Journaliste : Avalon, pourquoi avoir accepté après autant de refus, cette interview vérité ?
Avalon : Tout simplement pour mettre un terme à toutes ces rumeurs infondées.
J : Aucunes questions Taboues, c’est ce que vous avez désiré ?
A : Oui, remonté aussi loin que vous le voulez.
J : Pourquoi ce revirement, vous qui êtes si mystérieuse en général ?
A : J’ai mis un voile autour de mon passer depuis bien trop longtemps, si je veux que les rumeurs arrête, je dois être honnête et en accord avec moi-même.
J : On dit, que vous ne fêter jamais vôtre anniversaire, infos ou intox ?  
A : Infos, j’ai arrêté de le fêter quand j’ai mes 16 ans.  
J : Pour quel raison ?
A : Drame familiale.
J : Si je vous parle d’un incendie survenu le 24 août 2001 ?
A : Vous entrez dans le vif du sujet direct vous, grosse infos. Pour être précise c’était le soir de mon cinquième anniversaire. Et euh … Comme chaque année, ont fessaient d’une pierre deux coups. On se réunissait tous à la maison pour fêter le réveillon de Noël et ma naissance. Y avait tout le monde, grands-parents, père, mère, frère, la famille proche quoi. Le seul qui était absent, et ça lui a sauvé la vie, c’était mon parrain. Le frère de ma mère, qui a toujours été très connu pour son légendaire retard. Euh … Un incendie s’est déclaré, je me souviens de fracas dans le salon. D’une fenêtre brisée, c’est de là qu’est parti le feu. Après c’est vague, de la fumée, des cris, la peur, les bras de mon père … Les flammes, l’incendie a dévasté la maison dans sa totalité, piègent toutes personnes à l’intérieur. Y compris moi. Je ne me souviens pas vraiment comment je suis sortie, je me rappelle euh … j’arrivais plus à respirer, mes parents, comme tout le monde d’ailleurs, était allongé sur le sol. Je vois une silhouette floue, des bras qui me soulève et puis … Les pompiers mon retrouvée étendue sur l’herbe devant la maison. J’avais cinq ans, et j’ai été la seule et unique survivante de l’incendie qui a condamné une famille entière le soir de Noël, ma famille !
J : On vit comment après ça ? A cinq ans on …
A : On ne réalise pas.
J : Vous avez retrouvez tout souvenirs de cette nuit-là aujourd’hui ?
A : Non, c’est par flash. Tout reste vachement flou, c’est vague. Je sais ce qui sait passée, mais je ne me souviens pas clairement de cette nuit. C’est comme si cette nuit-là était irréelle, comme si je l’avais imaginée.
J : Pourtant vous l’avez bien vécue ce soir de Noël, en famille, comment l’on peut survivre après avoir rescapée d’une telle épreuve ?
A : On survit justement. On avance sans regardé derrière, on continue avec ce qui nous reste, ceux qui sont toujours vivant.
J : En l’occurrence, votre parrain ?
A : Oui.
J : Il avait quel âge à l’époque ?
A : 16 ans.
J : Il n’a pas l’âge légal pour être votre tuteur encore, comment vous avez vécu c’est cinq année ? Qu’est-ce qui vous est arrivée ?
A : En fait, ça a duré deux ans. Et non cinq, Euh … Mes parents étaient Européens, l’âge légal est de 18 ans là-bas.
J : Vous venez d’où Miss James ?
A : Je suis née le 24 Décembre 1996 à Londres. D’un père Anglais d’origine Italo-Allemande, et d’une mère Grec d’origine Belgo-Israélienne. Mon frère, lui était né en Amérique, à Miami pour être précise. C’est là-bas que mes parents ce sont rencontré au lycée.
J : Et bien, que vous est-t-il arrivée alors pendant ces deux ans ?
A : Famille d’accueil.
J : Une source nous a révélé que vous avez énormément voyagé ?    
A : Énormément, énormément, faut pas non plus extrapolée. J’ai pas mal voyagé, oui, du au travail de parrain. Faudra que vous me donniez le nom de vos sources que je leur dis deux mots.
J : Une source c’est l’élément essentiel d’un bon journaliste Devis vous savez. Vous avez atterris à Miami c’est bien cela ?
A : Oui, Miami, Miami … J’avais 15 ans.
J : Premier amour ? Infos, intox ?
A : Infos, j’y aie connus les deux seuls hommes de ma vie.
J : Pouvons-nous en savoir davantage ?
A : Euh … Histoire compliqué, Caleb avait 19 ans et j’en avais 15. Il avait pas mal vécu, il était légèrement accro au drogue douce à l’époque. Ce n’était pas ce qu’on peut dire une bonne fréquentation. Mais j’en suis tombée amoureuse dès que je l’ai vu. Duncan, Avais lui aussi 19 ans. C’était tout l’inverse de Caleb, sportif, sûr de lui, dragueur invétérée. Il sautait sur tout ce qui bougeait. Capitaine de l’équipe de foot du lycée. Il a fallu que je me rende compte que je l’aimais.
J : Cela c’est terminé de quelle manière ? Ils font toujours partie de votre vie ?
A : Alors, comme je vous l’ai dit, Caleb c’est une histoire compliqué. A l’époque, j’ai eu du mal à le convaincre qu’il ne me tirerait pas vers le bas. Il ne voulait pas, que je tombe dans ses vices. Le soir, de mon seizième anniversaire, ça fessait un an qu’on était ensemble. Et je ne sais pas, il a débarqué chez moi totalement camé. Il ne tenait plus debout, totalement stone. Je me suis occupée de lui, il a été en cure de désintox et il m’a trompé avec une fille de là-bas. C’est là que Duncan et moi, avons vécu notre première véritable histoire. Une fois la desintox terminé, il m’a suppliée de lui pardonnée. Je l’ai fait, j’ai pardonné, et j’ai mis Duncan de côté. Un an plus tard, ma carrière a commencé. On m’a découverte, et Caleb a rechuté. Je l’ai soutenu à bout de bras, tout comme Duncan me soutenais. Six mois après ça rechute, j’arrivais plus à suivre cours, Caleb, Duncan, carrière, concert, studio, fin la totale. Et j’ai commencé à prendre des médocs, ça à suivis par des drogues douce pour terminer comme tout le monde le sais par des dur. Caleb était trop occupé à se battre contre ses vices, pour voir que j’avais foiré. Parrain, travaillais comme un acharné, et me fessais total confiance. Le seul qui a remarqué que j’avais changé, parce qu’il faut avouer que ça se voyais là que j’avais grave changé. C’était Duncan, il m’a mis droit au mur. Quand Caleb a vu à quel point j’étais tombée bas, il a eu se putain de déclique et est retournée en cure. Quelques mois après c’est moi qui suis partie en cure, poussée par Duncan et parrain. Plus de téléphone, plus de portable, donc plus de nouvelle de Caleb. Duncan est venu chaque fois que j’avais visite autorisée, toujours là. Attendent que j’ouvre les yeux, ou que je daigne bien vouloir apercevoir en lui tout ce qu’il voit en moi. Depuis ma sortie, je n’ai plus eu aucune nouvelle de Caleb. Ce qui fait assez mal vu les circonstances.
J : Une histoire avec Duncan en vue ?
A : Mystère, seul l’avenir nous le dira.
J : Vous avez été droguée combien de temps ?
A : Je dirais deux ans, en comptant les médocs, drogue douce et dure.
J : Avais-t-il eu des signes flagrants de dérapage avant cela ?
A : Non, aucun. Je fumais des joints de temps à autre, je buvais de l’alcool, je sortais beaucoup. Mais je résistais a toutes autres tentation, ce que Caleb ne fessais pas toujours quand on sortait.
J : L’on peut juste faire un brève passage sur l’accident du quel vous avez été victime il y a peu ?
A : Euh … Traumatisme crânien, commotion cérébrale, genou droit exploser, mâchoire casser, poumon perforé, foie et rein touché. Je pense que je n’ai rien oublié, fin en fait je ne sais pas trop. Je suis resté dans le coma un mois et à mon réveil je ne me souvenais d’absolument rien. Mais vraiment que dalle. Y a pas mal de passage de ma vie que j’ai zappé.
J : Une idée de qui a fait ça ?
A : Je ne suis pas flic, ce n’est pas mon boulot de savoir ça. Mais, j’aurais peut-être sur vous répondre, avant l’accident. J’aurais peut-être su vous dire qui m’en voulais au point de vouloir m’a mort, mais au jour d’aujourd’hui j’en sais rien. Je sais simplement qu’il m’a raté de peu.
J : Apparemment ont vous en veux, c’est une certitude. Quand ont sais qu’un de vos garde du corps …
A : Alors, j’ai dit pas de questions taboues. Donc je vais y répondre brièvement, mais je n’ai ni l’envie, ni l’intention de rentré dans les détails. Une fois encore c’est au policier de faire leur boulot s’ils s’en sont capables. Je vais mettre un terme aux rumeurs, oui ont ses introduit chez moi, j’ai reçu pas mal de lettre alarmante d’après certaines personne, et oui … Oui ont bien essayé de me tuer lors de mon dernier concert. Ce qui m’a causé une belle cicatrice, à l’entrée de la balle et pas mal de dégâts interne.
J : Infos ou intox, avant tout cela vous commencé à vous souvenir plus précisément de la nuit de l’incendie ?
A : Infos, c’est peut-être pour ça. J’en sais rien.
J : Dernière question de cette interview vérité, vous sentez vous assez forte pour ne pas rechuté ?
A : Je viens de sortir de cure, et ces trois dernier mois ont été un vrai parcourt du combattent. J’ai pas vraiment envie d’y retourné, donc … Euh pour l’instant ça va, mais dans un mois, six mois, un an … Je ne sais pas.
J : Merci pour votre patiente, je n’oublie pas de précisé que votre nouvel album sort dans une semaine, foncez l’acheté.
A : Je voudrais juste précisé, que je fais une pause dans ma carrière, surtout au niveau concert. Je continuerais le studio et les albums, mais plus de concert pendant un moment. Voilà.