Tu passais une matinée tranquille à la maison un dimanche avant-midi quand les choses avaient commencé à être bizarre avec Max ton dalmatien. Il était tout agité, courant en partout et jappant bruyamment. Tu essayais de t’en accomoder en montant le son de la télévision encore et toujours plus fort jusqu’à ce que le son soit tout simplement trop fort que tu ne puisses même plus t’entendre penser. Il avait déjà été nourris alors tu savais que c’était autre chose qui le rendait de si mauvaise humeur, tu te dis que ça devait être une envie de sortir alors tu le prenais avec toi et sortait de ton appartement mais il allait encore n’importe où ne semblant obéir ni à toi ni à aucune logique. Il commençait à faire des bruits qui ressemblaient de plus en plus à des gémissements. Tu commençais à t’inquiéter alors tu entrepris d’appeler le vétérinaire en route pour la maison savoir si tu pourrais passer. On te disait que oui et ça te rassurais un peu. Tu demeurais tout de même anxieux durant le voyage de retour à la maison. Tu prenais la voiture et te rendais au vétérinaire avec Max. Tu allais devoir attendre un peu, il y avait foule. Tu prenais une bande dessinées d’entre les diverses choses à lire mise à la disposition des clients et commençais à lire. C’était Archie, tu aimais les aventures d’Archie Andrews et ses copains mais tu restais tout de même attentif à ce qui se passait autour pour savoir quand ce serait ton tour et en moins de temps que tu ne l’aurais cru ils sont venu chercher ton petit Max. Tu le laissais aller hésitant, ils te disaient que tu pouvais venir si tu voulais mais que sinon tu étais libre de faire ce que tu voulais le temps qu’ils examinent Max. Ils ne savaient pas combien de temps ça allait prendre encore. Tu laissais partir Max avec la gentille madame et le monsieur et tu retournais t’asseoir. Tu tapais du pieds sans t’en rendre compte parce que tu t’inquiétais trop et puis une personne est entrée en faisant du bruit. Elle s’était cognée le pieds dans la porte d’entrée, tu tournais la tête et tu reconnaissais tout de suite Demelza. Tu lui faisais un signe de la tête et après avoir hésiter un bon moment tu décidais d’aller la voir. Elle n’était pas encline à accepter ton aide pour le bébé en route mais tu comptais lui faire changer d’avis. Même si ce n’était pas maintenant, tu pouvais quand même allez la voir et prendre de ses nouvelles.

Deux mois de grossesse! On voyait légèrement mon ventre, mais personne pouvait le remarquer que j’étais enceinte.  Pour ne pas dire que j’étais enceinte, je disais à mes proches que j’avais pris du poids. Je ne me sentais pas prête à dire aux gens que j’allais être mère. Je n’étais pas prête mentalement et physiquement. Enfin, c’était un point en commun avec le père du bébé. Au moins, je n’ai pas décidé de le tuer pour mon bien. En parlant de lui, j’avais des envies de meurtre. Comment pouvait-il être irresponsable? Il m’avait dit mot pour mot qu’il ne voulait rien savoir du bébé. Je ne le supporte pas et je ne sais pas trop comment j’ai fait pour l’aimer et sortir avec lui… Je commençais à remarquer les changements sur mon corps. Je savais très bien qu’au bout d’un moment, je ne pourrais pas cacher ma grossesse. Ce matin, je décidais de faire mon jogging léger autour de mon quartier comme d’habitude. J’en avais besoin, car je sentais le stress s’accumuler. Je devais jongler sur plusieurs choses à la fois, comme les études, la grossesse, les symptômes d’une grossesse etc… Je voulais oublier mes problèmes pendant un court instant et me concentrer sur moi. Je courrais lentement, et j’apercevais un petit chien abandonné dans le parc. Je décidais de m’en approcher, voyant qu’il était blessé. Je prenais ma veste, l’enroulant à l’intérieur avant d’embarquer dans un taxi et demandant au chauffeur de nous conduire vers la clinique de vétérinaire. Quelques minutes plus tard, j’arrivais enfin et payant alors le chauffeur. Je descendais du taxi pour entrer dans la clinique. Je tenais le pauvre petit chien contre moi et essayant de le rassurer. Il tremblait et il avait l’air traumatisé par quelque chose. Je me demandais quel maître a osé faire du mal à cette bête. Je me dirigeais vers la réception, donnant toute l’information concernant l’animal. Elle me demandait de m’asseoir dans la salle d’attente et de patienter. C’est ce que je fis, me tournant vers la salle d’attente. En allant m’asseoir, j’apercevais quelqu’un que je connaissais. C’était Thomas, le meilleur ami de Dylan. Je lui fis un sourire pour le saluer, m’asseyant à un siège loin de lui. Je posais la bête sur mes genoux, caressant sa tête. Je ne savais pas trop quoi lui dire… La dernière fois qu’on s’était vu, il m’avait proposé son aide pour élever l’enfant dans mon ventre. C’était beaucoup trop pour moi. Je ne pouvais pas accepter son offre, malgré que j’en aie besoin… Je savais que je n’allais pas réussir toute seule, mais je me sentais mal de devoir lui infliger ça… Je sentais que je n’allais pas être facile en tant que femme enceinte. J’allais être une dure à vivre et il va finir par m’étrangler. En même temps, j’avais besoin d’aide et il était le seul à pouvoir m’aider en fait… J’aurai voulu que Dylan fasse quelque chose comme lui, mais il était beaucoup trop immature pour penser à ça. Je posais mon attention sur lui, regardant son chien à ses pieds avant de le regarder. « Je ne m’attendais pas à te voir… C’est pourquoi tu es ici? »

Tu pensais qu’elle était perdu dans ses pensées pendant que tu t’étais déplacé jusqu’à elle parce qu’elle n’avait jamais détourné le regard et semblais légèrement prise au dépourvu quand tu venais la voir. Tu n’avais pas le temps de placer deux mots par contre, elle avait pris elle-même l’initiative en te disant être surprise de te voir ici. Elle voulait savoir pourquoi tu te retrouvais au vétérinaire par une si belle journée. Tu baissais le regard un instant, puis tu les relevais pour la regarder dans les yeux quand tu lui parlerais. “C’est mon chien Max, un beau dalmatien que j’ai acheté en revenant m’installer à Los Angeles, il était bizarre ce matin. Je pensais que c’était seulement qu’il était excité puisqu’il courrait comme une poule sans tête mais il s’est mit à gémir quand j’ai voulu faire une promenade avec lui pour le calmer. Je suis inquiet, je pense que quelque chose ne va pas avec lui alors me voilà.” Tu décidais de t’asseoir sur le siège libre à côté d’elle, incertain du temps tu passerais à ses côtés. Tu ne voulais pas t’imposer et traîner trop longtemps si elle ne voulait pas te voir ou te parler. En t’assoyant tu apercevais un chien tout minuscule dont, pour une raison ou une autre, la présence t’avais échappé jusqu’ici. Tu lui souriais et décidait d’avancer lentement ta main vers lui pour le caresser sans le faire peur. Tu le prenais finalement dans tes bras. “Je peux prendre le petit bonhomme, ça ne te dérange pas?” Tu le trouvais adorable, mais tu te doutais que s’il était là avec Demelza c’est qu’il n’était pas en forme. Tu continuais de le garder dans tes bras et le caresser mais reportait ton attention vers Demelza. “Et toi dit moi, qu’est-ce que tu fais ici? Je ne pensais pas que tu avais de chien. Il est à toi? Il est adorable en tous cas le petit bonhomme.” Lui disais-tu souriant. Tu adorais les animaux, surtout les chiens, comme on dit le meilleur ami de l’homme est le chien et avec toi c’était peut-être vrai. On a besoin de s’occuper d’eux, comme tu ressens parfois le besoin de t’occuper de ton meilleur ami Dylan quand il agit un peu trop en enfant. Comme c’était le cas avec Demelza. D’ailleurs, en baissant les yeux tu commençais à remarquerais qu’elle prenait du poids et gagnait en formes. La grossesse progressait petit à petit, plus tôt que tard ça deviendrait visible au monde entier. Tu regardais ce qui se passait autour et tu ajoutais à l’intention de Demelza : “Je pense que c’est très bientôt ton tour et celui du petit bonhomme... je devrais peut-être vous laisser en paix.”

La petite boule s’était blottie contre moi, recherchant un peu de la chaleur pour se réchauffer. Mon attention s’était virée vers Thomas. Je ne m’attendais pas à le croiser. Mon regard se déviait vers son beau chien dont j’avais simplement envie d’aller jouer avec lui. Je lui demandais la raison de sa venue ici. Je l’écoutais m’expliquer la raison. « Le pauvre.. J’espère que c’est rien de grave. » Je remarquais Thomas venir s’asseoir sur la chaise de libre à mes côtés. Je n’ajoutais rien, le laissant s’approcher de moi. En quelques secondes, le petit se retrouvait dans ses bras. Il était encore tout petit dans ses bras et c’était mignon à voir. « Oui oui, va s’y! » Je souriais béatement, en regardant la petite bête s’installer confortablement contre Thomas. « Malheureusement, il n’est pas à moi. Je l’ai trouvé tantôt en faisant mon jogging de la journée. Je crois qu’il a été abandonné par son maître. Du coup, il est blessé et je l’ai amené ici pour le faire soigner. J’aurai bien aimé l’avoir, mais je suis un peu serrée financièrement. J’attends déjà un enfant. Si j’ai un chien, je vais galérer. » Disais-je. Je ferai tout pour avoir ce petit chien de compagnie, mais je ne pouvais pas me le permettre. Je dois d’abord gérer ma grossesse avant de faire quoi que se soit. Déjà, je suis effrayée à l’idée d’avoir un enfant maintenant. Je suis perdue et je me sens seule. Le père du bébé est un con. Depuis qu’il a su la nouvelle, il n’a même pas pris la peine de venir me voir pour prendre des nouvelles. Juste à y penser, une haine m’envahit. Je posais une main sur mon ventre légèrement arrondi, le fixant un moment en le caressant.  Je tournais la tête vers ce dernier lorsqu’il se mettait à me parler. « T’inquiète. Tu nous déranges pas et je crois même que la petite boule t’aime bien. Regarde! Elle est toute sereine dans tes bras. » Dis-je en venant caressant le pelage du chien, grattant un peu le dessus de son crâne avec mon index.

Tu avais été rejoindre Demelza après l’avoir aperçu dans la clinique vétérinaire. Tu avais quelque peut hésiter au début, mais tu avais fait le pas. La situation te rendais nerveuse, l’ex en cloque de ton meilleur ami qui n’assume pas que c’est son bébé et ils se détestent comme la peste. Toi tu voulais simplement aider et rester neutre mais avec ces deux là et leur caractère ce n’était pas si facile. Tu ne connaissais pas Demelza si bien que ça, peut-être que les bêtises que Dylan te disais à son sujet étaient vrai et que le bébé n’était pas le siens. Mais à quoi ça rimerait tout ça? Tu ne voulais même plus y penser. Lorsqu’elle remarquait ta présence et te demandais ce que tu faisais là tu lui expliquais la situation de Max, ton dalmatien, le pauvre tu espérais qu’il n’avait rien mais il semblait tellement bizarre... tu en doutais. Tu t’étais par la suite assis à côté d’elle sur une place qui était rester libre. Tu espérais ne pas t’imposer mais sinon tant pis tu l’avais déjà fait. Elle avait un minuscule petit chien que tu n’avais encore vu jusque-là, tu le prenais dans tes bras et demandait à la jeune demoiselle si ça la dérangeait. Elle te disais que non, tu souriais et t’amusais avec lui. Il était tellement mignon. Tu aimais les animaux. Le caressant de la main, tu rendais à Demelza sa question. Qu’est-ce qu’elle faisait ici? Tu ne savais même pas qu’elle avait un chien mais peut-être qu’il n’était pas à elle. Ce serait seulement bizarre qu’elle soit ici dans le cas contraire. Elle t’expliquais l’avoir retrouvée dans la rue en faisant son jogging et tu trouvais ça très gentil qu’elle prenne le temps d’amener un chien abandonné et blessé ici même si ce n’était pas le siens. “C’est chic de ta pars. Il est chanceux d’être tombé sur toi.” Verbalisais-tu en souriant. Elle ne te semblait vraiment pas aussi affreuse et tyrannique qu’on pourrait le croire en écoutant Dylan. Tu baissais les yeux, un peu honteux de Dylan même s’il était ton meilleur ami. Tu remarquais alors que l’objet des conflits entre les deux ex progressais à vue d’oeil, la grossesse elle ne pourrait plus la cacher. Tu te sentais alors de trop, en plus ça allait bientôt être leur tour de passer à Demelza et le petit chien alors tu lui disais que tu allais les laisser. Elle t’assurais que tu ne dérangeais pas et faisait remarquer que le petit bonhomme dans tes bras semblais t’apprécier. Tu souriais, tu avais presque oublié qu’il était dans tes bras. Si mignon, si fragile, il passait inaperçu quand on ne s’attardait pas sur lui. “Mouais... quand même je ne sais pas. Max doit sans doute être prêt à repartir à cette heure et je ne veux pas m’imposer.”

Dylan adorait mettre la faute sur quelqu'un d'autre afin de se sentir moins coupable. J'étais consciente que Dylan et moi étaient impliqués dans le problème. Par contre, il préférait se retirer , ne voulant pas prendre la responsabilité d'être papa. Depuis qu'il m'a dit ça, j'ai totalement coupé les ponts. J'avais déjà pensé à lui faire signer les papiers comme quoi j'avais la garde en totalité et qu'il pouvait le voir de temps en temps. C'était sûr que je n'allais pas le laisser s'occuper de mon petit bout. Il a décidé de ne rien faire, alors il allait en manger les conséquences. Thomas s'était proposé pour m'aider. J'ai vraiment trouvé sympa de sa part. Il n'a rien à voir dans cette histoire, mais il tenait que je subvienne à mes besoins correctement. Si seulement, le père du bébé pouvait être ainsi. Ça sera trop beau pour être vrai. Je laissais le chien que j'avais retrouvé dans les bras du brun. Je les regardais ensemble, souriant en voyant à quel point c'était mignon de les voir ensemble. Il était affectueux et ça plaisait énormément au petit chien. « Je me voyais mal de le laisser seul à se débrouiller seul.. Il est tellement inoffensif. » Plus que je regardais le chien, plus j'avais envie de l'adopter. Je savais que j'allais en baver niveau financière, mais j'étais tombée amoureuse du chien en si peu de temps. Je laissais alors Thomas câliner le chien pendant que moi je caressais affectueusement mon ventre. Le bébé grandissait de plus en plus et je me rendais compte que j'allais bientôt le voir en vrai dans mes bras. Ça me rendait nerveuse. Je n'ai jamais pensé devenir mère aussi jeune. Je sortais rapidement de mes pensées en entendant la voix de Thomas me dire qu'il ne voulait pas me déranger. Je lui souriais de façon à le rassurer. « Tu ne t'imposes pas je t'assure. Je suis contente de te voir ainsi que la petite boule. Et... » Avant que je puisse terminer ma phrase, la secrétaire l'appelait. C'était à son tour d'aller voir le vétérinaire. « J'aimerais te parler après avoir fini de m'occuper du petit chien. » Dis-je rapidement. Je finissais par le laisser rejoindre le docteur, reprenant le chien dans mes bras en attendant mon tour.

Demelza t’assurais que tu n’étais pas de trop et que la petite bête aimais ta présence que le docteur t’appelais. Tu souriais et reposait le petit chiot dans les bras bienveillants de Demelza avant de te gratter l’arrière de la tête en disant : “Je devrais sûrement y aller.. Salut.” Tu lui envoyais la main en signe d’au revoir avant de te rendre jusqu’au docteur pour le “diagnostique”. Tu espérais que rien de grave n’était arrivé à ton dalmatien Max. C’était ton compagnon et l’un de tes plus proches et fidèles amis et tu étais très soucieux depuis ce matin il semblait tellement mal. Ce n’était pas le chien que tu avais appris à aimer. Doucement, tu t’étais rendu au docteur qui semblait plutôt calme et neutre, ce qui te rassurais puisque par contraste tu l’avais déjà vu affiché une mine triste à d’autres clients de son centre vétérinaire. Tu croisais les doigts alors que tu l’abordais. Vous échangiez de brèves politesses d’usage avant qu’il n’attaque le vif du sujet pour te dire que Max avait bel et bien quelque chose mais que ce n’était rien de grave. Il avait mangé un truc qu’il n’avait pas dû et son système digestif avait du mal à le faire passer mais ça n’allait pas nécessité d’opération il lui avait plutôt fait vomir la chose en question. Il serait complètement remis d’ici quelques heures selon eux mais il affichait déjà meilleure mine alors qu’on me rendait mon chien que j’aimais tant. Je caressais mon ami sous le menton et derrière les oreilles avant de l’amener avec moi vers Demelza. “Max va bien. Il a seulement mangé quelque chose qu’il ne devait pas manger et il n’arrivait pas à le faire passer. Je suis soulager.” Je me retournais vers d’où je venais et je me disais que Demelza devait sûrement être la prochaine à passer elle était là depuis un moment : “ Je pense que tu es la prochaine.. je t'attends ici avec Max si tu veux.” Je caressais le petit chiot et posait un bisous sur sa petite tête de poils. “C’est qui le plus mignon? Oui c’est toi..” Je me retournais vers Max qui semblait faire la tête : “Rohh ne fait pas le jaloux, lui est mignon mais toi tu es cool et tu as la classe. C’est normal qu’un bébé soit plus mignon.”

Je passais un moment avec Thomas avant qu’il se lève pour aller rejoindre le vétérinaire. Je lui disais au revoir en secouant ma main. Quant à moi, je restais dans la salle d’attente en laissant le petit chiot sur mes cuisses. Ma main caressait son pelage. L’animal avait l’air à aimer mes attentions. Il était adorable. Je trouve ça affreux que son maître puisse l’abandonner. Au bout d’un moment, le brun ressortait de la salle. Ma tête se relevait vers lui, l’écoutant parler. Je souriais en grand, étant moi de même rassuré pour lui. « Alors tant mieux. Ça va rentrer dans l’ordre dans peu de temps. » Le vétérinaire nous appelait. C’était mon tour. « D’accord, à toute à l’heure. » Je laissais Thomas embrasser le crâne de la bête. Je rigolais en voyant Max faire son jaloux. Je me relevais de ma chaise, en profitant de cet instant pour caresser l’animal de compagnie du brun. Finalement, je me dirigeais vers la salle de consultation. J’expliquais au vétérinaire ce qui s’est passé et dans quel état je l’avais retrouvé. Il me disait qu’il fallait lui mettre un plâtre pour qu’il soit guéri et qu’il lui fallait du temps avant que son état s’améliore. J’hochais la tête, le laissant faire son boulot. Je ressortais de la salle avec le petit chiot dans mes bras. Je me dirigeais vers la réceptionniste pour prendre un autre rendez-vous pour un suivi avec le vétérinaire avant de rejoindre Thomas. Je ne savais pas si j’allais garder le chiot. En attendant, j’allais l’héberger chez moi le temps qu’il aille mieux. Ensuite, je vais voir, mais l’idée de le garder était très grande. La petite bête dormait contre moi. Je me mettais devant Thomas. « Il va bien. Il y a rien de grave. Il a jsute besoin de se reposer et il ira mieux… » Dis-je en caressant le pelage du petit chiot. Je reposais mon attention vers Thomas. « Tu viens? » Je lui faisais un signe de la tête pour qu’il me suive jusqu’à la sortie.

Demelza était parti pour son propre rendez-vous, ou plutôt celui du chien qu’elle accompagnait. La pauvre petite bête pensais-tu. Tu espérais que ce ne serait pas grave et patientais tranquillement. Tu voulais savoir si le chiot irait bien et tu profitais du temps en tête à tête avec Max pour lui donner de l’amour et qu’il arrête de faire son jaloux. Tu le caressais encore quand tu as vu Demelza et son petit chiot réapparaître. Le petit était tout mignon à dormir dans les bras de la belle brune. Elle t’’informait qu’il n’avait rien de grave, un peu de repos et le tour serait joué, tu souriais rassuré par cette bonne nouvelle. “C’est super. Je suis content.” Tu caressais le chiot devant Max qui cette fois ne montrait aucune jalousie, mission accomplie. Quand Demelza te demandais de la suivre, tu réfléchissais. La suivre où? Mais tu arrêtais d’y penser et décidais de l’accompagner. “Oui d’accord je te suis. Max aussi.” Disais-tu en tapotant la tête de Max affectueusement. Vous n’aviez nulle part où aller aujourd’hui de toute façon toi et lui. Tu suivais les pas de la brunette jusqu’à la sortie et tu étais content d’être à l’air libre. Max aussi, il semblait déjà se sentir beaucoup mieux puisqu’il se mettait à courir autour de toi. Il voulait jouer, mais tu n’avais rien amener pour ça après tout il était supposé être malade ce n’était pas le temps de jouer ! Mais maintenant qu’il allait mieux il en avait envie alors tu lui promettais de partir jouer au parc plus tard dans la journée ou demain à la première heure. “Il a repris la forme on dirait bien.”