Hé oh ! Tu sais comment je m’appelle ? Mon nom est et mon prénom est Tu aimerais en savoir plus sur moi ? Alors continue à lire. Je suis née en le à , j’ai ans. Je suis de nationalité J’adoooore les , je suis donc et je suis Je travaille en tant que . Ma passion est , j'adore réellement ça. Cela fait que je suis dans cette ville. J'ai choisie Pour finir, je fais partie du groupe

MOÏRA W. BLACKBIRD (Candice Accola King)♦ Tu es le sosie de ma défunte épouse.

La première fois que Matthias rencontrait Moïra - dans cette clinique vétérinaire où il avait emmené faire soigner son chien – il eut comme un coup de poignard en plein cœur. Pendant, tout le temps où la jeune blonde s’occupait de l’animal de compagnie du jeune homme celui-ci n’avait pas lâché la demoiselle Blackbird du regard. Il l’avait dévisagé tout le long de la consultation au point de mettre Moïra très mal à l’aise. Matthias avait un regard tellement insistant que la jeune femme se demandait s’il n’avait pas à faire à un fou.
Mais le jeune Davis n’avait rien d’un fou, il avait simplement l’impression d’halluciner. Cette jeune vétérinaire ressemblait comme deux gouttes d’eau à sa femme défunte. Il savait qu’il ne s’agissait pas de sa bien-aimée, elle était morte quasiment dans ses bras et il l’avait enterré quelques mois plus tôt dans cette ville de Los Angeles. On disait qu’à travers le monde, nous avions tous un sosie. Mais je n’aurais jamais pensé tomber sur celui de ma femme quelques mois après son décédé.

À la fin de la consultation, le jeune homme se rendait compte que ses regards avaient été déplacés et présentaient ses plus plates excuses à Moïra. Il lui envoyé même un bouquet de fleurs en guise d’excuse le lendemain. Mais Matthias avait décidé de faire plus ample connaissance avec Moïra. Il aurait l’impression de retrouver une part de sa femme, il se sentirait près d’elle à travers la jeune blonde. Il aurait une nouvelle raison de vivre, même si ça pouvait paraître mal sain. Il devait trouver un moyen de se rapprocher de la jeune femme sans paraître pour un fou et sans jamais lui évoqué les raisons qui l’attirait vers elle.