Aujourd'hui, ça va être la journée la plus stressante de ma vie, plus qu'une présentation orale. J'allais maintenant mettre au monde notre princesse Laïla Lynn Campbell. D'un côté, j'ai hâte de pouvoir la prendre dans mes bras, lui changer sa couche, la border etc. Mais ce qui me fait peur, c'est que j'aille mal durant l'accouchement. J'ai pas envie que Julian assiste durant l'accouchement, car c'est un évènement à manquer, me voir crier au meurtre pour faire sortir notre petit bout de chou. Cependant, je me dis que ça vaut la peine de subir ce mal. Julian et moi avons tout les deux attendus ce moment avec impatience. Notre relation s'est solidifié avec le temps et je suis heureuse que ça marche aussi bien. Je pourrais dire maintenant adieu à mes sauts d'humeur, mes rages de bouffe, la fatigue, etc. Aussi, Julian doit être heureux que notre fille va bientôt naître. Il a assez souffert avec mon comportement de femme enceinte qu'il devait me supporter pendant neuf longs mois.

J'étais maintenant allongée sur le lit, ressentant des contractions. C'était des signes comme quoi le bébé était prêt à sortir. J'avais attendu tellement longtemps dans la salle afin d'être maintenant couché sur ce putain de lit inconfortable. Je sais, je suis chiante, mais ça me rend furax que les gens me fassent attendre surtout pas avec un enfant qui demande de sortir du ventre de sa mère. Je prenais plusieurs grandes respirations pour me calmer en fixant le plafond. Tellement que j'avais peur, mes pensées se basaient principalement sur l'accouchement rien d'autre. Je sens vraiment que je vais avoir mal ou que j'arrive pas. Je fermais donc les yeux et arrêtant de me faire des scénarios. Je ressentais quelques secondes après une main prendre la mienne. J'ouvris immédiatement les yeux et apercevant Julian assis près de moi. Je tournais la tête vers lui et lui souris en caressant sa main avec mon pouce. J'entrelaçais nos doigts et tournant de nouveau ma tête vers le plafond.

L'accouchement a duré comme une éternité. Je souffrais, je criais et je serrais la main de Julian. Après plusieurs poussées, j'entendis notre merveille pleurée pour la première fois. Je devenais toute molle et épuisée, mais gardant tout même un sourire sur le visage. je fermais les yeux pendant quelques secondes et les rouvrais après. Je regardais Julian en tenant toujours sa main dans la mienne et lui disant d'une voix épuisée. « Elle est parmi nous. Laïla est là! »

Je me demande sincèrement comment les filles de seize ans font pour penser à avoir un enfant à cet âge. Elles croient que c'est facile de faire naître un bébé? Eh bien, vous vous trompez mes chéries. Ça fait très mal! Pendant neuf longs mois, ton humeur ressemble à une montagne russe. Tu as envie de bourrer la face. Bref, ça paraît monstrueux d'être enceinte. Pourtant, peu importe ce que j'ai pu traversé, je ne regrette pas mon choix. Je ne regrette pas d'avoir renoncé à certaines choses pour avoir cette merveille à présent parmi nous. J'ai peut-être souffert, mais ça valait la peine. Tout ce que je souhaite présentement, c'est de pouvoir sortir de cette prison et entrer à la maison pour me préoccuper de mon petit ange.

Julian a été courageux d'assister à l'accouchement. Si je serai à sa place, je n'aurai même pas eu le culot de venir dans la salle. Le pauvre, il doit avoir mal à la main. Je l'ai tellement serré fort que je me rendais pas compte à quel point je forçais. Les infirmières nettoyaient bien notre petite fille et l'enrobaient pour ne pas qu'elle attrape froid. Je la voyais à présent dans les bras de son père ce qui me faisait sourire, malgré que j'étais épuisée. Je laissais Julian m'embrasser et fermant les yeux au contact de ses lèvres contre les miennes. Je gardais mon petit sourire aux lèvres et admirant le père et sa fille ensembles. Pour une fois dans ma vie, j'ai su ce que s'était le bonheur. Je l'avais sous mes yeux.

Julian avait Laïla dans ses bras et donnait tout son attention. Je le regardais agir et je trouvais ça mignon de le voir si gaga. En tout cas, je sens que je vais faire ma jalouse si ma fille adorée doit voler l'attention de son père. Et moi là dedans? J'ai aussi besoin de lui moi! C'était bon à savoir que Julian allait être un bon père qui va donner tout son amour à sa fille. Malgré les tensions qui s'étaient créé durant la grossesse, je suis toujours aussi amoureuse de lui. Il était hypnotisé par notre merveille et moi j'étais hypnotisé par lui. Il projetait une autre sorte d'amour que j'aimerais tant vivre, mais que je n'ai jamais eu la possibilité de l'avoir... Je l'aime.

Il finit par poser Laïla dans mes bras et je fis la même chose que lui. Je la regardais dormir, le sourire au lèvre en caressant ses petites joues avec mon doigt. Je lui embrassais le front et la tenant bien contre moi pour lui réchauffer. Je tournais la tête vers Julian et lui souriant , tenant toujours Laïla dans mes bras. « Je t'ai jamais vu aussi heureux que maintenant... Et tu as raison! Tu es très beau avec un bébé dans les bras. »

Vous savez, au départ, j'avais peur que j'allais devenir une mauvaise maman. J'avais peur de ne pas être assez présente pour Laïla. Mais maintenant que je l'ai dans mes bras, je veux lui offrir tout mon attention et mon amour pour qu'elle soit heureuse. Je ferai en sorte que personne ne lui fera du mal. Je ferai en sorte qu'il ne lui manque rien du tout. Je crois que notre fille va plus renforcer notre couple. Je me rappelle de la fois où Julian a été heureux lorsqu'il avait entendu que j'étais tombé enceinte de votre belle Laïla. C'était magique, mais pas comme aujourd'hui quand je l'ai vu prendre notre fille pour la première fois dans ses bras. J'ai déjà hâte de pouvoir rentrer à la maison et pouvoir passer du temps en famille comme je l'ai rêvé plusieurs fois au courant de ma grossesse.

Je voyais bien qu'il avait du mal à se séparer de Laïla. Je l'avais présentement dans mes bras et l'admirant en train de dormir. Je lui donnais plusieurs bisous sur la joue avec délicatesse et frottant doucement sur son petit bras pour lui réchauffer. Elle était tellement magnifique que je passerais des heures et des heures à l'observer dormir. Je peux pas y croire qu'elle pourrait aussi heureuse que maintenant. Je relevais la tête vers Julian en écoutant ce qu'il dit et souris contre ses lèvres. Je le regardais ensuite en le laissant faire. « Tu es mignon.. Nous aussi on t'aime! » Je reposais mon attention vers Laïla en la regardant et tournant la tête de nouveau vers Julian. « Tu veux la prendre encore? »

Même si j'ai passé ma vie entière à occuper mon frère, je doute quand même de mes capacités. Ce qui me rassure, c'est que je ne serai pas seule à m'occuper du bébé. Julian sera là à m'aider. Je nous imagine déjà autour de la table à manger tous en famille. Je vois déjà ma petite puce qui commençait à manger avec nous. Je crois qu'avoir un enfant était la plus belle chose que j'ai fait de ma vie.

En la regardant de plus près, j'apercevais qu'elle avait quelques traits similaires aux miens. Enfin bref, notre petite va encore grandir, donc peut-être qu'elle ressemble à son père. Mais Laïla a les yeux de Julian et c'est la chose qui fera tomber plus d'un mec lorsqu'il la regarderait. C'est exactement ce qui s'est passé lorsque j'ai rencontré Julian. « Mais quoi? Je vais quand même pas te la lancer non plus! » Je le laissais prendre Laïla et me mettant à rire en le voyant agir avec elle. « Bon sayez, maman va faire sa jalouse si ça continue! » dis-je en riant.

J'ai tellement hâte de pouvoir la faire marcher en tenant ses petits bras ou l'entendre dire son premier mot ou bien qu'elle dit maman et papa. Je n'avais jamais été aussi réjoui à l'idée de regarder ma fille grandir et que nous serons les gens qui vont la supporter. Vous pouvez même pas imaginer à quel point je suis tellement heureuse d'avoir mis au monde cette ange.

Durant ces neuf mois, nous avons acheté plein de trucs pour habiller notre princesse. J'ai même acheté un bonnet avec un petit chat dessus. C'était mignon! Je passais mon temps à imaginer Laïla dans ses tenues et maintnant, je vais pouvoir lui habiller avec tout ce qu'on a acheté pour elle. « Eh bien, le papa est un vrai protecteur! Les petits garçons doivent faire attention dans ce cas. » Je rigolais en le regardant allé. Ça méritait une photo tout ce que je vois. C'était tout ce que je voulais depuis le début. Être heureuse et de rendre heureux les gens que j'aime. « Hmm, j'avoue que c'est la meilleure chose qu'on puisse avoir. Papa a intérêt de s'occuper de maman, sinon elle boude! » dis-je en riant et restant allongée sur le lit et remontant les draps sur moi. Je continuais de les regarder silencieusement.

Ça me faisait pensé à mon père de voir Julian si protecteur. Il est exactement comme mon père et franchement ma famille me manque... J'ai vu mon frère récemment. Il me dit qu'il viendrait me rendre visite plus tard au courant de la journée. À ce qui paraît, ma mère s'ennuit de moi et mon père aussi, mais veut que je reviens les voir moi-même. Il est bien trop orgueilleux pour venir me voir. Donc, je ne sais pas quoi faire.. J'ai tellement envie de venir montrer leur petite fille et de prouver à mon père que je suis heureuse avec Julian... En voyant Julian si protecteur, cela m'a fait comprendre pourquoi il a agit ainsi.. Pourtant, il doit me faire confiance.

Laïla dormait paisiblement dans les bras de son père. Elle avait l'air tellement confortable. Cela fait même pas une journée que je suis à l'hopital et j,en ai marre. Je veux rentrer chez moi, mais le médecin me dit de rester pendant quelques jours avant de pouvoir rentrer. Ils doivent examiner bien correctement l'état de Laïla ainsi que le mien. Ils veulent être sûr qu'elle n'a pas de maladies contagieuses qui pourraient se développer. « C'est le portrait craché de mon père.. Il est exactement comme toi... Ne t'en fais pas, quelqu'un ose lui briser le coeur, maman ne va pas être contente. » Je crois que je ne serai jamais capable de la voir avec un autre mec. Comme Julian, j'ai peur que quelqu'un lui fasse du mal. Elle est tellement précieuse à mes yeux. J'ai passé neuf mois dans mon ventre. J'ai pris du poids pour elle. Bref, disons que mon corps présentement n'est pas la même qu'au début. Et je m'en contre fiche. Je peux toujours perdre du poids en m'entraînant. Malgré tout, j'ai maintenant une très jolie fille. Je le regardais en voyant son petit regard coquin ce qui me faisait rire. « Avec ton petit air, j'ai bien compris le message. Malheureusement bébé, on doit attendre quand même longtemps avant.. » dis-je en riant et me blottissant dans les draps.

Je ne vais pas lui mentir là dessus, mon père et Julian ne s'aiment pas. Mon père n'a jamais accepté le fait que je sois avec lui. J'ai tout fait pour lui prouver que Julian me rend heureuse, mais il ne voulait jamais rien savoir de tout ça. Il avait tout prévu pour moi. Il m'avait trouvé un mec qui est avocat et tout le monde disait que j'allais bien avec. Cependant, c'est pas lui que j'aime! J'ai croisé mon père dernièrement. Je n'ai même pas osé venir lui parler, car je sais très bien qu'il allait me repousser.

Je sais que je suis chiante, mais j'ai vraiment envie de sortir d'ici. Je vais jamais être capable de rester coucher dans ce putain de lit durant environ une semaine. Ça va me rendre malade. Je veux rentrer chez moi, dormir dans les bras de mon bébé, observer ma petite puce dans son lit à elle en train de dormir.. Bref, faire le rôle d'une mère et non rester coucher comme une patate. « Je sais que tu l'aimes pas et c'était pas un défaut. » J'aurai pu pris la défense de mon père, mais j,ai préféré ne rien dire. Je le comprenais qu'il était contrarié contre lui et qu'il ne voulait pas lui ressembler. Je suis restée silencieuse, étant épuisée et ne voulant pas me prendre la tête pour rien. « Je croyais que tu le savais... Tu as vu que j'ai souffert, donc il faut attendre... Désolé bébé... » Julian et moi sommes sexuellement actifs. Malheureusement, le médecin m'a averti que je dois attendre avant de pouvoir le faire de nouveau. Moi, je serai capable de me retenir, mais Julian.. Je ne le sais pas... Pour être franche, il va m'arriver de vouloir craquer, mais si je repense à mon accouchement que j,ai tant souffert, ça va diminuer mon envie.

Julian ne peut pas comprendre que jamais de la vie, je pourrais détester mon père. Il a eu le courage d'élever deux enfants dont ils ne connaissent pas. Je lui dois quelque chose de gros, mais je ne sais pas quoi. J'aurai pu accepter de sortir avec le mec qu'il m'a présenté, mais je veux pas. J'ai rencontré Julian avant et je ne compte pas de le laisser. Je peux comprendre qu'il est frustré contre moi, mais il doit me comprendre que je veux gérer ma vie à ma façon.

Bref, j'ai assez râlé ce soir. Que je le veux ou non, je dois rester ici pour mon bien et aussi pour le bien de Laïla. Je peux bien comprendre qu'il n'aime pas mon père, mais là il la pousse trop loin. Je suis fatiguée et je pète les plombs assez rapidement. Il aurait pu le garder pour lui. C'est quand même mon père! « C'est bon ça va, j'ai compris! Tu ne l'aimes pas et je peux rien faire pour y changer. Par contre, t'as besoin de dire que tu veux tuer mon père si tu le pouvais. La prochaine fois, garde ces mots pour toi! » dis-je en me tournant de dos à lui et fermant les yeux. J'avais pas envie de continuer la conversation, car ça ne servait à rien. Mais je veux juste qu'il sâche que c'est mon père et qu'il n'a pas le droit de dire ça, surtout pas devant moi! « Pendant un mois... » Je sais même pas si je vais arriver à recommencer après un mois. Le docteur dit que ça risque de faire la première fois et que je devais attendre le plus longtemps possible. Et puis c'est seulement un mois... Après, ça va redevenir comme avant.

Je sais que mon père a été chiant avec moi. Je l'avoue et c'est normal que ça a rendu Julian furax quand il a su qu'il a levé la main sur moi. C'est mignon qu'il agit ainsi. Ce que j'aime chez lui, c'est qu'il est franche et qu'il n'a pas peur de dire ce qu'il pense. Malgré tout, je peux pas lui en vouloir beaucoup trop longtemps... J,aurai réagi de la même façon si quelqu'un oserait de lui faire du mal. Sa colère a fait en sorte qu'il s'est trop lâché lousse. Je le sentis me tirer vers lui et le laissant faire. Je souris en coin à ses mots et le regardant en me tournant vers lui. « C'est correct... Je sais que tu voulais pas me brusquer.. » dis-je en lui donnant un bisous sur la joue et lui souris en coin. « Oui un mois et peut-être un peu plus.. Mais ça dépend de chaque personne... Dit-toi qu'après, ça va redevenir comme avant.. » Un mois c'est rien, donc je crois que je serai capable de survivre à ça. C'est pas comme si je lui dirais qu'on ne pourrait plus jamais coucher ensembles telles raisons. Ça va me permettre de faire une petite pause.. Je l,accorde, j,aime quand on le fait. C'est pas parce que je suis perverse, mais plutôt parce que j'aime la sensation qu'on a entre lui et moi. C'est tellement fort que j'arrive même pas à l'expliquer.

Julian était un type plutôt très protecteur. J'en ai eu la preuve quand mon père a levé la main sur moi. Et puis c'est bien, il va pouvoir fracasser les petits cons qui vont faire du mal à notre trésor. Il est pas le seul à être protecteur. Je le suis aussi, mais plutôt mère poule. C'est mon bébé et je veux que personne ne lui fasse du mal. Je donnais à personne pour la garder. Je ne fais confiance à personne d'autre que Julian pour la garder. Avec tout ce que j'ai entendu, je n'ose même pas voir ma fille dans les bras d'un inconnu. « Moi aussi je t'aime! Ne t'en fais pas... Tu as juste pas aimer le fait qu'il a levé la main sur moi.. C'est mignon de te voir réagir. C'est juste que je le prend assez mal que mon père est comme ça si tout.. » dis-je en souriant faiblement et caresse sa joue. Je posais mon regard vers Laïla en l'entendant couiner, mais elle se calmait lorsque Julian lui caressait la main. « Bébé, c'est rien un mois... Tu as survécu lorsque j'étais parti, alors je vois pas pourquoi tu ne le sauras pas maintenant. Calme toi et arrête de penser à ça... Ça va déjà mieux t'aider si tu pensais à autre chose. Tu le sais bien que j'ai eu mal,et ça va prendre du temps avant que ça soit comme avant.. » Je comprend bien que les mecs ont tous envie de sexe, mais il va pas en mourir pendant un mois. Je restais allongé en le regardant. Je le voyais ensuite se lever d'un bon et entendant Laïla pleurer. Là, ça va faire! Je pris Laïla dans mes bras et la berçant doucement pour qu'elle se calme. Je levais les yeux vers lui en lui disant. « Julian! Calme toi un peu.. » Je regardais Laïla en la bordant doucement.

Je sais qu'il m'aime.. Je sais qu'il a tout donné pour me prouver qu'il m'aime. Je le sais tout ça et je n'ai pas besoin de quelque chose de plus. Même avec ces défauts, j'arrive tout de même à l'aimer, car ça fait partie de lui. Je lui souris doucement en le regardant et fermant quelques instants les yeux. Je restais près de lui pendant un long instant. Elle était à croquer ma petite Laïla. Elle bougeait durant son sommeil et j'avais juste envie de la regarder dormir. Je passais mes journées à l'observer, car elle était magnifique. « Merci n'amour.. » Je voyais ensuite qu'il s'est mis à paniquer, et j'ai paniqué aussi. J'étais morte de fatigue. C'était bien la dernière chose que je voulais, me prendre la tête avec Julian. L'accouchement m'a tellement épuisé que je n'avais pas pensé à lui montrer comment le calmer. Je n'avais pas l'intention de lui montrer que je ne lui faisais pas confiance. C'était juste par réflexe. Je ne me rendais pas compte que mes gestes étaient brusques et qui l'a rendu frustré. Je soupirais en le regardant partir et appuyant sur un bouton pour appeler l'infirmière. Je lui demandais de surveiller Laïla pendant quelques minutes. Je me levais doucement du lit et me dirigeais vers la porte pour aller retrouver Julian. Je m'en foutais de mon état. Tout ce que je voulais c'était de voir Julian. Je voulais juste m'excuser de mon comportement et que j'allais l'aider quoiqu'il arrive. Je faisais attention de marcher avec délicatesse sans tomber. Arrivant dehors, je l'apercevais dehors assis dans l,escalier. Je décide de me mettre à ses côtés, posant une main sur son épaule en m'assoyant doucement à ses côtés. Je tournais la tête vers lui en le regardant. « Je suis désolée de mon comportement.. Je suis fatiguée et tu sais très bien que je suis marabou en ce moment... Je vais t,aider d'accord? » Je le regardais priant qu'il se défâche.