Hé oh ! Tu sais comment je m’appelle ? Mon nom est Wilson et mon prénom est April. Tu aimerais en savoir plus sur moi ? Alors continue à lire. Je suis née en 1990 le 4 juillet à Londres, j’ai 21 ans. Je suis de nationalité anglaise. J’adoooore les hommes, je suis donc hétéro. Je fais partie de la confrérie Bêta Psi et cela fait 3 ans que je suis dans cette école. J'ai choisie Ashley Benson parce que j'aime son rôle dans Pretty Little Liars, qu'elle et belle, drôle et simple.

April Wilson n'est pas ce qu'on pourrait qualifier de grande. Disons que du haut de ses 1m67 pour ses 52 kilos, elle est dans la moyenne. April est le genre de filles qui plaît aux garçons. Elle est ce qu'on appelle victime de son physique. En revanche, April est loin d'être dupe de l'effet qu'elle peut produire. Elle a des yeux très bleus voir gris et une longue chevelure blonde épaisse. C'est plutôt rare ce genre de physique, une grande majorité des femmes étant brunes. Beaucoup de garçons qui ne la connaissent pas jugent sur son physique et la pensent allumeuse et loin d'être studieuse. Cependant, April est tout le contraire. Elle charme les hommes malgré elle et ne s'aide pas de son physique pour cela. Ensuite, April s'habille rarement en marque. Bien sûr, comme toute fille qui se respecte, elle aime porter des robes et des talons ainsi que du maquillage quand l'occasion se présente mais elle préfère ô combien le naturel. En effet, elle aime porter ses grosses lunettes de vues, rester toute une journée pas maquillée et s'habiller dans des friperies vintages plutôt qu'en haute couture. Ses couleurs fétiches ? Les basiques blanc, gris et noir qu'elle porte la majorité du temps. Disonc donc pour conclure qu'April sait rester féminine en étant naturelle, sans trop de superflu.

April est une jeune femme généreuse, qui aime aider les autres. Elle est très studieuse. En effet, elle a toujours vu sa mère se remarier avec des hommes au compte en banque bien rempli et ne veut pas finir comme elle, elle veut réussir à s'épanouir seule, à ne pas compter sur les autres. April n'a pas énormément d'amis, elle préfère en avoir peu mais des bons plutôt que beaucoup en qui elle n'aurait pas confiance. April a souffert durant ses années lycée, voulant être populaire, elle accumulait les « amis » qui en réalité la voyaient seulement comme une garce et une « marie couche toi là ». Elle la très mal vécu et souffrait à cette période de troubles alimentaires. Aujourd'hui, tout va bien mieux mais April a retenu la leçon. April est donc une jeune femme studieuse et généreuse, elle a également un charme fou. En effet, c'est le genre de fille qui plaît énormément aux garçons – blonde aux yeux bleus, physiquement très bien faite – mais elle déteste être jugée sur le physique et ne s'aide pas du tout du sien pour séduire. En réalité, April est un vrai clown, elle aime amuser la galerie, danse tout le temps comme une folle, fais des blagues à longueur de journée et vois toujours le bon côté des choses. Elle reste naturelle à l'esprit décalé que ça soit auprès des filles ou des garçons. C'est ce côté d'elle qui est très attachant et qui séduit généralement beaucoup. Elle sait que son côté déluré plaît et c'est une raison de plus pour ne pas changer qui elle est. Il y a cependant une condition pour la voir aussi délurée, c'est qu'il faut faire partie de ses quelques amis proches. April est en fait de nature réservée avec les gens qu'elle ne connaît pas ou pas assez. Elle n'aime pas trop dévoilé qui elle est réellement trop vite, sûrement de peur de faire fuir les gens, de leur faire peur. Par contre, une fois que vois êtes rentrés dans le cercle très fermé de ses proches, attendez-vous à vivre les 400 coups avec elle. Elle-même se qualifie de « bizarre », c'est pour dire !

Commençons par le commencement...
Ma mère, Hélène Montgomery 24 ans et mon père, Georges Wilson, 26 ans, se sont rencontrés lors d'un gala de charité accueillant toute la haute classe de Londres. Mon père était un grand homme, investisseur dans de grands groupes internationaux, il avait compris comment obtenir beaucoup d'argent sans faire grand chose. Ce gala de charité était pour lui un investissement de plus et une façon de se faire bien voir. Ma mère au contraire était venue à ce gala afin de réellement aider des enfants en difficulté, chose qui lui tenait très à cœur. Elle n'a jamais fais d'étude et n'a de diplôme dans aucune matière, et malgré cela, elle s'est toujours obstinée à donner tout ce qu'elle avait à des gens encore plus dans le besoin qu'elle. Sa générosité ma toujours admirée et j'ai toujours voulue lui ressembler en ce point. En revanche, je n'ai jamais voulu lui ressembler en ce qui concernait le choix des hommes. En effet, mon père était loin d'être l'homme idéal. Mes parents - dont la rencontre s'est faite sur une attirance physique mutuelle - se marièrent très vite et un an après cela, une petite tête blonde est apparue dans le couple. Je pense que c'est à cause de moi que mes parents se sont forcés à rester dix ans ensemble, pour que je n'ai pas de troubles de l'affection ou de problèmes éducatifs. Mes parents se sont donc forcés pour mon bien à cohabiter même si ils ne se ressemblaient en aucun point et qu'ils savaient tous deux que cela ne durerait pas.

Mon père est parti alors que j'avais seulement neuf ans. J'étais encore en primaire et je ne comprenais pas vraiment ce départ. Mais je dois avouer que je n'ai ressenti aucun manque. Pendant ces neuf années, il n'avait pas été vraiment présent et la seule présence de ma mère me suffisait. Une fois l'école primaire terminée, nous déménagions de Londres pour aller habiter dans cette belle ville de la côté Ouest des États-Unis, Los Angeles. Ma mère a justifié ce changement radical comme un « besoin de changer d'air ». Depuis que mon père était partie, elle n'était plus vraiment la même. Pas souvent de bonne humeur et s'acharnant au travail afin de nourrir nos deux têtes, elle était très souvent fatiguée et lasse du quotidien. Je ne voyais donc que du positif dans ce changement de paysage. Surtout que le soleil de Los Angeles allait très certainement la changer du temps pluvieux de Londres.

Et en effet, il faut croire que je ne m'étais pas trompée. Arrivée aux États-Unis, elle était radicalement changée. Prenant à nouveau soin d'elle, elle enchaînait les aventures d'un soir, les mariages qui ne duraient pas et autres péripéties dans ce genre. Mon père, je ne l'ai plus jamais revu, il ne me restait de lui que sa signature sur les chèques qu'il envoyait à ma mère tous les mois. Je ne supportais pas de voir ma mère comme cela. Une femme aussi intelligente se rabaisser à des aventures avec de riches rentiers afin de nous nourrir, je ne l'avais pas connu ainsi. Depuis ce déménagement et le bouleversement dans la vie de mes parents, j'ai décidé de travailler car on ne peut compter que sur soi-même en réalité. Qui sait de quoi demain sera fait ?

Je vous ai bien assez parlé de mes parents comme cela, maintenant je vais parler un peu de moi. Je suis fille unique – mes parents n'auraient pas oser faire une deuxième fois cette erreur – mais pas le genre de fille unique pourrie gâtée qui claque des doigts et obtient ce qu'elle désire. Le genre de fille unique qui a des parents pas très stables sur qui elle ne peut pas vraiment compter et qui a donc appris à se débrouiller avec les moyens du bord. Ce genre de fille unique là. Le genre qui travaille en tant que serveuse dans un bar afin de se payer son loyer et ses extra. Qui ne fait pas de dépenses inutiles, qui adore passer son temps plongée dans les livres de la bibliothèque et qui adore par dessus tout sortir et rigoler. Rigoler est un échappatoire pour moi. Je suis une fille trop sérieuse en cours et dans mon travail et plaisanter sans arrêt est un moyen de m'échapper du quotidien, de décompresser. J'aime parler avec mes amis et leur confier tout un tas de choses, j'aime faire des blagues, des canulars. Je n'ai cependant pas beaucoup d'amis et c'est mieux ainsi.

Au lycée, je faisais partie des filles populaires, qui ont beaucoup d'amis, pas trop de problèmes pour avoir le garçon qu'elle désire... Cependant, alors je ne cherchais pas vraiment cette popularité et que je la voyais plutôt comme un jeu, mes petits camarades me voyaient comme une menace. Je me suis retrouvée du jour au lendemain sans amis, pointée du doigt, les gens me traitaient de garce qui profitait de mes atouts, de fille pas intelligente pour un sous. Je l'ai très mal vécu et en suis ressorti avec de sérieux troubles alimentaires. Aujourd'hui tout va beaucoup mieux mais cette époque n'est pas si vieille que cela, elle remonte à cinq ans en arrière et j'en garde de très mauvais souvenirs. Parfois il m'arrive de repenser à tout cela et je me rend compte à quel point j'ai été naïve. Je ne veux plus l'être et c'est pour cela que je choisis extrêmement bien mes amis dorénavant.

Aujourd'hui je pense avoir réellement changé. Je ne suis plus la fille qui essaye d'être quelqu'un comme au lycée. Je suis juste la fille qui est soi-même et très fière de cela. Je reste toujours très naturelle avec mes amis, je n'aime pas me prendre trop la tête pour rien et essaye toujours de voir le bon côté des choses. En revanche je suis beaucoup plus distante et méfiante avec les personnes que je ne connais pas car j'ai toujours le sentiment que je vais me refaire avoir. Je suis plus réservée au premier abord mais une fois que l'on gagne ma confiance, je suis une autre fille, pleine d'assurance et de confiance en elle, qui montre sans scrupule ce qu'elle est vraiment. Je sais que je peux paraître un peu coincée à première vue et c'est vrai que j'ai un peu de mal à avoir une véritable relation amoureuse car je fais des blocages mais je sais également que je peux plaire énormément aux garçons quand je dévoile ma véritable personnalité. Après tout, les hommes préfèrent les femmes naturelles non ? En conclusion, essayer de gagner ma confiance et je vous dirais qui je suis...