Hé oh ! Tu sais comment je m’appelle ? Mon nom est Brundag et mon prénom est Mira. Tu aimerais en savoir plus sur moi ? Alors continue à lire. Je suis née en 1991 le 18 Septembre à Moscou, j’ai 22 ans ans. Je suis de nationalité Russe. J’adoooore les hommes, je suis donc Hétérosexuelle et je suis célibataire. Cela fait 2 mois que je suis dans cette ville. J'ai choisie Amanda Seyfried parce que l’on s’est mis d’accord avec le monsieur.

Pas méchante, un poil rebelle, elle est plutôt douce avec les gens qu’elle aime et qu’elle apprécie. Elle est aussi très rêveuse, très fugueuse : elle a beaucoup de mal à rester sur place, à ne pas bouger, à ne pas fuir quand ça devient trop sérieux. Elle a des rêves plein la tête : elle aime voyager, bouger, danser. Elle est très sociable, juste un peu fragile. Elle n’est pas très bavarde, à part quand elle est stressée ou quand elle se sent mal à l’aise. Elle sourit, beaucoup, tout le temps, et ne pleure que lorsqu’elle craque vraiment, ou qu’on lui fait du mal. Ou aussi, elle n’aime pas entendre les gens crier, c’est pour ça que, petite, elle s’enfuyait quand ses parents se criaient dessus. Ce n’est pas une fille à problèmes, au contraire : elle aime la vie, elle aime la danse. Franche, loyale, fidèle, elle n’a pas vraiment de défaut : peut-être que, parfois, elle est lunatique. Mais pas tout le temps, alors je ne sais même pas si on peut lui reprocher ça. Elle aime cuisiner, mais elle n’aime pas manger. C’est comme ça, ce n’est pas une fille gourmande. Elle aime le sport, les bars, les nuits d’ivresses : boire, boire, boire, et faire comme si la vie ne lui appartenait plus. Elle aime ça. Elle est unique. Elle est belle. Peut-être un peu trop, peut-être pas assez. C’est quelqu’un d’assez mystérieuse, d’assez… Difficile à cerner. On ne peut pas vraiment l’apprivoiser. Mais il ne faut pas désespérer. Et puis, elle peut avoir l’air inoffensive, mais il ne faut pas croire : elle n’aime pas qu’on lui marche dessus, alors elle sait s’imposer. Parfois même, il lui arrive de faire des coups bas, pour rendre les gifles qu’on lui donne. Elle est très intelligente, sous ses airs de princesse perdue. Ne pas se fier aux apparences est une expression qui lui convient si bien. Elle est là parfois, puis elle est silencieuse. Et elle danse. Pendant des heures. Les yeux fermés, elle ne s’arrête pas. Elle danse.

Je vais vous raconter ...

Elle est née à Moscou d’une mère Russe pure souche, et d’un père Allemand pur souche. Vous voyez le genre de fille que ça a pu donner ? Et bien voilà, Mira est née. Une jolie blonde avec des yeux uniques : bleu comme la mer, et profond comme l’océan. Elle n’a jamais été très chiante : comme tout bébé, elle pleurait, puis dormait. Et plus elle grandissait, plus elle souriait. Elle était passionnée de danse : dès qu’elle a su marché, peut-être quand elle a commencé à réfléchir par elle-même, elle a commencé à danser. « Maman, inscris moi à la danse classique » Et qui aurait cru que sa carrière commencerait à partir de là ? Elle passait ses journées à danser, tantôt en cours de récré, tantôt dans la rue, tantôt dans son univers : tout était prétexte à danser. Ne jamais se balader sans musique, ne jamais laisser la danse de côté. Elle parlait danse, vivait danse. Et avec son intelligence supérieure, suivre à l’école était un jeu d’enfant. Elle a toujours été en avance par rapport aux autres : elle parlait avant, marchait avant, courrait avant les autres. Elle faisait tout avant. Et c’est probablement ça qui a fait que ses parents se disputaient sans cesse. Cela a commencé à ses 8 ans, et ça ne s’est jamais arrêté. Combien de fois était-elle partie de la maison, en courant, ne supportant pas les cris ? Elle n’a jamais aimé que ses parents se disputent. Et puis, ce qui devait arriver arriva : ses parents divorcèrent, son père retournant en Allemagne avec une fille, sa nouvelle fiancée. Et elle a commencé à se réfugier dans son monde, dans sa danse. A 14 ans, elle était la meilleure de toutes : elle dansait dans les meilleures écoles, tout le monde se l’arrachait. Et sûrement que ce monde fut trop violent pour elle, sa mère s’enfuie avec sa petite fille, essayant d’éviter la foule de paparazzi. Mais manque de bol, lors d’un rond-point, une voiture les faucha. Accident ? Meurtre ? On n’en sait rien. Ce que l’on sait juste, c’est que sa mère est morte devant ses yeux, et qu’elle fut incapable de parler pendant des années : renfermée dans son mutisme, elle est retournée chez son père. Elle s’est créée un monde à elle, une bulle unique. Elle ne parlait à personne, elle dansait juste, en souvenir de sa mère. Et elle a commencé à vouloir voyager. Découvrir le monde. Rire, sourire, rencontrer les bonnes personnes, et ne pas rester ici, dans ce pays froid et austère. Elle n’a jamais aimé l’Allemagne, et a toujours renié ses origines : probablement que l’adultère de son père y était pour quelque chose. Alors il n’y a pas si longtemps, et après avoir accumulé de l’argent, elle a décidé de partir. Du jour au lendemain. Un simple sac sous le bras, ses affaires de danse, elle a pris l’avion et a atterri ici, à Los Angeles. Il n’y a pas deux mois, elle a trouvé un toit, un travail de danseuse. Elle était reconnue dans ce monde, et elle savait qu’elle pouvait se faire de l’argent si elle participait à ses ballets, alors elle l’a fait. Et depuis, le soir, elle sort, elle danse, elle boit, et elle se créée des bulles de vie parfaite. Jusqu’au moment de redescendre sur Terre. Un soir, ça n’a pas très bien tourné. Mais il était là, et puis il l’a sauvé. Elle a peut-être eu peur de la suite, elle ne sait pas, mais elle s’est enfuie, et elle ne l’a plus revu. Plus jamais.