Je riais à ces propos en l'embrassant sur la joue. Je restais sur elle en la serrant bien contre moi. Je posais mes mains sur ses hanches. Je l'embrassais toujours et redressant alors ma tête en l'écoutant parler. « D'accord, je comprend! » Dis-je en lui souriant et descendant mes lèvres dans son cou et l'embrassant passionnément. De toute façon, y'avait pas juste ça qui comptait. Tant que je pouvais être près d'elle, ça me rendait déjà heureux. J'ai pas besoin de plus. J'avais simplement besoin d'affection et elle m'en donnait. C'est tout ce que je veux.

Elle n'avait pas à se sentir mal, car je la comprenais dans un sens. Je ne voulais pas trop aller vite et de toute façon on venait de le faire. J'allais profiter de ce temps pour rester à ces côtés et la garder contre moi. « Tu n'as pas à t'excuser Mariann! Je veux pas aller trop vite aussi! » Dis-je en me redressant d'elle. « Repose-toi mon coeur, je vais aller faire un truc en bas. Tu descends en bas quand je te le dirais d'accord? » Dis-je en venant lui smacker les lèvres avant de descendre en bas.

Je n'avais rien à lui reprocher, car elle a fait l'effort qui faut pour solidifier notre couple et je lui remercie. Je ne veux pas la forcer dans quoi que se soit. Après lui avoir dit de rester dans la chambre pour se reposer et lui donner des bisous, je redescendis en bas pour préparer un truc. Je voulais qu'elle passe une belle journée en ma compagnie maintenant qu'elle va mieux et qu'elle réussit à sortir du lit. Pendant qu'elle dormait, je commençais à lui cuisiner son repas favori italien. Je n'avais pas fait de grosse portions pour elle, car je savais qu'elle n'avait pas une faim de loup. Bref, je voulais qu'elle mange quand même un peu. Elle va attraper facilement des maladies si elle a pas mangé un seul truc. Lorsque le repas fut terminé, je fermais le feu et me dirigeant dehors en déposant deux grosses doudou sur les sièges et mettant des chandelles sur la table. Je regardais l'heure et ça faisait maintenant deux heures que j'étais dans la cuisine pendant que ma chérie dormait. Je prenais ensuite des roses que j'avais commandé toute à l'heure pendant qu'elle dormait et les déposant dans une vasse pour faire jolie. J'étais fier de moi et j'étais persuadé qu'elle va adorer. J'entrais à l'intérieur une fois tout déposé, je mintais à l'étage pour aller la retrouver.

Rendu à l'étage, j'allais m'asseoir à ses côtés. Je la serrais contre moi et l'embrassant dans le cou. Je la secouais doucement pour la réveiller et lui frottant en même temps le dos. « Réveille-toi mon coeur... » Je la regardais dormir en souriant en coin et posant une mèche rebelle derrière son oreille. Je commençais à l'embrasser de partout pour essayer de la réveiller. Je finissais par m'allonger sur le côté et frottant son bras tout en la regardant toujours. Elle dormait dure et c'Était difficile pour moi de la réveiller.

Je continuais à la réveiller tout en la secouant. Je la sentais soupirer lorsque je l'embrassais. Je frottais son bras pour qu'elle puisse sentir ma main sur elle. Peut-être que je devais la laisser dormir? Mais ma surprise ne servait à rien et le repas que je lui avais préparé allait refroidir. Je continuais de la réveiller et voyant ses yeux s'ouvrir petit à petit. Je souris en grand et la regardant. « Coucou mon coeur! » Je lui souris lorsqu'elle s'est mis à se réveiller.

J'essayais du mieux que je peux pour la réveiller. Lorsqu'elle avait ouvert les yeux, je la laissais me tirer vers elle pour l'embrasser. C'est ce que je fais peu de temps après en enroulant mon bras autour d'elle. Je souriais contre ses lèvres et décollant nos lèvres en la regardant. « Bonne après-midi! » Dis-je aussi en me redressant doucement et restant toujours près d'elle. « Je t'ai préparé un truc pour nous deux.. » Dis-je timidement en la regardant.

Je vous ai déjà dit que j'adorais faire plaisir à Mariann? Eh bien c'est le cas! J'aimais la voir sourire lorsqu'elle découvrait ce que je lui offre ou ce que je lui ai fait. Ça réchauffe toujours le coeur en la voyant si heureuse. Chaque fois, j'ai envie de lui donner pleins de bisous et de lui remercier d'exister. Je me demande comment je serai devenue si je ne l'avais pas connu. Je serai sûrement en train de faire la fête comme avant. « Oui pourquoi pas? » Dis-je en la laissant venir sur moi en caressant son dos et embrassant sa tempe. Je la prenais dans mes bras en me mettant sur toi et l'embrassant amoureusement.

Je continuais mes bisous en décollant ensuite nos lèvres. Je me redressais en la prenant dans mes bras et descendant en bas en la tenant bien contre moi. Je nous dirigeais ensuite dehors où on avait la vue de la piscine ainsi que la table déjà tout prête. Il y avait son plat favori d'origine italien. Il faisait vraiment beau et ensoleillé. Je nous avais placé dans un coin à l'ombre pour ne pas avoir chaud. Je la déposais par terre et la regardant. « J'avais envie qu'on profite de cette journée ensoleillé ensemble.»

Je la serrais contre moi lorsque nous étions dehors. Je la regardais en souriant en coin et l'embrassant sur la joue. Je la regardais sauter de joie ce qui faisait agrandir mon sourire. « Ça me fait plaisir! Moi aussi je t'aime! » Je la suivais par derrière en allant m'asseoir en face d'elle. Je la regardais manger ce qui me faisait sourire. Je commençais doucement à manger aussi. « Tu aimes? »

Je me demandais bien si le goût représentait belle et bien ce qu,elle attendait. Peut-être que ça ressemblait aucunement à ses pâtes italiennes. « Ah oui? Je m'impression! » Je rigolais et faisant mine d'attraper le baiser dans ma main et le déposant sur mon coeur. Je lui souris de nouveau en posant ma main sur la sienne.

J'étais plus le type flemmard. Je cuisinais de temps en temps, mais d'habitude c'était Mariann qui avait ce poste. Moi, je me mettais à ses côtés et je grignotais un petit peu pendant qu'elle cuisine. Elle me tapait doucement sur la main pour que j'arrête de manger, sinon je n'allais plus avoir faim pour le souper. Et aujourd'hui, j'ai décidé de prendre sa place et faire moi-même ses délicieuses pâtes que Mariann raffole. Ça m'a prix dix ans à faire ce délicieux plat et je le regrette pas. « Comment j'oserais l'oublier? Tu t'en rappelles de la fois quand j'ai tout vidé la casserole remplie de pâte que tu as fait? Ça voulait dire qu'elles sont hyper bonne. Et ça me fait plaisir mon coeur de te les faire. Je ferai tout pour pouvoir te voir sourire tu le sais très bien. » Dis-je en lui souriant en la laissant me caresser la cuisse. Je décidais par la suite de me déplacer pour être à ses côtés. Je prenais mon assiette, me levant en allant à ses côtés. Je l'embrassais sur la joue et m'assoyant à ses côtés en déposant l'assiette. Je passais mon bras par derrière elle tout en continuant de manger.

Jaimie adorait cuisiner avec Mariann. Il aimait découvrir pleins de trucs. Il prenait le temps d'aider Mariann quand elle commençait à cuisiner. Il avait le même côté de moi. J'appréciais le fait que Mariann prenait le temps de lui apprendre pleins de trucs et lui donner son attention vers lui. Elle était si douce avec lui et il en devenait accro comme son père. Je me rappellerais toujours la fois quand il s'est endormi dans ses bras et à la fin, c'était difficile de vouloir le séparer d'elle. À force, je pouvais plus avoir de câlins, car ils les réceptionnaient tous. Bon bon, je vais pas faire mon jaloux avec mon fils. C'est normal, craquant comme il est. « Désolé mon amour! C'est ta faute si tu cuisines trop bien! » Dis-je en rigolant et la regardant. Une fois à ses côtés, je continuais de manger en restant auprès d'elle. Je la laissais me donner de bisous et caressant en même temps son dos. « Tu as envie qu'on aille se baigner après? »

Je me rappelle un soir, lorsque Mariann rentrait du travail, Jaimie avait fait un dessin de nous tous ensemble. Il voulait faire une surprise pour Mariann, car il s'était ennuyé. Bien sûr, il ne pouvait pas faire une sieste dans ses bras. Il dormait facilement lorsque c'était Mariann qui le berçait. Elle lui chantait une berceuse et c'est grâce à ça qu'il s'endormait rapidement. Je ne pouvais pas chanter une berceuse, car j'allais plutôt l'effrayer avec ma voix d’ogre. Il était tellement mignon, comme son père bien sûr. Je la regardais en lui souriant. « Je lui remercie dans ce cas-là! » Je la collais bien contre moi en frottant son dos et venant embrasser sa tempe en ayant le sourire aux lèvres. « On peut y aller en sous-vêtements non? » Demandais-je en la regardant et me rappelant qu'elle n'était pas encore à l'aise avec son corps. « Si tu as peur d'attraper froid, tu peux mettre mon chandail mon coeur. » Dis-je en lui souriant en grand et lui volant un baiser.