C'était le seul moyen afin qu'elle s'habitue à la vie qu'elle devait traverser maintenant. Ne pensez pas que j'adorais lui imposer ceci, mais je devais le faire si je voulais qu'elle aille mieux. Je me sentais mal de lui forcer de faire quoi que se soit. Je ne lui ai jamais imposé quoi que se soit, car je l'aimais beaucoup trop. D'habitude, je me forçais toujours pour lui faire plaisir, même quand ça me tentait. Je suis un mec vraiment têtu au point que ça enrage les gens. C'est seulement avec Mariann que je ne suis pas têtu, afin pour certaines raisons. La plupart du temps, je fais en sorte que ça lui rend heureuse et pouvoir la regarder sourire. C'est tout ce que je souhaite d'elle. Depuis quelques semaines, j'avais perdu son sourire et ça me manquait de la voir si anéantie... On marchait doucement vers le parc et je sentais Mariann m'arrêter. Je m'arrêtais alors et refermant mes bras autour d'elle en l'écoutant. « D'accord mon coeur! On va pas au parc! Ça te dit la plage? Il n'y a personne aujourd'hui et on sera tranquille... Allez, calme-toi, je suis là.. » Je détestais la voir pleurer. J'essayais de la consoler en frottant son dos et essayant de la rassurer. Je la comprenais qu'elle ne voulait pas voir d'autres enfants.. Je l'accepte son choix et j'apprécie déjà qu'elle accepte de sortir même si elle ne veut pas.

Je la laissais se coller contre moi et essayant de la calmer un peu. Je ne voulais qu'elle me demande de rentrer. Tout se déroulait bien et je voulais lui dire que j'étais là et qu'il y aura rien. Je voulais qu'elle se fie à moi et qu'elle se dit qu'il faut qu'elle avance et qu'elle peut compter sur moi n'importe quand. Je lui avais demandé si elle voulait qu'on aille à la plage et elle me prenait tout de suite la main pour s'y diriger. On marchait tranquillement comme toute à l'heure. On passait devant un banc et je pouvais remarquer que ça avait attiré l'attention de Mariann. Elle était tellement silencieuse que ça m'inquiétait. Elle est une fille bavarde et la voir tout d'un coup muette, me pertubait. Enfin bref, il lui faut du temps. Je ne peux pas la retrouver comme avant d'un claquement de doigt. Il fallait que je sois patient et je vais l'être. Je vais l'attendre et être à ses côtés.

J'aimerais tant l'entendre parler. Je voulais savoir ce qu'elle pensait et ce qui la faisait agir ainsi. J'avais l'habitude de l'entendre dire ce qu'elle pense et maintenant rien du tout. Elle reste renfermée et préférant rester dans son coin. Je comprenais qu'elle voulait être l'écart de moi, mais ça en faisait trop. Je m'ennuyais et j'avais pas envie de la forcer à faire quoi que se soit. Par contre, j'ai décidé de la faire sortir de la maison. Elle a assez passé son temps dans la maison et maintenant il faut qu'elle sorte. Elle ne pourra pas rester à la maison toute sa vie. Je sais que ça allait être difficile pour elle maintenant de retrouver l'affinité qu'on avait. Enfin, on peut toujours la retrouver, mais il lui faut du temps... Elle est encore sous le choc de la tragédie et je ne pense pas qu'elle sera prête qu'on pousse trop loin.. Elle m'a dit qu'elle avait du mal que je la touche, car elle repensait toujours à notre enfant... Je le regardais alors et lui répondant : « Bien sûr que je m'en souviens... De bon bon souvenirs quand je pouvais te câliner.. » Je lui souriais en enroulant mon bras autour de son cou. Je l'embrassais dans le front en la gardant contre moi.

J'étais bien avec elle. Je l'aimais beaucoup. J'adorais la serrer dans mes bras, me réveiller le matin en l'observant dormir. Pendant deux semaines, il n'y avait rien. Je ne pouvais pas supporter ça et c'est pour cette raison que j'avais décidé d'aller dormir sur le divan. C'était une torture de dormir à côté de sa fiancée sans pouvoir la serrer dans ses bras. Puisque c'était comme ça, je préférais être à l'écart d'elle, au moins j'allais pas être offusquer lorsqu'elle me repoussait. J'étais fier de moi d'avoir réussi de la faire sortir de son lit. Je la voyais revivre. Elle s'était préparé et je voyais de nouveau en elle la Mariann, celle que je suis tombée amoureuse lors du premier regard. Je la serrais alors dans mes bras et sentant ses lèvres contre les miennes. Je souriais en grand et profitant pour répondre au baiser langoureusement et passionnément. Ça faisait tellement longtemps au point que ça me donnait des frissons. J'étais désormais comme un enfant qui attendait le jour du Noël pour ouvrir ses cadeaux et le moment venu, il y avait que de la joie. Lorsqu'elle se mettait à reculer, j'avais juste envie de continuer encore. Je ne voulais pas que ça s'arrête. « Ça me manque énormément... » J'écrasais de nouveau mes lèvres sur les siennes pour l'embrasser de nouveau et la serrer contre moi.

J'avais toujours tendance à me lasser des gens assez facilement quand on me donnait pas l'affection que j'avais besoin. Je n'aimais pas qu'on me testait. J'avais horreur de ça. Ça faisait deux semaines qu'il y avait rien entre nous deux. Avant, on sentait vraiment bien la chimie qu'il y avait entre nous deux. Même ma mère me l'a souvent dit. Elle m'a dit qu'elle ne m'avait jamais vu aussi heureux depuis que je suis avec Mariann. Elle m'a dit aussi qu'elle me voit lui faire de la peine, j'aurai à faire à elle. Oui maman, je vais être sage comme une image. Elle rendait ma vie meilleure... Elle sait très bien avec tout ce que j'ai pu vivre, je n'ai pas envie qu'on me brise le coeur. Et au départ, je n'avais jamais pensé de sortir avec Mariann. Nous étions totalement l'opposé... Je pensais plutôt que nous allons être comme un chat et une souris. On était tellement différent que je n'aurai jamais persuadé qu'on allait finir ensemble. Et puis, j'aime les filles avec du caractère. Ça prouvait qu'elle ne se laissait pas se marcher sur les pieds. Mariann me disait toujours ce qu'elle pense et c'est qui me plaisait chez elle. Elle n,avait aucune crainte quand elle était franche. C'est surtout de ces franchises que les gens n'osent pas faire de la merde partout. Je la serrais alors contre moi et finissant par l'embrasser langoureusement comme si ça allai être la fin du monde. Je n'avais plus envie de la lâcher et d'arrêter de l'embrasser. Elle me manquait beaucoup trop et ça me torturait de l'intérieur. J'avais besoin d'elle chaque jour... Je sais bien que je ne le démontre pas, mais j'ai besoin d'elle. C'est aussi pour cette raison que je lui ai demandé sa main. Pendant tout ces mois sans elle à mes côtés ont été un désastre total. J'en avais assez de me réveiller seul le matin sachant bien que je pouvais dormir à ses côtés en la serrant contre moi. Elle faisait partie de moi et plus jamais de ma vie je la laisserais partie.

Depuis que je suis en couple avec elle, elle m'a prouvé que la vie valait peine d'être vécu. Je ne vais pas vous mentir là-dessus, mais j'avais déjà eu un moment noir dans ma vie. Je n'avais aucune envie de vivre sur ce monde et il y a rien qui me retenait. J'étais tellement désespéré par la vie qu'on m'a offert. Et un jour, j'ai fini par me relever et je me suis dit que je devais arrêter de penser ainsi et que ça allait m'amener nul part. Et puis le beau jour est venu, j'ai rencontré Mariann. Elle était vraiment différente des autres et j'ai fini par m'accrocher à elle. Même si le premier truc que j'ai reçu d'elle était un ballon, ça m'a quand même marqué. J'avais lancé le ballon involontairement sur ses jolies fesses sans me rendre compte. Et bien sûr, elle s'est fâchée et elle a tout de suite réagi suite à cela. C'était ça qui m'a attiré de chez elle , sa réaction face à une situation! Je suis content de l'avoir dans ma vie. Elle me rapporte que de la joie depuis que nous sommes ensembles. Je ne regretterais jamais d'aller faire quelques paniers sur le terrain de basket. C'est bien à cet endroit que j'ai rencontré cette charmante demoiselle. Je me posais souvent la question, comment faisait-elle pour m'endurer? J'ai un caractère de merde. Je suis telleement un mec renfermé à comparer à Mariann. Elle était expressive, pleine de vie, créative, pleine de vie. On mettait du piquant dans ma vie. Chaque fois que j'étais avec elle, j'oubliais tous mes soucis et je focusais sur elle. Je n'avais que les yeux pour Mariann. Je n'aimerais pas une autre qu'elle, car y'en a pas une qui va lui arriver à la cheville. Je sais qu'elle ne me fera pas de mal. J'espère qu'elle sait à quel point je l'aime comme un fou et qu'elle s'en doute pas. J'avais parfois l'impression qu'elle avait peur que je ne l'aimais pas. Je sais que je ne lui dis pas souvent je t'aime, mais je le pense toujours. Je n'aime pas être un collant après quelqu'un. Je suis une personne tellement indépendant. J'ai appris à me débrouiller tout seul sans dépendre de quelqu'un. Par contre, je faisais des efforts pour lui montrer que je tenais à elle. Je voulais la rassurer. Je la regardais lorsqu'elle décollait ses lèvres. « C'est toi qui décide mon coeur... » Dis-je en lui volant un baiser et gardant mes bras autour d'elle.

Ça faisait des semaines que j'avais rien eu de la part de Mariann. Quand je dis rien, ça veut bien rien. J'avais plus de câlins, de bisous, de je t'aime, rien du tout. Je commençais vraiment à être désespéré. J'en avais marre de devoir coucher sur le divan pour ne pas craquer sous la pression. J'avais eu souvent envie d'elle, mais je le cachais. Je trouvais que c'était pas le moment de parler de sexe avec une fiancée qui était peinée suite à des tragédies. J'étais de moi de voir que j'ai réussi à la faire sortir du lit. Je ne regrette pas de l'avoir fait réveillé. Elle avait besoin de sortir pour se retrouver. J'allais tout faire pour l'aider qu'elle aille mieux. Je tiens beaucoup trop à elle pour la laisser se détruire petit à petit. Je lui avais dit qu'elle allait décider ce que nous allons faire. Je ne voulais pas décider à sa place. Je voulais plutôt voir quel était sa réponse. Je fis alors un sourire en la suivant et la tenant la main. Je prolongeais pendant un long moment pendant qu'elle débarrait la porte. Une fois à l'intérieur, nous rentrons à l'intérieur et je l'observais prendre son temps pour enlever ses chaussures simplement pour me languir. Je fis alors un sourire en grand en la voyant agir. C'était vraiment ce que je voulais. Je voulais la retrouver après tant de semaines sans avoir d'affection de sa part. J'enlevais mes chaussures et l'observant toujours en train de défaire sa robe. Elle était maintenant en sous-vêtement devant moi. Elle était toujours aussi belle, mais elle avait beaucoup perdu de poids... Elle ne mangeait pas beaucoup... Je m'avançais vers elle et prenant son visage dans mes mains en l'embrassant langoureusement pendant un long instant. J'avais envie d'hurler tellement que j'étais heureux. Ça m'avait tellement manqué et enfin je la retrouve. Je glissais ensuite mes mains vers son corps, enroulant mes bras autour d'elle en la soulevant. Je la collais doucement contre le mûr, continuant de l'embrasser. Je voulais goûter à ses lèvres qui m'ont horriblement manqué. J'étais tellement content de la retrouver et j'espèrais que ça allait durer pendant longtemps. Je voyais en elle un gros changement depuis toute à l'heure. J'aimais le fait qu'elle faisait des efforts pour me faire plaisir. Je tenais ses jambes et mouvant mes lèvres contre les siennes et la serrant contre moi. Je finissais par entourer ses jambes autour de moi et montant en haut en décollant nos lèvres même si j'avais envie de continuer. Je lui souriais en coin et décidant d'aller sur le divan en profitant de l'embrasser sur la joue au passage. Je l'allongeais sur le divan , enlevant mon tee-shirt et venant me mettre sur elle. Je recommençais à l'embrasser de nouveau , caressant sa joue avec mon pouce en me collant bien contre elle. Sa présence à mes côtés m'avait tellement manqué et ça paraissait.

Je la désirais tellement et mes mains se baladaient sur elle d'une manière pressante. J'avais envie de déchirer ses vêtements et lui faire l'amour jusqu'à l'extase. J'étais définitivement en manque et je la voulais maintenant. Je continuais de l'embrasser avec fougue, caressant toutes les parcelles de son corps que je pouvais atteindre. Je descendais ensuite mes lèvres dans son cou , prenant le temps de l'embrasser. Je continuais de découvrir son corps avec mes lèvres en arrivant alors à son décolleté. Je remontais mes mains vers sa poitrine, prenant le temps de lui caresser. Je me collais bien contre elle en continuant mes caresses et serrant mon bassin contre le sien. Je me demandais si c'était pas un peu trop tôt pour elle? C'est pas que j'en ai pas envie, mais je me demandais si elle était sûre de ce qu'elle fait. Et puis, j'avais ma preuve dans ses caresses et lors du baiser. Je glissais ensuite mes mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge. Je levais les yeux vers elle en lui souriant, lui volant un baiser et descendant de nouveau mes lèvres vers sa poitrine en enroulant mes bras autour d'elle pour l'attirer contre moi le plus possible. J'avais besoin de son contact chaque jours. J'en avais pas eu depuis des semaines et j'en meurs d'envie.

Je ne voulais pas trop me presser le pas. Je voulais profiter de cet instant pour la redécouvrir de nouveau. Je me demandais vraiment si elle le voulait pour me faire plaisir ou elle en avait autant envie que moi? J'embrassais à la naissance de sa poitrine en prenant le temps de caresser son corps avec mes mains. J'étais un mec patient, tellement patient que je prenais trop mon temps. Je pouvais même déchirer tout ses vêtements et lui faire l'amour sauvagement, mais je voulais prendre mon temps. Je ne voulais pas trop la brusquer suite ce qui s'est passé. Je finissais par enlever le dernier morceau en le lançant à travers de la pièce. Je remontais mes lèvres vers les siennes pour goûter de nouveau à ses lèvres. J'enlevais mon jean sans cessant de l'embrasser avec fougue en me collant contre elle.

J'étais froid, très susceptible, rude, tendu... J'étais malade, malade de ne pas pouvoir être auprès de Mariann. Ça me tordait de l'intérieur en sachant bien qu'elle était dans la même villa que moi, sauf que je ne pouvais pas la toucher. Je lui obligeais souvent de manger, car je voulais qu'elle aille un petit truc dans le ventre. Elle mangeait très peu, mais au moins elle avait quelque chose dans son corps. Je ne voulais pas qu'elle meurt de faim. Je la laissais faire en souriant contre ses lèvres et faisant descendre mon jean avec mes jambes. Je poussais un grognement en la laissant faire, collant mon front contre le sien en respirant chaudement sur ses lèvres. Je finissais par prolonger le baiser de la même façon qu'elle. Pour être certain de tout, je lui murmurais : « J'ai envie de toi. »

Ça me faisait mal et à la fois insupportable de devoir être loin d'elle. Maintenant que je pouvais être proche d'elle, j'allais en profiter le plus possible. Je ne voulais plus me séparer d'elle. J'ai eu tellement de la misère en étant loin d'elle. J'ai manqué me péter la tête contre un mûr tellement que j'en avais marre et que c'était une torture pour moi. Je lui avais dit que j'avais envie d'elle. Je voulais être sûr que c'est bien ce qu'elle voulait et qu'elle n'a pas changé d'avis. Je l'écoutais parler et lui souriant en coin en prolongeant son baiser. J'acceptais ce qu'elle m'a demandé et finissant par être en elle en y allant avec douceur. Je commençais de tendre mouvements, même si j'avais envie d'y aller un peu rude sans lui faire de mal. Cette fois-ci, je vais aller à son rythme et la cadence va augmenter avec le temps. Je grognais contre ses lèvres en la serrant contre moi et étant soulagé.

J'aimais le fait qu'elle essayait de tout faire pour avancer. J'espèrais qu'à la suite de cela, ça va tout rentrer dans l'ordre. Je m'ennuyais de la serrer dans mes bras pendant qu'elle dort. J'avais besoin de son affection à chaque jours. Quand je devais partir travailler, on s'échangeait des bisous ainsi que des je t'aime ou la fois quand elle me retenait pour ne pas partir de la maison. Ça me manquait tellement... Je continuais mes mouvements en restant toujours aussi doux. Je décollais nos lèvres, posant ma tête dans son cou en respirant chaudement. Je grognais de plaisir en tenant au canapé. Je descendais une main vers son corps, caressant alors sa poitrine et la déposant par la suite sur sa cuisse.

Je continuais à être doux et lorsqu'elle me demandait d'aller plus vite, c'est ce que je fis. J'augmentais la vitesse de mes mouvements sans trop y aller trop fort pour ne pas la faire de mal. Je poussais plusieurs grognements à son oreille, serrant sa cuisse dans ma main. Je sentais le plaisir monté en moi en ayant énormément chaud. Je reposais alors mes lèvres contre ses lèvres en l'embrassant avec fougue et continuant mes mouvements en y allant vite.