi n'étais-je pas à la maison à ses côtés ? Je n'en pouvais plus. Ses dernières paroles m'avaient fait succomber. J'étais foutue. Pourtant il restait encore en moi assez de contrôle pour ne pas accéder à sa requête. Non je ne voulais pas en arriver là surtout maintenant que je savais que j'allais le rejoindre. Ça allait être dur mais je pouvais tenir encore quelques minutes. Il avait beau essayer de me faire tomber je tenais bon ! "Non bébé je ne céderai pas, bien tenté tout de même. Désolée pour toi mais mes mains vont rester là où elles sont, au calme. Je préfère laisser les tiennes faire le travail, elles sont expertes dans le domaine." Oh ça oui ! Caleb savait exactement comment s'y prendre pour me faire du bien. Aucun doute entre ses mains c'était le paradis assuré ! Voilà pourquoi j'étais prête à tenir. Courant presque jusqu'à la voiture, le portable en main je riais à la remarque de mon homme. Je savais qu'il était sérieux malgré le ton qu'il avait employé. De toute façon il n'avait pas à s'inquiéter de ce côté là je comptais bien combler toutes ses attentes comme je le faisais toujours. À chaque fois je tenais à satisfaire Caleb comme il le fallait. Si il prenait son pied alors je le prenais aussi. Son plaisir passait avant le mien. "Je me dépêche promis ! Je vais être aussi rapide que l'éclair tu vas voir !" Et sérieusement je comptais l'être vu à quel point mon envie était au maximum. Je ne pouvais pas le désirer plus, croyez moi. "Je t'aime mon amour, à tout de suite." Et je raccrochais en même temps que je fermais avec hâte la porte de la voiture. J'en  profitais pour envoyer un texto à mon père le prévenant que j'étais sortie et hop direction la maison pour de folles aventures !