Hé oh ! Tu sais comment je m’appelle ? Mon nom est Matthews et mon prénom est Zelda-Ann Swann. Tu aimerais en savoir plus sur moi ? Alors continue à lire. Je suis née en 1989 le 20 juin à Los Angeles, j’ai 24 ans. Je suis de nationalité américaine. J’adoooore les hommes, je suis donc hétéro et je suis célibataire. Cela fait depuis toujours que je suis dans cette ville. J'ai choisie Shailene parce que cette fille est juste une déesse, je cherchais un endroit où l'interpréter.

→ Je suis végétarienne, luttant contre la maltraitance je ne mange aucune viande simplement je comprends que ce n'est que mon point de vue, je ne jugerais pas ceux mangeant de la viande. → Le désordre est interdit chez moi, j'ai tendance à être légèrement maniaque simplement je vis une vie saine alors pourquoi ne serait-ce pas la même chose chez moi.→ Je suis une passionnée de spots extrêmes et cela depuis mon plus jeune âge, j'aime le fait de me sentir libre, le fait d'avoir ce sentiment lorsque je suis tantôt dans les airs, tantôt sur la route et j’aime ça. → Mes relations amoureuses furent un véritable désastre, comment pourrais-je entretenir une relation alors que je ne sais m'occuper de personne, même une plante verte ne tient pas une semaine… La chanson qui me résume : Mouth Shut ♫ VeronicasDans "Mouth Shut" les Veronicas racontent l'histoire d'une fille qui n'a rien dit à son copain alors qu'elle savait très bien que leur relation n'allait pas durer et qu'elle ne l'aimait pas autant que lui (elle devait l'aimer autant qu'un ami). La jeune fille à essayer de se forcer à aimer le garçon pour que leur relation continue, pour ne pas le faire souffrir mais elle se rend compte que ce n'est pas une bonne idée. Et un jour elle en a assez de vivre ce mensonge et décide de dire la vérité. → La musique fait partie de mon quotidien, lorsque je ne suis pas au travail, j'ai l'Ipod aux oreilles, simplement ce n'est pas de la musique récente, j'aime les anciens tubes..... Je suis une fan inconditionnelle des Jimi Hendrix et Lenny Kravitz, et même si certains ne cessent de me charrier, je ne démord pas. Les vinyles s'entassent dans ma chambre. → Je suis claustrophobe. Les espaces trop exigus m'angoissent profondément, à tel point que je suis obligée d'ouvrir toutes les fenêtres d'une voiture lorsque je me trouve dans l'habitacle.  → Je fume beaucoup trop. J'ai essayé d'arrêter à maintes reprises mais, malgré ma volonté de fer, je crois que je n'en ressens pas l'envie et les pubs anti-tabac ne m'atteignent plus depuis un bout de temps.→ En tant que femme qui se respecte, je suis une grande fanatique de mode, des dizaines de chaussures s’empilent chez moi et ne parlons même pas des robes, je pense que je peux en mettre une différente chaque jour pendant plusieurs mois. → Je ne supporte pas les personnes qui se rongent les ongles, je trouve ça négligé et tellement écœurant, surtout lorsque l’on sait les bactéries que cela comprend. → J’ai un goût très prononcé pour le vin et la pâtisserie en tout genre, je pourrais passer mon temps dans une pâtisserie, mais j’ai énormément de chance de pouvoir manger tout ce dont je désire sans prendre le moindre kilos. →

Zelda, tu es où ? Personne ne répondit, personne ne daigne apporter de l’aide à cette mère qui commençait à s’inquiéter, mais une tête brune débarqua derrière elle, le visage peinturluré et des vêtements, dix fois trop longs, sur elle. C’était moi ! Je n’étais qu’une enfant, pas l’enfant la plus sage, mais jamais rien de grave. Ce jour-là, je me souvins de la peur que j’avais faite à ma mère, je m’en voulais énormément en y repensant à présent, mais sur le coup le rire fut lancé. Je venais de passer plus d’une heure à utiliser le maquillage de ma mère, à essayer tous les vêtements dont j’avais accès, je n’avais qu’une dizaine d”années, mais déjà un petit caractère de chipie comme on l’appelait souvent. Alors que d’autres parents se seraient emportés contre l’enfant turbulente dont j’avais fait preuve ce jour-là, je vois encore ma mère se pencher vers moi afin de m’enlacer contre elle, elle semblait tellement rassurée que je sois-là, que rien ne me soit arrivée, mais il n’y avait rien à craindre.. Mais en allant dans sa chambre, cela fut totalement différent, je fut tout de même puni pour ce que j’avais fait, mais rien de bien méchant, mon père ne laissait jamais mes punitions allaient jusqu’au bout, j’étais sa petite merveille comme il aimait le dire, un sourire et je savais que je pouvais avoir tout ce que je désirais. D’ailleurs, pendant toute mon enfance, je n’ai jamais été frappée, ni même mise à la porte, ni même abandonnée, je n’ai jamais manqué de quoi que ce soit. D’ailleurs, cela peut expliquer pourquoi je suis devenue une jeune femme capricieuse aujourd’hui, mais cela n’est rien de méchant juste exaspérant pour certaines personnes. Si l’on devait évoquer mon niveau scolaire, je dirais sans encombres, j’ai toujours aimé apprendre, enfant je passais mon temps un crayon à la main, je possédais cette soif de connaissance et de découverte du monde qui font de moi la femme cultivée que je suis à présent. Cela n’a pas changé à présent, j’aime apprendre, le métier que je fais actuellement ne me suffit pas, j’ai encore besoin d’apprendre plus et devenir une personne respectée et respectable.
Papa, papa, je peux venir avec toi. Prononçais-je tout en ornant mes paroles d’un sourire angélique, sourire dont j’avais l’habitude en sa compagnie. Alors qu’il s’apprêtait à aller voir une course de voiture, je voulais tellement aller avec, qu’il n’a pas su résister. Ni une, ni deux, j’étais déjà montée dans la voiture afin de prendre la direction du lieu du rallye, la seule condition fut de rester constamment à ses côtés, ce qui n’allait pas être très compliqué à faire. Depuis l’âge de treize, quatorze ans je suis devenue une adepte des courses automobiles, des sports extrêmes, un peu comme un garçon manqué, mais j’aimais ça. A la maison, j’étais partagée entre plusieurs passions, ce qui me permettait de passer autant de temps avec ma mère qu’avec mon père, ma mère se servait souvent de moi comme modèle, elle avait cette fâcheuse tendance de tenter de nouvelles coiffures avec ma longue chevelure brune. Oh, j’allais oublier la période de ma vie ou j’avais les cheveux roses, il ne faut pas m’en vouloir j’avais quinze ans, j’étais en pleine crise d’adolescence et je me cherchais un style, d’ailleurs à présent je suis devenue brune de nouveau.

Avant de continuer cette autobiographie, j’ai préféré laisser un chapitre entier pour vous parler de l’homme de ma vie, le seul homme qui ne me blessera jamais, mon grand-frère. Attention mesdemoiselles, je vous présente Wayne, un bellâtre qui est devenu l’homme dont je rêve, il est comme un modèle, un idéal à mes yeux.  
“Wayne, tu peux venir m’aider.” Criais-je du jardin vers l’intérieur de la maison, je n’avais que treize ans, il en avait trois de plus, je venais de coincer un objet dans l’arbre, une sorte d’objet débile que je pouvais avoir à l’époque et qui permettait de faire un voeu, bref des inepties d’adolescente, mais il fallait qu’il se coince dans l’arbre situé non loin avant que je le rattrape. Je vis Wayne débarquer, je partis me mettre dans ses bras avant de lui expliquer ce que j’avais fait, mais rien qu’à voir son sourire je savais qu’il allait trouver une solution, cependant je ne voulais pas qu’il se fasse du mal. “Fait attention Wayne, sinon je demanderais à papa ce soir. Ne t’en fais pas Maggie, je suis là, je vais t’aider.” Il n’eut aucun mal à récupérer cet objet, mais en redescendant de cet arbre, une voix les fit sursauter. “Wayne, qu’est ce que tu fais encore ? Toujours à faire des âneries cet enfant.” Et les voici se disputant encore une nouvelle fois, je n’aimais pas les voir comme ça, j’avais l’image d’une famille parfaite, j’étais encore trop jeune pour comprendre ce qu’il se passait exactement. “Papa, c’est moi qui ait demandé à Wayne de m’aider.” Il s’approcha alors de moi afin de me caresser les cheveux tout en disant : “Pourquoi tu n’es pas venu me voir, bon ce n’est pas grave mais la prochaine fois, viens me voir chérie.” Je fis signe de la tête et le regarde s’éloigner alors je m'empressai d’aller voir mon frère afin de le prendre contre moi, j’avais tendance à être très affective envers lui.
Plus les années passèrent, plus la complicité avec lui s’accentua, de nombreux frères et soeurs vous diront qu’entre eux, il y eut des chamailleries, des disputes constantes, une éternelle rivalité et jalouse, mais rien de tout ça entre Wayne et moi. Nous n’avons que trois ans d’écart, mais j’ai tellement l’impression d’être fragile et protégée lorsqu’il se tient à mes côtés, mais ce jour là fut une déchirure pour moi. Le voici quittant le cocon familial, chose que je ne pouvais pas admettre, j’adore mes parents plus que tout, mais Wayne me comprenait, il savait ce que je pensais sans avoir besoin de le dire, on se comprenait en un regard alors avec qui allais-je passer mon temps libre à présent. Cette séparation fut la plus dure à vivre, il fallait trouver une solution, je n’avais que quinze ans lorsqu’il prit son envol.  Il me restait plusieurs années avant de pouvoir choisir une université et quitter moi aussi le cocon familial, pendant ces années je passais la majorité de mon temps chez lui, dès que les vacances s’approchaient mes valises étaient déjà prêtes afin de me rendre en sa compagnie. Puis mon téléphone était constamment allumée jour et nuit afin qu’il puisse me contacter lorsqu’il le désirait. Quelques années plus tard, notre relation est de plus en plus belle, on se parle de tout et de rien, je connais tout sur lui, que ce soit son histoire avec cette jeune femme du lycée, cette relation ne comptait pas s’arrêter de sitôt.

A présent, j'avais délaissé le domaine scolaire afin d'entrer dans la vie active. L'argent ne pousse pas dans les arbres, malheureusement je suis issue d'une famille modeste, j'ai du vite apprendre à me débrouiller par moi-même. Une maladie m'a empêchée de pouvoir vivre mon adolescence, à présence celle-ci est encore présente, elle régresse grâce aux traitements, je dois simplement me limiter...