Ah New York... J'ai déjà eu l'occasion de m'y rendre pour participer à quelques castings. Mais ça n'a jamais abouti à grand chose. Cette fois-ci allait être différente. Cette fois-ci devait être différente. Non seulement parce qu'il ne s'agissait pas de moi, mais de Jordan, mais en plus parce que sa vie était en jeu. Ses examens devaient être bons, sinon je ne m'en remettrais pas. Le voyage en avion a été long et douloureux dans le sens où je ne me sentais plus aussi bien aux côtés de mon petit ami. Après notre énorme dispute, je ne savais plus vraiment comment réagir avec lui. Je faisais de mon mieux pour ne pas retomber dans cette spirale infernale de colère que je ne connaissais que trop bien ces derniers temps. La colère ou la tristesse. J'alternais entre les deux. Rares étaient les moments où j'arrivais à sourire et à penser aux bonnes choses de la vie. Ça ne me ressemblait pas et c'était pourtant bien vrai.

Une fois descendus de l'avion, nous avons pris la direction de l'hôtel. Il fallait y déposer nos affaires avant de faire quoi que ce soit. « Tu te sens prêt ? » Demandais-je bêtement à Jordan alors que nous montions dans un taxi qui nous mènerait tout droit à notre hôtel. J'avais toujours eu l'art et la manière de mettre les pieds dans le plat et cette fois-ci ne faisait pas exception à la règle, malheureusement... Mais je ne voulais pas imaginer perdre Jordan. Sans lui, je ne survivrai pas.

Me voilà dans l'avions avec Bélinda pour aller a New York bon on aller passer un petit week end la bas , mais on y allait avant tout pour que j'aille voir mon medecin pour voir si tout aller bien pourquoi ne pas le faire a Los Angeles ? Parce que mon medecin avait était muté la bas et que je ne voulais pas changer et sa me fessais un petit voyage !Par contre j'espéré que sa aller s'arranger avec Bélinda j'étais encore un peu distant avec elle en ce moment par rapport a notre dispute , mais je lui avait proposer de venir pour passer ce petit week end tout les deux pour essayais de ressoudre nos problème ...Je n'aimais pas sa et je voulais avoir le coeur net j'étais près a me battre pour elle , mais en ce moment je ne savais pas sur quels pieds danser...je disais quelque chose et elle pouvait s'énerver pour un rien je ne voulais plus de sa pour le moment ...

On venais d'attérir est on partie vers le taxis je mi les valise dans le coffre et partie m'installer a coter d'elle et je haussa les épaules ça va je commence a avoir l'habitude a force dis je avec un petit sourire C'est juste une visite de routine je vais passer un IRM etc... et puis voilà sa change jamais on arrive a l'hôtel et une des personne du personnel venu prendre nos valise j'attendis Béli est lui prit la main pour aller a l’accueil prendre notre clé

Jordan m'expliqua que pour lui, ça ne changeait jamais. Mais pour moi, c'était tout nouveau et dire que je m'inquiétais n'aurait pas été assez fort pour décrire ce que je ressentais. Je ne voulais pas l'affoler ou l'inquiéter d'autant plus, mais mon coeur battait à cent à l'heure et je respirais difficilement. Je n'ai jamais fait ça avec lui et se rendre à l'hôpital pour y faire tous ces examens ne faisait que rendre sa maladie d'autant plus réelle. Et je détestais ça. « Si c'est la routine, ça va alors. » Essayais-je de dire d'un ton qui se voulait décontracté. Mais j'étais stressée. Pas seulement par ses examens, mais également par la tension qui planait entre nous. Lorsqu'il me prit la main pour aller demander notre clé à la réception de l'hôtel, je fus contente de pouvoir sentir le contact de sa peau contre la mienne. La clé en main, nous sommes montés dans notre chambre, moment que j'appréhendais peut-être plus que ce qui allait se passer à l'hôpital. « Ecoute, j'en ai assez de cette tension qu'il y a entre nous. C'est pas bon pour ton coeur et c'est pas bon pour nous. Alors... Mettons carte sur table. Je ne vais pas crier, je ne vais pas m'énerver. Je veux juste qu'on passe un bon moment, juste toi et moi et New York. » C'était peut-être idiot de vouloir dire ça maintenant, surtout avant ses examens, mais je ne tenais plus. Cette tension allait finir par me tuer.

Je fis un petit sourire Le truc que j'aime le mieux la bas c'est qu'on prenne soin de moi je demande ce que je peux demander ce que je veux dis je amusais , j'avoue j'aimais qu'on prenne soin de moi et la bas j'étais servie j'avais faim soif on me ramener tout ce que je voulais bon chez moi j'avais mon aide mais la je demander un truc on me le ramener elle maintenant elle m'envoyais bouler , mais c'était pour rire aussi lorsqu'elle voyait que j'étais malade c'était différent .J'avais pris la main de Bélinda pour aller chercher les clé et on partie dans la chambre d'ailleurs une fois rentré je déposer les clé sur le petit meuble a l'entré . Mais a peine partie vers ma valise Bélinda commença a parler des tension qui ce passer entre elle et moi ola...j'aimais pas sa , je me retourne alors vers elle Si tu cris t'inquiète pas j'ai acheter la muselière , j'ai tout prévu dis je amusais pour détendre un peux je t'écoute alors Autant écouter ce qu'elle avait a me dire avant que je dise ce que je pense aussi

J'imaginais bien Jordan jouer avec les privilèges que lui accordait son statut de patient. Mais j'étais bien trop inquiète pour pouvoir en rire. « Petit coquin. Et ils ne t'ont pas encore envoyé balader ? Eh bien, ils sont géniaux ces gens là. » Puis nous sommes montés dans ce qui serait notre chambre pour la nuit. Et face à la tension environnante, j'ai jugé nécessaire de tout mettre à plat. Jordan approuva et fit même une petite blague en parlant de muselière. J'ai souri à sa plaisanterie avant de reprendre : « Je... On ne va pas revenir sur ce qui s'est passé sur le toit et après mais je voudrais juste qu'on arrive à se parler comme avant. Pas de tabous, on peut tout se dire sans crier et sans un mot de travers. » Je parlais surtout de moi en employant la formulation 'sans un mot de travers'. Je ne voulais surtout pas revivre l'épisode du toit une fois de plus. J'en serais incapable émotionnellement. « Je ne veux pas te perdre Jordan, je tiens trop à toi pour ça. J'en mourrais si tu venais à partir... » C'était un peu extrême et pourtant tout à fait réel.

Bah attend non sinon je ne viendrais plus la et puis a force j'ai ma petite équie mon medecin , mes infirmière , le mec qui me balade partout pour les exam je suis pénard dis je avec un sourire amusais , au moins rien ne changer et ce n'était pas plus mal au moins j'avais confiance je savais que les choses ce déroulerais bien comme il faut comme a chaque dois sauf si l'un d'eux et en vacances mais ce n'était pas la période pour le moment. Une fois arriver dans la chambre Bélinda mi carte sur table ,elle voulait parler de ce qui ce passer en ce moment de la petite distance qui y avait entre elle et moi j'avoue j'y était un peux pour quelque chose par moment avec ce qu'elle m'avait dit sur le toit , je fis une petite grimace Justement j'ai peur de dire certaine chose de peur que tu t'énerve de nouveau est que tu me rejete tout ce que tu ma jeter au visage la dernière fois , une fois sa ma suffit amplement [b] je m'approche ensuite d'elle est pose mes mains de chaque coin de son visage[b] je tes promis de rester avec toi quoi qu'il arrive et je tiendrais ma promesse je ne te quitterais jamais c'est toi qui devra me jeter si un jour tu ne veux plus de moi , j'ai mi assez d'année je pense pour t'avoir tu trouve pas? dis je en la regardant droit dans les yeux

A l'évocation des infirmières, mon coeur accéléra son rythme. C'était stupide mais pourtant bien réel. J'ai toute fois fait de mon mieux pour ne pas lui montrer. « Espérons que ça dure. » Lui répondis-je simplement. Je ne faisais pas seulement allusion au fait que Jordan avait son petit personnel pour prendre soin de lui. Mais l'avenir nous dira si tout va bien.
Une fois dans la chambre, j'eus peur de dire ce que je pensais et pourtant je l'ai fait. Et Jordan me répondit que tout ce que je lui ai dit sur le toit n'était toujours pas encaissé. Je m'en doutais et j'espérais sincèrement qu'on réussisse à surmonter tout ça. « Je te promet de ne pas m'énerver. les cris c'est terminé, c'est promis. » Répétais-je comme pour le rassurer. Ce qu'il dit ensuite me fit pleurer. Surtout ces derniers temps, il ne me fallait pas grand chose pour me mettre à pleurer. Mais il s'agissait là de larmes de joie. Il n'aurait pas pu me faire plus plaisir. « Tu es à moi pour l'éternité alors. » Lui répondis-je en le regardant moi aussi dans les yeux.

Bélinda voulait mettre carte sur table je n'étais pas contre au contraire peux être que sa nous mettrais plus alaise que d'avoir encore toute ses tension entre nous , mais bon avec ce qui c'était passer j'avais peur de dire quelque chose et de l'énerver de nouveau j'espère bien Je m'approcha ensuite d'elle est lui dis alors que je ne la laisserais jamais d'ailleurs sa la fit pleurais je passa mes pouces sur ses joues pour lui essuyais les quelque larme j'ai toujours était a toi sauf qu'on a mi du temps avant de ce mettre véritablement ensemble dis je avec un petit sourire Mais si je m'écouter aussi je viendrais toujours t'embêter sauf que chez toi c'est trop petit et y a du monde qui surveille sinon je te voudrais toute les nuit dans mes bras , mais faut aussi qu'on y aille encore doucement bah je respecter ses choix quand même , même si moi je voulais rattraper le temps perdu entre elle et moi

Mon désir de tout mettre à plat ne semblait pas déplaire à Jordan. Il joua le jeu alors que je venais de lui promettre que je ne crierai plus. Tout ce qui suivi ensuite ne put que me ravir. Ses mots étaient magnifiques et les plus beaux que je puisse rêver d'entendre. J'en ai même pleuré. Il essuya mes larmes à l'aide de ses pouces et je lui ai répondu : "On a mis trop de temps... Et personne ne nous surveille chez moi, c'est juste que l'appart' est bien plus vivant que la villa." Je souris avant d'ajouter : "Ça te gêne tant que ça qu'on prenne notre temps ?" Après tout, lui aussi avait le droit de donner son avis sur le comment il voyait notre relation et surtout comment il voulait qu'on avance. De mon côté, je ne voulais rien brusquer, mais lui semblait vouloir aller beaucoup plus vite. Mais j'avais peur d'aller trop vite malgré le fait qu'on ai mis des années avant de sortir ensemble.

J'avoue ma villa est un peu morte par moment quoi que Harmonie maintenant fou de la musique partout et fais trembler les murs dis je amusais Bah on va dire que j'ai envie de rattraper le temps perdu avec toi , mais bon au moins ma rupture avec Aphrodite a permis qu'on s'avoue nos sentiment. J'avoue que cette rupture m'avais affecter cette fois la habituellement non je n'étais pas tomber réellement amoureux des autre femme comme Aphrodite , mais mes sentiment pour Bélinda avait toujours était la aussi aimais deux femme en même temps était assez difficile j'avoue car j'avais vue Bélinda s'éloigner de moi petit a petit . j'aime pas quand c'est tendu comme sa entre toi et moi, j'ai toujours peur eu réellement peur de te perdre sur le toit bah avec les paroles qu'elle m'avait sortie oui...

J'ai souri à l'évocation de sa cousine et de la musique qui envahit la villa. C'était une bonne chose qu'elle vive avec Jordan dans cette immense bâtisse. Ça lui permettait de ne plus se sentir trop seul et mieux valait que ce soit une personne de sa famille qu'une de ses ex ou conquêtes d'antan ! "Je suis sure que les murs sont ravis de la musique qu'écoute Harmonie. Je le serais à leur place." J'essayais moi aussi de faire de l'humour, même si je n'y arrivais pas forcément. Puis Aphrodite fut citée et mon coeur se serra. Mais je ne devais pas me remettre à crier. Je lui avais promis. Et puis ce qu'il disait était vrai, même si ça me faisait mal. "Oui, votre rupture a permis de nous rapprocher, c'est sûr..." J'ai longtemps eu peur qu'il ne ressente rien pour moi. Et puis Aphrodite est arrivée. Avant elle, Jordan n'est jamais resté longtemps avec une fille. Il a eu beaucoup de copines mais jamais de relations constantes avec ces dernières. Aphrodite a changé la donne. Et j'ai vraiment eu peur de perdre Jordan à jamais. Mais l'entendre dire qu'il avait peur de me perdre me rassurait et mon coeur s'en trouvait ravi. "Moi non plus, je déteste ça... Et je sais, moi aussi j'ai constamment peur de te perdre... Et il faut avouer qu'avec tout ce que je t'ai dit là haut, tu aurais pu rompre avec moi... "

c'est vrai que depuis qu'elle est la , c'est plus gais chez moi Oui j'étais heureux que ma cousine sois venu vivre chez moi sa me fessais du bien de la voir car on ne c'était pas vue depuis des lustre elle vivais en France et moi a Los Angeles donc ce n'était pas la porte a coter non plus. Je sais que Bélinda n'aimait pas entendre le nom de Aphrodite , mais elle restera l'une de mes relations les plus sérieuse et je garder contacte avec elle malgré tout. Mais tu sais je pense qu'elle avait remarquer ce qui ce passer tout de même car sinon elle m'aurait proposer d'aller avec elle mais je ne sais pas si j'aurais pu ou non ...car d'un coter lors de la mort de mon père c'était la seule chose qui m'avait fait du bien sa avait était sa présence elle m'avait aidé a me relever , mais bon de l'autre coter Bélinda était la et je ne pense pas que j'aurais pu rester loin d'elle non plus très longtemps malgré la distance qui c'était installer entre elle et moi lors de ma relation Je ne t'aurais pas quitter , mais c'est quand tu ma dis que peux être nous étions plus ensemble que la j'ai réaliser que j'aurais pu te perdre , mais tu es revenu c'est tout ce qui compte et je veux plus ce genre de dispute entre toi et moi car on est partie loin la.... Je lui caressa sa joue On va faire un tour avant mon rendez-vous ? oui j'avais aujourd'hui et demain pour faire mes bilan le planning était fais par les médecins et tout était programmer a des heure précis il fallait pas être en retard et puis j'ai faim aussi dis je amusais

« Tant mieux. » J'étais sincère. La joie, ce n'est pas inné. Et Jordan avait bien le droit d'être heureux, comme tout le monde. Mais je ne l'étais pas en l'entendant parler de son ex. Ce fut pire lorsqu'il ajouta qu'il aurait pu partir avec elle si elle lui avait demandé. Je devais en avoir le coeur net, l'aurait-il suivie ou non ? Je pris mon courage à deux mains pour le lui demander : « Et si elle te l'avait proposé, tu l'aurais suivie ? » Au final, il était là avec moi et c'est tout ce qui comptait. Mais s'il avait décidé de la suivre, jamais nous n'en serions là et mon coeur serait brisé à jamais. « C'est promis, plus de disputes de ce genre. Je ne le supporterai pas non plu. » Répondis-je sincèrement. « Tu as toujours faim aussi. » Répliquais-je lorsqu'il voulut sortir pour manger. Je plaisantais parce que j'avais faim aussi tout à coup. Mettre les choses à plat, ça creuse, il faut croire.

Pendant un moment je penser t'avoir perdu , mais ma vie est ici...j'aurais pu essayais d'aller la voir de temps en temps ou même souvent , mais je pense pas que j'aurais pu quitter la villa en sachant que mon père et ici aussi même si sur le coup son départ m'avait fait mal et que j'aurais voulu la rejoindre mais si je lui disais sa aussi elle serait de nouveau blesser et je voulais pas et puis je l'aurais fais même si Aphrodite ne me l'aurais pas autoriser on est tout les deux d'accord je sourie amusais c'est mon estomac , c'est pas ma faute Je m'approcha ensuite d'elle est captura ses lèvres l'embrassant amoureusement j'avais plus cette peur de l'embrasser sans qu'elle me rejets a cause de cette fichu dispute

Il ne l'aurait pas suivie. Je savais qu'il ne me disait pas tout et ma raison m'imposa de ne pas creuser plus loin. J'en savais assez désormais. Sa réponse devait me satisfaire. Le principal étant qu'il n'aurait pas pu partir pour de bon. Même si l'entendre dire qu'il l'aurait suivie quelques fois me fit mal, je me suis abstenue de commentaires. Il se rapprocha de moi pour m'embrasser et j'ai profité de ce baiser comme jamais je ne l'avais fait auparavant. J'étais au paradis. Toutes nos disputes avaient fini par me faire peu à peu perdre espoir en nous, en notre couple. Et ce baiser détruisait toutes ces horribles pensées que j'ai bien pu avoir. Je m'en voulais de ne pas avoir cru plus que ça en nous deux.
Comme toutes les bonnes choses, notre baiser prit fin. Mais je n'allais pas laisser filer ce bonheur que nous avions trop longtemps laissé de côté. Je n'ai alors pas laissé le temps à Jordan de s'écarter. J'ai rapproché mes lèvres des siennes pour les capturer et vivre intensément ce merveilleux moment de bonheur. "Je t'aime tellement." Dis-je par la suite, souriante. "On ferait bien d'aller manger." Ajoutais-je en faisait référence à l'estomac de mon petit ami.

Lorsque je mettais approcher d'elle est que je l'avais embrasser , Bélinda c'était laisser emporter comme je l'aimais je prolongea alors le baiser sa fessais un bien fou de pouvoir l'avoir contre moi et de pouvoir l'embrasser , je retrouver ma petite amie et non la furi du toit .Lorsque je me recule d'elle , elle me venu de nouveau capturais mes lèvres ce qui me fit sourire et plaisir aussi je laissa mes mains venir dans son dos et la colla un peu plus contre moi profitant totalement de ce baisser Moi aussi elle me dit qu'il fallait aller manger je me mordille la lèvre hum...je préfère profiter encore de tes lèvres dis je avec un sourire malicieux et l'embrassa de nouveau.

Jordan ne voulait plus me lâcher et ce n'était pas pour me déplaire. Nous avions perdu tant de temps à nous disputer que ces moments d'intimité devenaient un luxe pour moi. J'étais ravie de pouvoir de nouveau partager un si merveilleux instant avec mon petit ami. « Hum... Bon plan. » Répliquais-je en un souffle. J'avais faim mais pas assez pour stopper les choses. Et puis je voulais profiter de mon petit ami avant de m'inquiéter d'autant plus lorsqu'il sera à l'hôpital. « Tu n'as plus faim d'un seul coup. » Repris-je, toujours en un souffle. J'espérais qu'il me réponde un truc du genre "si, mais de toi". Je sais, c'est stupide mais j'aurais tant aimé qu'il le fasse. Le sentir tout contre moi s'apparentait à un miracle et je ne voulais surtout pas que cette petite merveille prenne fin. C'est pourquoi je me suis collée à lui pour recommencer à l'embrasser.

Voyant que Bélinda m'embrasser de nouveau je pouvais plus me décoller d'elle je voulais en profiter et c'est ce que je fessais car je ne voulais plus aller manger pour le moment , d'ailleurs elle me fit la remarque hum...sa peux attendre j'ai trouver quelque chose de beaucoup mieux a faire ou plutôt quelqu'un de plus important Mon regard était plonger dans le sien , mais je ferme de nouveau les yeux au contacte de ses lèvres . Je n'aimais pas qu'on sois comme sa au milieux de la pièce , je la fis donc reculer et m’assis avec elle sur le lit , mais ne quitta pas ses lèvres pour autant , mais je commencer tout de même a manquer de souffle je me recula alors ,je pris ensuite sa main est la posa sur mon cœur regard l'effet que tu me donne Mon coeur batter assez rapidement , chose que je ne contrôler pas au près de Bélinda surtout dans ce genre de moment .

La tension qui régnait en arrivant dans la chambre n'existait plus. Elle avait laissé place à l'amour et à la passion. J'étais plus qu'heureuse que Jordan m'embrasse comme il le faisait. J'aurais passé ma vie à l'embrasser si passionnément et amoureusement. « Tant mieux alors. » Répondis-je toujours de façon si sensuelle. Lorsqu'il m'emmena jusque sur le lit, je n'eus pas peur de la tournure qu'allaient prendre les choses. J'étais bien, trop bien pour mettre fin à ce conte de fées réel. Je fus comblée une fois qu'il prit ma main pour la poser sur son coeur. Une idée folle me parcouru l'esprit : je ne voulais pas être la cause d'un arrêt cardiaque de sa part, on ne sait jamais avec sa maladie cardiaque justement... C'est pourquoi, je lui ai dit doucement mais en n'étant pas moins concernée : « Tu ne risques rien ? Je veux dire, il ne peut rien t'arriver, vu ton rythme cardiaque, c'est... Enfin, je... Je ne voudrais pas que tu ais un malaise à cause de moi... » Pas encore une fois. Halloween m'avait suffi et pourtant je n'étais pas avec lui lorsque ça s'est produit. Heureusement d'ailleurs, car j'aurais sûrement tourné de l'oeil moi aussi. « Mon coeur bat aussi vite que le tiens... » Repris-je pour ne pas paraître idiote, ou tout cas pour ne pas stopper net ce moment si magique que nous étions en train de vivre tous les deux.

J'étais heureux que tout sois derrière nous , bon certes ses paroles resteront un bon moment dans ma mémoire , mais pour le moment je penser a autre chose je passer un bon moment avec Bélinda je trouver qu'on avait pas eu ce genre de moment pendant un bon moment. J’emmène alors Bélinda vers le lit et on ce mi dessus par manque de souffle je du me reculer d'elle et lui montra l'effet qu'elle pouvait me faire , mais ce n'était pas réellement la réaction a la quel je m'attendais , mais sa me fit sourire , je garda tout de même sa main dans la mienne Bah au moins si sa arrive c'est que tu aurais un effet plus mortel que je le penser sur moi je prenais sa a la rigolade mais je ne risque rien t'en fais pas . dis je quand même pour la rassurais la dernière crise que j'avais fais c'était le jour de Halloween trop d'émotion d'un coup Aphrodite et Bélinda enfermer avec ce fou dans ce gymnase et entre les coup de feu...n'avais pas était rassurant .Je sourie a ses paroles est je venu de nouveau l'embrasser posa une main sur sa joue. Il ne fallait pas non plus que je loupe l'heure de l'hôpital , mais j'avais mi une alarme sur mon téléphone pour ne pas oublier avant de partir , oui si on ce promener est que j’oublié ...j'étais un peux du genre tête en l'air par moment

Je n'allais pas lui mentir, j'avais peur pour lui. Il le savait, je lui avais assez répété. Et sentir son coeur battre si rapidement sous mes doigts ne m'aidait pas à rester calme. Et même s'il me rassura en me disant qu'il ne risquait rien, je savais aussi qu'il disait ça pour ne pas m'inquiéter davantage. « Plaisante pas avec ça ! » Commençais-je par lui dire. Puis il ajouta qu'il ne risquait rien, ce qui ne me rassura pas outre mesure. « Je vais faire comme si je te croyais. » Ajoutais-je en m'efforçant de sourire. « Mais promet moi de me le dire si tu te sens mal. » Repris-je en grimaçant. Ses examens n'étaient pas loin mais je ne voulais pas non plus prendre de risques.

Bah quoi c'est vrai non ? dis je toujours amusais avec mon petit sourire , mais j'essayais de la rassuré comme je le pouvais Il le faut Bélinda , si tu vis avec la crainte qu'il m'arrive quelque chose on ne pourra rien faire la dernière fois j'ai bien fais le grand huit avec Harmonie regarde je suis toujours la il est reste quand mêm accrocher ! je fis un oui de la tête Je te promet Bélinda je te le dirais , mais reste pas avec sa dans la tête qu'il m'arrive quelque chose si tu as des question a me poser , pose les moi je lui caressa doucement la joue on profite encore un peu ici ou on sors alors? autant la laisser choisir si sortir lui changerait les idées par rapport a sa , sa lui avait foutu un peux les jetons apparemment mes paroles

Jordan plaisantait au sujet de son coeur. Mais ça ne me faisait pas du tout rire. Mais il avait raison sur un point, si je continuais à vivre dans la crainte, nous ne pourrions pas vivre grand chose. Même si c'était plus fort que moi et que la plupart du temps, je faisais de mon mieux pour lui cacher mon inquiétude, je ne pouvais pas toujours me taire. « D'accord, je vais essayer de moins m'en faire, mais tu sais que c'est quasi-impossible. Et ne me demande pas de faire le grand huit, c'est au-dessus de mes forces ! » Dis-je en faisant référence à son ex petite amie. Elle n'avait peut-être pas peur pour lui, mais j'avais peur pour trois alors. « Tu voudrais que je te dise à chaque fois que j'ai peur pour toi ? Tu me prendrais pour une folle à la longue. » Ajoutais-je en grimaçant. Je ne voulais pas qu'il me prenne pour une folle même si avouons-le, c'était déjà le cas. « On reste ici encore un peu. » Repris-je en souriant en reprenant là où nous en étions restés. « Mais promet-moi une chose : si tu sens que ça ne va pas, ne force pas d'accord ? » Dis-je en arrêtant de l'embrasser.

Je sais que ma maladie n'était pas facile a vivre , voilà pourquoi je l'avais cacher tant d'année c'était pour éviter tout sa , pour éviter que Bélinda s'inquiète a chaque fois pour moi car je ne voulais pas non plus que son regard change , qu'elle est peur a chaque fois même si lorsqu'on a fais la fameuse fête d'halloween tout le monde aurait était au courant de ce que je cacher...mais j'aurais pu garder du temps encore ...Oui mais on avait attérie avec harmonie dans une fête foraine j'allais pas faire les jeux des gamins et puis en plus de sa y avait pas la pancarte pour les cardiaque. Mais pourtant il faudra que tu essaye Bélinda je veux pas que ma maladie sois un problème je veux être normal on ma déjà privée de beaucoup de chose j'ai pas envie que sa en rajoute entre toi et moi Non je te prendrais pas pour une folle même si d'un autre coter et pas pour les même raison je le pense déjà , mais sa me dérange pas que tu me le dise au contraire[/b] lorsque je lui proposa ce qu'elle voulait faire partie ou rester la . J'aimais beaucoup sa réponse est je répondis a son baiser de nouveau Je ne me mettrais pas en danger Bélinda je tes dis je te quitterais pas comme sa dis je avec un sourire aux lèvres venant de nouveau l'embrasser et quitta ses lèvres pour lui dire a son oreille Je t'aime puis je laissa mes lèvres descendre dans son cou

Je le comprenais tout à fait mais ma raison me criait de faire attention pour deux. Jordan ne prenait pas la peine de mesurer le pour et le contre des choses qu'il entreprenait. Ou en tout cas pas en matière de danger pour son coeur. Et je ne pouvais m'empêcher de le faire pour deux. Même si je lui cachais la plupart du temps, je ne pouvais décemment pas rester silencieuse tout le temps. "Pancarte ou pas pancarte, tu sais quand même bien quand est-ce que ton coeur est mis en danger. Mais je te promet d'essayer de ne plus m'en faire autant, même si c'est impossible." Je l'aimais trop pour ça. "Tu me prends pour une folle pour d'autres raisons ? Vas-y dis moi tout." Repris-je en souriant. Je savais que j'étais folle mais je voulais entendre de la bouche de Jordan dans quels domaines je l'étais pour lui. "Je sais que tu le pense mais entre ce que tu dis et ce que tu penses, y a une grosse limite." Répondis-je en grimaçant au sujet du danger. Puis ses lèvres se rapprochèrent de mon oreille, pour y susurrer trois mots merveilleux. Mots auxquels je ne pouvais que répondre : "Et moi je t'aime encore plus." Et je l'ai laissé m'embrasser dans le cou. Je ne savais pas où ça allait nous mener et je m'en fichais. Tout ce qui importait, c'était le moment présent. Nos retrouvailles et l'amour qui en découlait.