Sujet: Visite de courtoisie [PV Barbie-Joe P. Sullivan] Dim 24 Nov 2013 - 21:27
Le 901, un bar grandement fréquenter à Los Angeles, il y a toujours foule le soir et beaucoup de personne qui y traine chaque jour aussi, c’est parfois assez surprenant de s’arrêter devant d’ailleurs, mais moi, je ne m’y arrête jamais pour rien, quand je vais là-bas ce n’est n’y pour boire ni même pour assurer la sécurité du lieu, au contraire, il y a une personne là-bas qui m’intéresse grandement. Une jeune femme d’ailleurs, plusieurs fois que je la contrôle déjà, elle doit surement penser que je m’acharne sur elle et c’est un peu vrai, mais elle est fort sympathique et dans un endroit de la sorte, je crains toujours le pire moi, donc oui, elle est toujours en règle, mais pour son patron je suis sur que c’est différent et c’est ça que je guète, j’attend le moindre faux pas pour le détruire et faire en sorte que tout aille pour le mieux pour elle. D’après les statistiques relayées, il semblerait que les agressions surviennent essentiellement à la sortie des bars et des boites de nuit dans les heures les plus tardives et malheureusement je ne sais que trop bien que c’est réel pour avoir déjà vécu cela plusieurs fois. Je n’en suis jamais la victime évidemment, je suis surtout celui qui s’occupe des suites, c’est d’ailleurs assez emmerdant par moment ces histoires et heureusement pour moi, ou plutôt pour nous, tout se règle assez rapidement, surement l’avantage d’avoir été dans cette école qui forme les futures pousses du FBI, autant dire que ça m’aura bien servis, du moins je le pense. Enfin, je m’embête pour pas grand-chose puisque de toute manière il ne me semble pas que le problème ai pu être ici une seule seconde, bien au contraire même je dirais. Non le problème aujourd’hui concerne la jeune femme dont j’ai commencer à vous parler tout à l’heure, pour faire simple, elle est sympathique, plutôt bien foutu aussi mais un peu jeune pour travailler ici au milieu de tout ces pervers et ça j’ai un peu de mal, elle je ne peux rien lui reprocher bien que j’ai essayé plus d’une fois d’ailleurs, mais si je ne peux pas m’en prendre à elle de manière direct, je vais devoir me retourner sur son patron et là je suis sur d’avoir la gagne. Autant dire que lui il est dans le collimateur de certains collègue d’après ce que j’ai cru comprendre je n’aurais donc aucun mal à en venir à bout, mais mon soucis ne le concerne pas, il concerne plutôt Barbie. Regardant ma montre, je sortis de la voiture et m’asseyais sur le capot regardant les gens sortir les uns après les autres, jusqu’à ce que je la vois elle. Dans ma tenue de service bien noir, je me levais donc et m’approchais doucement de la jeune femme, léger sourire aux lèvres.
« Mais qui voilà ? Un peu jeune pour un bar non ? Papier d’identité s’il vous plait. »
On travail, toujours rester bien correct, surtout vu le boulet qu’il m’ont refilé aujourd’hui, fais chier que mon équipier soit malade je me retrouve avec lui, un je peux pas me le blairer, deux c’est un moins que rien, trois c’est une balance, au moindre petit truc louche il va aller voir le patron, un vrai con je vous jure, vivement la promotion ou le changement de service, ça ne peut que me faire du bien, ou alors, arrêtons de me foutre des boulets dans les pattes quand mon équipier est malade ou blessé, c’est une tarte ça, j’en ai ma claque. Toutefois, il n’a aucun ordre à me donner lui, il est nouveau dans le service et en prime il ne vaut pas grand-chose. Vivement que je retrouve la mienne en tout cas. Oui, j’ai bien la car mon équipier est en réalité une équipière mais passons, j’ai déjà le cas Barbie à régler encore une fois.
Citation :
653 le 30/11/13
Invité
Sujet: Re: Visite de courtoisie [PV Barbie-Joe P. Sullivan] Lun 2 Déc 2013 - 3:36
Stop bothering me. Ft. Barbie+Apo
Il y avait de ses journées où rien ne va. Comme si le temps était quelque chose après lequel il fallait courir. Le réveil qui ne sonne pas, le bus qui part sans elle, la douche qui n'a plus d'eau chaude, l'oublie de son argent à l'appartement, le retour, le bus qu'elle manque encore, pour finalement arrivé au boulot avec une heure de retard. Son patron n'est pas content. Le 901 déborde de clients et elle remplace deux serveuses qui sont en vacances. En d'autres mots : c'est la folie. Et dans cette folie, elle s'est fait engueulée par au moins trois clients, à oublier une commande pour ensuite la renverser en totalité sur le sol. À eu du retard dans son service pour ramasser les dégâts, à reçu un blâme de son vieux patron qui l'a finalement placée derrière le comptoir pour le reste de la soirée. Là elle ne ferait aucun dégât, et elle était beaucoup plus à l'aise qu'au service au table. Cependant, ce qu'il ne savait pas, était que Barbie n'avait pas l'âge de boire de l'alcool, donc techniquement, d'en servir aussi. Mais c'était quelque chose qu'elle ne lui avait jamais dit, au risque de perdre cet emploi qui malgré toute les merdes qui lui arrivait, lui plaisait beaucoup plus que son emploi de mannequin. Travailler au 901 lui faisait rencontrer toute une gamme de gens bizarres, amusants et intéressants. Ses soirées étaient riches en conversation, et en plus, elle attirait une clientèle plus jeune, ce qui plaisait au dît patron.
Mais ce soir, elle ne lui plaisait pas. C'était même tout le contraire. Elle avait cru qu'après cette année à travailler ensemble, il l'aurait apprécié un peu plus. Ils se parlaient souvent, et il était très collant lorsqu'il s'y mettait, mais peut-être le fait qu'elle l'eut repousser gentiment plusieurs fois avait fait en sorte qu'il ne l'aimait plus tant que ça. Il s'était montré plutôt froid ces derniers jours, et elle se demandait bien ce qui avait changé. Elle n'avait pas changé d'attitude, simplement signifié qu'elle n'était pas disponible, même si c'était faux. Quoi qu'il en soit, l'ambiance n'était pas très chaleureuse, mais heureusement, elle travaillait pour les clients, pas pour passer du temps avec cet alcoolique à moitié aveugle.
Son quart de travail s'était terminé sans autre accident. Elle avait fait un bon pourboire et elle pourrait aider Théo avec les frais de l'appartement. Comme elle avait terminé, elle se débarrassa de son tablier qu'elle laissa sous le comptoir et se dirigea dans le vestiaire pour retirer son uniforme et remettre ses vêtements de tout les jours. Lorsqu'elle travaillait, elle devait porter une jupe rouge beaucoup trop courte et un t-shirt noir moulant avec le logo du 901. C'était inconfortable à la longue, et elle était bien heureuse de retrouver son jeans. Elle était en train de mettre son t-shirt lorsque son patron se présenta dans les vestiaires, tout en verrouillant derrière lui. Mauvais signe. Il allait encore péter un câble. « C'était vraiment un service de merde ce soir. T'as perdu la main ou t'es vraiment juste une grosse débile incapable de servir? » Elle avait l'habitude de ses insultes. Elle ne répondit pas, se disant que comme toujours, il allait lui foutre la paix en voyant qu'elle n'était pas affectée. Seulement, là, il était bien remonté, beaucoup plus que d'habitude. « Répond quand j'te cause! C'est moi le patron ici, tu me dois le respect et une réponse! » Il s'était rapproché alors qu'elle attachait ses cheveux. Par réflexe, elle recula d'un pas et répondit, par prudence. « Non, je n'ai juste plus l'habitude de servir au table. Ça reviendra...Y'avait beaucoup de clients et... » Elle n'eut pas le temps de terminé sa phrase qu'elle reçu une incroyable gifle, sans doute pour l'audace d'avoir répondu. Sous le choc, elle ne bougea pas, ne le regarda pas, et attendit qu'il disparaisse, mais il se remit à hurler. « T'es qu'une petite salope sans cervelle. À la prochaine erreur, t'es à la porte. » Et il partie, comme ça. Comme si rien n'était arrivé, alors que la joue de Barbie lui brûlait furieusement. Comme quoi, il avait bien mal prit qu'elle n'ait pas voulu de lui et qu'elle ait voulu cesser les attouchements. Avoir su, elle n'aurait rien dit.
Penaude, elle sortie du 901 en vitesse dans le but de rentrer chez elle. Mais comme sa journée de merde n'était pas terminée, elle se fit arrêter par une voix familière. Encore lui. Légèrement énervée, les yeux encore humides, elle se retourna vers Apollon, les bras croisés, puis s'approcha d'un pas décidé. « J'ai encore le même âge que la dernière fois que vous m'avez arrêté. Je n'ai rien fait d'illégal, et en plus, je suis sobre. Vous allez m'arrêtez agent Vancove? » Elle prononça son nom de famille avec ironie, se moquant clairement de lui. Elle était encore sous le choc et légèrement en colère, mais pas forcément à cause d'Apollon.
Sujet: Re: Visite de courtoisie [PV Barbie-Joe P. Sullivan] Mar 3 Déc 2013 - 8:48
Il y a des jours où tout ce passe pour le mieux, d’autres où au contraire rien ne va et aujourd’hui était l’un de ces jours où l’on est mitigé. Oui c’est vrai, rien à voir avec ce que je disais, mais c’est tellement beau d’arriver à faire le mélange des deux je trouve. Avec Alessia tout va, mais avec mon équipier rien, je hais ce boulet, je le déteste au plus haut point et de savoir que c’est lui qui fait le remplacement de Johanna ou le mien me met en rogne. Du coup aujourd’hui ma journée qui allait bien ou presque est devenu un véritable enfer avec sa simple présence, mais cela n’aurait en rien changer mon programme, j’avais souvent le même principe le soir, aller emmerder un peu Barbie, du moins elle pensait que c’était pour l’emmerder, mais elle n’est pas majeur et travailler dans un tel établissement pouvait très vite tourner au drame, sous mes air de grands méchant casse pied, je me rassurais essentiellement en m’assurant qu’elle aille réellement bien et que rien ne ce soit passé. On est beaucoup à avoir des soucis avec son patron du coup il ne sera pas dur de le faire bouclé le jour où il arrivera quelque chose à la jeune fille. Attention, quand je dis arriver quelque chose je ne parle bien évidemment pas de quelque chose d’irréversible, mais un peu d’alcool ou des mots voir des gestes déplacer, un peu de harcèlement éventuellement, des broutilles en soit, mais largement suffisant pour en finir avec lui. Ce n’est pas la première fois que je viens contrôler Barbie et je sais que jusqu’à présent tout c’est toujours bien passé, à mon plus grand désespoir ? Peut-être bien après tout je ne sais pas... Mais cela était rassurant, d’ailleurs j’ai toujours été étonné qu’il l’ait embauché alors qu’elle n’a que seize ans, le patron est forcément en tord, soit il a fait abstraction soit il n’a pas pris la peine de vérifier son identité, à moins qu’il y ait des faux papiers là-dessous, mais j’en serais tout de même fortement étonné. Pour le moment, je devais surtout m’assurer que tout aille bien, c’est ce que je fais de mieux, puis officiellement c’est également mon métier, c’est donc sur le parking en face du bar que j’avais arrêté la voiture, je sais que certains s’amuserais à nous insulter ou autre, mais le boulet était là pour s’occuper de ce genre de cas puisque de toute façon je ne partirais pas d’ici sans m’être assuré que tout va bien pour la jeune femme. Je peux être très têtu quand je me m’y mets, demander à Alessia elle se fera un malin plaisir de vous le dire.
Je n’attendis pas forcément très longtemps avant de voir sortir l’intéresser du bar et d’aller en suite à sa rencontre. Mon petit sourire disparut très rapidement quand je l’entendis parler, c’est bien la première fois qu’elle m’envoie bouler de la sorte, elle avait les bras croisé, parfait pour se protéger soi-même, se couvrir de quelque chose, il s’était passé un truc ? Mes cours de profilage peuvent peut-être me servir parfois, c’est surement pour ça d’ailleurs que mon boss veux me promouvoir pour pas que je rejoigne les force d’élite, mais ça ce n’est pas gagné encore. Je me plaçais donc juste devant elle la dévisageant complètement, j’aurais dû répondre car dans le fond c’est une forme d’outrage qu’elle venait de faire, mais elle a quand même bien droit à un petit point cadeaux après tout. Elle peut dire qu’elle a de la chance je crois...
« Quelqu’un d’autre oui je l’aurais embarqué sur le tas. »
Je ne sais pas ce qu’il c’est passé ce soir dans ce bar, mais elle n’est pas dans son état naturel là, n’importe qui aurait pu le savoir de toute manière. Elle semblait énervée contre quelque chose, ma présence ? Possible, pourtant jusqu’à présent elle a toujours pris un malin, plaisir à me voir repartir bredouille sans rien sur elle donc pourquoi cela aurait-il changé aujourd’hui n’est-ce pas ? Puis franchement la moquerie ce n’est pas quelque chose que j’apprécie énormément du coup ça ne l’aide pas non plus à me voir partir plus tôt je le crains. Observant chaque trait de son visage ou bien même de sa tenue, ce sont ses yeux qui ont surtout retenu mon attention, des yeux brillants, signe que quelque chose à bel et bien eu lieu ce soir, je n’aime pas trop savoir qu’il a pu lui arriver quelque chose mais j’ai peut-être enfin une occasion d’éclater son patron. Je pense que je vais devoir venir faire au moins semblant de boire un coup dans ce bar de façon régulière, au moins j’en aurais le cœur net, du moins peut-être pas moi mais une autre histoire que ça passe inaperçu malgré tout.
« Tu ne m’as pas l’air en forme ce soir, je présume qu’il c’est passé quelque chose n’est-ce pas ? Cela ne m’étonnerais que peu, ton patron est le plus gros salopard de Los Angeles, mais on a jamais rien eu à se mettre sous la dent, pourquoi tu ne me dirais pas plutôt ce qu’il s’est passé, tout le monde y trouve son compte comme ça. »
Elle me le dit, je peux régler son cas et elle est libérer de ce salopard, facile dans le fond non ? Bon après par contre va falloir qu’elle trouve un autre travail, mais il y aura bien une gérance pour le 901 après tout, elle pourra y rester en attendant que le problème soit régler, puis avec un peu de chance il sera forcer de vendre son affaire et on arrivera à convaincre le repreneur de garder Barbie, mais là encore je trainerais dans le coin, hors de question que je la laisse bosser dans un bar de toute manière alors que je sais pertinemment ce qui traine à l’intérieur...
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Visite de courtoisie [PV Barbie-Joe P. Sullivan]